samedi 31 mars 2018

Tout nouveau, tout chaud...



J'écris une nouvelle histoire pour le site "Mes histoires porno"

Elle s'appelle : "Justice Cajun" et je publierai 1 épisode tous

les 10 jours. Il s'agit d'une histoire de domination, soumission,

aventures et beaucoup de sexe.

- C'est du "Mia", quoi !

Exactement....

http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1/


jeudi 29 mars 2018

Une question...



Parfois, on me demande "Mais pourquoi Mia sans dessous" ?

Ben... j'sais pas quoi répondre. Vous avez une idée, vous ?

***

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lundi 26 mars 2018

Samia 4 - Sara la noire


Déjà lorsque j'avais 5 ans et que nous habitions près de Bucarest, je me disais, "Un jour, j'épouserai un homme riche." A l'époque, je rêvais au Prince Charmant. Un prince Charmant qui habiterait un château et pas une  caravane comme nous
C'est vers mes dix ans que mon père a décidé de partir pour la France, suite à quelques problèmes avec les autorités. De toutes façons on ne restait jamais longtemps au même endroit, nous sommes "Les gens du voyage".
J'étais contente de pouvoir aller à l'école, même si je changeais d'école au gré des destinations des foires que nous suivions. Tout le monde aura compris que je suis une Rom. On nous appelle aussi Tzigane, Manouche, Gitans, Romanichels dans les meilleurs des cas. Mais, aussi "voleurs de poules."  Ce sont les citoyens 100 % honnêtes qui nous appellent comme ça...
Adolescente, je voulais toujours épouser un homme riche et voyager autrement qu'en caravane. Dans une des écoles que j'ai fréquentée, il y avait un garçon qui fait tout ce que je voulais et j'avais déjà beaucoup d'imagination à l'époque. Pour moi, le mari idéal était comme ça. Je choisissais d'abord un petit ami pour me défendre : dur d'être Rom dans la campagne française. Le genre de garçon dur à cuire me plaisait. Mais je recherchais aussi un petit esclave, un garçon amoureux de moi qui faisait mes devoirs, portait mon cartable, se faisait punir à ma place en échange de quelques rares baisers
Le fait d'être Rom est un handicap, bien sûr. Quels sont les parents qui accepteraient que leur fils épouse une voleuse de poules ? Par contre, je suis séduisante. Notre peuple est originaire des Indes et je ressemble un peu à une Indienne :  j'ai des cheveux et des yeux très noirs et ma peau est légèrement ambré. Je plais aux hommes et aux femmes. Des amants décidés, j'en trouve, par contre des futurs maris à qui je pourrais mettre un collier et une laisse, c'est rare !
Début juillet, nos étions dans un village près de Marseille et je suis allé en stop aux Saintes Maries de la mer. J'ai demandé à notre patronne Sara la Noire, de m'aider à trouver un mari. J'y crois. Et j'ai raison d'y croire, parce que trois semaines plus tard dans le Nord, un jeune homme avec une montre Cartier semblait fasciné par moi. Genre, je suis une vipère à cornes et lui une gerbille. Au moment où il a renversé sa bière et où je l'ai obligé à nettoyer, j'ai sût qu'il ferait le mari idéal. Merci, Sainte Sara.
Il faisait exactement tout ce que je lui disait... C'est grisant, je mouillais de le voir obéir. On a été danser et j'ai flirté devant lui avec un homme comme je les aime, c'est à dire, un homme viril.
Sara me guide, comme Dieu l'a aidée à traverser la Méditerranée avec les deux Marie. Oui, je connais bien son histoire.

