vendredi 29 septembre 2017

3 ans de pénitence - 6

  Lèche son cul !
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   La garce de petite chef me laisse de longues minutes, peut-être, une demi heure, à genoux. Mes fesses me brûlent et les petits cailloux blancs me rentrent bien dans les genoux, tandis que la position, mains derrière la nuque me fait de plus en plus mal aux épaules. Mon père n'est pas au courant de la cruauté de ces Nonnes de l'enfer... Quand il l'apprendra il viendra me chercher toutes affaires cessantes.  
   Enfin... je la sens derrière moi. Elle me dit :
   — Debout.
   Ouf ! Je peux baisser les bras. Mes fesses et mes épaules me font vraiment mal et je tremble sur mes jambes.
   Ma  jupe est toujours épinglée en haut de mon dos et ma culotte est sur mes genoux. Je tends la main pour la remonter, mais elle me donne une bonne gifle qui claque sur ma joue.
   — Aaaaiiiieee !
   Je lâche ma culotte pour frotter ma joue, tandis qu'elle me dit :
   — Je t'ai autorisée à la remonter ?
   — Non, Mademoiselle.
   — Excuse toi d'abord auprès de tout le monde et fais ça bien, sinon tu retournes compter les petits cailloux avec tes genoux.
   Je me tourne vers les gens qui terminent de manger et je leur dit :
   — Pardon d'avoir perturbé votre repas, dorénavant j'obéirai.
   Deux ou 3 personnes me jettent un coup d'oeil distrait les autres s'en foutent. Les filles en uniforme ont les yeux baissés et elles n'osent manifestement pas bouger.
   Mes excuses on l'air de plaire, plus ou moins à la chef. Elle me prend par le bras et on sort du réfectoire. Dans le couloir elle me dit :
   — Rajuste roi tu es ridicule avec tes fesses rouges, on dirait une guenon en chaleur.
   — Oui, Mademoiselle.
   Je me rajuste. Rien que le contact de ma culotte me fait mal aux fesses.
   On se trouve dans un des couloirs et elle va toquer à la porte de la  mère supérieure.  On dit :
   — Entrez.
   La fille passe la tête et dit :
   — Je suis avec la fille qui a passé la nuit dans une bassine ma mère.
   — Ah oui, entre, ma petite Charlotte.
   La fille me dit :
   — Met toi a genoux devant le bureau, les mais croisées sur les reins.
   Encore !! J'obéis, bien sûr.
   Ouch! Ça me fait vraiment mal aux genoux.
   La chef dit :
   — J'ai du la fouetter parce qu'elle refusait de terminer son assiette, vous voulez voir ses fesses ?
   — Ses fesses, je m'en fous ma petite Charlotte, ce sont les tiennes qui m'intéressent.
       Cette nonne est une vraie obsédée!
   — Qu'est ce que j'en fais, ma mère ?
   — Ce que tu veux... Met la au travail ou garde la. Tu n'as pas envie de t'amuser avec elle ?
   — Non merci, ma mère. Je dois rejoindre Tina, qui a méritée une bonne fessée. Elle lèche toujours, mieux, après une fessée.
   J'ouvre des yeux comme des soucoupes, surtout que la mère a passé sa main sous la jupe de Charlotte qui glousse et se tortille en disant :
   — Vous savez ce qu'on veut ma soeur et moi.
   La mère pousse un gros soupir,
   — C'est difficile, mais je vais essayer. Ta soeur et toi, vous...
   Elle s'arrête, me regarde et me dit :
   — Va te mettre à genoux dans le couloir.
   J'y vais immédiatement, bien sur, et je me mets le nez contre le mur.
   Quand mon père saura ça ! Il fera fermer ce convent et arrêter la mère et les autres religieuses.
   J'entends glousser dans le bureau. Enfin, Charlotte en sort, souriante et décoiffée.
   On va au rez de chaussée, dans une grande cuisine. Il y a une grosse religieuse assise dans un fauteuil... Ce qui est un peu surprenant c'est qu'elle a une mince jeune fille en uniforme sur les genoux et qu'elles lisent un magazine people. Deux filles en robe tablier sales et rapiécées nettoient d'énormes marmites.
   Charlotte va l'embrasser sur la bouche et embrasse aussi la fille qui est sur les genoux de la mère. Elle lui dit :
   — Vous n'avez pas besoin d'une fille supplémentaire ma mère ?
   — Peut-être. C'est une nouvelle ?
   — Oui et elle a de belles fesses bien rouges, parce que j'ai dû la fesser.
   Charlotte me dit :
   — Montre tes fesses !
   Surtout ne pas hésiter. Je soulève ma jupe et descend ma culotte.
   La mère siffle :
   — Mais voilà un joli cul bien rouge... J'ai du fesser ces deux idiotes aussi... Pourquoi encore, Sophie ?
   Sophie, c'est la fille qui est sur ses genoux. Elle répond :
   — Vous ne les trouviez pas assez souriantes, ma mère et puis, vous aviez envie de faire un peu d'exercice.
   Petit rire de la mère, qui dit :
   — Oui, ça me maintient en forme de fouetter les filles.
   Je suis toujours troussée à montrer mes fesses.
   La mère dit :
   — Oui, tu peux me la laisser. Je trouverai quelque chose à lui faire faire.
   — Merci, ma mère... Je dois faire quelque chose avec Tina.
   — Ah, oui, genre, ta chatte et sa bouche ?
   — Oui, elle a mérité une correction et peut être qu'ensuite... A tout à l'heure, ma mère..
   Elle s'en va.
   La mère s'adresse à Sophie, la fille qui est sur ses genoux. Elle lui dit :
   — On l'essaye ?
   — Oui, pourquoi pas.
   Parce que c'est un couvent et que ce sont des religieuses, voilà, pourquoi pas!!
   Elle s'adresse aux deux filles qui transpirent à nettoyer les énormes marmites toutes grasses :
   — Que ce soit impeccable quand on revient.
   Elles répondent en choeur :
   — Oui, ma mère.
   La grosse femme se lève et me dit :
   — On va t'essayer petite.
   On arrive dans sa chambre qui est tout près de la cuisine. Ce n'est pas du tout une cellule de moine. Il y a un grand lit, des meubles, des photos de filles nues sur les murs. Elle allume une radio et me dit :
   — Déshabille-toi !
   Elle enlève aussi sa robe et sa cornette. Ouch ! Elle fait bien 120 kg. Ses cheveux sont archi courts et roux. Son sexe est recouvert de poils roux filasse. Elle a un gros ventre qui retombe sur son pubis et des seins qui arrivent au nombril.
   Quand, je suis nue, elle me regarde comme si j'étais une gazelle et elle, une grosse femelle guépard qui a un petit creux.
   Elle me prend contre elle et m'embrasse sur la bouche. Comme, je n'écarte pas mes lèvres assez vite elle me pince les fesses.
   — Aaaiiiieee !
  
