samedi 30 décembre 2017

Le nouvel épisode...

... de Mia sans dessous se passe au Cap d'Agde...
Je suis quand même plus photogénique à poils, non ? 

 

mardi 26 décembre 2017

Les vacances de Mia - 2


   Alix revient et dit à sa mère :
   — Elle ne va quand même pas faire le service cul nu ! Je suis allée lui chercher une culotte.
   — Tu as bien fait, ma chérie.
   Elle me tend... une immense culotte, en disant :
   — C’est le modèle pour grand-mère.
   Je ne crie pas, je ne pleure même pas, me contentant d’enfiler cette culotte ridicule qui me couvre des genoux au nombril.  Les deux femmes rigolent...  


  

   Je mets vite l’uniforme. C’est une robe noire à manches courtes et garnies d’un bord blanc, comme le col arrondi. Il sent la transpiration d’une autre, ce qui n’est pas très hygiénique, même pour une bonne ! Il y a aussi un grand tablier blanc et un petit diadème en tissu à mettre sur la tête. Cerise sur le gâteau, des chaussures plates, une pointure trop grande.
   Les femmes me trouvent pas mal du tout en servante. Elles me font marcher et tourner sur moi-même, tandis que j’imagine ce que j’achèterai avec mon salaire. Alix m’annonce :
   — Maintenant, on va tout préparer pour ce soir.
   Traduction : «Tu vas tout préparer pour ce soir... pendant que je lirai les potins des people dans Voici». Elle ajoute :
   — Encore une chose, Mia. Chaque fois que tu entres ou que tu sors d’une pièce, il faudra faire une révérence.
   Elle joue, là ? Elle se fout de moi ? Non, elle attend que j’obéisse, alors... je fais effectivement une révérence, en disant :
   — Oui, Mademoiselle.
   — Bravo, tu es douée.
   — Merci, Mademoiselle.
   Je parlerai du service un peu plus tard. Disons que cette première expérience ne se passe pas trop mal. Je me fais bien gronder quelquefois, par Madame et par Mademoiselle Alix, car je ne réagis pas assez vite quand Madame agite la clochette. Celle-ci n’a rien à voir avec la Fée Clochette, c’est une petite cloche en bronze représentant un couple de paysans qui dansent. Là, on se croirait 100 ans en arrière. Après tout, je suis payée pour jouer un rôle et puis, pourquoi dire que c’est humiliant, être une bonne ? C’est un travail comme un autre. Enfin, tout de même un peu humiliant. Surtout quand on est bonne chez des gens riches, qui vous font bien sentir à quel point vous leur êtes inférieur.
   Vers minuit, les gens s’en vont. Ouf ! Je suis crevée, je n’ai pas arrêté de courir de la cuisine au living-room. Je dois aller dans le couloir et faire une révérence à chacun des invités, en leur souhaitant un bon retour et une bonne nuit. Certains me refilent un billet dans la main. C’est assez spécial, mais au point où j’en suis... Madame me donne mon salaire : 300 euros pour une petite après-midi et une longue soirée de travail.
   ***
   Durant le mois de juin, Laurence, je veux dire Madame, me demande de venir faire le service une après-midi et deux soirées. Alix est toujours aussi... directive.
   Fin juin, mon mari n’avait pas encore décidé de ce qu’on ferait pour les vacances. Et puis, un soir, alors que je viens de rentrer à la maison avec mon caddy rempli de courses, il m’annonce :
   — Bonne nouvelle, Laurence et Harold nous invitent un mois dans leur villa de Grasse.
   — Sérieux ?
   — Oui et ils paient tout, voyage compris. Mais...
   Aïe ! Il y a un «mais» !
   — ... tu devras donner un coup de main.
   Je gémis :
   — C’est pourtant les vacances !
   — Oui et alors ?
   — Je serai leur bonne ?
   — Nooon, pas vraiment. Il y a une bonne qui loge là. Toi, tu serviras à table et tu l’aideras à faire les chambres, la lessive...
   — Alors je ne pourrai pas écrire et répondre sur le Net ?
   — Tu auras quelques heures, l’après-midi.
   Oh, mon Dieu ! C’est trop généreux ! Je lui demande :
   — Et il y aura beaucoup de monde ?
   — Je n’en sais rien. De toute façon, j’ai accepté. Point final. Et ne t’avise pas de bouder, sinon tu risques de manger debout, ce soir.
   C’est les vacances. Ah, non, pas pour moi ! Et ce n’est pas fini : mon mari m’assène le coup de grâce en disant :
   — Ils sont d’accord pour que j’amène Emma.
   Emma, c’est sa filleule et ils s’adorent. Inutile de dire qu’Emma ne peut pas me blairer et que je le lui rends bien! Comme je ne dis rien au sujet d’Emma, mon mari ajoute :
   — Je me rends compte que ce ne seront pas vraiment des vacances, pour toi...
   Ah, ça, non ! Mais qu’est-ce qui va suivre ?
   — Alors, le trek au Groenland avec tes copines, c’est d’accord.
   — Pour les 15 jours en août ?
   — Oui.
   Je rêvais de faire ce trek avec les copines. Bon, ça me vaut ça.
   ***
   Grasse, le 7 juillet.
   On atterrit à l’aéroport de Nice. Ouf ! Je peux desserrer les mâchoires et les fesses : j’ai peur en avion. Mon mari et Emma, par contre, trouvent ça cool. Ils sont malades, ces deux-là ! Jusqu’à présent, elle ne m’a pas encore sorti de vacheries, trop occupée à roucouler avec son parrain chéri, tandis que je trouillais. Elle est habillée sexy : short en jean trop court et tee-shirt acheté au rayon fillettes, pour qu’on ne rate pas ses 95 B de tour de poitrine. En plus, ce sont des vrais. Garce ! Pour tout dire, je m’en fous que mon mari nique sa filleule, mais qu’il ne me l’impose pas pour les vacances !


