lundi 31 octobre 2022

Maid in Japan - 12 - Troisième âge.

 

Le lendemain matin, une servante vient aboyer dans notre chambre :
— Debout ! Allez faire vos besoins. Je veux vous voir dans quinze minutes dans la cuisine, nues !
On murmure :
— Oui Mademoiselle.
Après s’être soulagées, on va vite s'apprêter et on descend déjeuner. Jill nous dit :
— Il faut s'incliner quand on croise une servante.
Ça me fait mal aux seins, mais je le fais. Les servantes sont ravies, bien sûr. On va déjeuner, debout dans un coin de la cuisine. Pourquoi tous ces changements ? C'est n'importe quoi. Itoe vient nous chercher pour nous conduire dans une des pièces du château. Madame Haroe est là, ainsi que... 12 hommes. Il ne s'agit pas de jeunes jardiniers ou de gardes comme Thanos, mais d'hommes beaucoup plus âgés. Le plus jeune doit être un septuagénaire et ils sont tous vraiment laids ! Ils nous regardent en souriant de toutes leurs dents ou de leurs mâchoires pour la plupart. Madame Haroe explique :
— On a demandé à des hommes dans la force de l'âge de servir de cobayes.
Ah non, ce ne sont pas des hommes dans la force de l'âge ! Ce n'est pas que j'ai un problème avec les hommes âgés, mais ceux-ci, ce sont des clochards certainement ramassés dans les bas-fonds de Tokyo. Madame Haroe poursuit :
— Satisfaire des jeunes, c'est facile, mais vous aurez souvent des clients plus âgés. Première étape, déshabillez-vous, ensuite déshabillez ces Messieurs. Exécution !
On enlève notre petite robe, ça, c'est facile : elles ne demandent qu'à s'envoler. Oh ! Madame Haroe se déshabille aussi. C'est une belle femme plantureuse. On commence à les déshabiller. Elle ajoute pour eux :
— Vous aurez des vêtements propres pour repartir.
Il y a encore d'autres bonnes nouvelles ! Madame Haroe nous explique :
— Celle qui ne fera pas le maximum testera un nouveau genre de punition, pas très agréable. Je n'étais pas pour...
Grand sourire qui dément ses paroles ! Elle poursuit :
— J'étais contre parce qu'une punition qui dure plusieurs heures, je trouve ça très dur. Alors, pour éviter ça, donnez-vous à fond Mesdemoiselles.
Je veux rentrer chez mes parents ! Ces clochards sont tombés dans les marais de l'éternelle puanteur ! Comme aucune de nous n'a envie de tester les nouvelles punitions, on déshabille toutes notre clochard. Quand ils sont nus, on a sous les yeux une superbe collection de cicatrices, varices, furoncles, tatouages faits sans doute en prison. Madame Haroe dit :
— Maintenant, sucez les bites de ces Messieurs.

 



Parfois, quand un pansement "colle" sur une blessure, la seule solution, c’est l'arracher d'un coup sec. C'est ce que je fais ! Les autres filles, aussi. En fait, on a été bien dressées. On a toutes en bouche un sexe aussi appétissant qu'un mulot mort depuis trois jours. C'est ce qu'elle voulait. Quand on les a sucés pendant plusieurs minutes, elle nous dit :
— Bien, maintenant tous au hammam. Prenez ces Messieurs par la main.
Oh merci Seigneur ! C'est comme du miel qui coule dans nos oreilles... Non, ça ne doit pas être agréable. On a toutes un grand sourire. On prend chacune un vieillard par la main. Espérons que la température ne soit pas trop élevée, sinon ils vont décéder !
Des ouvriers travaillent sans arrêt dans le château et on ignorait toutes qu'il y avait un sauna. Je vais être gentille : mon "client" m'a prise par la taille en plaquant une main sur mes fesses. Il dit une phrase que je ne comprends pas, ça doit être de l'argot de clochard. Madame Haroe lui dit :
— Parle-lui avec des mots simples comme à une enfant de quatre ans, ces Occidentales sont toutes demeurées.
Il y a surtout qu'on ne parle pas l'argot des clochards japonais ! Le vieux me dit :
— Tu as les plus belles fesses du monde.
Ça, c'est gentil. Je réponds :
— Merci, Monsieur, je suis ravie qu'elles vous plaisent.
Lui aussi a l'air ravi. Échange de propos très vieille France... Mais, vite qu'on arrive au sauna, l'odeur devient vraiment pénible.
On y est : c'est une grande pièce. Il fait chaud mais c'est supportable et il y a une forte odeur de plantes aromatiques qui couvrent les remugles du marais ! Il y a des bancs rembourrés pour s'asseoir chacune avec son clochard. On flirte. Une servante vient apporter un plateau avec deux bouteilles de saké et des verres. Elle nous dit :
— Servez ces messieurs.
Grrr ! Ce sont des servantes et nous... oui, enfin on râle qu'elles aient à nouveau l'ascendant sur nous. On murmure :
— Oui... m'selle.
Pas satisfaite, la servante insiste :
— Comment ?
— Oui, Mademoiselle.
Elle s'en va. On rêve de boire un peu de saké d'autant qu'on a un sale goût en bouche. Oh putain ! Mon clochard a fait cul sec. Je le ressers aussitôt, tout en lui faisant les yeux suppliants. Il me donne le fond de son verre. Mmmhh, c'est bon... Je pense qu'on arrive toutes à boire un peu de saké. Les vieux nous pelotent effrontément, ils nous prennent pour des putes ou quoi ? Ou alors... c'est ce qu'on est. Madame Haroe revient dans le sauna, toujours aussi nue. Elle demande :
— Est-ce que tout le monde est satisfait de la fille avec qui il est ?
Oui, heureusement ! Le saké les a rendus joyeux, ils répondent tous qu'on est très bien, qu'on est des super petites putes. Madame Haroe dit :
— Parfait... maintenant, suivez-moi, on va prendre une douche.
Mais pourquoi on n'a pas commencé par là, bordel !! Il y a une grande salle de douche. On lave notre clochard et ils nous lavent, sauf que nous, on est propres. Je lave soigneusement la bite du mien. On a dû lui donner un fortifiant, parce que même lui est étonné de bander aussi rapidement...
Après la douche, il y a une soufflerie qui nous sèche. Ensuite, on va dans une grande pièce avec des divans. On se couche. Mon clochard me dit à nouveau un truc incompréhensible. Madame Haroe traduit :
— Suce-le et ensuite, il veut t'enculer.
OK, je l'ai bien lavé, quel plaisir de sucer une bite propre... Dès qu'il me dit un truc, je me mets à genoux sur un divan et je tends mes fesses.