   J'ouvre la bouche pour crier et elle y enfonce 1 kg de langue. Elle a une haleine qui sent la cigarette, l'alcool et d'autres choses pas agréables du tout.
   Quand elle retire sa langue, elle me dit :
   — On voit que tu n'es pas dressée toi.
   — Pardon ma mère je viens d'arriver.
   Elle me renifle en disant :
   — En plus tu sens le savon. Enfin, on fera avec. Tu as déjà fait l'amour avec une fille ?
   — NON ! ... euh... non, ma mère...
   — Eh bien tu pourras faire un voeu car tu vas faire un gros câlin avec ma petite Sophie.
   C'est de la folie ! Et, elle poursuit :
   — Avec Sophie, puis avec moi.
   Alors, ça je préfère encore être fouettée ! Non. J'ai encore tellement mal aux fesses. Sophie, elle est vraiment attirante, sauf que je n'aime que les garçons. Elle se couche sur le lit, un bras sous la tête, dévoilant les poils châtains de son aisselle. Son pubis aussi est recouvert d'une épaisse toison de même couleur. La mère lui dit :
   — Met toi d'abord à genoux, ma chérie, je veux qu'elle enfonce sa langue dans le cul.
   Sophie se mets aussitôt à genoux, les jambes bien écartées, le front posé sur ses mains jointes, les fesses en l'air. La mère enlève sa sandale. Elle est immense, cette femme doit faire du 45 de pointure. Elle frappe sur sa paume gauche et ça claque avec un méchant bruit. Elle me dit :
   — Je dois te faire un dessin ?
   — C'est que...
   Elle me coupe :
   — C'est que tu vas bien lui lécher le trou du cul et puis enfoncer ta langue dedans. Elle adore ça, Sophie, elle a toujours le trou du cul qui la chatouille. Hein, ma chérie ?
   — Oui, ma mère, j'adore qu'on me fasse ça. Surtout une petite pimbêche qui ne l'a jamais fait. Il faut peut être la stimuler.
   — PAF !
   — Aaaaaiiieee !
   Elle m'a donné un bon coup de la semelle de sa sandale sur la cuisse. Ça fait plus mal que le martinet. Je me mets à lécher à toute vitesse l'anus de la fille. Quelle horreur, dire que c'est par là qu'elle....
   — PAF !
   — Aaaaaiiieee !
   Je gémis :
   — Mais, j'obéis ma mère.
   — Je sais bien... mais une seule cuisse rouge ce n'est pas possible. Allez suce lui le cul !
  