   
   Quand on a récupéré nos bagages, mon mari appelle celui qui vient nous chercher. C’est un jeune homme d’une vingtaine d’années, avec un fort accent du Midi. Mon mari se présente, d'abord, lui-même, puis Emma et moi :
   — Voici Mia, ma femme, et Emma, ma filleule.
   Le jeune homme, qui s’appelle Léo, demande à Emma :
   — C’est toi qui viens pour faire le ménage ?
   Mon mari répond :
   — Non, c’est Mia, ma femme.
   Plutôt surpris, le Léo. Il me regarde, puis m’annonce :
   — Tu travailleras pour ma mère, c’est elle qui gère le personnel. Moi, je m’occupe de la piscine et de conduire la voiture pendant les vacances.
   Mon mari monte à l’avant. Durant le trajet pour arriver à Grasse, il parle avec le jeune homme des motos et des quads qui sont à la villa, ainsi que des endroits où on peut en faire. Moi, je suis à l’arrière avec Emma. Elle en profite d’ailleurs pour se moquer de moi :
   — Alors, comme ça, t’as changé de boulot, Mia ? Je suis sûre que tu dois être une servante très stylée.
   Sale garce ! C’est grâce à moi si elle est invitée, ici. Ce ne sont pas ses parents qui tiennent un café qui pourraient lui payer ce genre de vacances. Je lui dis quoi ? Mon mari me jette un coup d’œil. Si je ne réponds rien à sa chère Emma, il va m’engueuler. Elle ajoute :
   — Tu sais, ça va quand même me faire bizarre, de te voir en bonne. Ce sera avec un uniforme ?
   — Mais, non...
   Léo, qui conduit, nous dit :
   — Ben, si. Enfin, une jupe noire, un chemisier blanc et un tablier.
   Oui, ça, c’est un uniforme ! Voyant aussi bien que moi de quoi il s’agit, Emma en profite pour en remettre une couche :
   — Super ! Je suis sûre que ça t'ira très bien.
   Je pense très fort «Ta gueule !» et je lui tourne le dos pour regarder le paysage. On roule sur l’autoroute «A8» et bientôt, on arrive à Mougins. De là, on prend la route qui monte vers Grasse.
   La villa ou plutôt le domaine se situe plus haut dans la montagne. Il s’agit d’une superbe maison du début du siècle passé avec quelques améliorations, comme une grande piscine et deux tennis. Il y a un garage près de l’entrée du parc. C’est là qu’on se gare. Mon mari et Léo prennent les bagages. Alix vient à notre rencontre. Mon mari l’embrasse et présente sa filleule. Les filles se ressemblent  : deux grandes brunes à forte poitrine et qui portent des vêtements qui les mettent en valeur. C’est moi qui ai l’air d’une gamine avec mes petits nichons. Alix ne m’embrasse pas. Elle se contente de me dire :
   — Je suis contente que tu sois là, Mia. Tu fais tellement bien la bonne...
   Les autres se mettent à rire. Aah ? Elle a dit quelque chose d’amusant ?
   Alix nous dit :
   — Tout le monde est à la piscine ou à Grasse. Je vais vous montrer vos chambres.
   Nous avons une chambre au 2e étage. Hélas, avec la vue sur les montagnes, pas sur la mer. Comme les autres chambres sont toutes occupées, Emma devra dormir dans une petite pièce au-dessus du garage. Bien fait ! Alix lui dit :
   — Tu seras tranquille, là, ma chérie.
   Ma chérie ! Elles se connaissent depuis 5 minutes mais elles sont déjà super copines. Alix m’annonce :
   — Mia, tu devras te lever à 7 h 30' pour que le petit déjeuner soit prêt à partir de 8 h.
   Là, mon mari n’a pas l’air d’apprécier. Bien fait pour lui, aussi ! Il n’a qu’à pas m’obliger à faire la bonne. Il lui répond :
   — Ah non, elle va me réveiller. Il n’y a pas une chambre pour elle ?
   — Non, malheureusement.
   Sautant sur l’occasion, Emma demande :
   — Je peux dormir avec toi, parrain ? Mia n’a qu’à prendre la petite chambre au-dessus du garage, elle ne dérangera personne.
   Je vais la tuer ! Lui ouvrir le ventre pour l’étrangler avec ses boyaux!!
   En attendant, Alix trouve que c’est une excellente idée. Après tout, mon mari et Emma sont de la même famille. Tu parles ! Il n’est pas du tout son oncle, juste son parrain. Mon mari me regarde en disant :
   — Quelque chose à redire, Mia ?
   — Nooon, je n’ai rien dit.
   — On fait comme ça, alors.
   Alix a encore une petite surprise pour moi :
   — Je vais vous présenter. Enfin, pas toi Mia. À partir de demain, tu ne seras plus que la bonne. Je me fais bien comprendre ?
   — Oui...
   — Oui qui ?
   — Oui, Mademoiselle.
   Là, je crois qu’Emma va avoir un orgasme.
   Je m’en fous d’eux. Dans un mois, je pars avec mes copines et on va dormir chez les Lapons et...
   — MIA !
   — Oui... Oui, Mademoiselle ?
   — Léo va te montrer ta chambre.
 