Il montre le sol du doigt. D'accord, je me mets comme il veut. C'est ce qu'il voulait. Il s'enfonce en moi en poussant des petits cris. Voilà, c'est tout...
Non, ce n'est pas tout. Il m'encule et en même temps, il me caresse la chatte... Hé oui, il est vieux, moche et sale mais... je m'appelle Boy-ra. Donc, après plusieurs minutes de va-et-vient dans mon cul et de pelotage de chatte, je jouis !



Je jouis le plus silencieusement possible, mais c'est à croire que Madame Haroe me surveillait, car elle crie :
— Et qui a joui ?? Boy-ra, comme hier ! Qu'est-ce qui est plus chaud qu'une chaudière ?
Une fille répond :
— Le feu, Madame.
Rires des hommes, mais aussi de mes amies. Je deviens aussi rouge qu'une pivoine. Elle poursuit :
— C'est vrai. On devrait changer son nom en Hi No Naka (en feu).
Je m'en fous, c'est même plus beau que Boy-ra. On a fini ? Apparemment oui, puisque Madame Haroe nous dit :
— Dites gentiment au revoir à votre partenaire... et toi, Boy-ra, n'en profite pas pour jouir de nouveau.
Rire général. Sachant que je suis honteuse et humiliée, Juana me glisse à l'oreille :
— Prends-le bien, tout le monde parle de toi...
Aah ? On embrasse notre clochard. Ils ont l'air ravis de l'aventure. On leur a fait du bien, c'est peut-être bon pour notre Karma. Madame Haroe nous dit :
— Dans l'ensemble, vous avez fait ce qu'il fallait. Je ne punirai personne...
Ouf !! Elle poursuit :
— ... mais nous allons quand même passer par le "hall of pain", pour que vous voyiez ce qui attend la fille qui ne me donnera pas satisfaction.
Le "hall of pain", c'est simplement l'entrée du château. Il y a six piloris qui se font face. Six filles y sont attachées. Leurs têtes et leurs mains sortent de trois trous dans une planche fixée verticalement. Les filles sont penchées en avant, le visage à hauteur de la bite d'un homme. De l'autre côté, leurs chevilles sont attachées aux montants et leurs fesses se trouvent à hauteur... de la même bite. Elles ont bien sûr été fouettées, on voit les marques sur leurs fesses et leurs cuisses. Elles ont du sperme sur le visage et le cul, et elles ont les yeux bandés. Un garde se fait sucer tandis qu'un des cuistots encule une autre fille. Les hommes s'arrêtent, mais Madame Haroe leur dit :
— Faites comme si on n’était pas là.
Elle poursuit à notre attention :
— Ce sont des esclaves qui n'ont pas donné satisfaction, mais il y a aussi une servante... C’est laquelle d’entre vous ?
Une fille avec du sperme sur le visage répond :
— Moi, Madame.
— Comment tu trouves ?
— Très pénible, Madame
— J'imagine... Tu es là pour combien de temps ?
— Dix heures, Madame.
Putain ! C'est long. Madame Haroe poursuit :
— Alors, les filles, il ne faut pas qu'un de vos clients se plaigne, sinon vous allez vous retrouver ici, bouchées de part en part.
Elle rit, nous pas.
***
À 15 heures, on est toutes à l'entrée du château pour accueillir les nouveaux arrivants.
Quand ils arrivent près de nous, un courant d'air venant d'une soufflerie dans le sol se met en marche et nos jupes s'envolent, dévoilant nos appâts. Ils aiment. On doit leur dire toutes ensemble « Bienvenue au Palais des 1 000 délices, chers visiteurs, nous ferons tout pour vous satisfaire... »
Surtout pour ne pas se retrouver immobilisées dans cette saloperie de pilori. Les clients disent un nom et aussitôt, la fille désignée doit se plier en deux et leur dire un truc du genre : « Je vous remercie de m'avoir choisie, Messieurs. »
Un groupe d'hommes qui ont l'air d'employés de bureau arrive. Celui qui est devant dit :
— Boy-ra...
Oh putain ! Ils sont bien une dizaine. Je me plie en deux en disant :
— Ravie d'être votre hôtesse, Messieurs.
Ils ont l'air de petits fonctionnaires teigneux, le genre à vous dire "Manque le formulaire 66 HD ! De toute façon, il est 16 h, c'est terminé pour aujourd'hui. Revenez demain !"
Ils m'entourent... pas pour une question de formulaire, mais pour me peloter et s'extasier sur mes fesses. J'ai l'impression d'être une gazelle entourée d'une bande d'hyènes. Il y en a même un qui m'enfonce son pouce dans le cul. Ça commence fort ! Une servante vient leur dire :
— Si voulez bien me suivre, le saké vous attend.
Ça, c'est la formule magique. Aussitôt, on suit la servante jusque dans une petite pièce où il y a une table et des chaises, quatre bouteilles de saké et des verres. Il y a aussi une sorte de piscine ou de cercueil en plastique ! C'est quoi ça ??
Les hommes ont l'air ravis à l'idée de bientôt s'envoyer le saké et mon cul ! Ils commencent malgré tout par le saké, deux hommes remplissent les verres. Ils boivent. Je regarde celui qui doit être le chef, en tout cas, c'est le plus gros. Il interprète correctement mon regard suppliant en me disant :
— Sois obéissante et tu boiras aussi.
— Merci beaucoup, Monsieur.
Il regarde les autres en disant :
— Mes chers collègues, mettons-nous à l'aise.
Sur ce, il enlève son pantalon et son caleçon. Les autres font la même chose. Il me dit :
— Tu vas filer sous la table et nous sucer jusqu'à ce qu'on te dise « Stop ». À ce moment, tu t'arrêtes immédiatement. Commence avec moi.
— Bien Monsieur.
Je me glisse sous la table et entre ses grosses cuisses. Je me retrouve face à des couilles énormes et un petit sexe et non, il n'est pas mignon ! Dommage qu'ils ne soient pas tombés dans la rivière en arrivant, un bain leur aurait fait du bien. Pense aux piloris, Cécile. Oui, Cécile est mon vrai prénom. Il sent fort la transpiration... Je prends le petit sexe en main, tire sur la peau pour découvrir le gland et le mets en bouche. Sur ma langue, il grandit un peu, pas beaucoup...
Au-dessus de moi, ils boivent, discutent, rient... Je caresse ses couilles et fais passer son petit sexe d'un côté à l'autre de ma bouche. Ah ! Monsieur apprécie... et bientôt, il me dit :
— Stop !
Je sors de ma tanière. Quand je suis debout, il me donne un verre de saké à moitié rempli. Je m'incline en disant :
— Merci beaucoup, Monsieur.
Je bois, les gars applaudissent, le chef dit :
— Va sucer mon voisin.
Je retourne dans mon terrier et je me glisse entre les maigres cuisses du suivant. Il n'est pas chef, donc il n'est pas gros, mais lui, il a une fameuse bite... Je le suce jusqu'à ce qu'il me dise aussi :
— Stop !
Vite, je retrouve l'air libre et quelques gorgées de saké. J'adore l'idée de l'alcool qui me désinfecte la bouche. Suivant ! Une bite en bouche, je les entends parler de plus en plus fort et rugir de rire. Quand ils se lâchent, les Nippons font ça très bien. La ronde continue : bite, saké, bite, saké... Je finis par voir deux bites ! Heureusement, j'arrive enfin au bout de la ronde des bites. Je me relève, mais le chef – au lieu de me donner "mon" saké, j'y ai droit ! – me dit :
— Va te coucher dans cette petite piscine, sur le dos, on va te doucher. Tu as assez bu de saké, il faut que tu apprécies le cadeau qu'on va te faire.
Pour le saké, il a raison, parce que bientôt, je ne vais plus sucer droit ! Par contre, ce qu'il dit fait rire les autres, j'aime pas trop ça. Quand je suis couchée, le chef vient se mettre au-dessus de mon visage, un autre homme à l’aplomb de mes pieds et les huit restants de chaque côté de moi. Le chef me dit :
— Nous te faisons l'honneur de te faire découvrir une spécialité du Japon : le "bukkake". Cela renforce les liens entre collègues...

