jeudi 31 mai 2018

Se relaxer...


Tu attends le facteur ou un ami, Mia ?
- Mais non, sot, je relaxe me lombaires.
Aaah, d'accord.
***
Lisez-moi, mes livres vont délicieusement vous relaxer.
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vendredi 25 mai 2018

Nouvel épisode de Justice Cajun.



L'épisode 5 de mon histoire "Justice Cajun" est sur le site de 

gratuit de La Musardine. 

En prison, Jill subit une très humiliante visite médicale...

http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-5/

Samia - 11 Un couple modèle.



     Il nous examine, comme une ménagère américaine du 18e siècle devait examiner les esclaves avant d'en choisir une. Il a l'air d'être prêt à nous acheter, car il nous dit :
— D'accord. Je vous prends. Mais il faut que le jeune homme se rase.
Julien passe la main sur ses joues qui sont aussi lisses que des fesses de bébé !
Il précise :
— Le bas-ventre.
Ah ouais, d'accord. Madame Simone vient près de nous en disant :
— J'ai ce qu'il faut. Venez, on va s’en occuper.
On entre dans le bar vers une porte marquée "Privé". Là, il y a une grande pièce. Madame Simone me donne de la crème dépilatoire. Je dis à Julien :
— Couche-toi sur la table et écarte bien les cuisses.
J'étends de la crème sur ses poils. Je tiens son sexe entre deux doigts et presque aussitôt, il bande. Il dit aussitôt :
— Pardon Samia, mais c'est que...
La suite ne vient pas, car Madame Simone lui dit :
— T'en fais pas mon garçon, il ne nous fait pas peur, ton petit instrument.
On rit toutes les deux. Je lève ses jambes à la pliure des genoux comme on le fait pour changer le lange d'un bébé ! Après avoir mis de la crème partout et laissé reposer, j'enlève la mixture avec ses poils. Madame Simone m'apporte de l'eau pour le rincer. Je le remets debout et je prends par la main. On retourne sur la terrasse. Monsieur Jo nous dit :
— Bien ! Comme ça, vous êtes très beaux, mes enfants (il parle comme le prêtre de l'autocar !). On va faire de belles photos.
Madame Simone lui demande :
— Combien tu les payes ?
Tête de Jo qui répond :
— C'est toi qui t'occupes d'eux ?
— Oui.
— 300 francs (environ 50 euros)
— On veut 600. Regarde comme ils sont beaux, retournez-vous les petits.
On montre nos fesses. Jo lui dit :
— 400, tu sais bien que...
— 500.
Il pousse un gros soupir en disant :
— Bon d'accord.
J'ai été bien inspirée de la prendre comme agent. Je vais près d'elle pour lui dire :
— Merci, Madame Simone.
Avant de partir, je lui demande :
— Est-ce que je pourrais passer un coup de téléphone à l'Auberge de Jeunesse d’Agde pour dire qu'un ami peut nous joindre ici ?
— Oui, vas-y.
J'avertis la gamine de ce qu'elle doit dire à Kristos. Monsieur Jo m'appelle :
— Viens, on y va.
— Oui, oui, j'arrive.
On va sur la plage et on commence par des photos plutôt sages.
Ajouter une légende
 