   A suivre.
 
   Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.


   
   Grande nouvelle : Bruce et moi, nous venons d'apprendre que La Musardine renouvelait notre contrat. Il y aura donc un "Mia sans dessous - 5".
"Mia sans dessous - tome 4". Près de 400 pages et plus de 100 dessins de
Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
   Mon site auteure sur Amazon :
   https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
  


 

Mia, une fille qui a du chien !


Ben... où est ton amoureux ?
- Il est allé chercher des copains, il parait que je l'épuise.
Pourvu que ce ne soit pas des chihuahuas !
***
Envie de vous réchauffer ? Lisez moi.
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lundi 25 décembre 2017


Petite confidence : j'ai hésité entre vous envoyer une photo d'un beau sapin de Noël et un dessins de "Mia sans dessous - 4".  Une petite voix m'a soufflé : le dessin ça va les réveiller :o)
"Mia sans dessous - tome 4".
Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …



Small confidence: I hesitated between sending you a photo of a beautiful Christmas tree and a drawing of "Mia without underside - 4". A small voice blew me: the drawing is going to wake them up  :o)
"Mia sans dessous - tome 4"
Nearly 400 pages and more than 100 drawings by Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …

samedi 23 décembre 2017

Rendez-vous.


"Gaffe, Mia, y a Rex, le berger allemand du voisin saute la clôture !"
"Normal, on a rendez-vous."
Lisez, moi, ça nous fera plaisir à Rex et moi
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vendredi 22 décembre 2017

Tous des brutes !

Ce n'est sûrement pas moi  qui ait écrit une histoire où une fille se retrouve dans cette situation !
*** Ben, si c'est toi.
Alors, c'est qu'on m'a forcée à le faire. La preuve, lisez Mia - 4
"Mia sans dessous - tome 4" vient de paraître.
Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …

mercredi 20 décembre 2017

Histoires de chattes...

