Chapitre
1 – Léantos est déprimé.
En cette fin du 25ème siècle, on est revenu
à une vision simplifiée de la Société.
Le but est de prévenir les guerres, les
famines, les inégalités dans la mesure du possible. Pour y arriver, il a fallu
refaire des classes sociales sur un modèle antique. C’est ce que le philosophe
Tien Long, appelle « Une société en forme de pyramide. »
Tout au sommet, il y le Consortium Suprême,
qui nomme les Gérants des Régions.
En dessous, mais toujours au sommet, il y
les riches ou citoyens Alpha. Ils sont environ 1/20ème de la population
mondiale. Ile sont riches et disposent de la technologie moderne. Ils peuvent
faire ce qu’ils veulent, sous réserve de ne pas déplaire à un membre du
Consortium et de payer l’impôt.
Au milieu, il y a les citoyens Lambda. Ils
n’ont aucuns rapports avec le sommet de la pyramide. Ils ignorent même
l’existence des citoyens Alpha. Ils vivent comme au Moyen Age, sans aucune
technologie, ce qui est un gage de paix ou de conflits limités. Les villes
Alpha leur sont dissimulées.
En dessous et jusqu’à la base, il y les
esclaves. Il y en a aussi bien chez les Alpha que chez les Lambdas. Ce sont
les condamnés de droit commun pour des faits bénins : dettes, vol, avoir déplu
à un citoyen Alpha… Les condamnés pour des faits graves sont envoyés sur les
planètes bagnes.
Dépendant du Consortium et des citoyens
Alpha, il y a les gens d’armes : soldats, policiers, gardes privés,
informaticiens.
Seuls le Consortium et les citoyens Alpha
ont accès à la technologie.
Depuis, très longtemps, il n’y a plus de
carte d’identité, de passeport, de permis de conduire, de cartes de crédit.
Tous les citoyens et tous les esclaves ont une minuscule puce dans leur
organisme, où tous les renseignements les concernant sont consignés. Il est
impossible d’extraire cette puce.
Léantos.
En ce début de juin, je suis plus déprimé
que jamais. J’envisage même de léguer tous mes biens et mon titre de Gérant de
La Région 3 de l’Europe du Sud Est. Je voudrais repartir à zéro sur un des
mondes que nous avons colonisés. Enfin, je me suis quand même organisé pour
envoyer une importante somme d’argent, d’or et de diamants dans une banque
discrète sur une planète qui l’est tout autant. Je suis déprimé, mais pas au
point de risquer de me retrouver citoyen Lambda.
Une des causes de cette situation est mon
récent et catastrophique mariage.
La passion vous prive de toutes formes de
lucidité !
J’ai eu un coup de foudre pour Fenza, une
fille de 22 ans, le tiers de mon âge. C’est une très jolie brune aux yeux
noirs. Elle est petite et mince avec un tour de poitrine atteignant à peine les
85 cm et des fesses de garçon. Jusqu’à ma rencontre avec elle, je ne
m’intéressais qu’aux femmes aux formes opulentes. Je suis tombé follement
amoureux de Fenza et je l’ai épousée un mois après notre première
rencontre : une pure folie !
Pourtant, j’avais déjà fait l’expérience
d’un mariage raté. Ma première épouse avait un caractère difficile et était une
véritable nymphomane. J’ai réussi à faire annuler notre mariage. C’est une
chose terriblement difficile à faire de nos jours et ça m’a coûté… un bras.
Les lois du Consortium sont devenues
strictes, concernant la protection des conjoints. Je n’avais d’ailleurs pas de
griefs recevables, juridiquement parlant, pour obtenir le divorce.
Comment, après mon premier mariage ne me
suis-je pas mieux renseigné sur la personnalité de Fenza? La passion ! Son
caractère dominant montrait déjà le bout de son nez, certes, mais avec moi,
elle était adorable et au lit elle se révélait perverse et inventive. Toujours
prête à ajouter quelques esclaves pour pimenter nos ébats. La grande révolution
de l’année 10 du Consortium, a heureusement remis de l’ordre dans notre société
en créant la Grande Pyramide. Elle a aussi donné la possibilité aux citoyens
Alpha et Lambda d’acheter des esclaves. Le monde Lambda étant une source
inépuisable d’esclaves, que nos hommes d’armes vont « razziés ».
J’ai une trentaine d’esclaves dont une
vingtaine de femmes.