Ensuite, il m'explique :
— On ne va pas faire de l'érotique, mais des photos prises sur le vif. Parfois, elles peuvent être assez révélatrices. Par exemple, si tu ramasses un ballon... Tu vois ce que je veux dire ?
— Je crois... Un peu comme ça ?
Je m'approche de l'eau en lui tournant le dos et... Oh ! C'est quoi ça ? J'écarte les jambes et je ramasse une coquille de moule. J'entends "clic" ! Je crois qu'il l'a bien eue, la moule. Enfin, la mienne ! Il a l'air ravi en disant :
— C'est exactement ça.
— Vous ne regrettez plus votre argent, Monsieur Jo ?
— Non petite, mais tu sais, il y a des filles qui sont coincées du cul. Manifestement, c'est pas ton cas.
Ah, non... En plus, si on peut faire plaisir et gagner de l'argent. On enchaîne sur des photos couchée sur le sable, moi genre je ne me rends pas compte qu'on voit tout. Ensuite je vais dans l'eau avec Julien. Monsieur Jo nous demande de faire les dauphins : on plonge de façon à ce qu'on voie juste nos deux paires de fesses qui sortent de l'eau. On doit aussi nous promener au bord de l'eau, la main dans la main. Bref, on fait tout ce qu'il veut. Il est ravi. En fin de séance, il me dit :
— Je voudrais que Julien te prenne sur ses épaules.
On pèse à peu près le même poids, mais moi je travaille depuis que je suis née ou presque. Lui n'a jamais levé le petit doigt. Je fais remarquer à Jo :
— Il va s'écrouler si je monte sur ses épaules, vous ne préférez pas qu'on fasse l'inverse ?
— Oh si, super idée Samia. Tu crois que tu y arriveras ?
Je m'accroupis et dès que les jambes de Julien touchent mon dos, il bande. C'est dingue, l'effet que je lui fais. Il me monte dessus maladroitement. Je sens ses fesses sur mes épaules, ses jambes sur mes seins et son tout petit zizi qui se presse contre ma nuque. J'avoue que je dois faire un effort pour me redresser, mais je fais "han" et j'y arrive, tandis que lui fait "iiiiiii", un petit cri de souris qui a perdu son bout de fromage. Il se tient solidement à ma tête. Jo est ravi, on a droit à un :
— Merveilleux, mes enfants !
Je cours avec Julien sur mes épaules. Jo nous prend sous toutes les coutures. Au bout de 10 minutes, je lui dis :
— Ça devient quand même un peu lourd.
— Oui, bien sûr poussin, tu peux le déposer. Il est presque 11 h, on doit retourner chez Simone, si tu fais le service.
Je suis devenue "poussin" ! On marche le long de l'eau pour retourner chez Simone. Jo me met négligemment une main sur les fesses, en disant :
— Tu n'as pas les plus belles fesses du Cap d'Agde, mais de tout le Sud.
Il a l'air sincère. Pourtant, il doit en voir vues, des fesses. Une main sur mon cul avec un compliment, même embrouillé, ça me plaît.
Quand on approche des Flots Bleus, il y a nettement plus de monde et il retire sa main en disant :
— Un conseil d'ami, petite. Fais attention que tes comptes soient toujours justes avec Simone, elle a des amis... coriaces à Marseille.
— Merci, je ferai attention.
Madame Simone nous regarde arriver et elle nous dit :
— Comment ça s'est passé ?
C'est Jo qui répond :
— Très, très bien
— J'aurais dû te demander plus.
C'est pour plaisanter, je crois. Elle ajoute :
— Venez à l'intérieur, on va faire les comptes.
Jo lui donne l'argent convenu. Elle retient 20 % et me donne ce qui reste. C'est pas mal pour une matinée de travail. Elle lui dit :
— Apporte-moi quelques photos pour faire la pub des petits.
— D'accord.
Elle se tourne vers moi :
— Va aider Anaïs à dresser les tables
— Oui, d'accord.
— Dis Madame, c'est mieux
— D'accord, Madame.
Faire le service, je connais et dire "Madame", je m'en fous. Elle ajoute :
— Tu vas devoir mettre ça.
Pas un uniforme quand même ? Non, elle me tend une casquette américaine, blanche, avec l'inscription "flots bleus" et une ceinture porte-monnaie. Elle me dit :
— Occupe-toi du côté droit, Anaïs fera l'autre.
Anaïs a écouté notre conversation. Elle me dit :
— Si tu as un problème, dis-le moi.
— Merci, tu es gentille.
On dresse les tables... C'est Madame Simone qui cuisine et c'est de la petite restauration. Sa fille, Kriss, devrait être contente de ne plus faire un job aussi humiliant que serveuse, mais elle n'est pas plus sympa pour autant.
Je fais le service, je souris, je fais bouger mes seins et mes fesses, je me baisse pour ramasser une allumette par terre. Oh mon Dieu, mais je montre tout ! Pour être franche, une des raisons qui m'a fait accepter ce job, c'est que je suis nue et que je me faufile entre des gens nus. Un homme distingué me donne un gros pourboire. Je le remercie chaleureusement et il pose la main sur mes fesses. Il faut dire qu'on est dans la partie la plus "libérée" du village. Des clients ont vu ça et bientôt, quelques mains supplémentaires s'égarent sur ma chute de rein. Il y a même une grand-mère qui me caresse en disant :
— Tu en as un beau petit cul.
— Merci Madame.
 