   J'obéis. Je suce le trou du cul d'une fille. C'est vraiment dégoûtant, mais, franchement, je préfère faire ça qu'embrasser la mère sur la bouche. 
  
   A suivre.  
  
   Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les supers dessins.
    
   Si vous aimez nos histoires, vous aimerez nos livres. Ils sont ici :
 
 "Mia sans dessous." les trois tomes : http://www.lamusardine.com/P31258-mia-sans-dessous-3-morgan-bruce-michael-mia.html  
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Après le coup du matin...

... le repos du matin.
Les hommes des poubelles m'ont épuisée !


mercredi 27 septembre 2017

Le coup du matin...


- Tu observes les oiseaux, Mia ?
* Ah, non, j'attends le facteur.
- Avec ta culotte ?
* Les hommes n'aiment quand c'est trop facile.
- Ah, d'accord. Note que te faire enlever ta
culotte, c'est la chose la plus facile du monde.
* Dis que j'ai le feu au cul, pendant que tu es !
- D'accord. Amis travailleurs matinaux : de 7 h
à 8 h tous les matins, le cul de Mia est offert
à tous.
* Mais tu es fou ! Ils vont faire la queue !
- C'est le mot qui convient :o)
***
Mes livres ne sont pas convenables du tout et ils sont ici :
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lundi 25 septembre 2017

Calomnie !


C'est un client, qui a fait la photo ?
*** Méchante langue ! C'est... euh... un selfie.

Mes livres :  http://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … … … …
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It is a customer, who made the picture?
*** Wicked tongue! It's ... uh ... a selfie.

Read me. I have much imafgination to write erotic books.https://www.amazon.fr/Eva-Naked-City-Mia-Michael/dp/1520927207/ref=asap_bc?ie=UTF8

mercredi 20 septembre 2017

A ceux qui hésitent...

Vous allez passer un super moment à lire mes livres. Vous allez rêver, sourire, bander ou mouiller...
Vous avez du mal à me croire ? Alors lisez cet article... et ma réponse.
 
 
Après ça, une seule solution vous bondirez ici :
 

mardi 19 septembre 2017

lundi 18 septembre 2017

Bad reputation.

 
Mais, non, je n'ai pas travaillé dans le "Red Light District" d'Amsterdam.
*** Attention Mia, ton nez s'allonge !
ça se peut pas !!
*** Fais gaffe, quand même !
Oui... euh... je ne l'ai fait qu'une semaine... ou deux. ça va mon nez ?
*** Oui, tu l'as échappé belle !

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vendredi 15 septembre 2017

mercredi 13 septembre 2017

tête de linotte.

J'ai mes clés, mes papiers, un kleenex. Cette fois-ci, j'ai rien oublié.
Si vous dire où trouver mes livres :
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I have my keys, my papers, a kleenex. This time I have forgotten nothing.
Only, tell you where to find my book in english:
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mardi 12 septembre 2017

Love story.


Il y a une véritable histoire d'amour entre ma chatte et mon médius. Ils sont toujours collés l'un à l'autre. Et, comment je fais pour jouer au tennis, moi ? Heureusement, c'est avec le médius de la main gauche, du coup, j'écris mes livres de la main droite.
Lisez moi, pour que je puisse continuer à écrire tout en me caressant.
Mon coin auteure sur Amazon (avec photos...) :
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There is a real love story between my pussy and my middle finger. They are always stuck to each other. And, how do I play tennis?
Fortunately, it is with the middle finger of the left hand, so, I can write my books with the right hand. Read me, so that I can continue writing while caressing me.
My book in english :
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lundi 11 septembre 2017