Cet après midi, je rencontre sa mère. D'après ce qu'il m'a dit, elle n'est pas commode. Je lui ai demandé de me donner ses clefs de voiture et son portefeuille. Il se trouve aussi démuni qu'un nouveau-né et sa maman c'est moi. Je le contrôle complètement, j'adore !
Ce midi, on s'est fait invité à manger par la famille. Je mets dans un sac quelques affaires et puis en route.
Il m'indique le chemin, jusqu'à une superbe villa dans une propriété au Touquet.  On entre et on se dirige vers la piscine, une grande piscine. Il y a un couple, sûrement ses parents, je ne savais pas qu'il y aurait son père aussi. Julien non plus, car il murmure :
— Merde, mon père est là.
Sa mère est une blonde d'une quarantaine d'années, c'est une belle femme bien en chair. Comme elle n'est vêtue que d'une culotte de maillot, je constate que sa poitrine accuse un petit coup de fatigue.
Le père est un peu plus âgé, il est aussi en maillot. Il est gros et velu.
Je me dis qu'est ce que j'ai à perdre ? Rien ! Au pire, je largue leur rejeton et je retourne au camp. Je me présente :
— Samia, ravie de vous connaître
Eux ne se présentent pas et le père attaque tout de suite :
— Alors tu t'appelles Samia et tu as envie de passer des vacances avec notre fils ?
— Oui, Monsieur, mais d'abord...
Je me tourne vers Julien et lui dis :
— On doit parler entre grandes personnes. Va prendre une douche et prépare quelques affaires. Ensuite attend dans ta chambre, je viendrai te chercher.
— Oui Samia.
Ils sont sciés, les parents ! Yeux ronds, bouches ouvertes. Comme Julien se lève et s'en va aussitôt. La mère me dit :
— Il t'obéit aussi facilement ?
— Oui.
— Et s'il ne l'avait pas fait ?
— Je l'aurais pris en travers de mes cuisses et je lui aurais donné une bonne fessée. C'est la seule façon de faire obéir les enfants, non ?
Là, ça passe ou sa casse. Ça passe : ils éclatent de rire. Le père dit :
— J'adore cette fille. Tu vois Cynthia c'est ce qu'on aurait du faire depuis longtemps.
— C'est vrai.
Le père redevient sérieux, il me dit :
— Pourquoi, veux-tu passer tes vacances avec lui ?
— J'ai envie d'un homme obéissant et attentionné.
— Tu l'aimes ?
— Je l'aimes bien
— Alors c'est par intérêt ?
— Oui, bien sûr, mais pas que ça (Sainte Sara, ne m'abandonne pas)!. Je vous explique, vers 8 ans j'ai eu un petit copain qui faisait tout ce que je voulais : j'ai adoré ça. Je me suis dis "plus tard j'aurai un mari riche, qui fera tout ce que je veux." Quand votre fils a semblé subjugué par moi, je me suis dit "c'est lui que je cherche."
La mère répond :
— Tu sais qu'il est dépressif, paresseux comme une couleuvre. De plus, il boit beaucoup trop d'alcool et prend de la coke régulièrement.
— Je le changerai.
— Tu es bien sûre de toi.
— Oui.
Le père me dit :
— Tu as couché avec lui
— Plus ou moins, il m'a léchée.
Ils se regardent en souriant. La mère me dit :
— Et il te satisfait ?
— Avec sa langue, oui. Rien ne m'empêche de prendre un amant viril si j'ai envie de sentir une vraie queue en moi (Sainte Sara !!)
Ils restent un moment muets, puis, ils se remettent à rire tous les deux. Je mouille ! Le père me dit :
— Qu'est ce que tu veux et qu'est ce que tu proposes ?
— Je veux qu'on se marie et j'en ferai un mari obéissant, sobre et travailleur.
Ils sont un peu sur le cul, les grands bourgeois. Le père me dit :
— Si tu arrives à le changer, d'accord pour le mariage.
— Je dois encore vous dire que je suis une Rom et que mes papiers ne sont pas en règle.
Ils se regardent à nouveau.  La mère me dit :
— Laisse-nous parler entre nous.
— D'accord ça ne vous dérange pas que je nage un peu ?
— Vas y.
J'enlève ma robe et je plonge dans la piscine. Mmmmhh, le froid me fait du bien... Je fais quelques longueurs puis je sors de la piscine en me hissant sur le bord opposé à eux. Matez mon cul, les gadjé !





Le père me dit :
— Reviens.
Quand je suis prés d'eux, mouillée et nue, il me dit :
— Si tu le guéris de ces addictions, d'accord pour le mariage dans un mois. Tu vois ça comment ces vacances ?
— On part à l'aventure en stop vers le Midi.
— Vous n'irez pas loin avec ce qu'il a. Tu veux de l'argent, sans doute.
— Non, merci, on va se débrouiller.
Là, ils sont encore une fois surpris.


 
Ils ont vraiment envie que je dresse leurs fils, mais ils sont méfiants. Le vent m'a séchée, je remets ma robe. Je leur plais ? Physiquement, oui, sans doute, pour le reste... à moi de jouer finement.
Le père me dit :
— Laisse-nous 5 minutes en parler entre nous.
— Oui, bien sûr. Je vais chercher Julien.
J'entre dans la maison en passant par la porte fenêtre du living et je vois la bonne en uniforme qui fait semblant de ramasser quelque chose. Elle écoutait la conversation, bien sûr. Je lui dis :
— Bonjour, il est comment Julien avec toi ?
Elle lève les yeux au ciel.
Ok j'ai compris. J'ajoute :
— Je vais le dresser ! Montre moi sa chambre.
Grand sourire de la petite bonne qui me dit :
— J'en serais ravie. Suivez-moi.
On va au premier étage où se trouve la chambre de Julien. Il est là avec des paquets de vêtements et deux grandes valises à moitié remplie. Il est malade. Je dis à la petite bonne qui est resté sur le pas de la porte :
— Tu pourrais aller me chercher un petit sac de voyage ?
— Oui, Mademoiselle, tout de suite.
Cool d'avoir une bonne, j'en aurai une aussi... bientôt. Julien crève d'envie de me demander comment ça s'est passé avec ses parents, mais il ne le fait pas. je lui dis :
— Tu mets un jean, un tee shirt et des baskets ou des chaussures de sport. pas de caleçon. Allez !
La bonne est revenue avec un petit sac de voyage. Elle le regarde se déshabiller en souriant. Elle me dit :
— Je peux vous aider Mademoiselle ?
— Oui, apporte sa brosse à dents et du dentifrice..
Elle va dans la salle de bain attenante et revient avec ce que je lui ai demandé. Dans le sac, je mets un tee shirt, deux pulls et une veste en cuir. Voilà, je veux qu'on voyage "léger" en tout cas lui. Maintenant une petit peu de dressage ! Je dis à Julien :
— D'après ce que tu me dis, tu n'as pas toujours été très gentil avec la bonne, hein ?
— C'est... vrai, mais...
— Excuse-toi avant de partir !
Il reste là tout con ! Je hausse le ton :
— Obéis !
— Je... je vous prie de m'excuser, Mademoiselle.


A suivre.

Un tout grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Les "Mia sans dessous" tome 1, 2, 3 et 4 sont ici.
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vendredi 23 mars 2018

Un satyre... enfin !


Non, je ne suis pas poursuivie par un satyre, j’essaie de le rattraper !

***

Sans lecteurs, un auteur disparaît... alors, lisez-moi...

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mercredi 21 mars 2018

Mia est écolo.

Aah, enfin ! Voici les hommes de la voirie, je dois leur demander 
un conseil concernant... euh... le tri sélectif.