Et... ding : gros pourboire. Ça marche mieux ici que dans le petit bistrot de Berck-sur-Mer. Je m'aperçois qu'Anaïs se laisse aussi caresser au passage. Je la vois même coller son pubis contre l'épaule d'un client. J'aime cette ambiance... de sexe. N'empêche, on court beaucoup, donc c'est dur.
Je vais demander à Madame Simone :
— Mon frère pourrait nous aider, Madame ?
Elle réfléchit un instant, puis répond :
— D'accord mais je ne le paie pas. Allez, retourne vite travailler.
Anaïs a déjà trouvé une casquette "Les flots bleus". J’annonce à Julien :
— Tu mets ça et tu fais ce qu'on te dit.
Comme serveur, il est nul, bien sûr. Anaïs et moi, on le fait débarrasser les tables ou aller chercher des choses simples. Kriss a une personne de plus à qui donner des ordres. Je me fais un petit bas de laine avec ce que je gagne ici, plus les photos, et dès qu'il y a assez, on part... à Saint-Tropez.
— SAMIA !! Débarrasse la 12.
— Oui, Mademoiselle Kriss.
Connasse ! J'attends des nouvelles de Kristos et on part à St Trop' avec lui.
Vers 14 h 30, il ne reste plus qu'une table occupée. Ce sont des clients qui terminent leur café et ils ont déjà payé. Anaïs me dit :
— Viens, on va faire la caisse avec Madame.
On laisse Julien nous prévenir s'ils veulent quelque chose ou s'il y a d’autres clients qui arrivent. Madame Simone et Kriss sont assises dans le fond du bar. Anaïs et moi, on est en sueur...
En ce qui concerne les pourboires, il y a une règle. Je ne sais pas si vous avez déjà été serveur ou serveuse. Non ? Peut-être votre mère ou votre femme ? Non plus ? Bon, j'explique : les serveurs et les serveuses partagent leurs pourboires. Les filles, si elles sont jolies et un peu souriantes, recevant beaucoup plus de pourboires que les hommes. Ici, on est deux filles et Anaïs est presque aussi jolie que moi.
Vous pensez bien que je n'ai pas mis de temps en temps un billet dans ma poche ! D'abord, je n'ai pas de poche, ensuite, j'ai pris au sérieux l'avertissement de Jo et enfin, je suis honnête... dans la mesure du possible. Kriss nous donne notre part des pourboires, c'est pas mal. Elle me dit :
— Tâche d'être plus attentive, demain.
— Oui... Mademoiselle Kriss.
Dans peu de temps, ma place sera à nouveau vacante, sale bêcheuse !
— Bon, soyez là demain à 11 h 30.
— Oui, merci Mademoiselle Kriss
J'embrasse Anaïs qui me presse contre elle. On mélange un instant nos seins et notre sueur.
 
A suivre.
 
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.

Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
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Mes livres, ici :
 
 
 


mercredi 23 mai 2018

La classe !


Rare photo de Mia habillée "classe".



Enfin, presque "classe" !


Vous aimez les livres qui parlent de fesses ?
Ça tombe bien, j'en écris et ils sont super excitants...
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mardi 15 mai 2018

Samia - 10 Les flots bleus.