Fenza, ma nouvelle femme, a une qualité,
c’est une très bonne maîtresse de maison… Avant de la rencontrer, c’est mon
intendant qui s’occupait de faire régner l’ordre parmi mes esclaves. Il le
faisait assez mollement, toujours prêt à accepter de ne pas punir une esclave
si elle était assez docile, ce qui est pourtant la définition même d’une
esclave. Il s’en suivait une légère nonchalance chez certaines esclaves…
Fenza a changé tout ça, avec une main de
fer dans un gant d’acier. Elle est très sévère, d’autant plus que c’est une
maniaque de l’ordre et de la propreté. Elle ne supporte pas le plus petit
manque de soin. Les punitions sont donc devenues extrêmement fréquentes. Les
esclaves la craignent et une esclave qui a peur est d’autant plus obéissante et
soumise, cherchant à tout prix à plaire à ses maîtres et a leurs invités. Et
puis, c’est amusant de voir une esclave présenter ses fesses pour se faire
fouetter, surtout quand elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle a aussi établi
toute une série de règles et de punitions. On ne voit nulle part des esclaves
aussi bien dressées que chez nous. A tel point, que nos amis s’inspirent à la
lettre de son règlement pour l’appliquer chez eux…
En ce qui concerne la tenue de la maison et
la discipline des esclaves, Fenza est parfaite… Par contre… sexuellement, elle
a cessé de faire des efforts comme au début de notre mariage et m’envoie
régulièrement me satisfaire avec une esclave.
Nos enfants sont en pension, mais la nièce
de ma femme qui a 18 ans, vit avec nous. Elle s’appelle Calypso. Je l’ai
accueillie dans ma famille et je suis devenu son beau-père, légal, jusqu’à ses
21 ans. Elle est belle, très belle et a un QI de 167, ce qui fait d’elle un
membre de la prestigieuse société du Temple d’Athéna, qui réunit les cerveaux
les plus brillants. Athéna étant la déesse de l’intelligence. Hélas, comme
beaucoup de jeunes gens, elle fait des bêtises. Fenza la punit souvent et la
fait même fouetter par une esclave noire, ce qui est l’humiliation suprême pour
une citoyenne Alpha. Je dois avouer que je prends un grand plaisir à voir
Calypso se faire fouetter. C’est une beauté callipyge, pour rester dans la
terminologie de la Grèce antique, c'est-à-dire qu’elle a les plus belles fesses
du monde ! Oui, je deviens exalté quand je parle des fesses de ma
belle-fille. Les relations entre elle et Fenza sont devenues explosives. Bien
sûr, elle mérite souvent une punition et ce n’est pas sans raison que Fenza la
punit, contrairement aux esclaves qu’elle fait fouetter pour se distraire ou amuser
nos invités.
Ma belle-fille s’appelle donc Calypso, ce
qui veut dire « la très désirable » en référence à la reine de l'île
d'Ogygie, amante d’Ulysse et elle porte bien son nom.
Les prénoms de la mythologie grecque sont
devenus une mode ces dernières années en Europe du Sud.
Calypso déteste celle qui est devenue sa
belle-mère légale et qui n’a que 3 ans de plus qu’elle. D’autant plus, qu’elle
a le droit de la punir à sa guise.
Fenza s’est mise à régenter ma vie
personnelle, aussi… Si je n’y mets pas bon ordre, elle va me faire un
règlement, comme aux esclaves et à notre belle-fille !
Mon moral étant au plus bas, je ne souhaite
plus qu’une chose, me séparer de cette épouse qui devient de plus en plus
tyrannique.
Je sais qu’il y a eu une enquête quand je
me suis séparé de ma première épouse. Les lois sont ainsi faites que si un des
époux le refuse, le divorce est impossible. Il m’a donc fallut obtenir le
consentement de ma première épouse par des moyens un peu… spéciaux. Je ne puis
recommencer avec celle-ci.
Ce matin, n’en pouvant plus, je suis allé
chercher un peu de réconfort auprès de ma belle-fille. Si une personne peut
trouver une solution à ce problème, c’est elle
Je sais qu’elle ne supportera plus
longtemps, les brimades et les humiliations que lui inflige sa belle-mère. Elle
a d’ailleurs, certainement, du élaborer un plan.
Concernant, ma belle-fille, j’ai un aveu à
faire : je suis terriblement attirée par elle. Je veux dire, sexuellement.
Plus mes rapports avec ma femme se détériorent plus mon désir pour Calypso
devient brûlant.
La voir fouettée par une négresse met le
feu à mes sens.
Il est 10 h du matin. Elle vient à peine de
rentrer.
Sa belle-mère va de nouveau piquer une
crise, étant donné qu’elle exige qu’elle soit rentrée à minuit au plus tard.