3 ans de pénitence - 5

Un repas, dur à avaler.
******************
Le docteur a faim. Moi aussi! Je n’ai presque rien mangé depuis 24 h!
   Avant ça, il faut que je m’habille... enfin!
   C’est Henri qui m’amène à l’habillement. On entre dans une grande pièce. Il y a trois hommes d’une cinquantaine d’années et une fille en uniforme. Ils viennent de l’habiller, d’après ce que je comprends.
   L’un des trois vient vers nous en demandant:
   — Tiens, salut Henri, tu nous amènes une petite chienne?
   On dirait que tout le monde connaît l’obsession de ce débile. Évidemment ravi, Henri répond.
   — Oui... c’est ma.. ma... chi...
   L’homme le coupe:
   — Et qu’est-ce qu’elle fait debout? Une chienne, ça doit rester à 4 pattes.
   Il me regarde, je mets aussitôt dans la position.

   L’homme demande à Henri:
   — Alors, qu’est ce qu’il vous faut pour votre petite bête, Monsieur?
   Sûrement un collier et une laisse, c’est le genre de jeu qui doit certainement plaire à Henri. Celui-ci répond:
   — Beau... beaucoup de... choses. J’ai été la che... chercher au re... au refuge.
   — Je vous propose un petit panier, un manteau pour l’hiver, un os en caoutchouc, de l’anti-puce... Ah oui, des croquettes et des boîtes...
   Putain de couvent de dingue! On dirait que Henri va avoir un orgasme tellement ça lui plaît.

     Un des hommes dit:
   — Arrêtez de jouer Monsieur Blanc, j’ai la dalle.
   — Oui, oui, d’accord.
   Il se tourne vers moi pour jeter:
   — Allez debout, petite chienne!
   Les trois hommes m’entourent. Ce ne sont vraiment pas des jeunesses mais ils ont l’air d’avoir de l’argent, d’après leurs vêtements et leurs coûteux accessoires. Impossible qu’ils soient des ouvriers ou des employés du couvent.
   Ils sont tous les trois autour de moi, s’appelant l’un, l’autre « Monsieur Blanc, Monsieur Gris et Monsieur Noir ». C’est ce dernier qui dit:
   — On prend d’abord ses mensurations.
   Sans utiliser un mètre ruban, puisqu’ils le font manuellement, au jugé.
   Leurs six mains me caressent les fesses, les seins et même la chatte. Malgré moi, je me dérobe à leurs caresses lorsqu’elles deviennent trop précises.
   Ce qui fait dire à Monsieur Gris:
   — On voit qu’elle n’est pas bien dressée, ta chienne, Henri, on devrait peut-être lui donner le fouet.
   Aussitôt, j’arrête de bouger.
   Monsieur Gris, celui qui me palpe les fesses, annonce:
   — Elle fait du 38.
   Monsieur Blanc, celui qui joue avec le bout de mes seins, répond:
   — Pour moi, c’est plutôt du 36.
   Alors Monsieur Noir, qui a sa main sur ma chatte, met tout le monde d’accord en disant:
   — Trente-huit en dessous de la taille, 36 au-dessus.
   Ils vont chercher des vêtements. Une culotte banche qui couvre bien les fesses, un chemisier blanc, une jupe plissée bleue qui arrive aux genoux, des chaussettes banches et des chaussures noires plates.
   Ils remplissent un sac avec un uniforme de rechange, des culottes et des chaussettes, ainsi qu’une robe tablier qui se boutonne derrière.
   Monsieur Gris me donne une claque sur les fesses en disant:
   — Vivement qu’elle soit bien dressée, j’ai des projets pour elle.
   Monsieur Noir répond:
   — À condition qu’Henri nous la prête
   — Ou... oui...
   On sort tous ensemble pour aller au réfectoire... Non, ce n’est pas un réfectoire, il s’agit plutôt d’une grande pièce bien meublée avec des tableaux aux murs, et deux grandes tables. La première est occupée par la mère supérieure et quelques personnes, hommes et femmes, à nouveau bien habillés. À l’autre table, il y a des sœurs et des civils. En tout, ça fait certainement une vingtaine de personnes à chacune des tables. Monsieur Noir dit à Henri:
   — Va chez la mère supérieure avec ta petite chienne.
   Ensuite il va s’asseoir a l’autre table, avec ses copains de "couleur".
   Ce sont des filles en uniforme d’écolière qui font le service. Je vois que des hommes passent la main sous la jupe des filles sans que celles-ci osent s’y opposer.
   Henri m’amène près de la mère supérieure. À côté d’elle, il y a la jolie secrétaire. On attend... Enfin, elle daigne regarder Henri et lui dit:
   — Qu’est-ce tu nous amènes, mon petit Henri?
   — Celle qui... qui a menti...
   Elle me regarde comme si j’étais une grosse mouche tombée dans son potage.
   — Ah oui. Bon... conduis-la au réfectoire.
   — Oui, ma.. ma mère.
   On traverse le couloir et on arrive dans cette pièce. Ce coup-ci, c’est bien le réfectoire. Il y a cinq tables avec une dizaine de filles assises sur de longs bancs. Elles se contentent de manger ce qu’il y a dans de grandes assiettes, avec une cuiller, sans dire un mot.
   Des filles dans le même uniforme que les autres, mais avec un brassard rouge sur la manche, circulent autour de celles qui sont à table. Les deuxièmes ont toutes un martinet et je les entends menacer celles qui ne mangent pas assez vite. Je suis dans le couvent de l’enfer!!
   À deux autres tables, je vois Simone et des femmes aussi communes qu’elle. Il y a aussi une dizaine d’hommes costauds et plutôt patibulaires.
   Ils sont servis par des filles.
   On va près de Simone, la mère d’Henri. Elle me désigne une petite table sur laquelle se trouve des assiettes et une grande casserole, en me disant:
   — Va chercher ta nourriture.
   J’obéis. Une grosse femme dit à une fille en uniforme:
   — Prépare-lui une pâtée.
   — Oui Madame
   La fille remplit une assiette avec une bouillie vraiment pas appétissante. Elle me la donne, ainsi qu’un grand verre d’eau.
   La grosse femme me dit:
   — Va t’asseoir et mange.
   — Merci Madame.
   Je m’installe au bout d’un banc. Les filles ont presque fini.
   Je regarde ce qu’il y a dans mon assiette. J’écarte une poignée de feuilles de salade flétrie qui trône au-dessus. Quelle horreur! C’est une bouillie brunâtre et grasse. Mais crevant de faim, je mange quelques cuillers. C’est gluant, fade et il y a des morceaux de gras. Comment les autres filles peuvent manger ça?
 