J'écris pour vous, alors lisez-moi.
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lundi 19 mars 2018

Samia 3 - Une nuit chez les Roms.

Julien.   
*****
Pour sortir de la boîte, Samia me tient fermement par le bras. J'avoue que je ne marche plus très droit.
C'est à nouveau elle qui roule. Elle a bu beaucoup moins que moi et elle a l'air de très bien tenir l'alcool. Malgré mon état, je pense à cette demi-journée avec elle et à ses paradoxes. Mes parents sont très autoritaires et je déteste ça. Alors, pourquoi obéir à Samia ? Je suis peut-être tombé amoureux d'elle en un temps record ? Ou alors, c'est qu'avec elle, je cesse d'avoir des idées noires, des angoisses ?
Demain, je compte quand même lui dire clairement les choses. J'aimerais une aventure avec elle, à condition de cesser de me traiter comme elle le fait...
Arrivés devant le terrain vague, elle me demande :
— Julien, c'est comment pour enclencher le 4 X 4 ?
— Je... ne sais pas.
Elle soupire, puis brutalise le changement de vitesse et elle trouve. On prend un chemin défoncé. Ce n'est pas évident, même en 4 X 4, mais elle conduit bien. Elle colle la voiture contre sa caravane, puis me dit :
— Si tu dois pisser, c'est dehors. Si tu dois chier, attends demain, je te montrerai les chiottes du camp.
Dès qu'on est entré, elle enlève sa robe. Je la regarde : qu'est-ce qu'elle est belle ! Ses seins bougent, tandis qu'elle débarrasse le lit de tout ce qu'il y a dessus. Elle fait un gros tas de tas de vêtements sales à côté du lit en disant :
— Tu dors là!
Elle se couche et éteint la seule lampe qui était allumée. Bon... Demain, je lui dirai qu'elle doit me traiter autrement. Je me couche sur ses vêtements... Je ne suis pas attiré par les odeurs, mais avec Samia, c'est à nouveau différent et je m'endors avec un de ses tee-shirts comme doudou.



Je suis réveillé par un coup de pied dans les fesses, c’est Samia, qui me dit :
— Debout !
Ouch ! J'ai la gueule de bois. Je la vois prendre dans le tas de vêtements sales un short en jean et un tee shirt. Elle les enfile me disant :
— Dépêche-toi !
J'enfile les vêtements que j'avais hier, ce n'est vraiment pas dans mes habitudes, mais comme on dit "À Rome, fais comme les Romains". Ici, ce serait "Chez les Roms, fais comme les Roms."
Dans un coin du camp, il y a une toilette comme celles qu'on installe sur les chantiers. Samia entre et ne ferme pas la porte. C'est dingue de faire ça, pratiquement en public. À la fin, elle s'essuie avec un morceau de journal en me disant :
— À toi ! Et pas des heures, hein ?
Moi, je ferme la porte et heureusement, ça va vite. Dès que je sors, elle m’annonce :
— On va déjeuner.
On ne se lave pas les mains ? Il semble que non.
Il y a une dizaine de caravanes dans ce terrain. Des gens ont installé des tables et des chaises à l'extérieur, pour déjeuner.
Elle va vers un petit groupe de gens qui mangent et embrasse tout le monde. Une femme bien en chair lui demande :
— Tu déjeunes avec nous ?
— Je ne veux pas déranger Luludja, surtout avec un gadjo.
— Pas de problème. Il s'appelle comment ?
Elle me regarde, je réponds :
— Julien, Madame. Merci de m'inviter.
— J'espère que tu aimes le hérisson. On en a trouvé un beau hier sur la Nationale.
—  Euh....
Ils se mettent tous à rire. La femme me dit :
— Je te charrie.
Ouf, le hérisson écrasé, ça ne me dit rien. Je les regarde. Difficile de voir que ce sont des Roms. Un des enfants est même blond. Et, ils mangent comme nous : du pain et de la confiture. Ils boivent du café. Je dis à Samia :
— Je devrais téléphoner chez moi, sinon ils vont s'inquiéter.
— Il y a une cabine pas loin.
On déjeune... Ensuite, je remercie Luludja et sa tribu. On retourne vers la caravane de Samia. Elle me dit :
— Je vais te donner une idée de la vie avec moi, si on se marie (!!!). Le moins, puis le plus.
Je la regarde avec un air ahuri, sans doute, puisqu'elle m'explique lentement comme on le ferait à un enfant pas très malin :
— Tu devras obéir mais tu seras récompensé. D'accord ?
— Oui Samia....
Quand on est dans la caravane, elle me dit :
— Pour commencer, trie le linge sale, un tas avec les culottes, un tas avec les tee-shirts, le blanc d'un côté, couleur de l'autre. Et puis tu ranges, c'est un peu le bordel.
Pourquoi un peu ? J'ai jamais vu un bordel pareil! Elle va s'installer dehors au soleil avec un magazine et elle discute avec différentes personnes qui passent devant la caravane.
Trier ses vêtements sales, c'est troublant : j'imagine les strings entre ses fesses et contre sa chatte. Les tee-shirts sont aussi imprégnés de son odeur. Quand j'ai fini de trier les vêtements, je trouve un rouleau de sacs poubelles. J'en remplis deux avec des canettes et des boîtes de conserve vides, une autre avec divers détritus.
Je n'ai jamais fait ça. On a des servantes pour faire le ménage. Samia doit être une sorcière ou une magicienne, elle m'a ensorcelé. Je ne peux pas m'éloigner d'elle, quitte à faire son ménage.
Est-ce que le Dieu des bonnes me fait payer mon attitude avec Lucy ?
Je frotte aussi toutes les surfaces... Je transpire et j'ai envie de prendre une douche... Je refais son lit du mieux que je peux. Je sors de la caravane pour lui annoncer :
— J'ai rangé, Samia.
Elle entre dans la caravane et jette un rapide coup d'œil. Elle ne commente pas, se contentant de dire :
— Déshabille-toi et couche-toi sur le lit.
Elle se déshabille aussi et elle vient s'asseoir sur moi. Plus exactement, elle s'assied sur mon visage.
J'ai sa chatte sur ma bouche et mon nez entre ses fesses ou pour appeler un chat un chat, le nez presque dans son cul. C'est... euh... un truc de dingue. Et plus dingue encore, je trouve qu'elle sent bon. Elle a une odeur chaude et corsée, comme sucrée. Elle m’ordonne :
— Lèche.
Je commence à la lécher tandis que son odeur m'envahit. Je n'aime pas, c'est trop fort et en même temps son odeur et son goût m'affolent. Elle se penche et commence à "jouer" avec mon sexe. Je n'ai jamais été aussi excité de ma vie, c'est de la folie!