Kevin est moche, mais il sait baiser et on dirait qu'il n'a pas l'intention de s'arrêter ! Je suis fatiguée, moi, j'en ai plein le cul de Kevin, au propre et au figuré. Je joue distraitement avec le petit sexe de Julien, qui bande comme un souriceau surexcité... Je me contracte pour bien serrer la bite de Kevin, afin qu'il jouisse et ça marche ! Il pousse des grognements, jouit, puis se retire. Mon anus est à nouveau violemment étiré, mais il a connu pire. Kevin me donne une bonne claque sur les fesses en disant : 
— Putain ! T'es une fameuse salope ! 
Dans sa bouche, c'est un compliment. Kevin c'est pas Kristos et j'en veux pas de son sperme. Je m'accroupis au-dessus de Julien en disant : 
— Ouvre la bouche. 
Je pousse et voilà... le sperme coule dans sa bouche. Après m’être soulagée, je demande à Kevin : 
— Tu veux qu'il te nettoie avec la langue ? 
Il hésite... Ça ne se fait pas dans son bled, quelque part entre Lille, Roubaix et Tourcoing. J'ajoute : 
— J'ai envie de voir ça. 
— D'accord. 
Je regarde Julien et aussitôt, il baisse la tête et se met à lécher la grosse bite de Kevin qui est redevenue molle. C'est dégoûtant, non ? Parce qu'après tout, elle vient de sortir de mon cul. Je vérifie s'il a bien tout nettoyé...

Pour le récompenser de son obéissance, je joue avec sa petite bite jusqu'à ce qu'il jouisse. Gentil, non ? 
Bon, ça, c'est fait, mais je suis collante et je ne me sens pas fraîche du tout. Je dis à Kevin : 
— Je prendrais bien une douche. 
— Je vais te montrer où c'est. 
On repasse devant sa tante. La mère est revenue, elle nous demande : 
— Alors, tout s'est bien passé ? 
Kevin lève le pouce en l'air tandis que je mets une main sur mes fesses en disant : 
— Oui, il est très gentil. 
Elle rigole et ajoute : 
— Je ne sais pas si c'est le mot qui convient 
On va se doucher. L'eau n'est pas chaude, mais là aussi, j'ai connu pire : un seau avec quelques trous dans le fond, pendu à une branche et qu'on remplissait d'eau. Je suis émue de me laver la chatte pour la première fois... Mais non, pas de ma vie, depuis qu'elle est toute lisse. 

