vendredi 29 juin 2018

Justice Cajun 7

L'épisode 7 de "Histoire Cajun" est publiée sur le site gratuit de La Musardine.
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-7/

Je me lève pour lui montrer les chaussures qui brillent comme des miroirs et… elle les retourne pour examiner les semelles. Je lui dis :
— Mais je ne pensais pas que… il fallait aussi nettoyer….
— Ah bon, tu te laves la chatte et pas le trou du cul, toi ?
— Non, mais…
— Et ça ?
Elle me montre un vieux chewing-gum dégueulasse collé à la semelle. J’essaye de m’en sortir en disant :
— J’allais nettoyer cette partie aussi.
— Tu mens !
***

samedi 23 juin 2018

Samia - 14 Partouze marine


319 - Partouze marine.

On monte dans le zodiac avec Luigi, le marin/garde du corps. Je dis à Julien :
         — Tu commences. 
Comme ça, je vois comment ça se passe. Il est tout fluet, ça m'étonnerait qu'il y arrive. Luigi lui montre bien la position et Julien se retrouve dans l'eau avec des skis. Il n'est pas à l'aise du tout, on dirait qu'il va pleurer. Quelle petite moule ! Le marin met en route le moteur et accélère. Et, là... Julien sort de l'eau ! Je suis très étonnée. Gilou a un appareil avec un gros télé pour le photographier. Ensuite, c'est mon tour. Je chausse les skis et je vais aussi dans l'eau. Il ne faut pas que je me plante ! Le bateau accélère et je sors également de l'eau. J'adore cette sensation, j'ai presque l'impression de voler. Je vole au-dessus des vaguelettes, nue et mouillée.
 

 
C'est trop bien. Je demanderai à lui aussi d'avoir des photos.... Je ne tombe qu'une fois, mais je repars. Je skie encore un long moment, je fais un peu la conne en me tortillant et je tombe. Le zodiac vient près de moi. Gilou me dit :
— Remonte, on termine avec Moira et Luigi.
Oh ?! ça sent la partouze marine, ça ! Oui, mais c'est plus de l'érotique. Gilou sort un billet de sa poche et me donne 1000 F de plus ! Bon, va pour la partouze marine. Il dit :
— Pour commencer, je voudrais que le petit se mette à genoux à hauteur des seins de ma femme pour qu'elle le suce. Luigi s'occupera de toi.
Moira est un peu descendue sur le lit de plage pour être à plat et elle a levé les bras, dévoilant les buissons roux de ses aisselles. Julien va délicatement se mettre à genoux au-dessus d'elle, manquant de l'éborgner avec sa bite. Je rigole ! Il met son tout petit engin sur les lèvres de la belle rousse, tandis que son mari mitraille. Elle ouvre la bouche et l'engloutit littéralement. Il est tellement menu qu'elle arrive à enfourner sa bite et ses couilles en même temps. Ce n'est plus un homme... mais entre nous, ça ne l'était pas beaucoup avant que sa virilité disparaisse dans la bouche de la dame ! Elle le ressort. Ouf ! il est redevenu un homme. Enfin, je veux dire un garçonnet.
Luigi s'est déshabillé et il vient se coller à mon dos. Oh ! c'est pas un garçonnet ou un lutin, lui, mais un vrai mâle. Son sexe est dressé sur mes reins (il est beaucoup plus grand que moi) et il me caresse les seins. Il tire sur mes tétons avec juste ce qu'il faut de brutalité pour que je me frotte à lui en gémissant. Son patron fait des photos, bien sûr. Quand il s'arrête, c’est pour dire à sa femme :
— Ne le laisse pas jouir.
Julien se retire, son petit service trois-pièces tout luisant de salive. Clic, clic, clic... Gilou me dit :
— Lèche ma femme, ma belle.
Moira me sourit et dit :
— Attention, je sens la ménagerie.
— Pas plus que je ne suis une voleuse, Madame.
Je me mets à genoux et je me penche pour lécher sa chatte, mais elle la couvre de sa main en disant :
— Demande.
— Euh...
— Demande la permission de me lécher !
Elle veut jouer... mais, bon, avec ce que je suis payée, on ne va pas discuter. Donc je lui dis :
— Je peux vous lécher la chatte ?
— Mieux que ça.
— Je vous en prie, j'ai tellement envie de vous lécher, Madame.
Un hochement de tête. Le flirt avec Luigi et maintenant ce jeu avec elle, je commence à être vraiment excitée. Si un exocet ou poisson volant fait un bond hors de l'eau et atterrit sur ma chatte, je jouis ! Je pose ma bouche sur ses grandes lèvres tout en me cambrant pour présenter mes fesses aux éventuels marins qui passeraient par là. Allez-y les gars : à l'abordage !
Moira a posé son pied sur le haut de mon dos tandis que je la lèche du vagin au clito. Difficile de décrire deux actions simultanées, mais tandis que je la lèche, Luigi pose son gland à l'entrée de mon vagin ! Si mon sexe avait des mains, il l'attraperait et se l'enfoncerait bien profond. Mais vas-y, merde ! T'as peur ? Ah non, il s'enfonce complètement dans ma chatte et ses couilles viennent même claquer sur mes cuisses. Voilà, on est en accord, ma langue dans une chatte et une bite dans la mienne. Je ne suis pas la seule à être très excitée, Moira caresse mon dos avec un pied tandis que de la main, elle m'ébouriffe les cheveux comme on fait à un chien. Je lèche et je suce son clito. Je me dis, « Attends petite snobinarde, je vais t'envoyer en l'air ! Tu vas griffer les mains de ta mère » (c'est une image !). Ça y est, elle colle mon visage contre sa chatte et jouit comme la première Romanichelle venue.
 