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.


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dimanche 30 octobre 2022

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jeudi 27 octobre 2022

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lundi 24 octobre 2022

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J’ai l’impression que ma nouvelle robe ne cache pas grand chose...

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samedi 22 octobre 2022

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vendredi 21 octobre 2022

En service...

 


Demain, je vais faire le service pour une réception chez des gens riches. Pourvu que je ne casse rien 😳

***
J'oublie quelque chose... Ah oui, j'écris des livres. 13 jusqu'à présent, si jamais ça vous intéresse je vous donnerai tous les renseignements.

jeudi 20 octobre 2022

ppppffff (soupir)

 


Ce n'est pas très esthétique comme position, mais ma chatte voulait se montrer.

Ici, je devrais vous parler de mes livres, mais... je suis en mode « à quoi bon... »

mercredi 19 octobre 2022

Bruce



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mardi 18 octobre 2022

Maid in Japan - 11 Un amoureux

On prend plusieurs couloirs jusqu'à la salle où se trouvent les gardes. Jill toque à la porte, un garde vient ouvrir. On s'incline toutes. Il nous dit :
— Quelle charmante visite.
Jill répond :
— Madame Hanaé nous a dit que...
La voix de Jack Palance retentit :
— Entrez, les filles !
Aïe ! Il est le chef des gardes et c'est lui qu'on craint le plus. On entre et on se met toutes les douze à genoux, puis le nez sur le sol. Nos robes s'envolent et on se retrouve les fesses à l'air. Il nous dit :
— Relevez-vous et montrez-vous.
On se redresse et c'est Jill qui comprend ce qu'il veut. Elle tourne sur elle même en faisant voler sa robe légère. On l'imite toutes. Les gardes rient et nous applaudissent. Même Jack aurait bien comme un sourire de deux centimètres. Un des gardes lui demande :
— On peut les baiser, chef ?
— Bientôt.
Je prends la main de Juana et je me console un tout petit peu en pensant "Ils ne nous abîmeront pas". Jack continue de sa sale voix de psychopathe :
— Tao, montre-leur comment aller discrètement dans le jardin.
— Oui chef. Suivez-moi les filles.
Il nous conduit devant une toute petite porte en fer. Quand il l'ouvre, on se rend compte qu'on est sur un des côtés du château. Vingt mètres plus bas, il y a la rivière. Une passerelle fait le tour du château. Je crois qu'on appelle ça aussi "un pont de singe". Le garde nous dit :
— Suivez la passerelle vers la droite.
Un pont de singe, c'est une suite de lattes les une derrière les autres maintenues par des cordes. Il y a du vent et la passerelle se balance.
 


 