En sortant de la douche des femmes, je me sens propre et encore plus nue. Il n'y a pas à dire, c'est mon truc. 
On se balade dans le centre, Kevin me tient par la taille. Il est un peu encombrant et pas vraiment sexy. Heureusement, il me demande : 
— On rentre dans deux jours, tu veux que j'essaye de rester ? 
— Ce serait super, mais on doit rejoindre nos parents au cap d'Antibes 
— On se reverra ? 
— Bien sûr, je t'appellerai dès qu'on sera dans le Nord. 
Deux jours, ça va. Il nous offre l'apéro : boire un pastis à poil, en public, sous le soleil, après une partie de jambes en l'air avec deux mecs, même si l'un des deux est monté comme un mulot, c'est le pied ! 
Le soir, on mange avec la Kevin's family. On picole, on s'amuse. Vers 10 h, Kevin s'excuse, il a rendez-vous avec des copains. Alors ça, ça tombe bien, je n'ai aucune envie de remettre le couvert avec lui, ce soir. 
Je suis fatiguée et vers 11 h, je les remercie beaucoup pour leur invitation et je leur explique : 
— Demain on doit être à 9 h dans le village pour un boulot. 
On va se coucher. 
*** 
Le lendemain, je suis réveillée par Julien, qui touche mon bras. Je lui dis : 
— Quoi ? 
— Il est 8 h 30, Samia. 
Merde ! On doit encore se laver, s'habiller, se maquiller, manger... mais non, rien de tout ça. On enfile nos sandales et on va à l'adresse que nous a donnée Monsieur Miliani. Il nous a prévenus que la plage se trouve à l'extrémité du village. Les hommes me regardent avec beaucoup d'intérêt. Heureusement que j'ai mon frère pour défendre ma vertu ! 
On arrive au dernier établissement de la plage. C'est pas mal du tout, il y a des matelas et des parasols comme partout, mais aussi une grande terrasse avec des tables et un bar. Derrière ce bar, il y a une grosse dame nue qui boit un café. Elle doit avoir une quarantaine d'années. Je lui dis : 
— Bonjour Madame, on vient de la part de Monsieur Miliani 
— Ah oui, c'est toi la petite Rom. Viens, on sera mieux sur la terrasse pour parler. 
On va s'asseoir. Il y a déjà pas mal de gens, qui boivent un verre ou prennent leur petit déjeuner. Elle nous dit : 
— Levez-vous, que je vous voie mieux. 
On obéit et je prends la main de Julien, plus empoté que jamais. On fait quelques pas, on se retourne. Les clients nous regardent, un homme siffle et dit : 
— Bellissima ! Une nouvelle serveuse, Madame Simone ? 
— Peut-être. 
Elle m'examine des pieds à la tête, puis passe à Julien. Quand elle voit sa petite bite, elle me dit en riant : 
— C'est encore un enfant, ton frère ! 
— Il a 19 ans. 
— Il fait 10 ans de moins ! Vous allez intéresser le photographe tous les deux. Tu as déjà été serveuse ? 
— Oui, mon père a tenu un petit café. Je connais bien le travail, je suis rapide, efficace et souriante. 
— Bien... Tu as l'air décidée. C'est le midi qu'on a un coup de feu. Une des serveuses nous a lâchés et c'est ma fille qui la remplace, provisoirement. Elle doit te voir aussi. 
Elle crie : 
— Anaïs, demande à Mademoiselle Emma de venir. 
— Oui, Madame. 
Une jolie brune, avec des seins en poire avec de larges aréoles foncées et une chatte bien toilettée, arrive. Elle demande : 
— Quoi, M'man ? 
— La petite Rom que ton oncle nous envoie. 
Je lui dis "bonjour", elle répond : 
— Mets-toi debout. 
Décidément ! Je me lève et tourne sur moi-même. Elle fait la moue mais dit quand même : 
— Mouais, pas mal... De toute façon, j'en ai marre de faire la serveuse. Si jamais mes copines de la fac me voyaient ! 
— Je vais la prendre à l'essai. 
Manifestement, serveuse, elle ne trouve pas ça assez bien pour elle. Elle est jolie et elle a des seins... amusants, mais ça a l'air d'être une chieuse de première ! 
Je demande à la mère : 
— Et mon frère, il pourrait travailler ici aussi ? 
— Pour les photos, certainement... Il peut t'aider aussi pour le service, mais sans être payé, dans un premier temps. 
Elle baisse la voix et continue : 
— Par contre, je peux certainement vous trouver des gens pour des photos. Je prends 20 % de commission. 
Putain, c'est énorme ! 
— Et si tu veux que je négocie avec le photographe, tu seras gagnante, même en me donnant 20 %. Il va arriver, alors décide-toi. 
Je dois réfléchir à sa proposition, demander d'autres avis... ou alors, foncer comme je fais toujours. Je tends la main en disant : 
— D'accord. 
Elle tape sur ma paume. Voilà, on a fait un deal, j'ai un agent. Ça va trop vite pour Julien, il pose la main sur mon bras en disant : 
— Tu ne crois pas que.... 
Je lui coupe la parole : 
— Quand les grandes personnes parlent, tu te tais. Compris ? 
— Oui, pardon Samia. 
— Va mettre tes pieds dans l'eau. Je t'appellerai quand on aura besoin de toi. 
— Oui, Samia. 
Il se lève et se dirige vers la mer. Sur ses fesses, je distingue encore un peu la marque laissée par les cordes. Notre petit numéro fait rire Madame Simone, la serveuse et les clients proches. Elle me dit : 
— Dis donc, tu le mènes à la baguette, ton frère. 
— C'est ce qu'il lui faut, à ce petit trouillard. 
— Tu veux boire quelque chose en attendant Monsieur Jo ? 
— Oh oui, volontiers. On n'a pas eu le temps de prendre un petit déjeuner. 
Elle crie : 
— Anaïs, viens prendre une commande. 
— Oui Madame, j'arrive 
Anaïs est une jolie brune, certainement une fille de la région. Elle est en uniforme, mais à la mode naturiste : une ceinture avec un porte-monnaie sur le ventre, une casquette américaine et des baskets. C'est mignon. Elle me demande : 
— Que désirez-vous ? 
— Deux cafés, s'il vous plaît. 
Madame Simone ajoute : 
— Et apporte des croissants. 
— Merci, c'est gentil. Dites, votre fille est très jolie, elle ne fait pas de photos ? 
— Oh non, elle est en histoire de l'art à Aix-en-Provence. Elle ne se montrera jamais nue dans une revue. 
Elle se lève et joute : 
— N'oublie pas ton frère. 
Ah, oui je l'avais effectivement oublié ! Il regarde par ici, les pieds dans l'eau. Je lui fais signe de venir. 
Anaïs revient avec un plateau. Je la regarde plus attentivement. Elle a une chevelure noire nouée en queue de cheval, normal pour une serveuse. Elle a aussi de grands yeux et un petit nez. Je regarde sa chatte toute nue, toute douce, sûrement. Elle me fait un grand sourire et retourne dans le bar en balançant ses fesses. Julien revient timidement s'asseoir. Je mange un croissant. Il me regarde, je fais un petit signe de tête et il commence à manger aussi. Qu'est-ce qu'il est déjà bien dressé ! 
Anaïs est jolie et sympa, l'autre, Emma, a l'air d'une vraie garce. On vient de finir de manger, quand le photographe arrive. C’est un homme d'une quarantaine avec un bedon de bon vivant et un nez rouge de buveur de "môminettes" (des petits pastis). Il embrasse Madame Simone. On se lève pour le saluer. Il nous dit : 
— Bonjour les enfants. Miliani a l'œil : je cherche justement un petit couple de votre style.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
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L'épisode 4 de mon histoire "Justice Cajun" vient d'être publié sur le blog gratuit de La Musardine "Mes histoires porno"
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-4/.
"Jill apprend à craindre le fouet et surtout l'aiguillon éléctrique.
Commentaire (gentil :o) bienvenu