Les clics clics n'ont pas cessé, tandis que Luigi continue à me baiser lentement... Je tortille un peu mon cul, en espérant qu'il accélère... Bobby dit à sa femme :
— Tu pourrais bouger, ma chérie ?
Il prend sa place en me disant :
— Lèche ma bite sans la prendre en bouche.
Je fais coulisser sa peau — clic, clic — et sors bien la langue pour lécher son gland — clic, clic. Luigi commence à me baiser plus rapidement... Mon vagin se resserre tandis que dans mon cerveau, mon hypothalamus s'apprête à lâcher une bonne dose d'endorphines. On est en pleine mer, il y a peu de voisins, à part dans le ciel et dans la mer. Alors je peux me laisser aller à gueuler :
— Ohhhh oouiiiiii..... c'est boooooooonnnnnnn !
Evidemment, j'affole un peu les mouettes, mais putain, ça fait du bien !
Je sens que la bite de Luigi quitte ma chatte, qui lui fait plein de bisous au passage. Il a du self-control, le matelot ! Gilou demande :
— Pour terminer, tu as des idées Moira ?
Elle réfléchit... Je réponds à sa place :
— Moi j'ai une idée, c'est...
Moira me coupe :
— Tu t'appelles Moira ?
— Non... pardon, mais...
— Allez, vas y. Crache-la, ton idée. Mais si elle n'est pas bonne, on te met aux fers dans la cale.
Elle plaisante, hein ?
— C'est que des photos de Luigi et moi, ça pourrait être bien.
Elle répond :
— Dis plutôt que tu as envie d’encore te faire baiser par lui.
— Euh... oui... c'est vrai.
— Allez, montre ce que tu sais faire.
OK. Je me colle à lui comme une moule à son rocher, je l'embrasse tandis qu'il me caresse les fesses. Quand nos bouches se séparent, j'embrasse sa poitrine, le nez dans ses poils... Je descends jusqu'à me mettre à genoux à ses pieds. J'embrasse ses couilles, je les lèche, les mordille.. Ensuite j'embrasse son sexe de la base jusqu'au gland qui a si bien fouillé mon vagin... Quelle belle queue ! Je me relève et je mets mes bras autour de son cou en lui demandant :
— Tu veux bien me prendre par les fesses et m'asseoir sur ta bite, mon beau marin ?
Entendons-nous, je fais ça... pour que Gilou ait de belles photos, bien sûr. Luigi positionne son sexe sur ma chatte, la gravité fait le reste... Oh, je suis pleine de sa bite... Avant de me laisser au plaisir de me faire baiser, je dis vite à Bobby :
— Gardez quelques photos pour la fin.
— D'accord.
Luigi m'a solidement empoignée par les fesses et il me fait monter et descendre sur les 22 ou 23 cm de chair durs de sa bite. Je commence par gazouiller, puis je chante, genre :
— Oh oui... c'est boooon, défonce-moi ! Plus fort.... je sens rien ! Aaaiiieee ! Oui, comme ça, aaaahhhhhhhhhh....
Ça y est, je grimpe aux rideaux (il doit sûrement y en avoir dans les cabines) ! Et, foin de son self-control, Luigi jouit en moi...
J'imagine ses spermatozoïdes super costauds partir en bande pour aller violer un de mes ovules.. Enfin, violer, c'est un grand mot. Si mes ovules me ressemblent, elles doivent les accueillir, genre "welcome strangers"...
Voilà, c'est fini. Luigi me fait descendre... J’ordonne à Julien :
— Couche-toi sur les dos.
Dès que c'est fait, je m'accroupis au-dessus de son visage et j'ai la générosité de lui faire ce cadeau : des globules de sperme et de sécrétions qui tombent dans sa bouche. Il en sort 2, puis 3... Je m'assieds, la chatte sur sa bouche, en lui disant :
— Fais le ménage !
J'adore l'idée... Quelques minutes de nettoyage plus tard, je me relève. N'allez pas dire « pôv' Julien », il aime ma chatte même pleine du foutre d'un autre. La preuve : il bande ! Enfin, il bande comme un ouistiti pygmée...
Quand je me relève, Moira me dit en souriant :
— T'es une vraie salope toi, de traiter ton petit frère comme ça.
— Enfin un mot gentil !
Luigi me dit :
— Très bonne séance de photos. Et avec Dennis, ça s'est bien passé ?
— Oui, il va même m'envoyer des photos, dont une ou deux signées.
— Garde-la précieusement, il devient de plus en plus célèbre.
Cool. Il va sûrement nous inviter à manger avec eux. Je regarde Gilou... Il parle avec Moira d'une invitation chez des amis. Ça me va aussi...
J'interromps leur conversation pour lui demander :
— Vous voudrez bien donner quelques photos à Simone des Flots bleus ?
— Oui, oui... si j'y pense.
Quel rat ! Pendant qu'on faisait des photos, il était tout miel ! Moira me dit :
— On est train de parler, là... Luigi va vous reconduire.
On ne mange pas ensemble, on ne s'embrasse pas, on ne se parle même plus ! Sales riches ! J'ai compris : n’étant pas du même monde, on est congédiés ! Je leur dirais bien : le père de Julien est aussi riche que vous. Qu'ils aillent se faire voir ! Luigi nous dit :
— Venez dans le zodiac, les enfants.
On s'installe. Je lui fais remarquer :
— En fin de compte, ils sont vraiment pas sympas.
— Qu'est-ce que tu veux, ce sont des riches.
Ah, qu'est-ce que je disais ! Il ajoute :
— Le principal pour toi, c'est que tu as été très bien payée.
— Oui, c'est vrai. On va se revoir ?
— Pourquoi pas. Tu as une petite chatte... accueillante.
C'est tout ? J'aime pas les larbins des riches ! Il nous dépose devant « Les Flots bleus ». Je lui dis :
— Salut... et peut-être à un de ces jours.
— C'est ça, tu me liras les lignes de la main.
Bon, passons à autre chose.
 
A suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins
 
Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
 
Mes livres, ici :
 
 

mercredi 20 juin 2018

Mia, rebelle ?

NOOON ! Pas la ceinture ! Je serai sage et...je sucerai le chien !
AAAIIIEEE !!!


Consolez-moi, lisez mes livres, sniiiff....
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et http://www.lamusardine.com/P31901-mia-sans-dessous-5-morgan-bruce-michael-mia.html

mardi 19 juin 2018

Fille en cage.

Si vous aimez les dessins de Bruce Morgan, lisez "Mia sans dessous" 
des histoires terriblement excitantes illustrées par des dizaines de dessins.


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dimanche 17 juin 2018

Une douche tiède :o)



Si vous aimez les dessins de Bruce Morgan, lisez nos livres...
"Mia sans dessous 5" a déjà été plusieurs fois 1er des meilleures ventes de La Musardine. Il  sera "le" livre de l'été. Bandez ou mouillez sur la plage en le lisant.
http://www.lamusardine.com/P31901-mia-sans-dessous-5-morgan-bruce-michael-mia.html

samedi 16 juin 2018

Un cadeau...

Un lecteur qui a lu tous mes livres m'offre du champagne. 
C'est très gentil... 
Et puis cette dédicace me convient très bien, 
étant donné que j'ai déjà vu le loup... et même toute la meute :o)


Tête en l'air...


Oops, ma jupe remonte et Monsieur qui est juste derrière moi ! 
Pourvu, qu'il ne soit pas fâché parce que j'ai oublié de mettre une culotte
Dure, la vie de bonne à tout faire... 



Lisez-moi, vous verrez.
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vendredi 15 juin 2018

Mais, où ai-je la tête !

Dis, Mia, tu n'oublies rien ?                                                                                    
- Ben non, ton petit cadeau est dans mon sac et... 
oops ! Tu as raison, où est ma montre ? 😀  

Pour passer un été torride, lisez mes livres, 
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jeudi 14 juin 2018

Justice Cajun - 6

Je viens de publier l'épisode 6 de "Justice Cajun" sur le site gratuit de La Musardine, "Mes histoires porno". En prison, Jill apprend à manier la serpillière et à soigneusement lécher des chattes !
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-6/


Samia - 13 Un photographe connu.


On arrive près du bateau. Un homme d'âge mûr, avec un gros ventre et une bite mollassonne, nous regarde arriver en souriant. Ce n'est pas vraiment mon genre de beauté. Mais bon, après tout, il sera derrière son appareil. On monte à bord et il m'embrasse... sur la bouche. Il embrasse aussi Julien... L'est plutôt familier, le gros. Il nous demande :
— Vous êtes Samia et Julien ?
— Oui, c'est ça...
— Moi, c'est Gilou. Vous allez d'abord faire des photos avec un de mes amis un photographe américain connu, puis avec moi.
— Madame Simone m'a dit que ce ne serait qu'une séance de photos.
— Ce sera deux séances, comprenant des photos érotiques. Elle m'a dit que vous faisiez ça.
— C'est que...
— J'ai déjà payé Simone, mais voici pour vous décider.