Elle me... masturbe avec deux doigts, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps... Quand je suis sur le point de jouir, elle s'arrête. Elle va continuer ce petit jeu un moment... Pendant ce temps, je lèche sa chatte et je respire une odeur telle que Marc Antoine devait s'en mettre plein le nez au cul de Cléopâtre.... Ou Charles VI, au cul d'Agnès Sorel, la dame de Beauté. Ces pensées étranges me viennent tandis que je suis sous ses fesses, toujours à un doigt de jouir. Elle se fait aller et venir sur mon visage, mon nez vient même faire une incursion dans son vagin. Elle accélère le mouvement, je suis devenu  son sex-toy. Bientôt, elle jouit sur mon visage.
Je bouge un peu la tête pour lui demander :
— S'il vous plaît...
— Quoi ?
— J'ai envie... de jouir.
— Allez bon, je t'ai dit que tu verrais le bon côté...
Oh ! Elle prend mon sexe en bouche ! Sa bouche est douce, chaude et humide, c'est merveilleux comme sensation... Elle me suce très lentement, mais impossible de me retenir. Je vais jouir dans sa bouche ?? Oh oui... Oooohh c'est bon... Elle avale tout. Elle avale même mon âme, mon cœur, mon cerveau... en même temps que mon sperme.
Elle se relève et me dit :
— A ton tour d'avaler.
Elle se met au dessus de moi en écartant bien son sexe avec ses doigts.
Et... oh ! Elle pisse. J'avale le liquide chaud... Heureusement, elle ne fait qu'un petit peu. Elle me dit :
— Voilà, j'ai marqué mon territoire, les autres femelles sauront que tu es à moi.
Elle va sous la douche, rapidement... et s'essuie encore plus vite. Ensuite, elle met sa robe rouge, un string et des espadrilles compensées noires, c'est tout.
Je me rends compte que ça fait 25 h que je ne déprime plus. Samia est le meilleur antidépresseur qui soit. Elle m’annonce :
— On va téléphoner à ta mère et ensuite on se fera inviter à bouffer.
On sort du camp pour aller dans une cabine. Elle entre avec moi. On est collé l'un à l'autre, qu'est-ce qu'elle me plaît !
J'appelle et j'ai ma mère en ligne. Bien sûr, elle m'engueule... Elle crie si fort que Samia entend tout. Elle me dit :
— Passe-moi ton téléphone et sors de la cabine.
Incapable de résister à Samia, je lui donne et je vais attendre dehors. Une discussion entre ma mère et une Rom, ça va être spécial ! Quand elle a fini, elle  de la cabine et me demande :
— Tu veux partir en vacances avec moi ?
— Oui...
— Tu sais que tu devras m'obéir.
— Oui, je sais.
— Bon, c'est arrangé. On va chercher des vêtements cet après-midi et je discuterai avec ta mère.
On retourne dans le camp. Il y a des odeurs de barbecue... On se dirige vers une autre caravane. Il y a pas mal de monde autour d'une table, une jeune fille cuit de la viande sur un gril posé sur des pierres. Samia embrasse tout le monde. Je reconnais le gros type, patron de la buvette où j'étais hier. Je dis bonjour. Ils me regardent intrigués, pas vraiment chaleureux. Samia demande au gros type :
— Je vais voir les parents du gadjo cette après-midi, tu peux me remplacer ?
— Oui, bien sûr.
— Merci... bon, on va aller manger.
Une femme plus âgée lui propose :
— Tu veux manger avec nous, ma belle ?
— Volontiers, merci beaucoup.
On nous fait une place. C'est bon ce qu'on mange, j'espère juste que ce n'est pas du hérisson. Je bois du rosé, je regarde Samia... Je suis bien.

A suivre.

Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres. Infos : mia.michael@hotmail.fr

dimanche 18 mars 2018

Auto-stop.


Je n'ai pas de voiture, alors je fais du stop

et je suis souvent prise, sans doute grâce à la guitare.



Venez me rendre visite, ici :

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Ne me laissez pas sur le bord de la route.


vendredi 16 mars 2018

Mia fait peur... aux oiseaux !

Amis paysans, vos récoltes sont ravagées par les oiseaux ?
Louez Mia, l'épouvantail qui vous sucera en fin de journée !
***
Lisez-moi, je pourrai changer de métier : dur de faire l'épouvantail !
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dimanche 11 mars 2018

Rien à cacher.


Aujourd'hui, je ne vous cache vraiment rien... 



et dans mes livres, je ne vous cache rien, non plus, alors lisez-moi. Ils sont ici :

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vendredi 9 mars 2018

Mia, une salope ?