Boire un petit coup...


Retour d'une soirée bien arrosée...
- Et, où sont tes vêtements, Mia ?
Oh, putain ! On m'a piqué mes vêtements !
***
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samedi 12 mai 2018

Justice Cajun - 4


L'épisode 4 de mon histoire "Justice Cajun" vient d'être publié sur le blog gratuit de La Musardine "Mes histoires porno"
 http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-4/.
"Jill apprend à craindre le fouet et surtout l'aiguillon électrique.
Commentaire (gentil :o) bienvenu. 



mardi 8 mai 2018

Samia 9 - Tiens, des Chtis.


Je lui dis :
— Bonjour, je viens de la part de Monsieur Miliani.
— Ah, oui, il m'a téléphoné. C'est toi qui vas poser pour "Jeunes et nus au soleil" ?
— Oui, avec mon frère.
— Bougez, que je vous voie mieux.
Je prends Julien par le bras, on fait quelques pas, on se retourne. 
Les gens qui sont là nous regardent, surpris. Il leur dit :
— Ce sont des modèles, ils vont faire de la publicité pour le village.
Là, ils comprennent. Je fais encore quelques pas, je me retourne... J'adore être le centre de l'attention. Je devrais vivre ici toute l'année... quoiqu’en hiver, je serais moins séduisante avec la chair de poule. Le patron du camping me demande :
— Tu as une tente ?
— Non...
Il prend un micro et dit :
— Joël, apporte une tente à la réception.
Puis il me demande :
— Des sacs de couchage aussi ?
— Ah oui, ce serait super.
Alors il annonce :
— Et deux sacs de couchage.
Ensuite il doit discuter avec des clients qui ont un problème. Un jeune homme arrive avec une tente... de l'ancien temps. Je veux dire, il y a même des tiges en métal pour la fixer. Ouch ! Le patron me donne un plan du camping en disant :
— Regarde, c'est là que vous devez aller, au dernier emplacement.
— Merci beaucoup, je...
Mais il recommence à s'occuper d'autres clients. Je prends nos deux sacs et Julien, la tente plus le sac d'accessoires. Je regarde le plan. On entend souvent dire que les femmes ne savent pas lire un plan, moi, je sais : je suis une Rom, une fille du voyage. Julien me suit, rouge et suant sous le poids de la tente et des piquets. On prend une petite route, il y a des caravanes des deux côtés. On marche un bon moment et derrière un rideau d'arbre, on arrive devant un terrain aménagé pour des tentes. On va tout au bout. Il ne reste plus qu'un petit emplacement, à côté d'une tente assez grande. Les gens ont mis une grande table dehors. Il y a des adultes et des enfants. Je leur dis bonjour et on dépose le matériel sur la petite parcelle. Des enfants y ont abandonné des jouets. Une grosse dame me dit :
— Je vais enlever ça, les enfants mettent la pagaille.
Je connais cet accent, ce sont des Chtis. Ils viennent du Nord, comme Julien, sauf que lui est du côté des patrons. La femme se présente, elle s'appelle Gisèle, son mari, Armand et puis il y a ses parents et ses enfants. Faire des mondanités à poil : j'adore. Nous, c'est simple : on est frère et sœur, en vacances. Une gamine, qui a tout écouté, nous fait remarquer :
— Vous vous ressemblez pas du tout.
— Peut-être que notre mère n'était pas très fidèle...
Ça les fait rire.
On étale la tente et les accessoires sur la petite parcelle. Et ça ne vous étonnera pas si je vous dis que Julien a deux mains gauches ! Vous avez déjà monté une tente à poil (vous, à poil, pas la tente) ? Je ne crois pas, mais ça vaut le coup d'essayer. On doit se pencher dans tous les sens, je crois que le spectacle est intéressant. Julien est nul. Il m'énerve tellement que je lui donne un bon coup sur les fesses, avec la corde qui sert à attacher la tente aux piquets. Il fait un bond en piaillant. Puis, il s'excuse en se frottant les fesses. Les Chtis sont un peu surpris. Gisèle, la mère, me dit :
— V'sêtes dure avec vot’ p’tit frère, vous.
— Il m'énerve. Figurez-vous que si on doit dormir dans cette tente louée, c'est parce qu'il s'est fait voler son portefeuille par une fille qui lui faisait les yeux doux.