Il sort une liasse de billets de sa poche et me tend deux billets de 1000 francs (plus de 300 euros). D'accord ?
Je lui fais un grand sourire en répondant :
— Qui doit-on tuer pour ce prix ?
Il rit... puis me dit :
— Venez, je vais vous présenter le photographe.
On va vers la poupe. Il y a une table, des sièges et des chaises longues. Un homme est assis dans un fauteuil, il a une jolie femme sur les genoux. Elle est uniquement vêtue de lunettes de soleil et d'un grand chapeau, elle n'a pas l'air emballée de nous voir. Gilou nous dit :
— Je vous présente Moira, ma femme, et Dennis X, mon ami, qui est un grand professionnel.
Elle n'est pas sympa, mais je la trouve très séduisante. C’est une rousse auburn, avec des poils qui forment une flamme sur son pubis et même des petites flammes en dessous des bras. Elle me demande :
— C'est vous qui êtes des Roms ?
— Euh... oui...
— On ne vole rien ici, hein ?
Norman dit précipitamment.
— Ma femme plaisante.
Non mais, elle est malade ! Elle me regarde, intéressée par la façon dont je vais réagir. Nous pourrions sauter à l'eau et regagner la plage, mais on est franchement loin. Et puis, il y a ma ceinture porte-monnaie qui ne peuy pas aller dans l'eau et puis, j'ai envie de faire du ski nautique... Donc on reste, mais je lui réponds quand même :
— On ne va rien voler. Il ne faut pas croire tout ce qu'on dit, les Roms ne sont pas tous des voleurs, loin de là, et toutes les rousses ne sentent pas la ménagerie.
Il y a un flottement, puis elle éclate de rire. Après s'être calmée, elle dit :
— Tu as du répondant, j'adore !
Bon, ça, c'est fait. Mais qu'est-ce que Madame Simone a besoin de dire partout que je suis une Rom ! Ce n'est pas que j'aie honte...
Norman s'adresse au photographe :
— Tu veux commencer, Dennis ?
— Oui, merci, cher ami.
Dennis est grand et il a un fort accent. Il nous dit :
— Venez avec moi dans la cabine, on va choisir des accessoires.
On prend l'escalier jusqu'à une grande cabine. Il nous détaille en disant :
— Vous êtes beaux et vous avez de très jolis kious (en fait, il veut dire "culs"). Il me regarde et ajoute :
— Et toi, tu as une jolie poitrine, mais un peu trop pour ce projet, je te prendrai de derrière.
Je pense « pour deux mille francs, tu peux me prendre par où tu veux ! » Il me demande de mettre un grand chapeau de paille avec des fleurs, qui ressemble à celui de la rousse. Il donne à Julien une casquette blanche à galons, un rien nous habille. Il y a un grand miroir et je me trouve franchement mignonne avec mon grand chapeau. Julien n'est pas mon mal non plus en mini-capitaine. On remonte sur le pont et il nous photographie à différents endroits du bateau.
On commence par faire des photos sur lesquelles on se tient par la main, puis Julien de face contre le bastingage et moi regardant la mer. Je suppose qu'il veut avoir mon kiou et le tout petit robinet de Julien... Je ne vais pas tout décrire. Je sens néanmoins qu'on va basculer dans des photos un peu moins convenables quand il me dit :
— Embrasse le sexe de ton frère.
 