        Quand elles ont fini de manger, les filles déposent leur cuiller dans leur assiette, toutes posées de la même façon au millimètre près. Puis, elles boivent leur grand verre d’eau jusqu’à la dernière goutte, avant de le déposer dans leur assiette. Enfin, elles attendent bien droites, les bras croisés, comme les écoliers d’il y a 100 ans.
   Pour moi, c’est impossible de finir cette assiette. Si je continue, ça va me faire vomir. Une fille de mon âge avec le brassard rouge, un sale petit chef sûrement, vient me demander:
   — Alors la nouvelle, c’est pas assez bon pour toi?
   — Je ne me sens pas bien, j’ai peur de vomir...
   — On dit « Mademoiselle »!
   — Pardon Mademoiselle, je viens d’arriver et...
   Elle me coupe:
   — Tu refuses de finir ton assiette?
   — Je n’y arriverais pas, je vous le jure.
   La fille se tourne vers les hommes qui sont à table et crie:
   — Il faut aider la nouvelle à finir son assiette!
   Deux hommes arrivent. Brutalement, ils me prennent par les bras et me mettent debout.
   — Aaaiiiie! Vous me faites mal!
   Un des deux répond:
   — Non, pas encore.
   Je sens que la fille relève ma jupe, puis elle l’épingle à hauteur de mes épaules. Ensuite elle descend ma culotte jusqu’à la pliure des genoux. Les deux hommes m’obligent à m’agenouiller sur le banc et me mettent le visage à quelques centimètres de l’infecte bouillie. Tout ça s’est fait très rapidement, preuve d’une longue pratique de ce genre de traitement.
   À genoux, le visage penché sur l’assiette, mes fesses se retrouvent en l’air. La fille pose sa main dessus en disant:
   — Comme tu n’as pas voulu manger comme une personne, tu vas la faire comme une bête et pour te stimuler, on va un peu te fouetter.
   Elle retire sa main et j’entends:
   Fffwwwiii!
   Je reçois aussitôt un coup de martinet et ses lanières me brûlent les fesses.
   — Aaaaiiiii, ça fait mal!
   Fffffwwwiii!
   — Aaaaiiiieeeee, je vais manger...
   Fffffwwwiii!
   — Aaaaaiiiieeeee!
   Je me mets à laper la bouillie...
   Fffffwwwiii!
   — Aaaaaiiiieeeee! je le fais, je le fais!
   En pleurant de mal, j’aspire tout ce que je peux.
   Fffffwwwiii!
   — Aaaaaiiiieeeee... heug...!
   Un haut-le-cœur me fait un peu recracher.
   Ffffwwwiii!
   — Aaaaiiiieeeee!
   Je plonge mon visage dedans, j’aspire tout ce que je peux.
   Fffffwwwiii!
   — Aaaaiiiieeeee!
   Mes fesses sont en feu, mes cuisses aussi. Je suce tout à toute vitesse et je lèche même l’assiette.
   Fffffwwwiii!
   — Aaaaiiiieeeee! j’ai tout mangé... je vous jure...
   Ils me redressent. Je pleure en disant:
   — J’ai tout mangé... pitié!
   La chef me dit:
   — Tu en as mis plein ton visage, coquine. Bon, ça ne fait rien. Maintenant, tu vas aller au piquet pour réfléchir à ce qui peut se passer quand on n’obéit pas.
   Elle me prend par l’oreille et m’amène, gémissante, le long d’un mur. Je vois plein de petits cailloux ronds par terre.
   Avec la main, elle en rassemble une bonne quantité, avant de me dire:
   — À genoux ici, le nez contre le mur et les mains croisés dans la nuque.
   Je m’agenouille et "aie", les petits cailloux me rentrent dans les genoux.
   La chef me dit:
   — Le nez contre le mur et si tu bouges, c’est 10 coups de fouet, compris?
   — Oui, Mademoiselle!
 