Mon vagin s'est tellement contracté qu'un mulot ne pourrait pas me baiser... Je gémis :
— J'ai le vertige !
— Moi aussi.
C'est l'Italienne qui a répondu ça. Le garde nous demande :
— Vous voulez vous plaindre à Maître Seiba ?
Aussitôt, je m'engage sur la passerelle. Je vois le vide entre les lattes. Jill nous donne quelques conseils :
— Ne regardez pas en bas, marchez lentement et regardez la nuque de la fille qui est devant vous. Si vous tombez, ce sera dans l'eau et il y a du fond.
Je fixe la nuque de la fille des Philippines et on avance, moi en tremblant. Nos robes volent tellement qu'on les a par moment devant le visage. On arrive enfin à l'arrière du château. Là, il y a une échelle de corde de dix mètres, au moins ! Jill nous dit :
— Ayez toujours une main sur un barreau et vous ne risquez rien.
On entend des voix en bas, des hommes disent :
— Ouah, les filles, quel spectacle !
Ça doit être des jardiniers qui ont entendu nos gémissements. Ils nous encouragent. C'est inutile, la seule chose que je veux, c'est le sol sous mes pieds. Enfin, je touche la terre. Je me précipite aussitôt derrière un arbuste pour faire pipi de trouille. Je dis aux hommes :
— Pardon, mais j'ai eu trop peur.
Il y a une demi-douzaine de jeunes gens et deux hommes plus âgés. Tous des jardiniers, je pense. Un des hommes d'une cinquantaine d’années nous dit :
— Qu'est-ce que vous venez faire ici, les filles ?
C'est bien sûr Jill qui répond :
— Madame Hanaé nous a dit qu'on pouvait se promener un peu et on a prévenu Maître Seiba.
Un des jeunes demande aux hommes plus âgés :
— On peut leur montrer le parc, chef ?
L’un des deux répond :
— D'accord, on a bien avancé, vous avez une heure.
Les jeunes le remercient chaleureusement. L'homme ajoute :
— Vous pouvez les baiser, elles sont là pour ça, mais il ne faut pas qu'elles salissent leurs robes. Laissez-les ici, les filles.
On se déshabille et on met les robes l'une sur l'autre, elles sont toutes de la même taille. Il y a un jeune garde dans le jardin, il me dit :
— Viens, ma belle pisseuse, je vais te montrer le parc.
Je regarde Jill qui me dit :
— On t'invite, Boy-ra, vas-y.
Oui, tout le monde m'appelle comme ça, même les filles du groupe. On est obligées de le faire, mais ça me ferait plaisir que quelqu'un se souvienne encore de mon prénom...
Les couples se forment. Les deux chefs prennent chacun deux filles. Le jeune garde me prend la main et on s'engage dans un sentier qui serpente entre des massifs de pivoines rouges et blanches. C'est un jeune homme séduisant. Il me dit les noms des plantes à fleurs : azalées, glycines, indigotiers... L'air embaume... Il voit mon tatouage sur le cou et me dit :
— C'est mignon, Boy-ra.
— Un peu honteux, non ?
— Pas du tout, imagine qu'on t'ait baptisée Aisukyūbu (glaçon) !
J'éclate de rire et ça fait des siècles que je n'ai pas ri. Il me dit :
— Moi, c'est Fujio, ma mère est Japonaise et mon père Grec. Je fais des missions pour le Prince.
Je ne demande pas quel genre de mission. Il me prend par la taille, il est gentil et ça fait des siècles qu'un garçon ne l'a plus été avec moi... Je me laisse aller contre lui et en vraie Boy-ra, j'approche mon visage du sien jusqu'à ce qu'il m'embrasse. Sa langue explore ma bouche avec délicatesse, et vous devinez quoi au sujet de la délicatesse, ça fait des siècles... On échange nos salives, et nos ADN. Je mouille... normal, puisque je ne m'appelle pas Glaçon.
Entre deux baisers, on parle un peu. Je lui demande :
— On ne blesse jamais les filles quand on les punit ?
— Jamais ! Ce serait grave pour celui qui le ferait.
Bisous... J'ajoute :
— Tu sais, j'ai fait pipi en arrivant, tellement j'ai eu peur sur le pont de singes : j'ai le vertige.
— Il y a une autre façon d'entrer dans le château. Je te montrerai. En attendant...
Il se déshabille et se couche sur le dos en disant :
— Viens te coucher sur moi, ta chatte du côté de ma figure.
Je me couche, la chatte sur sa bouche. Son sexe se dresse devant mon visage... Il a un bel engin et il est costaud, c'est mon genre d'homme. Je dégage le gland et je le lèche à petits coups de langue, tandis que la sienne explore ma chatte.

 



 

C'est très, très agréable. Une des rares choses agréables qui me soit arrivée depuis que je suis au Japon. Il doit apprécier aussi et en plus il ne veut pas jouir dans ma bouche, car rapidement, il me dit :
— Mets-toi à quatre pattes, petite.
Dès que c'est fait, il se met à genoux derrière moi et il caresse ma fente mouillée avec son gland. Allez, vas-y ! Je donne un petit coup de reins, son gland me pénètre un tout petit peu. Il me prend par les hanches et il s'enfonce en moi d'un grand coup de reins... Mmmmhh... ça fait du bien. Son sexe explore des recoins de mon vagin quasiment vierges. Je gémis, mais de plaisir, aujourd'hui.
Je sais qu'il va bientôt jouir à l'intérieur de moi. Bien sûr, on doit toutes avoir une contraception, mais j'imagine son sperme inondant mon vagin. Les spermatozoïdes les plus hardis passant le col de ma matrice, comme Hannibal sur son éléphant, ceux des Alpes. Et puis le champion des spermatozoïdes donne un coup de pioche dans mon ovule et "welcome stranger", il le pénètre. J'ai beaucoup d'imagination quand on me baise... Je me sens que je vais jouir. D'ailleurs je ne suis pas la seule, car le sexe de Fujio grossit en moi. Il m'envoie des saccades de petits alpinistes. Je suis hors contrôle là et je miaule :
— Oh oui, c'est boooonn...
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes, sauf qu'une des filles qui s'est fait baiser sur la même pelouse que nous me dit :
— On attendait que tu aies joui, il faut y aller
Je vais à nouveau me faire charrier... Fujio se rhabille. Je vais vite derrière une plante pour expulser les petits spermatozoïdes qui n'ont pas survécu. Pauvres bêtes ! Il vaut mieux que ça ne coule pas le long de mes jambes dans la salle à manger.
On retourne près des autres. Il me prend par la taille et je lui dis :
— C'était très bon, Monsieur.
— Tu peux m’appeler Fujio. Pour moi aussi, tu es une très belle petite geisha.
Dit comme ça, c'est mignon. De nouveau des bisous. Hélas, notre idylle parmi les fleurs parfumées prend fin. Toutes les filles sont là, à part deux d'entre elles qui reviennent avec un amoureux, comme moi. Le bruit se répand tout de suite : Boy-ra a de nouveau pris son pied ! Pour faire diversion, je confie à Jill :
— Il y a une autre façon de retourner dans le château.
— Tu sais où ?
Mon amoureux nous montre une petite porte à l'arrière du château... Il m’annonce :
— Je pars demain, mais quand je reviendrai de mission, on passera la soirée ensemble.
— Avec plaisir... Fujio.
Un dernier baiser, sa main sur mes fesses pour des caresses, pas des claques, et on file toutes par la petite porte jusqu'à un couloir. On va où maintenant ? C'est Hari l'Indienne qui nous dit :
— Suivez-moi.
Elle sait ! Shiva lui a-t-il montré la voie ? On arrive à la porte de la salle à manger à 8h30. Itoe arrive et nous demande :
— Vous êtes revenue par une porte latérale ?
Jill répond :
— Oui Mademoiselle, pour ne pas salir nos robes, il y a de la graisse sur le pont de singes.
Heureusement, elle la croit et ne nous engueule pas. Elle nous dit :
— Les demoiselles Thaïs sont déjà là. Vous commencerez par les saluer et puis toi...
Elle regarde Jill en continuant :
— Quand l'une d'elles vous regardera, tu diras : « C'est un grand honneur de pouvoir aller dans la salle à manger et, toutes, nous vous remercions ».
— Bien Mademoiselle. On doit se mettre à genoux pour les saluer ?
— Non, inclinez-vous.
Avant d'entrer dans la salle à manger, Jill nous dit :
— On se met sur deux rangées et on s'incline, on compte jusqu'à trois et on se redresse ensemble. Ensuite, c'est moi qui parlerai. On y va.
On entre derrière Jill, je serre les fesses, les autres filles aussi sans doute. On a toutes des souvenirs cuisants du fouet dans cette salle. Tout se passe comme prévu, quand enfin, une Thaïe nous remarque. Jill récite son petit compliment.
Les deux Thaïes sont en compagnie de plusieurs Japonais et d'un couple d'Occidentaux. Thaï 1 nous dit :
— Voletez.
Quoi ?? C'est à nouveau Jill qui comprend, c'est dingue. Elle tourne sur elle-même, les bras levés, faisant voler sa robe légère jusqu'aux aisselles. Les convives apprécient... Après quelques tours, Thaïe 1 nous dit :
— Allez vous asseoir.
On salue toutes et on va s'installer à la seule table de 12 de cette salle. Des servantes en uniforme noir viennent nous apporter une entrée. Ce sont des Takoyaki, des petits beignets de crevettes, très bons. Ensuite, on nous apporte des Katsudon, du riz avec de fines côtelettes de porc frit. Enfin, on mange des Kasutera comme dessert, une pâtisserie à base de miel. On reçoit même du Koshu, un vin des alentours du mont Fuji. C'est réveillon ! On parle tout bas entre nous, car Jill nous a prévenues :
— On doit être discrètes, les filles.
Des couples se sont formés dans notre groupe : sur les 12 filles, il y a 4 couples. C'est beaucoup, mais ça ne veut pas dire qu'on est toutes les 8 des lesbiennes. Simplement, on a besoin d'amour pour supporter ce qu'on vit ici. Pas ce soir bien sûr, mais ici, les choses peuvent vite changer.
 Juana et moi formons un couple, on se rassure, on se fait des confidences... J'aime son odeur, elle aime m'embrasser. On reste à notre table, toutes un peu éméchées, et on continue de murmurer. Quand des servantes viennent reculer les chaises des Thaïes parce qu'elles quittent la salle à manger, Jill nous murmure :
— Dès qu'elles sont debout, on se lève et on salue.
Elles ne font pas attention à nous, mais c'est ce qu'il fallait faire. On a passé la meilleure soirée depuis que je suis au Japon.
J'ai remarqué que les servantes étaient beaucoup moins stylées avec nous qu'avec les autres convives. Rien ne se passe par hasard, ici. On ne doit pas être beaucoup plus haut qu'elles dans la hiérarchie du Palais. Ça se confirme, quand une servante vient nous annoncer :
— Au lit, les filles.
Moi, personnellement, je m'en fous, mais la Coréenne lui dit :
— Tu n'es pas très respectueuse avec nous.
— Notre chef va vous expliquer.
La fille quitte la pièce. Jill fait remarquer à la Coréenne :
— T'as pris des risques.
— Autant savoir quelle est notre place exacte.
Itoe arrive vers nous et demande :
— Il y a des problèmes, les filles ?
Lâchement, on laisse Jill rattraper la situation. Elle répond :
— Non Mademoiselle, on se demandait juste quelle était notre place par rapport aux servantes.
— Pas de problème... Tout se met en place pour le moment et les demoiselles Thaïs ont décidé que vous deviez obéir aux servantes car ce sont des Japonaises. Maintenant, allez vous coucher.
Obéir aux servantes ! Nous sommes à nouveau des esclaves... Non, on a pu se promener, flirter, manger des choses délicieuses. Notre situation s'améliore malgré tout.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.