Rien qu'à entendre ça, Julien se met à bander comme un... mais, non, pas comme un âne. J'enlève mon chapeau pour me mettre à genoux devant lui et délicatement, je tire sur la peau pour dégager le gland. Dennis s'écrie :
— Merveilleux, il brille au soleil !
Ben oui, il est excité et mouillé, mais de là à trouver ça merveilleux ! Dennis fait plusieurs photos. Je tire bien la langue et lèche le gland en l'enduisant de salive. Il brille encore plus. Notre photographe pousse des cris d'extase ! Il a la trique. Oui, lui aussi... Sauf que la sienne, c'est pas un zizi de mulot, mais une bite d'âne ! Il me propose un marché :
— Si vous me léchez tous les deux, je te ferai cadeau du lot de photos et j'en signerai même une.
Oh ! Les photos, ça me fait plaisir, mais pourquoi une signée ? Croyant que j'hésite encore, il ajoute :
— Je vous en signerai deux.
— D'accord.
Si ça lui fait plaisir... Il me dit :
— Je les développerai demain, j'ai hâte de voir ça. Donne-moi ton adresse et je te les enverrai.
Je lui donne mon nom et l'adresse du camping. On monte sur le pont et il choisit un endroit ensoleillé. Monsieur veut sans doute briller du gland, lui aussi. Quand il est assis, je vais me mettre à genoux à côté de lui en disant à Julien :
— Viens te mettre en face de moi.
Il m’obéit, bien sûr. Je vous ai déjà dit que c'était mon boy ? On se retrouve l'un en face de l'autre, de chaque côté d'une bite de belle taille, heureusement. Je veux dire, heureusement pour les photos... Dennis me dit :
— Dégage mon gland et léchez-moi à deux, en tirant bien la langue... et en me regardant.
Je tire sur la peau, je vous évite les détails. Julien fait un peu la moue. Quoi ? Elle n'est pas assez propre pour ce petit singe ? Je lui dis sèchement :
— Lèche !
Il tire bien la langue et lèche le gland. Putain, ça m'excite de le voir ! Quand il a bien léché, je tire la langue et lèche aussi. Au-dessus de nous, ça  fait "clic clic clic". Dennis nous dit :
— Regardez-moi
On lève les yeux. On doit avoir l'air de deux adolescents qui se partagent une grosse glace dans un cornet. Je préfère les glaces. On entend toujours "clic clic", mais aussi des grognements de plaisir. Je sens qu'il va jouir, alors je vise bien le visage de Julien, en lui disant :
— Ferme les yeux.
Je sais que le sperme dans l'œil, ça pique. Si, si... demandez à votre femme quand elle revient du bureau, après avoir essayé d’obtenir une augmentation. Ce n'est pas que je chouchoute Julien, mais si je le punis, ce sera sur son cul, pas dans ses yeux. Dennis gueule :
— Fuck, I'm cumming !!