A suivre.
 
Lisez nos livres, sinon nous serons tristes.
*** T'as 8 ans ou quoi, Mia ?
C'est bien possible. On joue chat/bite, la Voix ?
*** N'importe quoi ! N'empêche, pour faire plaisir à la petite, lisez ses livres. Aie ! Ma bite !! Tu vas voir, toi !
Au secours ! Ma voix intérieure veut me toucher la chatte !  
********
Mon coin auteure sur Amazon (avec photos...) :
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... et maintenant... une page de "réclame" :o)

Regarder mes photos, sans lire mes livres, c'est comme voir un super film sans le son.
Alors, lisez-moi..
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Watching my photos without reading my books is like seeing a great movie without sound.
So, read me ..
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mercredi 6 septembre 2017

Souvenirs de jeunesse.


Ça me rappelle quand j'étais chez les guides. Il ne manque que le couteau suisse.
Mes souvenirs chez les guides...
*** Mia !! Tu as promis à la Soeur de ne jamais en parler...
Ooops, c'est vrai la Voix.  Je recommence :
Mes souvenirs, après les guides, c'est ici :
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mardi 5 septembre 2017

C'est la rentrée...

... et c'est bientôt l'automne, sauf... si vous lisez mes livres.
Vous repartirez pour des vacances torrides.



Ils sont ici, à partir de 2,99 ehttps://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0

lundi 4 septembre 2017

Partouze champêtre.


Des gens riches, m'ont invité à une partouze champêtre. Alors je me suis habillée "classe", mais moi, un rien m'habille !
Lisez moi : je suis vicieuse et j'ai beaucoup d'imagination :o)
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Rich people, invited me to a country orgy. So I got dressed "class", but me, a nothing dresses me!
Read me: I'm vicious and I have a lot of imagination :o)
My book in english :
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samedi 2 septembre 2017

3 ans de pénitence - 4

Visite médicale.   

      On va devant une porte sur laquelle est écrit "Visite médicale."
         Elle toque et on entre.
   Un homme en blouse blanche est debout et range des papiers sur son bureau.
   Il doit avoir une 50 aine d'années et il n'a pas l'air sympa du tout.
   Simone lui dit :
   — Une petite nouvelle.
   — Encore ! Je m'apprêtais à aller manger, reviens à 2 h.
   — Regardez-la docteur, c'est le genre qui vous plait, mince avec des gosses fesses.
   J'ai des belles fesses, elles ne sont pas grosses, juste... rebondies. Il me regarde d'un air dégoûtée, puis me dit :
   — Mouais... retourne toi...
   Il vient plaquer sa main sur mes fesses en disant :
   — Bon je vais la prendre... et qui s'en occupe quand j'ai fini ?
   — Si vous voulez, je vous envoie Henri, il la conduira au réfectoire.
   — D'accord... il m'aidera, il aime jouer au docteur.
   