Vous allez adorer mes livres, "Salope sans slip."

- Tu es sûre du titre, Mia ?

Oops ! Je veux dire, "Mia sans dessous" !

- Note que "salope sans slip", ça te va rudement bien !

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Samia 2 - Oh, comme c'est mignon...

  On sort du petit établissement. La fille me dit :
   — On va d'abord passer chez moi, je dois me changer.
   Oui, ça vaut mieux. Je n'y avais pas pensé, mais les mini shorts en jean, c'est pas le genre des restaurants étoilés. Je ne marche pas très droit, il vaut mieux qu'elle conduise.
   Je me rends compte que depuis que je l'ai vue dans ce café, je n'ai plus eu d'idées noires.
   On monte en voiture. Elle conduit facilement cette voiture qui doit avoir 20 ans et pas de servo-direction. On s'arrête juste en dehors de la ville, devant un terrain où il y a quelques caravanes. Elle habite là-dedans ? Elle fait signe à un gamin qui rapplique aussitôt. Elle lui dit quelques mots dans une langue qui m'est inconnue. Il répond :
   — Oui, sois tranquille, Samia.
   Quelle drôle de prénom et quelle drôle de langue. On va vers la caravane. Je bute sur une pierre et manque m'étaler. Elle me rattrape in extremis en disant :
   — Tu en tiens une solide, toi et ce n'est que la fin de l'après-midi.
   — Euh... oui, j'ai un peu trop... bu... Vous parlez en... quelle langue ?
   — C'est du rom, du tzigane.
   Oh ! Pas étonnant que je ne comprenne rien. On entre dans la caravane. Le mobilier est sommaire : un lit, une table et des chaises. Par contre, il y a des vêtements en boule et de la vaisselle sale un peu partout. Dans un coin, il y a même un tas de canettes vides. Elle ne s'excuse pas du désordre. Ce qu'on pense de ses qualités de ménagères, manifestement, elle s'en fout. Elle se déshabille. C'est vite fait : un short, un chemiser et c'est tout, même pas de sous-vêtements. Elle ne s'exhibe pas, mais se met simplement nue, sans aucune gêne. J'admire ses seins en poire aux pointes foncées et la fourrure noire qui couvre son pubis. Elle me dit :
   — Déshabille-toi.
   Oh ! Je ne pensais pas que c'était une pute ! Mais ici, tout est possible et elle me plaît vraiment beaucoup, mais... je n'ai pas envie de... me mettre nu. Elle vient vers moi et me dit :
   — Je vais te simplifier la vie. Quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais sans discuter. Compris ?
   Elle me parle comme je parle à Lucie. Plutôt que répondre, je me déshabille, mais en gardant mon caleçon. Avant que je puisse réagir, elle prend mon slip à deux mains par la ceinture et le descend sur mes chevilles.
   Elle s'exclame :
   — Oh ! Comme c'est mignon ! Il ressemble comme 2 gouttes d'eau à celui de mon neveu qui a 10 ans.
   Elle prend mon sexe dans la main et elle le caresse en ajoutant :
   — On peut te branler avec deux doigts... Et ces couilles, on dirait des toutes petites cerises.