Elle rit et dit :
— Oui, alors il l'a bien mérité.
Julien a une belle marque rouge sur les fesses. Ça m'a plu de le fesser avec cette corde. Je vais la garder et gare à ses fesses ! Gisèle nous dit :
— Vous y arriverez pas, j'vais appeler l'gamin.
Elle crie
— Kevin... KEVIN !
Un jeune sort de la tente. Il est grand, plutôt mince et... nu, fatalement. Je regarde aussitôt son sexe, ce que je fais avec tout le monde depuis que je suis ici. Ouais, il est pas mal du tout à ce point de vue là. Rien à voir avec le minuscule pénis de mon petit frère ! Sinon, il a de grandes oreilles décollées et amochées, un nez cassé bien aplati. Ça doit être un mauvais boxeur qui encaisse beaucoup. Sa mère lui demande :
— Tu peux donner un coup de main à ces jeunes gens, Kevin ?
Le jeune homme n’a pas l'air emballé, mais après m’avoir bien regardée, il sourit. Il ne lui manque qu'une seule incisive. Kevin doit travailler en usine ou dans un garage, c'est un manuel, il est musclé et costaud. Lui, il sait comment monter une tente qui date de la guerre 14/18. Il dit à Julien :
— Et alors gamin, t’es pas capable de monter une tente ?
— Euh... les nœuds se défont.
— Bien sûr, c'est du nylon. Y a un truc. Tous les pêcheurs de carpes savent ça.
Il se tourne vers moi et ajoute :
— Je vais te montrer.
Il se met derrière moi pour prendre mes mains et me montrer comment il faut faire un double noeud avec un fil de nylon. Pour faire sa démonstration, il se colle à moi et je sens sa bite qui vient me caresser les fesses. Il me dit à l'oreille :
— T'es trop belle, toi, tu le sens comme tu me plais ?
Ah oui, je le sens bien. Je lui dirais bien « Non mais dites donc vous, un peu de tenue, on n'a pas gardé les betteraves ensemble ! » Sauf que... je ne le fais pas. Je suis dure avec Julien et j'aime ça, mais avec un vrai mec, même moche, je deviens moralement... molle. Aussi, je remue un peu les fesses contre lui. Il me dit à l'oreille :
— Je vais monter ta tente et puis je te monterai, toi. J'vais t'filer 20 cm de bite dans la chatte.
Eh, on n'est pas seuls ! Il se tourne pour dissimuler ses 20 cm de désir pour moi... et il monte la tente. En fait, je ne suis pas du tout contre l’idée de me faire monter après la tente.
Il se dissimule un peu de sa famille parce que son sexe pointe vers mes fesses comme l'aiguille de votre boussole vers le pôle Nord. Quand la tente est montée, il annonce à sa mère :
— Je vais l'essayer... la tente.
Sa mère rigole et répond :
— On va vous laisser. Je vais à la réception avec les enfants, je leur ai promis une glace.
On se glisse dans la tente, c'est sombre, mais il rabat une toile qui s'ouvre  pour avoir de la lumière dans la journée. Il dit à Julien :
— T'as pas envie d'une glace, gamin ? Rattrape ma mère et si tu le lui demandes gentiment, elle t'en achètera une.
Julien le regarde bêtement et ne bouge pas, ce qui lui vaut :
— Qu'est-ce que je viens de te dire ? Tu veux mon pied au derrière ?
Il me regarde, paniqué. Je dis à Kevin :
— Pourquoi, tu veux qu'il parte ? Tu as des idées derrière la tête ?
— Non, dans ma bite.
C'est mignon... enfin, c'est parce que je suis excitée que je trouve ça mignon... Et puis, j'aime bien sa façon de traiter Julien. Je lui dis :
— Je voudrais qu'il reste. Tu me plais et depuis que tu m'as fais sentir ta bite, je suis chaude comme la braise, mais...
Il me coupe :
— Nous ôt' on dit chaude comme eune baraq' à frites. Tu ne veux quand même pas te faire baiser devant ton petit frère ?
— Si. À 19 ans, il est toujours puceau, alors j’aimerais que tu lui montres comment on fait.
Tête de Kevin... Il répond :
— En baisant sa sœur ?
— Sa demi-sœur. Allez sois cool.
— Bon, mets-toi à quatre pattes !
Dès que je suis dans la position qu'il veut, il me prend par les hanches et s'enfonce en moi. Ouch ! Heureusement que j'ai déjà vu le loup !