Elle va sûrement la faire fouetter et l’enfermer dans sa chambre tous les soirs
à 7 h, pendant une semaine.
Calypso est légèrement ivre, ses vêtements
sont froissés, elle a même une tache de sang sur une manche de sa tunique de
soie transparente. Elle m’embrasse et me dit :
— Beau-papa, quelle bonne surprise.
— Je n’en peux plus ma chérie, je ne
supporte plus cette femme.
C’est certainement quelque chose qu’elle
attend avec impatience.
A bout de nerfs, je me mets à pleurer.
Calypso vient contre moi et met ses bras
autour de mon cou…
Elle a eu chaud, très chaud… Elle sent… la
nymphe qui a beaucoup couru dans les bois.
A travers, mes larmes, je lui dis :
— J’adore ton parfum
— Je n’en ai pas mis. C’est mon odeur
naturelle.
Elle lève un bras et met le creux de son
aisselle humide contre mon nez !
Aussitôt, je m’arrête de pleurer et… je me
mets à bander…
Elle me dit :
— Tu es décidé ?
Enivrée par son odeur, je bredouille :
— Oui, ma chérie… et pardon… de l’avoir
laissé…
Je veux dire, pardon d’avoir laissé ta
belle-mère te punir, mais les mots restent dans ma gorge, car elle enlève sa
légère tunique. Ses seins nus pointent agressivement vers moi.
Elle me la donne en disant :
— Allez, essuie tes larmes et mouche-toi.
Il est temps que tu te décides. Cette sorcière causera ta perte, si on ne
l’élimine pas.
Je mets mon nez dans son vêtement humide de
sueur comme un enfant peureux met le sien dans son « doudou » !
Elle enlève son léger pantalon. Elle n’est
plus vêtue que d’une minuscule culotte à motifs léopard d’un parfait mauvais
goût, mais extraordinairement érotique sur elle. Je me mets à geindre :
— Elle ne voudra jamais accepter de
divorcer et tu sais que son consentement va me coûter une fortune.
Elle me tourne le dos et enlève sa culotte
en se tortillant…
Les fesses de Calypso sont les plus belles
du monde. Elles luisent, laiteuses, dans la lumière du petit matin.
Elle me tend sa culotte... J’ai deux
« doudous » !
Puis, elle vient s’asseoir à califourchon
sur mes cuisses les deux bras autour de mon goût en disant :
— Je sais comment nous en débarrasser sans
dépenser un sou.
— Sérieux ?
— Oui. Et en plus, je te fais une
proposition : je te débarrasse de ta mégère et tu peux me baiser.
Mon rêve… Non, mes rêves !
L’odeur musquée et entêtante de sa sueur me
brouille l’esprit… Et puis, je me sens incapable de continuer à vivre avec
cette garce de Fenza et… je rêve de baiser ma belle-fille !
J’embrasse son épaule me rapprochant encore
de l’odeur de son aisselle
Elle dit :
— Je veux que tu me lègues tes biens et tes
titres. Tu avais quand même l’intention de la faire un jour.
Avec un chat dans la gorge, je
réponds :
— Et on baise…
— Oui…
Je vais enfin la baiser.
Elle sort un petit ordinateur d’un tiroir
et l’allume. Je vois le document concernant la cession de mes biens et titres à
ma belle-fille.
Sans réfléchir, je mets mon pouce sur le
premier emplacement, puis mon iris sur l’autre. Elle fait la même chose et
envoie le message.
Avant que je réalise bien ce que je viens
de faire, elle écarte les cuisses en disant :
— A genoux et montre-moi ce que tu sais
faire avec ta langue.
Je mets le nez dans sa chatte en jachère,
ses poils me chatouillent les narines. Je passe de l’odeur musquée de ses
aisselles à celle fortement marine de son sexe… Je suis au 7ème ciel.
Je reste là, à la… humer, elle me donne une
claque sur la tête en grognant :
— Qu’est-ce que tu attends ?
Je vais lécher la chatte en broussaille de
ma Calypso, enfin !
Bien sûr, c’était une chose que je ne fais
jamais avec mes esclaves. Qui irait lécher le cul ou la chatte d’une
esclave ? Il m’est cependant arriver de le faire à mes épouses et je lèche
ma belle-fille, comme une esclave lèche sa maîtresse.
Rapidement, elle me repousse, en
disant :
— Baise-moi beau-papa et fais-moi un
enfant.
Je suis saoulé par ses odeurs et enivré par
ses paroles.
Elle veut que je me couche sur elle dans la
position du missionnaire. Elle croise ses pieds sur mes reins, pour m’enfoncer
au plus profond d’elle.