  Il arrive des choses vraiment surprenantes à Berck. L'alcool et elle, je n'ai plus les idées claires du tout et je la laisse me masturber. Qu'est-ce que je pourrais faire d'autre ?
   Je devrais partir ou avoir honte... ou la laisser faire ce qu'elle veut. Elle sent la gitane qui a eu chaud et continue de me manipuler habilement. Je sens que je vais bientôt jouir dans sa main... J'ai honte mais en même temps, j'en ai très envie. Hélas, elle s'arrête en disant :
   — Maintenant une bonne douche, ça va te dessouler.
   Merde ! J'y étais presque. Je m'entends dire d'une vois geignarde :
   — J'y étais presque ! Vous voulez bien....
   — Non !
   Elle me pousse dans un placard. Ah non, c'est la douche. Elle tourne un robinet et une pluie d'eau froide s'abat sur moi. Je crie :
   — C'est trop froid !
   — C'est ce qu'il te faut.
   J'essaie de sortir, mais elle me maintient sous les jets d'une poigne de fer. Enfin, elle me laisse sortir et regarde mon sexe en riant.
   — Maintenant, c'est mon neveu quand il avait 8 ans !
   Le froid, c'est normal que... Elle m'essuie comme si j'avais vraiment 8 ans. Quand c'est fait, elle me dit :
   — Rhabille-toi, on part.
   — On ne pourrait pas...
   — Quoi ?
   — Continuer un peu... euh...
   — On verra. Peut-être, si tu es sage. Maintenant, on part.
   Je déteste quand ma mère ou les autres me traitent de cette façon, mais elle, c'est différent. Je me rhabille et on monte en voiture. Je suis un peu plus lucide et je me dis que je suis dingue de laisser cette fille conduire la voiture. Si ça se trouve, elle va s'arrêter sur une route déserte, m'enfoncer un couteau dans le ventre et voler mon argent et la voiture. Mais où va-t-elle ? Je lui fais remarquer :
   — Ce n'est pas la route du Touquet.
   — Non, on va ailleurs.
   Par une route déserte ? On dirait qu'elle lit dans mes pensées, parce quelle ajoute :
   — Panique pas. C'est quoi ton nom ?
   — Ju... Julien. Où va-t-on ?
   — Surprise.
   On roule encore un peu et on arrive devant une discothèque bling-bling : "The Paradise Beach." Il y a des néons de toutes les couleurs et le dessin d'une pin up qui boit dans un verre avec une paille. Elle se gare et me dit :
   — Donne-moi ton portefeuille.
   Elle est folle?!! Ou alors c'est moi qui suis fou, parce que je lui donne. Elle le prend en disant :
   — Voilà, tu dépends entièrement de moi, maintenant. Ça ta plaît ?
   — Euh... c’est vous qui me plaisez
   On entre dans la boîte. C'est plein de jeunes du coin, surtout de Berck, sans doute. Inutile de dire que c'est spécial. Elle va embrasser la barmaid et lui donne son sac, avec mes clefs et mon portefeuille. On trouve une petite table au bord de la piste de danse et on s'assied. Un serveur vient apporter une bouteille de champagne. C'est peut-être une entraîneuse et le champagne va me coûter un bras. Je lui dis :
   — J'ai faim.
   — On verra plus tard. Je vais danser, toi tu ne quittes pas la table. Ne te ressers pas avant que je sois revenue.
   C'est maintenant qu'elle va aller récupérer son sac et partir avec la voiture. Pour donner le change, elle va d'abord sur la piste de danse. Les filles sont plutôt jolies et sexy mais pas très distinguées. Quant aux hommes, ils ont presque tous des tatouages et des dessins dans les cheveux ! Samia danse bien, je ne vois qu'elle, si belle dans sa robe rouge. Les garçons lui tournent autour mais elle ne s'occupe pas d'eux. 
   La piste est très éclairée, ce qui est inhabituel dans ce genre d'établissement. Comme je suis au plus près de la piste de danse, je regarde le sol et... Oh ! Les gens dansent sur un miroir ! Le sol est un miroir. Comme la plupart des filles ont des jupes très courtes, on voit leurs strings ou même leurs chattes et leurs fesses, en ce qui concerne quelques-unes. Quel spectacle?! Je suis fasciné par ces strings qui disparaissent entre les fesses. Savia a un string rouge doublé de fourrure noire ou alors ce sont ses poils! J'en oublie que je vais me faire dépouiller. J'adore cet endroit, j'adore Berck-sur-Mer... et aussi Samia, si elle revient.
   Oui ! Après avoir dansé un moment, Samia rejoint notre petite table. Elle me dit :
   — Sers-moi une coupe de champagne.
   Elle ajoute :
   — Alors, tu aimes le spectacle ?
   — Oui, surtout vous.
   Elle a des auréoles de sueur sous les bras et une odeur sauvage. Elle devrait quand même mettre du déodorant. Elle me dit :
   — Je retourne danser...
   Il y a un slow et je la vois danser avec un grand mec... J'aimerais être à sa place. Quand elle revient, le type l'accompagne. Elle me le présente :
   — C'est Ralph.
   Puis à lui :
   — Voici Julien, mon futur fiancé, mais il ne le sait pas encore.
   On se serre la main. Je suis surpris. Lui, aussi. Futurs fiancés, mais on ne se connaît que depuis quelques heures. Comme il n'y a que deux chaises, il s'assied et prend Samia sur ses genoux en me demandant :
   — Ça ne te dérange pas que je prenne ta promise sur mes genoux ?
   — Euh... non.
   Il met la main sur les fesses de Savia, en me disant :
   — Rarement vu un aussi beau cul, tu as de la chance.
   Bêtement, je réponds :
   — Merci.
   Samia me dit :
   — Sers-nous.
   Je remplis son verre et puis le mien pour "Ralph" ! Ils boivent et retournent danser. Je regarde les petites chattes en string se trémousser sur la piste de danse... Je n'ai plus les idées claires du tout étant donné tout ce que j'ai bu aujourd'hui et je suis perdu par rapport à Samia. Pourquoi dit-elle qu'on est fiancés??
   Elle vient danser un moment juste devant moi et elle se contorsionne de telle façon que sa chatte me fait presque la moue... Ensuite, je ne les vois plus. Je bois et je regarde. Elle revient, seule. Je remarque sa robe un peu chiffonnée et un gros suçon dans le cou. On dirait que ma fiancée n'est pas une fille sérieuse. Je lui demande :
   — Pourquoi, avez-vous dit que j'étais... euh...
   — Je dois me marier pour régulariser ma situation. Ça te plairait ?
   — Qu'on se marie ?
   — Oui.
   Elle est folle ! On se connaît depuis quelques heures et j'ai vraiment l'impression qu'elle vient de se faire baiser dans les chiottes. Mais... depuis que je suis avec elle, je n'ai plus aucune de ces angoisses et...
   — Alors ?
   — Oui, ça me plairait.
   Elle me sourit et plonge sa main dans mon pantalon... Oh?!!! Elle a pris mon sexe en main en disant :
   — Tu as été sage, ça mérite une récompense pendant que tu te rinces l'œil.
   Elle me caresse jusqu'à ce que je sois sur le point de jouir et là, elle s'arrête à nouveau et retire sa main. Ça fait deux fois qu'elle me laisse sur ma faim. Je lui dis d'une petite voix.
   — Pourquoi vous... arrêtez ?
   — Tu as été sage, mais pas assez que pour que je te permette de jouir. J'ai fait le tour de ce qu'il y avait ici, on rentre.
   C'est vrai que la vie est simple comme ça. Elle ajoute :
   — Tu veux passer la nuit chez moi?
   — Oh, oui !
 
   À suivre.
 
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lundi 5 mars 2018

Une fille qui a du chien.

         C'est l'heure où le chien du voisin vient me dire bonjour...


- Ouaf !
Ah, bonjour, mon chéri... Entre vite... Aaaah... ouiiii....

samedi 3 mars 2018

Samia - 1 Samia, fille du voyage.