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Bruce Morgan et Mia vous proposent «Ashley et les esclaves » 319 pages,
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To my English-speaking friends

 


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lundi 17 octobre 2022

Bruce


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dimanche 16 octobre 2022

Une voisine qui ose....

 


Oh ! La voisine est toute nue sur son balcon.

Elle ose, quand même !
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samedi 15 octobre 2022

Bruce


 

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vendredi 14 octobre 2022

Un inédit de Bruce.

 


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jeudi 13 octobre 2022

Bruce


 

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mercredi 12 octobre 2022

7ème ciel.

 Ah non, je ne suis pas au 7ème ciel, mais au 7ème étage.



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Prévenez-moi pour une surprise.

mardi 11 octobre 2022

lundi 10 octobre 2022

Montures...


 

Changement de tenue et changement de monture.

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dimanche 9 octobre 2022

Maid in Japan- 10 Transformées

 

Itoe demande aux Thaïs :
— Ici ou en cuisine, Mesdemoiselles ?
— Ici.
C'est Juana, la métisse, ma préférée. Mais pourquoi, elle n'a pas écrasé ? Itoe lui dit :
— Je te laisse le choix, c'est moi qui te fouette ou Maître Seiba.
Là elle fit ce qu'il faut : elle se met à genoux et joint les mains en disant :
— Vous, Mademoiselle, s'il vous plaît...
Itoe prend une chaise d'une table inoccupée et lui dit :
— Couche-toi là-dessus.
Quand c'est fait, elle relève la jupe d'uniforme. Comme nous, Juana n'a pas de sous-vêtement. Elle a de belles fesses bombées, c'est la seule qui n'a pas bénéficié d'une "augmentation", ce n'était pas nécessaire. On a toutes des fesses qui ressemblent aux siennes. Itoe lève sa baguette en disant :
— Tu comptes.
Elle fait siffler la baguette en l'air, mais sans frapper. Juana crispe ses fesses. La baguette siffle et le bois souple vient mordre les fesses de Juana... Une marque rouge apparaît d’une hanche à l’autre.
— Aaaaïïïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
C’est ce qu'on doit dire quand on est frappées... Itoe attend quelques secondes, pour qu’on apprécie bien la douleur.
— Aaaaïïïïeee ! Deux, merci Mademoiselle.
La baguette a frappé la base de ses fesses, Juana a fait un petit bond en avant sur la chaise. Elle a droit à un sec :
— En position !
— Aaaaïïïïeee ! Trois, merci Mademoiselle.
Sur le haut de ses fesses... Juana s’aplatit un peu mais reprend tout de suite "la position".
— Aaaaïïïïeee ! Quatre, merci Mademoiselle.
C’est le haut des cuisses. Juana se met à pleurer. Mademoiselle Itoe frappe nettement plus fort que lorsqu'elle s’en prend à nos mollets ou à nos cuisses. Elle ne blesse pas mais je vois quand même que les marques apparaissent un peu en relief.
— Aaaaïïïïeee ! Cinq, merci Mademoiselle.
Celui-là, c’est sur les mollets...
— Aaaaïïïïeee ! Six, merci Mademoiselle.
— AAAÏÏÏÏEEEEEE ! Sept, merciiii Mademoiselle.
— AAAÏÏÏÏEEEEEE ! ! Merci Mademoiselle.