De toutes mes forces, j’essaye de freiner
le tsunami de sperme qui se prépare… Impossible, je jouis trop rapidement en
elle…
Calypso, met rapidement sa main en conque
sur son sexe en disant :
— Je garde ton sperme en moi… Tu peux
rester, mais moi, je dors.
Je viens de réaliser mon fantasme :
lécher et baiser Calypso.
Et puis, elle saura me débarrasser de
Fenza, cette garce qui me pourrit la vie.
Évidemment, je lui ai légué ma fonction,
ainsi que tous mes biens… Enfin, une petite partie de mes biens. Elle a beau
avoir un QI énorme, elle ne saura jamais que j’ai dissimulé la plus grosse
partie.
Je la laisse dormir, mon sperme bien au
chaud dans le fond de sa vulve. Mes spermatozoïdes se battant comme des
barbares à qui sera le premier à violer son ovule !
Chapitre 2 - Calypso fouettée pour la
dernière fois.
Calypso.
Pour le moment, je fais profil bas, ce qui
n’est pas dans mon caractère.
Je suis dorénavant, la seule propriétaire
des biens et des titres de mon beau-père. Je n’aurais jamais imaginé que ce
serait aussi facile. Il a suffi que ce vieux cochon renifle mes aisselles et
que je lui montre mon cul, pour que j’en fasse ce que je veux. Quelle
moule !!
Je sais qu’il a mis une très grosse partie
de sa fortune dans une banque qu’il croit sûre, mais les biens de mon beau-père
sont désormais à moi et j’ai des amis qui vont très vite me renseigner. Pauvre
type, je vais l’enculer à sec !
Pour tout dire, ça m’a plu qu’il me baise
et qu’il jouisse en moi. J’aime les sports extrêmes et ceci en est un,
non ?? Il lèche pas mal d’ailleurs, je le garderai peut-être pour ça.
Mais, je n’ai pas envie qu’il passe son temps à baiser « mes
esclaves », aussi je l’équiperai d’un petit gadget, l’équivalent pour les
hommes d’une ceinture de chasteté. Il va être mignon avec ça… Pas très content,
mais mignon !
Maintenant, c’est le tour de ma chère
belle-mère de se faire enculer, mais elle ce sera à sec et au moyen d’un énorme
gode trempé dans du piment ! Ah, elle va griffer les mains de sa mère… la
salope !
Elle ne doit surtout pas savoir ce qui va
se passer… J’adore l’idée de lui faire la surprise
Il est impossible de faire confiance à une
esclave, elles sont éduquées à être veules et obéissantes. Celle qui me plait
le plus c’est Aicha ! C’est une blanche, bien sûr, mais elle a la peau
mate, ce qui fait qu’on lui a donné ce nom Africain. Le nom d’une esclave est
souvent insultant ou ridicule. Un jour je lui ai demandé si je pouvais lui
faire confiance, elle m’a répondu :
— Non, Maîtresse, si on m’interroge
énergiquement, je vous trahirai.
C’est une bonne réponse.
Ce soir, je suis dans ma chambre.
Punie ! Je suis rentrée à 9 du matin au lieu de minuit. Résultat ma
belle-mère va me faire fouetter et je devrai être au lit tous les jours à 19 h
30’ Mon Dieu que j’ai hâte de lui faire la petite farce que j’ai mise au
point !
Elle ignore que je suis à présent la
maîtresse des lieux, des biens et des titres de son époux…
Elle vient se distraire à mes dépends. Et,
elle est à l’heure, 19 h. Oui, c’est une maniaque de l’heure. Elle arrive dans
ma chambre avec une esclave en disant joyeusement
— C’est l’heure Calypso, on va te chauffer
les fesses.
L’esclave dépose près de mon lit, 2
tranches de pain sec et un verre d’eau, mon repas du soir !
Ma belle-mère me dit,
— Tu sais ce que tu as à faire.
— Oui, belle-maman, mais, si je suis
rentrée…
— Je m’en fous, minuit c’est minuit
— Oui, belle-maman…
Je remonte ma chemise de nuit blanche
jusqu’aux reins. La chemise de nuit, c’est son idée, bien sûr. Je mets
l’oreiller au milieu du lit et je me couche dessus de façon à ce que mes fesses
soient surélevées.
L’esclave a en main un court fouet à plusieurs
lanières, ça fait mal, même très mal, mais ça n’entame pas la peau.
« swwwitch », les lanières
s’abattent sur mes fesses.
— Aaîîîîeee ! 1, merci belle-maman.