Voici l'histoire que j'ai commencée à écrire à Giverny avec Bruce (voir Les vacances de Mia) Julien. ******* Ma mère a les moyens de passer les vacances, n'importe où dans le monde et tous les ans on se retrouve au Touquet. Bonjour, la destination exotique. J'aurais vraiment voulu me changer les idées, aux Maldives, par exemple, parce que je traverse une sale période. A 18 ans, je viens de rater ma dernière année au lycée et mes parents ont décidé que je n'étais pas assez intelligent et surtout trop paresseux pour faire des études universitaires. En septembre, je vais donc travailler dans l'usine de mon père. Je crains qu'il ne se venge de mes mauvais résultats en me donnant un travail pas marrant. Ce n'est pas que je sois vraiment paresseux, mais je manque... d'endurance, disons. Un jour, je serai le PDG de la société avec ma soeur, qui, elle, poursuit des études de droit international, rien que ça !. J'ai 18 ans, mais j'ai l'air plus jeune. Ma mère dit que je n'ai pas fini ma croissance. Je dois toujours avoir une pièce d'identité sur moi pour prouver mon âge. Un de mes complexes, c'est mon sexe : il mesure 10 cm en érection, ça ne facilite pas mes relations avec les filles. On va dire que de ce côté-là, je n'ai pas fini ma croissance, non plus. Pour tout dire, je suis puceau.

Mon allure juvénile et la taille de mon sexe ne renforcent pas ma confiance en moi. J'ai souvent des angoisses, des peurs irraisonnées... et des moments de dépression. Ma mère m'a déjà inscrit à plusieurs activités sportives, mais... je préfère jouer sur le Net. Ces vacances me filent le cafard... Il faut dire que je ne suis pas en bonne compagnie. Je suis avec ma mère qui est une femme autoritaire et qui me traite comme si j'avais 8 ans. Son nouvel amant est là aussi. C'est un macho qui me traite de la même manière et m'appelle "petit" ou "petit feignant". Connard ! On est au bord de la piscine. Il y a ma mère, 42 ans, jolie et bien en chair. Elle est vêtue d'un string en tout et pour tout ! A côté d'elle, son amant, le connard ! Il doit mesurer 1 m 85 et peser 90 kg. Il y a aussi un couple d'amis, elle, seins nus. Je ne suis au bord de la piscine que parce que ma mère veut me dicter une liste de courses à faire. Elle a décidé que ça me ferait au moins une activité dans la journée. J'attends qu'elle se décide à me dire ce qu'il faut acheter. Lucie, la servante originaire de la région vient m'apporter un Ricard. Elle me demande : — Je le mets où, Monsieur ? Elle m'énerve ! J'ai envie de lui répondre "dans ton cul !", mais je lui dis : — Vous prenez une petite table et vous déposer le plateau dessus. Ça va, vous comprenez tous les mots ? — Oui, Monsieur. Ça fait rire ma mère. C'est vrai que les gens du coin sont des abrutis. J'ai d'autres raisons d'en vouloir à Lucie : je l'ai vue se laisser peloter complaisamment par mon père quand il vient le week end. Elle me traite, elle aussi, comme un enfant et... oui, un jour elle m'a surpris occupé à me caresser devant "YouPorn" et elle m'a dit en riant : — Vous savez que ça rend sourd, Monsieur Julien. Je n'ai pas apprécié ! On la paie pour nettoyer pas pour faire de l'humour. Ma mère tourne ses gros seins vers moi en disant : — C'est le dernier Ricard, Julien ! C'est mauvais pour ta croissance. Connasse ! Je l'emmerde ! J'en ai marre de ma mère, de ses amis, de Lucie, du Touquet ! J'en ai marre d'avoir sous les yeux les seins luisants d'huile solaire de ma mère ! Pour une fois, j'ai envie de bouger de voir d'autres gens. J'ai vu un documentaire sur Berck sur Mer, plage très populaire, surtout en été. Je dis à ma mère : — Je vais faire les courses et puis je voudrais rejoindre un ami du collège qui est à Berck sur Mer. — C'est archi-moche ! Berck sur Mer est à un peu plus de 20 km, mais on change de monde. Berck c'est le bas peuple. Je réponds : — Cet ami va me montrer la plage où il y a des phoques, je voudrais faire des photos. Je peux prendre la Mercedes ? — Sûrement pas. Prend la Land Rover. — Mais elle n'a pas de servo-direction. Son amant me dit : — Comme ça vous serez deux à ne pas avoir de cerveau ! Ils se marrent ! Connards !! Quand elle a fini de rire, ma mère me dicte les courses à faire... C'est long. Je lui dis : — J'y vais et puis, je peux aller à Berck ? C'est son amant qui répond : — Oui, tu peux. J'en profiterai pour faire un câlin à ta mère. Ça la fait glousser. Ecoeurant ! Je rejoins Lucie à la cuisine et on part faire les courses. Je lui en veux et je lui et je lui fais bien sentir. En rentrant, elle finit par me dire :: — Vous n'êtes vraiment pas sympa avec moi, Monsieur Julien ? — Tu refuses de prendre un verre avec moi. — J'ai 25 ans Monsieur Julien et vous êtes encore un enfant.. Grrrr ! Je la dépose avec les courses devant la villa, qu'elle fasse un peu d'exercice.. Ensuite, je file à Berck. J'en ai marre du Touquet. De ma mère, de son amant qui m'humilie, de Lucie qui me repousse... Ça fait beaucoup ! A Berck, je vais à la plage. Je me balade, sur le bord de sable dur léché par les vagues et je regarde la faune. Tous les adultes sont tatoués ou presque. Il y a moins de belles filles que sur la plage du Touquet. C'est normal : les riches épousent de plus belles femmes. Je voudrais parler avec ces gens, mais je n'ose pas et j'ose encore moins draguer les filles. Ça me change quand même très agréablement des snobinards du Touquet. C'est vraiment dépaysant! Rapidement, j'ai envie de boire quelque chose. Je me dirige vers la rue principale et je passe à côté d'une foire, un peu minable, bien sûr. Il y a un manège avec des chevaux, quelques attractions, une friture et un débit de boisson. Ce qui me pousse à y entrer, c'est une publicité pour une bière de l'Abbaye de Brognies, 10,5 ° d'alcool. La faune qui s'abreuvent est encore moins classe que les gens sur la plage. Je prends mon courage à deux mains et j'entre. Il y a beaucoup de monde et plus une place de libre. Je vais me mettre debout au bar et je demande une bière d'Abbaye à un gros type patibulaire en maillot de corps pas très propre. Les gens me regarde : je fais tache. Je suis bien habillé et pas tatoué. Je bois une bière, puis une autre. Une jeune fille arrive derrière le bar et embrasse le gros type sur la bouche. Si c'est son amie, ils ont 25 ans de différence, si c'est sa fille, ils sont très intimes. Elle doit avoir une vingtaine d'années et elle est plutôt grande, très brune et très sexy. Elle a un short en jean qui arrive juste au dessus des fossettes de ses fesses et un chemisier sans manches noués au dessus du nombril. Son abondante chevelure brune est retenue vers l'arrière par un gros élastique en une queue de cheval laissant échapper des mèches. Elle n'a pas de maquillage sauf les yeux qui sont soulignés de noir. Son visage est régulier et elle a petit nez. Sa bouche est mince, mais bien déssinée.