   Simone va le chercher, tandis que le docteur va s'asseoir derrière son bureau. Moi je suis nue devant lui,  j'ai encore vraiment soif. Et faim et froid.
   J'hésite, puis je lui dis :
   — J'ai passé 24 h dans une bassine, docteur, j'ai faim et j'ai soif, s'il vous plait, je...
   Il pousse un gros soupir et dit :
   — Va boire à ce lavabo tu mangeras après.
   Je vais vite boire, mmmmhhh... ça fait du bien.
   Quand c'est fait je retourne devant lui.
   Il me pose une série de question, noms, adresse, âge, taille, poids. Ça c'est facile, ensuite :
   — Vierge ?
   — Non docteur.
   — Qui t'a envoyé ici ?
   — Mon père.
   — Pourquoi ?
   Là, je dis la vérité. Tout sauf la bassine.
   — Je.. J'ai eu des gros problèmes avec ma belle mère et je lui ai donné des champignons que... je... savais toxiques.
   — Tu voulais la supprimer ?
   ....
   — ALORS ?
   — Oui, docteur.
   On toque, Henri entre. Encore lui !
   Le docteur a l'air content de le voir, il lui dit :
   — Ah mon petit Henri, tu vas m'aider.
   — Oh oui... oui... docteur.
   — Je vais la palper, ensuite tu fais comme je t'ai appris : prise de sang, urine...
   Prise de sang ? Ce débile va faire ça ? Je ferme les yeux, quand je les ouvrirai, je serai dans mon lit... Je les ouvre, je suis toujours entre un docteur aussi sympa qu'un dictateur asiatique et un débile. Le docteur me palpe les seins, il les presse, pince les bouts...
   — Aie !!
   Il pince plus fort, en disant :
   — Tu te tais.
   Henri lui demande :
   — Je peux aussi toucher les seins ?
   — Evidemment, tu me donneras ton avis.
   Le docteur lui me palpe les fesses, tandis qu'Henri vient me pincer les bouts des seins et les tirent l'un après l'autre, comme s'il voulait me traire. Je serre les dents, pour ne pas crier. Quand le docteur a fini de pincer mes fesses,  il lui dit :
   — Alors ces seins ?
   — Doux comme des cha... des chatons. Elle est en bo... bonne santé.
   — Bien, maintenant, prise de sang Henri
   Il me dit  :
   — Ass... assied toi sur cette... chaise.
   Ensuite, il met une bande de caoutchouc sur mon bras, la serre bien et prend une grosse seringue. Sans rien désinfecter, il enfonce l'aiguille dans une veine du creux de mon bras. Je ne sens presque rien. On regarde tous les deux la seringue se remplir. Il dit :
   — C'est... beau.
   Non c'est terrifiant... ma vie s'en va dans la seringue d'un débile !
   Ah, non, il retire la seringue. Lèche un de ses doigts et le passe sur l'endroit où il a piqué. C'est de la folie ! Il dit :
   — Elle a été sa... sage je peux la récompenser.
   Le docteur rit et réponds :
   — Allez oui, je sais que tu aimes faire ça.
   Henri va prendre quelque chose dans une armoire et me dit :
   — Fais la be... belle...
   — Comment ça, Henri ?
   — Mais co... co... comme une chienne, tiens !
   D'accord, d'accord. Je me lève puis m'accroupis, les poings fermés devant mon visage, comme si c'étaient des pattes. Il a un paquet de biscuit et il me met des bouts dans la bouche en disant :
   — Brave petite... ch... chienne.
   Je gémis quand j'ai fini, pour qu'il m'en donne d'autres.
   J'en mange beaucoup. Tndis qu'il me gratte derrière l'oreille. Il me dit :
   — Maintenant tu va faire pi... pipi.
   Il prends un petit seau, le met devant moi et dit :
   — Pipi !
   Je suis nue et je dois faire ça devant ces deux hommes ! Bon, je m'accroupis mais rien ne vient. Henri siffle, puis il fait :
   — Ppsssiiiittt... psssiiiitttt...
   Impossible, je suis tellement stressée, que rien ne vient.
   Le docteur lui dit :
   — Elle ne fera pas, on va employer le tuyau.
   — Oh oui, le tu.. tu... tuyau.
   Quel tuyau? Le docteur vient près de moi en disant :
   — Lève toi.
   Il me donne une claque sur les fesses en disant :
   — Allez hop ! Sur la table.
   Il s'agit de la table gynéco. Oh, mon Dieu... Je me couche et Henri me met les pieds dans les étriers et écarte bien mes cuisses. Quelle honte d'être aussi exposée, devant ce débile et ce sale type, soi-disant médecin.
   Henri vient s'asseoir devant la table, entre mes cuisses, le visage à quelques centimètres de mon sexe. Il dit :
   — Tous ces pppp... poils...
   Le docteur lui dit :
   — Pousse toi, je regarde d'abord et puis tu pourras mettre le tuyau.
   — Et on regardera son... cul ?
   — Après.
   Il vient m'examiner. Tire sur mes grandes lèvres, pince mon clitoris. Il enfonce même un doigt dans mon derrière. Je pousse un cri, ce qui les fait rire tous les deux.