Il va et vient en moi... Je pourrais très bien m'en contenter mais j'ai envie de plus et puis il faut distraire le petit. Alors je lui dis d'une voix un peu hachée :
— Julien, glisse-toi en dessous de moi pour avoir le visage sous ma chatte.
Il obéit aussitôt à la grande surprise de Kevin qui me dit :

      — Mais il a mes couilles dans la figure !
— Comme ça, il verra tout en gros plan et il pourra me lécher la chatte et tes couilles.
       — Il verra encore mieux si je t'encule, salope !
       En disant ça, il sort de ma chatte et force mon anus. Je cris :
      — Aïe ! Brute !

Je la sens bien passé, mais il est dans son rôle ! Un Chti m'encule pendant que mon frère lui lèche les couilles et ma chatte.

 
Kevin est moche mais il sait baiser : il va et vient à toute allure dans mon cul, tandis que Julien me suce maladroitement le clito, le visage "raboté" par une paire de couilles. Il faut que je résiste, si je ne veux pas passer pour... une jouisseuse précoce ! Hélas, j'imagine obliger Julien à faire une petite toilette à Kevin. Là, j'ai plus le choix, je sens que ça vient... je me mets à gémir tandis que mon vagin se serre et...
— Ouiiii... je jouiis...
 
A suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
 
Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
 
Mes livres, ici :
 
L'épisode 3 de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" est sur le site gratuit de La Musardine,  "Mes histoires porno." 
Toujours nue, Jill est jugée et condamnée en 5 minute et une fellation!

http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-3/