  


À nouveau, les cuisses.
— AAAÏÏÏÏEEEEEE ! Neuf, merci Mademoiselle.
Là, Itoe a frappé sur une marque déjà existante.
— AAAÏÏÏÏEEEEEE ! Dix, merci Mademoiselle.
Itoe pose la main sur les fesses qu'elle vient de fouetter en demandant :
— Ça fait mal ?
— Ouiiiii Mademoiselle.
— Tu vas encore être insolente ??
— Non, non ! Je vous jure Mademoiselle !
Itoe lui caresse les fesses. Elle lui demande :
— Tu connais la suite ?
— Oui Mademoiselle.
Juana se relève péniblement et va se mettre à genoux près de la femme qui l'a fait fouetter. La femme la laisse pendant un moment sans s'occuper d'elle, puis elle lui demande :
— Tu as quelque chose à me dire ?
— Pardon pour mon insolence Madame. Ça n’arrivera plus. Et merci de m’avoir donné cette leçon.
La femme répond :
— C’est bien. Reprends ton service.
Les yeux et les fesses rouges, Juana recommence à servir la dame et ses amies.
La pauvre... même si elle a fait la conne. Au passage, je lui serre la main pour la réconforter. Quand tout le monde a quitté le restaurant, on doit tout mettre en place pour le soir. On doit aussi servir des boissons dans les chambres et sur la grande terrasse.
Tout se met en place dans le château, on voit arriver une vingtaine d'esclaves nues, qui n'ont pas la marque du Prince sur les fesses ni le tatouage dans le cou. À l'odeur, je dirais qu'elles viennent de la ferme. Je reconnais aussi la signature des jeunes sur leurs jambes et leurs fesses. Il y a un nouveau chef des esclaves qui leur dit ce qu'elles ont à faire.
***
Au soir du sixième jour, je m'approche de la table des Thaïs et une jolie Japonaise crie :
— Aïe ! Vous venez de m'écraser le pied !
C'est absolument faux, mais je me plie en deux en disant :
— Mille fois pardon, Madame, je...
Elle crie à Itoe :
— Vous ! Fouettez cette fille !
— Certainement, Mademoiselle.
C'est vraiment injuste, mais qu'est-ce qui n'est pas injuste ici ? Itoe va chercher un fouet à trois lanières. Elle me montre une chaise. Je remonte ma jupe d'uniforme et je me couche sur cette chaise, comme l’une de nous doit le faire à  chaque repas. Ça fait un moment que je n'ai pas été fouettée et je connais le tarif, c'est 10 coups de badine ou de fouet. La garce qui a menti dit à Itoe : 
— Je m'appelle Mademoiselle Kagerou.
Itoe me donne une claque sur les fesses en disant :
— Tu as compris Boy-ra ?
— Oui Mademoiselle.
Le fouet siffle, j'essaye de rentrer dans la chaise. Il claque sur mes fesses. Je crie :
— Aaaïïïee... Un, merci Mademoiselle Kagerou.
Des invités rient bêtement !
Neuf fois, les lanières du fouet claquent encore sur mes fesses et je remercie la garce de salope de menteuse de...
— Aïïïeeee. Dix, merci Mademoiselle Kagerou.
Mon cul et le haut de mes cuisses sont en feu. Je vais me mettre à genoux près de cette sale garce. Elle fait signe d'approcher encore plus. Arrivée à côté d'elle, je lui dis :
— Merci pour la punition mademoiselle je l'ai méritée et je...
Elle interrompt mon stupide petit compliment et elle me souffle son haleine de saké dans la figure en disant :
— On sait toutes les deux que tu ne m'as jamais marché sur le pied, hein ?
— ... Euh, je... j'ai cru que... sans m'en rendre compte, je....
— Ne mens pas.
— Je... crois que vous aviez envie de me faire souffrir, Mademoiselle.
— Donc tu as menti !
— On nous a enseigné à dire ce qu'on souhaite que nous disions, Mademoiselle.
— Pas mal répondu Boy-ra.
— Merci Mademoiselle.
— Mets-toi debout.
Je me relève. Elle passe la main sous ma jupe et caresse mes fesses en demandant :
— Tu crois que c'est suffisant comme fessée ?
— Je ne sais pas Mademoiselle, c'est vous qui décidez. Si vous pensez que ce n'est pas suffisant, je me remettrai aussitôt en position.
La fille dit aux Thaïs :
— Intéressant.
Thaï n° 2 répond :
— Tu vois, je te l'avais dit, l'Américaine et elle ne sont pas connes.
— Oui, on va envisager différentes choses pour elle.
Je ne comprends rien à ce qu'elles racontent, j'attends les yeux baissés, jusqu'à ce qu'on me dise :
— Reprend ton service Boy-ra.
— Merci Mademoiselle.
C'est au tour de Juana de me serrer le bras au passage.
L'après-midi, on a diverses corvées à effectuer, mais rien à voir avec les travaux durs que font une nuée d'esclaves. Ce sont des filles de races diverses, mais il n'y a pas de Japonaises...
Après avoir servi le repas du soir, on va manger dans la grande cuisine. Un garde explique à Jill, notre chef, où se trouve notre nouvelle chambre.
Oh ! On a des lits, étroits, certes, mais ce n'est plus des matelas posés par terre. Juana et moi on dort dans le même lit. C'est à son tour de me consoler, j'ai toujours mal aux fesses et aux cuisses...
***
Le lendemain, nos uniformes ont disparu. Une fille donne l’explication :
— Des esclaves sont venues les chercher ce matin très tôt.
On va déjeuner, nues... Comme je m'étais déjà habituée à l'uniforme, je suis gênée d'être toute nue en public. Après le petit déjeuner, un garde nous dit :
— Allez attendre dans le grand hall. On viendra vous chercher.
Il y a des nouvelles servantes pour servir les invités... On attend une dizaine de minutes en se demandant à quelle sauce on va être mangées. Une Japonaise en kimono blanc sort d'un ascenseur, accompagnée de deux filles plus jeunes.
Elle vient devant nous, on s'incline toutes à 45°, mais elle désigne le sol de l'index. On s'agenouille puis on met le nez sur le sol. Elle nous dit :
— Bonjour Mesdemoiselles, relevez-vous.
On se redresse, mais en restant à genoux. Elle ajoute :
— Je suis Madame Hanaé. Je vais vous transformer en filles appétissantes, mais d'abord...
 Elle plisse le nez...
— Il va falloir vous laver, d'urgence
On ne demande pas mieux, parce qu'en tant que servantes, on n'avait droit qu'à une douche par semaine. Il paraît que c'était comme ça en Angleterre au 19e siècle et encore, elles devaient se laver dans une grande bassine. J'ai vu ça dans un vieux feuilleton.
Il y a plein de nouveautés, comme une petite salle avec six douches. On se lave soigneusement, partout, partout. On doit se frotter la plante des pieds avec une brosse dure. On se lave les cheveux aussi. L'ensemble fait un peu colonie de vacances. D'accord, dans les vraies colonies de vacances, on n'est pas fouetté.
 