C’est une fétichiste de la fessée, si je ne
compte pas et ne remercie pas, c’est un de plus… ma vengeance ne sera que plus
jouissive…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 2, merci belle-maman.
Elle dit à son esclave :
— Ne va pas trop vite, il faut qu’elle
apprécie, chaque coup !
— Oui, Maîtresse.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 3, merci belle-maman. Je
ferai attention.
— Je crois que tu aimes te faire fouetter.
— Non, je vous ju…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 4, merci belle-maman.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 5, merci belle-maman.
Elle pose la main sur mes fesses, en
disant :
— Elles ne sont pas encore à point !
— Oui, mais…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 6, merci belle-maman.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 7, merci belle-maman.
Elle s’adresse à son esclave :
— On avait dit combien ?
— Vous ne m’aviez pas dit, Maîtresse.
— Bon, je te dirai quand arrêter !
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 8, merci belle-maman. Je
serai sage !
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 9, merci belle-maman. Je
vous le jure.
—
Bien… C’est bien, j’aime te voir t’humilier Calypso. Plus qu’un, alors.
(grrrrrr !)
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 10, merci belle-maman.
Elle vient de nouveau tâter mes fesses en
disant :
— On pourrait faire cuire un œuf au plat
sur tes grosses fesses, Calypso.
— Oui, belle-maman.
Tu vas voir les tiennes de grosses fesses,
poufiasse, et dans pas longtemps !
L’esclave m’attache par la cheville à une
barre du lit.
Ma belle-mère, très femme du monde, me
dit :
— Bonne nuit sur le ventre, Calypso.
— Merci, bonne nuit à vous aussi,
belle-maman.
En pensée, j’ajoute « ce sera ta dernière
bonne nuit avant un bon moment. »
Mais, elle me réserve une dernière petite
gâterie,
— Ah, j’oubliais, embrasse la main de l’esclave
qui t’a fouettée et remercie-la. Elle s’appelle, Mouche Bleue.
L’esclave me tend sa main et je l’embrasse
en disant :
— Merci Mouche Bleu de m’avoir bien
fouettée.
Petit gloussement satisfait de la sorcière.
Une fois seule, j’essaye de manger un peu
de pain, mais il est tellement dur qu’il faudrait le faire tremper pour le
manger et comme je n’ai qu’un verre d’eau, je préfère boire.
La chaîne qui m’attache au lit, ne me
permet pas d’aller à la salle de bains. La première fois qu’elle m’a fait
fouetter et attacher pour la nuit, je lui ai dit :
— Et si je dois faire pipi,
belle-maman ?
— Tu serres les fesses !
Elle est jouette ! Enfin, plus pour
longtemps !
Chapitre 3 - Le plan machiavélique de
Calypso.
A 2 h du matin, Aicha entre dans ma
chambre, elle scie la chaîne au ras de l’anneau avec une scie a métaux.
Ensuite, on va chercher une esclave qu’on a
déposée devant la porte de la propriété. Elle ressemblait à Fenza avant que je
l’envoie dans la clinique du Professeur Di Martino, et maintenant, c’est Fenza.
Bien sûr, vous vous dites, impossible de
faire ce genre de substitution, à cause de la puce identitaire dissimulée en
nous. Exact… Mais, je fais partie du « Temple d’Athéna » qui regroupe
les QI les plus élevés du monde. Le grand Maître est aussi un membre de la
Triade du Dragon de Feu qui règne sur toute l’Asie pour le compte du
Consortium. Il a trouvé très amusant mon idée d’échange et m’a mise en contact
avec leurs spécialistes en bio-informatique. Là, on m’a fabriqué une copie
exacte de la puce de ma belle-mère. Elle est dissimilée, inactive, dans la
nouvelle esclave.
A trois, nous remontons dans la chambre de
Fenza
Elle dort profondément, Aicha lui a donné
un soporifique puissant. Son esclave dort par terre, à côté de son lit. Elle
dort ou elle fait semblant. Les esclaves ont souvent un 7ème sens leur
permettant de survivre.
Je fais une piqûre à Fenza pour l’endormir
pendant 24 h. Ensuite, je prends un petit appareil pour désactivé sa puce et
immédiatement après, j’active celle de l’esclave qui va prendre sa place.
La nouvelle esclave est devenue Fenza.
Voilà ! Le Contrôle Central ne peut
pas se rendre compte que la puce a cessé d’émettre pendant une fraction de
seconde.
On met Fenza dans une grande valise et on
descend dans le garage.
On l’installe dans le coffre et on part.
A suivre, ici :
A suivre, ici :
D****,... sacré histoire
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