Aussitôt, le visage de Julien est décoré de guirlandes de foutre chaud qui arrivent par saccades, c'est mignon. Dennis continue de faire des photos, en grognant. Avec les doigts, je nettoie le visage de Julien, c'est-à-dire que je lui fais lécher le sperme sur ma main. Il avait les bourses pleines à craquer, l'Amerloque. Julien aura eu son petit goûter !
Notre photographe me dit :
— Tu es une belle salope. Je te reprendrai.
Oh ! C'est gentil. Je suis une belle salope avec "kiou" du tonnerre !
Il ajoute :
— Je vais commencer à développer. Vous, allez rejoindre Gilou.
Il n'est pas loin, Gilou. Juste un peu plus haut, dans la cabine de pilotage, pour faire le voyeur. Il nous dit :
— J'arrive.
Lui aussi, il nous fait poser un peu partout sur le bateau, autant Julien que moi. Ensuite, on doit poser à deux. Il nous dit :
— Embrassez-vous.
On remet ça ! Je prends Julien contre moi en disant :
— Tu as envie que je t'embrasse ?
— Oh oui, Samia !
On se fait un baiser chaste. Il se laisse embrasser comme une fille ! Il s'abandonne comme moi quand un vrai mâle m'embrasse. Comme je suis contre lui, je sens quelque chose me chatouiller la cuisse. Un moustique ?? Ah non ! C'est Julien qui bande. Gilou me dit :
— On va faire des photos en ski.
 
A suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

  
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
 
Mes livres non illustrés, ici :
 
 


mardi 12 juin 2018

Bientôt les vacances...

Un message de ma chatte "Pour passer de super vacances emportez des livres signés Mia Michael, ils sentent bon la chatte !" Ooops, excusez-la, elle est un peu obsédée.


https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … 

Dessin de Mia 5




Trois histoires super excitantes et des dizaines de dessins de Bruce Morgan, c’est dans “Mia sans dessous” tome 5.
N ° 1 des meilleures ventes à la Musardine
http://www.lamusardine.com/P31901-mia-sans-dessous-5-morgan-bruce-michael-mia.html

samedi 9 juin 2018

Les coulisses du strip-tease par Charlotte.



Avant que je commence de brillantes études... enfin, disons des études, j'ai traîné à Paris. Je suis tombée amoureuse d'un garçon qui chantait dans le métro et dans le Marais. Il vivait dans un squat avec d'autres jeunes.
Il était amoureux de moi, ce qui ne l'empêchait pas de me prêter au chef du groupe et à ses copains.
Comme les autres, j'étais logée, nourrie et surtout protégée des autres bandes et plus ou moins de la police. En contrepartie, on devait tous  apporter de l'argent pour la communauté. Mon copain ainsi qu'un garçon et une fille chantaient dans le métro, d'autres récupéraient des bouteilles en plastique et des métaux... Il y en avait aussi qui faisait des choses pas très honnêtes. Après deux jours passés là, le chef m'a dit :
— Et toi qu'est ce que tu sais faire.
— ...euh...
Un garçon répond :
— Avec son physique, elle devrait faire du strip, ça rapporte bien.
Le chef m'a demandé :
— Qu'est ce que tu en penses .
— ... euh... oui...
— Tu sais te déshabiller et remuer tes fesses sur de la musique, alors tu sais faire du strip.
Qu'est ce que je pouvais répondre ? Me déshabiller et coucher avec un garçon ou plusieurs, ça ne me faisait pas peur, mais de là à me déshabiller en public et à danser en même temps...
Le lendemain matin , le chef m'a donné un papier en disant  :
— Tu vas là. C'est un club de strip-tease et ils acceptent les amateurs. Fais-toi engager.
Le chef a ajouté :
— Si tu ne réussis pas, tu travailleras pour la grosse Angèle...
Merde ! La grosse Angèle, c'est la pire des maquerelles ! Tout mais pas elle... L'après-midi, après avoir galéré pour trouver, je me suis retrouvée devant le club. Il s'appelait un truc du genre "Les filles d'Eve." J'ai pensé à la grosse Angèle et j'ai dis au portier :
— Je viens pour le strip-tease, Monsieur.
— Tu devrais pas être à l'école, toi ?
Je lui montre ma carte d'identité.
— Ok vas y et demande le patron.
Le club était plein de monde, surtout des hommes. J'ai déjà un peu les jambes qui tremblent. J'aurais du mieux m'habiller, sauf que je n'ai rien d'autre qu'un jean, un tee shirt et des baskets.