Quand on est propres et essuyées avec des grandes serviettes, on va dans une autre pièce, qui porte un écriteau "soins du corps". Il y a des lits comme dans un salon de massage et des fauteuils coiffeurs devant des miroirs.
 Madame Hanaé et ses deux assistantes nous font coucher sur les lits pour nous épiler entièrement. Elles nous laissent juste, les cheveux, les cils et les sourcils. On pousse quelques cris, surtout les brunes dont les poils ont de longues racines... Ensuite, on s'assied dans les fauteuils et les filles nous font des manucures et des pédicures. Quel bonheur, on s'occupe de nous pour nous embellir, pas pour nous punir. Pour terminer, on est coiffées et maquillées. Les filles nous mettent un peu de parfum, sous les seins et dans les plis du coude. Je reconnais l'odeur, c’est celle des fleurs de lotus.
On ne se reconnaît plus, de souillons, on est devenues des pin up ! D'autant plus que des filles nous apportent des robes. Mais je n'irais quand même pas prendre le thé habillée comme ça chez le roi d'Angleterre. D'abord parce que je n'ai aucune envie de le rencontrer, ensuite parce que ce sont des robes avec lesquelles on est plus nues que nues ! Elles ont l'air décentes, mais elles sont complètement transparentes. Le tissu léger est clair, parsemé des grandes fleurs rose pâle. Une autre caractéristique, c'est qu'elles s'envolent au moindre souffle d'air.
Vous imaginez la tête du roi d'Angleterre, si j'allais prendre le thé dans cette tenue ? Par contre, son frère serait peut-être d'accord...
Madame Hanaé vient nous examiner. Elle nous renifle un peu et examine nos mains et nos pieds, avant de nous dire :
— Demain matin, on parlera de sexe et l'après-midi, vous accueillerez les visiteurs et vous ferez tout ce qu'ils souhaitent.
OK, on remplace les geishas. Elle ajoute :
— Maintenant que vous êtes propres, vous pouvez aller dans la salle à manger. Soyez toutes là à 8 heures. Vous commencerez par saluer les demoiselles émissaires du Prince.
Alors là, on est sur le cul qui est tout propre et même parfumé ! Jill lui demande :
— Madame, s'il vous plaît...
— Oui ?
— En attendant, il y a un endroit où on peut aller ?
— Faites un tour dans le parc. Mais prévenez d'abord les gardes.
Elle quitte la pièce. Nous, on est ravies d'avoir un peu de liberté même si on a toujours la trouille d’avoir affaire aux gardes.
 

  Il y a des gens classes, comme je pensais. Il y a aussi deux actrices que je reconnais... et puis des esclaves pas maquillées et avec les cheveux tirés. On va s'asseoir dans un divan... Une servante vient aussitôt me proposer du champagne. Tandis que je bois avec classe, mon pote John me dit :
— J'ai pensé que tu aimerais assister à la punition de ces filles...
— Oh oui... m'sieur... euh... John. Ce sont des esclaves qui ont fait une bêtise ?
— Non, pas du tout. Ce sont des étudiantes en droit qui ont fait un site qui me dérange beaucoup. Alors, on va les punir un peu. Celles qui vont faire amende honorable en seront quittes pour avoir passé un moment un peu désagréable, celles qui persisteront dans leurs erreurs seront vendues comme esclaves à Djibouti ou à Shanghai... quelque part loin !
— Super idée...
Je vous rappelle que ces filles attaquent les États-Unis à travers notre Président... Il ajoute :
— On les fait mariner un peu. La peur de la punition à venir est déjà une punition.
Quel homme raffiné... C'est un peu cruel, mais ces filles l'ont cherché... Je réponds :
— Elles n'ont que ce qu'elles méritent.
— Viens, je voudrais te parler en privé...
Oui, mais moi, je voudrais voir les filles fouettées... mais bon, qu'elles attendent... On va au 3e et dernier étage de l'hôtel. Je me doute qu'il en veut à ma vertu... Mais tirer un coup, je ne dis jamais non, surtout au Président...
Je me déshabille. Quand je suis nue, je le regarde... Il est toujours habillé... Et alors, on fait quoi ? Il me dit :
— J'aimerais te voir avec un homme... Tu serais d'accord ?
— Ben... oui.
— J'arrive.
Il sort et revient quelques minutes plus tard avec un grand mec costaud. Belle gueule de baroudeur... mon genre. Le mec me sourit et se déshabille... Ouaouh ! Il est musclé et il a une bite qui vise déjà ma chatte. John me dit :
— Suce-le.
Alors là, c'est pas de refus. Je mets à genoux et je commence par embrasser le bout mouillé de sa bite, ses couilles gonflées, les poils du pubis... Le Président vient tout près regarder ma langue tourner autour du gland du costaud... Il me dit :
— Je voudrais te voir lui lécher le...
Il cale. Aller, accouche ! Je lui propose :
— Le trou du cul ?
— Ouiii...
Il est ravi. Je commence à le trouver un peu spécial, le Président. Le costaud se met à quatre pattes et moi, je me mets à genoux derrière lui. J'écarte ses fesses musclées avec les mains.

Il a une odeur de transpiration mélangée à un parfum pour homme, une odeur plaisante. Le Président vient à nouveau regarder de tout près. Tu veux du spectacle ? OK. Je lèche l'anus du gars et y enfonce même la langue. Il me dit :
— Tu aimes faire ça...
— Oui m'sieur... euh, oui John.
— Tu as envie de te faire baiser ?
— Grave : je suis toute mouillée.
— Allez-y.
Le costaud se relève et me prend dans ses bras aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie. Il me met sur le lit, se couche sur moi et m'enfonce 25 cm de sexe dur dans la chatte. Aïe ! Non mais dis donc, toi, je ne connais même pas ton prénom ! Heureusement que je suis une fille accueillante. Je vois plus au moins le Président derrière le cul du gars observer nos sexes aller venir l'un dans l'autre. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ce sexe violant ma chatte à grands coups de reins... Je gémis... et je dis les trucs que les filles disent quand elles se font tringler, genre :
— Ah oui... je te sens bien... c'est booonnn... plus foooort...