Le docteur enfonce un spéculum dans mon vagin et m'examine rapidement. Il dit :
   — Mouais ça a l'air d'aller. Tu fais in prélèvement et puis le tuyau.
   — Oh oui...
   Henri, prend un morceau de gaze allongé et l'enfonce dans mon vagin puis, il le fait aller et venir. Ensuite, il le met dans un sac en plastique.
   Après ça, il me montre un long tuyau relié à un réservoir en plastique en me disant :
   — Tu devras être sage, si... sinon le docteur va t'attacher et te pu... punir.
   — Oui Henri, mais faites doucement, je vous prie, j'ai peur.
   — Mais oui...
   Il suce le bout du tuyau, écarte bien mes grandes lèvres et enfonce la sonde dans mon méat.
   — Aaaaiiiieee, ça fait mal...
   — Mais... mais... non.
   Je sens le tuyau qui me pénètre.  Je m'apprête à me débattre, mais le docteur vient me caresser le visage avec les lanières en cuir d'un martinet en disant :
   — Tu veux qu'on t'attache ?
   — Noooon , je ne bouge plus.
   Ce sont des sensations vraiment trop bizarres ce tuyau dans le canal urinaire et puis la vessie... enfin, je suppose que c'est ça.
   Henri s'écrie :
   — Le pipi !
   — Oui, c'est bien, c'est assez.
   Il retire la sonde.
   — Aaaiiiiieee !!
   Il me caresse la tête en disant :
   — Làà... c'est fini... maintenant on va... re... garder ton derrière.
   Il enlève mes pieds des étriers, tandis que le docteur me dit :
   — Tu te mets à genoux, le front posé sur tes mains et les jambes écartées.        
   Je fais ce qu'il dit. Je suis les fesses en l'air dans la position la plus indécente qui soit. Le docteur vient m'examiner l'anus. Il le palpe, tandis que je geins, terriblement honteuse et stressée. Je le vois qui met de la pommade sur son index. Henri me dit :
   — Faut... faut pas te... cri... crisper.
   — Aaaaiiiieeeee !!
   Le docteur a enfoncé son doit complètement son doigt dans mon derrière, tandis que je fais un bond en avant. Je suis littéralement empalée ! Henri a prévu le coup et il me maintient fermement en disant :
   — Sage !                   
   Le docteur fait un peu bouger son doigt et dit :
   — Pas d'hémorroïdes...
   Henri lui dit :
   — Je peux ?
   — Bien sur.
   Mais non!
   — Aaaiiieee !
   Ça y est le débile a complètement enfoncé son doigt dans mon derrière. Heureusement, qu'il est bien lubrifié.
   Le docteur lui dit :
   — Dépêche-toi, j'ai faim.
   Il fait encore un peu d'explorations, tandis que je gémis. Enfin, il retire son doigt en disant :
   — On n'a pas le temps de... de... de...
   — Dès qu'elle sera dressée, Henri.
   Ensuite, il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
   — On va manger, tu as faim, non ?
   — Oui docteur... mais on va me dresser ?
   — Bien sûr, on va te faire ramper ma belle. Comme une petite chienne qui a peur du fouet, hein Henri ?
Il y des glapissements rauques... c'est Henri qui s'est mis à rire.        
   Au secours !
       
   A suivre.
    
  Je remercie Bruce Morgan, pour les supers dessins..

 
       
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vendredi 1 septembre 2017

La nuit, dans les bois, il se passe des choses...

Nymphe des Bois ou Belle de Nuit ? A mon avis, les deux...
***
J'écris des livres... pour vous.
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Nymph of the Woods or Belle de Nuit? In my opinion, both ...
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I write books ... for you.
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