Sur scène une très jolie blonde défait sa jupe sur une musique langoureuse. En dessous elle a des bas, un porte-jarretelles et une petite culotte rouge. Ses jambes son belles et longues. Elle se promène sur la scène en suivant le rythme de la musique... Elle ouvre son chemisier et on voit ses seins dans des demis soutiens gorges, ceux qui laissent les bouts voir ce qui se passe. Elle a des seins superbes... Le strip-tease, vous savez comment ça se passe : la jolie blonde enlève un à un ses vêtements et enfin... sa culotte. Tout ça lentement et en dansant gracieusement. Elle est entièrement nue, je veux dire elle n'a pas un petit triangle sur le pubis et même pas de poils, elle est épilée. Qu'elle est belle. Elle danse nue, mais sans en montrer trop, disons toute nue, mais décente. Les spectateurs et moi, on est fascinés par ses seins et ses fesses qui bougent au rythme de sa danse, c'est terriblement érotique tout en restant décent... Je sens ma culotte s'humidifier, pour appeler un chat un chat.  Son numéro s'achève sous un tonnerre d'applaudissements.
Aussitôt qu'elle a quitté la scène, je dis à une serveuse que je voudrais voir le patron. Elle me désigne un homme corpulent qui discute avec un couple... J'attends à un mètre d'eux... Je finis par lui dire :
— Pardon Monsieur...
Il se tourne vers moi en grognant :
— Tu ne vois pas qu'on est occupé de parler.
— Oui pardon, Monsieur...
Pense à la grosse Angèle, Mia ! Mais, en attendant, quel sale bonhomme... J'attends... La blonde que je viens de voir sur scène à remis ses vêtements se scène et se dirige vers lui... Elle est aussi belle en vrai que sur scène. Elle me dit :
— Qu'est ce que tu attends ?
— Je voudrais faire du strip, Mademoiselle.
Elle me fait "oui" de la tête et s'assied à la table du patron. Quand le couple s'en va, elle lui dit :
— Il y a une petite qui veut faire du strip.
Il se tourne vers moi et m'examine des pieds à la tête d'un air dégoûté, puis, il dit :
— Tu as trouvé tes vêtements dans une poubelle ?
Là, j'ai les larmes aux yeux. La blonde lui dit :
— Sois pas si dur. Elle a vraiment un joli visage. Je vais discuter avec elle.
— Comme tu veux, mais emmène la dans ta loge et lave la aussi.
Salaud ! J'ai des vêtements un peu... usés, mais je suis lavée... Elle me dit :
— Je dois discuter avec lui. Va boire un verre au bar, je viendrai te chercher.
Je vais m'asseoir au bar plus honteuse que jamais de mes vêtements. Je dis à la barmaid :
— C'est... euh... la demoiselle...qui...
— J'ai vu... Tu veux un cocktail ?
— Oh oui...
Elle me sert un grand verre rosé. Je bois, c'est délicieux et fort alcoolisé. Juste ce qu'il me faut. Je le bois rapidement. La barmaid me dit :
— Dure journée ?
— Horrible...
— Tu en veux un autre ?
— Oh, oui, avec plaisir.
Je bois encore, ça va mieux... Je me sens même presque bien quand la belle strip teaseuse vient me chercher. Je la suis dans les coulisses jusque dans sa loge.