Il y a déjà une serveuse, donc, la fille derrière le bar doit être l'amie du gros type. C'est d'autant plus évident que je vois qu'il lui caresse les fesses. Je suis fascinée par cette fille et par sa beauté sauvage. Elle aide mollement la serveuse en apportant des verres. Elle remarque que je la regarde... intensément, car elle me dit : — J'ai du noir sur le nez ? — ... euh... pardon... Je vous regarde parce que vous êtes très belle. — Bonne réponse. Ne reste pas debout, assied toi, là. Elle me désigne une place qui vient de libérer à une table où il y a déjà 3 mecs... pas sympas. Je réponds : — Je ne veux pas déranger. Elle me prend par la main et elle m'amène vers la chaise libre en disant : — Faut pas être timide. Ils ne vont pas te manger. Hein, les gars ? Les gars rigolent tandis que je rougis. J'offre une tournée aux trois hommes pour me faire bien voir et je continue à la bière forte. C'est la fin de l'après midi et l'alcool commence à me faire vraiment de l'effet. Je discute avec les gars. Ils viennent de Lille, moi aussi et ils travaillent en usine, moi aussi, mais je ne crois pas qu'on fasse le même boulot ! C'est surprenant, mais je me sens bien, ici. Je commande encore une tournée. La belle brune apporte 3 verres et me dit : — Pas pour toi, tu as assez bu. — ... juste un dernier verre. — Non. — Mais, j'ai soif. — Bois de l'eau. Eh ! Je suis un client quand même ! Dès qu'elle a le dos tourné, un de mes nouveaux amis me dit : — Bois un coup du mien. C'est gentil. Je veux prendre son verre, mais je fais un faux mouvement et je le renverse sur la table. Mes voisins se reculent pour ne pas en avoir sur leur pantalon. La fille qui a vu la scène me dit sèchement : — Qu'est ce que j'avais dit ? Je réponds bêtement : — Mais, je l'ai pas fait exprès. — Manquerait plus que ça ! Elle me tends une serviette en disant : — Nettoie ! Je frotte la table, sous les regards goguenards de mes voisins. Elle revient et me donne un torchon en disant : — Par terre, aussi. Là les gens rient carrément, surtout quand du bout du pied elle me montre un endroit mouillé. Je nettoie, puis je vais vers le bar pour rapporter le torchon. Elle le prend et me dit : — Tu veux payer ? Sans réfléchir, je réponds : — Je tiens à m'ex... m'excuser. Est ce que je peux vous inviter au restaurant ? Au Touquet il y a un très bon restaurant. Elle n'a pas l'air surprise par ma proposition. Elle répond : — Tu as quoi comme voiture ? — Une Land Rover. — D'accord, mais, c'est moi qui conduit. Donne moi tes clefs. Je les lui donne. Je paye et elle va parler au patron, je vois qu'il me regarde. Elle met ses bras autour de son cou et se colle à lui. Il commence par refuser, je pense, mais elle lui murmure des choses à l'oreille. Il finit par soupirer et lever les yeux au ciel. Je suppose que ça veut dire qu'il accepte. A suivre.
Si vous voulez me contacter : mia.michael@hotmail.fr

Pipi !!


Je crois qu'il y a des voyeurs, dans ce buisson, Mia.
-  Ça tombe bien ! Eh, les gars, y en a pas un qui a un kleenex
pour venir m'essuyer ?


Lisez-moi, vous aimerez mes livres...
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jeudi 1 mars 2018

Une chatte... survoltée...

Comme toutes les chattes, la mienne est curieuse. Elle veut toujours voir ce qui se passe.
- Regarde, chérie, pas un mâle à l'horizon, hélas.
Et le photographe ?
- Il a une petite bite.
Ah, merde !



Ma chatte m'inspire des histoires, alors, lisez-nous.
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