  Je croise mes chevilles sur ses reins pour qu'il me pénètre encore plus profondément. Pas longtemps, car je sens mon vagin se crisper sur le sexe qui le transperce et...

— Oh ouiiii... je jouuuuis...
Ah putain de merde, c'est bon...
Quelques coups de reins de plus et mon baiseur jouit aussi, inondant ma chatte de son sperme... Il grogne un peu en jouissant. Je veux le garder en moi, mais il me dit à l'oreille :
— C'est au tour du Président...
Oh ! Il va me baiser ? Non, dès que le sexe de mon partenaire quitte mon vagin, le Président colle sa bouche et il aspire le sperme qui est en moi. Je me demande si tous les Présidents font ça ! Le Président de la 2e puissance mondiale suce ma chatte pleine de sperme. C'est un peu surprenant, non ? Si c'est le genre d'apéro qu'il aime, ça ne me dérange pas. Au contraire, je ne devrai pas me laver. Quand il a fini de boire son apéro à ma chatte, on se rassied... Le costaud va dans la salle de bain. Il y a un silence, faut que je trouve quelque chose à dire... Ah oui :
— J'ai adoré cette petite partie à trois, John.
— Moi aussi, ma chère Ashley, moi aussi. C'était un peu spécial.
— Non, non, ça me plaît.
— On pourrait dire que j'ai des goûts un peu... spéciaux...
— Vous savez, moi j'aime lécher Summer quand elle vient de faire pipi...
Je dis ça pour le rassurer. Il continue :
— Des méchantes langues disent que je suis gay...
Tu m'étonnes !!
— Alors... il faut que je trouve une femme très belle et aussi très compréhensive au sujet de mes goûts....
Il ne va quand même pas...
— Alors Ashley, veux-tu m'épouser ?
C'est rien, je vais me réveiller ! Figurez-vous que je rêve que le Président des USA veut m'épouser ! Dingue non ? Dans mon rêve, je réponds :
— Avec grand plaisir.
Si je ne rêve pas, c'est juste une farce, genre caméra cachée. Il me dit :
— On descend, je vais annoncer la nouvelle à nos amis.
Bien sûr. Je joue le jeu... Je remets ma robe transparente. En bas, Summer est là et elle discute avec Monsieur Sam. Le Président annonce :
— Une grande nouvelle, mes amis : Ashley et moi, nous allons nous marier.
Tout le monde vient nous féliciter... Je vais près de Summer et je lui dis tout bas :
— On se fout de moi, hein ?
— Non, il a besoin d'une épouse charismatique et qui, accessoirement, couche avec n'importe qui...
— Eh, tu exagères !
— Tu as oublié qu'on s'est rencontré au "House of Pussies".
— Pardon, mais, c'est que... je suis perdue... et... snif...
— Ah, ne te mets pas à pleurer ! Tu acceptes et si un jour tu en as marre, tu divorces et tu auras une énorme pension alimentaire.
Avec elle, c'est aussi simple que ça ! Je la regarde et elle me dit :
— Ferme la bouche !
Je la ferme... Je m'imagine à Paris reçue par la nouvelle Présidente... J'irai manger au sommet de la tour Eiffel et puis aux Folies Bergères.... Il y a deux choses que je veux garder : Summer et la maison de Malibu. Oui, Summer, c'est une addiction. Mon futur mari vient me dire :
— Ma chérie, si on châtiait ces petites garces ?
— Excellente idée, John.
Il m'appelle "ma chérie" ! Le Président !! Je commence à y croire un peu.
En ce qui concerne les filles, je regrette qu'elles soient bâillonnées... J'aime entendre les cris et les supplications des filles fouettées. Quatre gardes que je connais viennent se mettre derrière les filles, armés d'un fouet. Je les ai déjà vus à l'œuvre, ils sont très adroits. Le Président dit :
— Vingt coups, ensuite on leur demandera leurs impressions.
C'est pas beaucoup. Un signe de tête du Président et les trois lanières des fouets viennent claquer sur les fesses des filles. Elles font :
— Mmmffffmmmma !
Je sais ce que ça veut dire "Aaaaiiieee!!! Ça fait maaal..."
Elles sont aussi douillettes que des esclaves. Les quatre gardes ont dû répéter, car ils nous font quasiment un ballet : les fouets qui sifflent dans l'air, le bruit mat quand ils zèbrent les fesses des filles... les cris étouffés. C'est beau.
J'ai un petit problème : regarder les filles fouettées, ça m'excite, je vais mouiller ma robe transparente. Les gardes repeignent les fesses des filles en rouge... Le haut des cuisses, aussi. Je pense qu'elles vont faire "kaï kaï" quand elles vont s'asseoir, les prochains jours... Ils s'arrêtent ! Oh déjà ? Ils enlèvent les bâillons. Là, je les entends enfin pleurer et gémir... Quelles moules ! Quand elles sont calmées, mon fiancé... va devant elles. Il parle bas, comme quelqu'un qui est habitué à ce que tout le monde l'écoute avec attention. Il leur dit :
— Je trouve votre site très bien, mais pas la cause que vous défendez. Si vous êtes prête à travailler pour moi, vous aurez beaucoup d'avantages. Dans le cas contraire...
Les filles sont là, les fesses en l'air et bien rouges. Elles doivent relever la tête pour le voir... Une belle brune dit d'une petite voix enrouée :
— Nous irons en prison ?

Non, vous serez vendue dans un bordel de Tombouctou.
Une blonde répond très vite :
— Moi, j'accepte Monsieur le Président,
À tour de rôle, les trois autres acceptent. Et voilà, on leur tape un peu sur les fesses et elles renient leurs idées ! On les détache et elles se mettent debout, les jambes tremblantes, les fesses et les yeux rouges. Faudrait les envoyer chez Madame Stone, là elles feraient vraiment connaissance avec le fouet. Le Président leur dit :
— Vous allez signer quelques papiers et on vous reconduira chez vous...
Elles bredouillent un truc du genre :
— Oui, Monsieur le Président...
Ensuite, on discute du mariage. On va s'asseoir avec Monsieur Sam, Madame Wolf et sa chérie, Sara, je crois. Il y a aussi un homme aux cheveux gris. Le Président me dit :
— Tu es décidée à devenir mon épouse ?
En fait, non, pas du tout, mais je veux devenir la Première Dame des États-Unis, alors je réponds :
— Absolument, cher John.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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