Je lui dis :
— J'ai adoré votre numéro, vous êtes trop belle...
— Merci. Pourquoi tu veux faire du strip ?
— Je dois rapporter de l'argent au groupe... sinon...
Elle enlève sa robe, en dessous elle est comme sur scène, nue... L'alcool me pousse à dire :
— Vous êtes trop belle, et vous sentez trop bon...
Elle rit et répond :
— Je sens un peu la transpiration... mais tous les goûts sont dans la nature.
Elle s'assied et me dit :
— Tiens aide moi a enlever mes chaussures il y a des toutes petites boucles...
Je me mets aussitôt a genoux devant elle et enlève ses chaussures et puis j'embrasse son pied. Elle me dit :
— Eh ! On demande la permission avant de faire ça !
— Pardon mademoiselle, je... j'ai...
Elle pose sa cheville sur mon épaule et me caresse les joue de son pied nu. Je lui dis :
— Je peux...
Elle me fait, oui, de la tête. Alors, je prends son pied en main et....le couvre de baisers. Je lève la tête pour voir si elle ne va pas me gronder.. Non, elle sourit tandis que ma langue passe entre ses orteils... J'embrasse et je lèche son autre pied... J'ai une folle envie de remonter vers la fente que j'ai aperçue sur scène et qui se trouve tout près de moi. Mais bon comme elle me l'a dit "je demande" :
— Je peu remonter entre vos jambes, Mademoiselle.?
C'est poli, hein ? Elle regarde sa montre et répond :
— Tu as... 8 minutes pour me faire jouir. Si tu y arrives, je te donnerai un coup de main.
— Oh ! Je ne le fais pas pour ça, c'est parce que...
— 8 minutes, petite, gâche pas ta salive à parler...
Elle s'avance un peu sur la chaise en écartant bien les cuisses et sa chatte s'offre moi... telle une ville qui ouvre grand ses portes, genre "welcome stranger"... J'embrasse sa chatte. J'aime son odeur et mes agaceries lui on fait de l'effet parce qu'elle mouille. Technique Mia, je commence par lécher depuis le clito jusqu'à l'anus en faisant une incursion dans la vagin, pendant 2 ou 3 minutes, puis ma langue tourne rapidement autour de son clito... Au début Cha ne bouge pas, puis ses cuisses se raidissent, preuve qu'elle me reçoit 5 sur 5 et enfin elle se cambre pour aller au devant de ma langue. Je me concentre sur le clito, en alternant les sucions légères et bout de la langue qui volette. Voilà, je sens qu'elle va lâcher les amarres ! Elle gémit, plaque mon visage contre sa chatte et jouit... Houston, mission accomplie, Cha est sur orbite ! Pour terminer, je lèche soigneusement mon plan de travail tandis qu'elle me dit :
— Bravo 6 minutes....
je lève la tête vers elle et elle se penche pour m'embrasser sur la bouche, puis elle me  dit en riant
— C'est comme si j'embrassais ma chatte. Bon, je t'emmène manger si tu es libre.
— Oh oui, avec plaisir.
On s'habille, elle, classe et sexy, moi avec des vêtements qui viennent d'une boutique de seconde main, je l'avoue, mais pas d'une poubelle.
On a rejoint ses amis et on a été mangé... Je vous passe le repas, mais voilà ce qu'elle m'a dit :
— Pour faire du strip-tease, il faut être très à l'aise et prendre le pouvoir. Tu dois amener les spectateurs où tu veux. Pour le moment tu n'as pas du tout à l'aise avec les gens. Commence par faire du peep show. Les clients sont derrière une petite ouverture et tu peux même faire comme s'ils n'était pas là. Si tu veux demain, je te dépose devant un "peep show".
J'ai pris sa main et je l'ai embrassée en disant...
— Vous êtes un ange.
Elle a rit....
***
Grâce à elle, j'ai travaillé dans un peep show, j'en parle dans mon premier livre.
Charlotte vient d'écrire un livre sur ses aventures de strip-teaseuse. Elle vous dit tout. C'est un livre excitant, intéressant et amusant. Si vous voulez tout savoir sur "les dessous" de l'effeuillage, lisez-le.

Les coulisses du strip-tease dCharlotte.