Je suis toujours prête à mettre la langue dans la chatte de mes copines et j'en parle beaucoup dans mes livres... Lisez-moi, vous verrez.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … … … … …

Problèmes de croissance...


Je ne montre pas souvent mes nichons. En voici quand même un (mais j'en ai 2, en fait). Mon problème c'est qu'ils ont arrêté de pousser quand j'avais 13 ou 14 ans
Heureusement, mes petits nichons ne m'empêchent d'écrire, alors, lisez-moi.
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lundi 18 décembre 2017

Mais qu'est ce qu'on va lui faire ??

On ne va quand même pas faire des choses inconvenantes à cette fille ? Eh, bien, je crains que si, hélas. Pour le savoir, lisez "Mia sans dessous - 4" et les autres :o)http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … … … …

Le feu au cul !


Je suis obligée de faire ça : j'ai toujours trop chaud aux fesses.
Lisez-moi, vous serez convaincu !

amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … … …

mercredi 13 décembre 2017

Pipi ! Vite !


Bien sûr, les femmes sont des Princesses, mais, même les Princesses ont besoin de pisser !
Des filles qui font pipi, il y en a beaucoup dans mes livres...
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lundi 11 décembre 2017

Butinez-moi...


Mia devant "l'arbre à papillons".
- Je me laisserais bien butiner, moi.
***
Mes livres sont ici, ils n'attendent que vous : 
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Un métier vieux comme... la rue !



Si vous voulez tout savoir sur le plus vieux métier du monde,
lisez les 4 "Mia sans dessous".
Je connais bien le sujet, même si je n'ai pas pratiqué.
*** Ton nez s'allonge, Mia !
Oops ! c'est même pas vrai ! Je vais faire gaffe quand même !

Mes livres sont ici :http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

dimanche 10 décembre 2017

Pan ! Dans l'étoile !

Un follower et ami, sachant que j'étais fan de Marilyn, m'a envoyé la petite histoire ci-dessous.
Le titre est de moi.
 
Pan ! Dans l'étoile ! par AK.
 
L'éclair fut suivi d'un bref fracas assourdissant, zébré de sifflements stridents. J'absorbai tant bien que mal la poussée anti-gravitationnelle. La cellule sembla se stabiliser, et la porte s'ouvrit, laissant entrer une raie de lumière. J'allais me lever du siège lorsque je constatais que j'étais à quatre pattes, et en baissant la tête je vis des poils chatains, et surtout .. des pattes de chien. Je redressai la tête et dans la vitre de la cellule je me vis ... Rintintin... Quel bordel, cette machine à remonter le temps ... C'est en sautant souplement du siège que je compris - mon neveu avait laissé joué dans la machine et y avait laissé trainé son magazine .... Cette interview exclusive de Marilyn, je l'ai un peu dans l'os, c'est le cas de le dire. Quand je pense que je bosse sur cette biographie nuit et jour depuis des mois, et que là, avoir mis la main sur cette machine à remonter le temps pour pouvoir aller interviewer Marylin sur sa vie sexuelle avec JFK, une bombe, et la célébrité assurée. Et dans mon coin, la célébrité et la richesse, c'est un synonyme direct de filles pour s'envoyer en l'air quand bon me semble .... La galère... 
J'en suis là de mes lamentations quand j'entends du bruit à côté, comme une douche. Puisque je suis là, et que je  suis quand même loin d'être bête, enfin, je me comprends, je vais faire un petit tour. Une chambre, un lit défait sur lequel trainent une paire de bas, une culotte et un peignoir. Je renifle la culotte, et une belle odeur un peu forte picote mes narines. Je me shoote littéralement en grognant doucement, quand la porte d'où vient le bruit de la douche s'ouvre et qu'une voie chantonne pou pou pidou où es-tu mon petit wiskhy (en anglais, mais je traduis pour les lecteurs non anglophones). Marilyn, en chair et en os, et à poil, enfin, je me comprends, pas comme moi. 
- Oh, qui es-tu toi, me dit-elle
- ouaf, ouaf, je réponds
- mais, je te connais, tu es comme moi, une étoile, oh, viens là me faire un câlin, et elle se jette littéralement autour de mon cou et commence à me papouiller le cou, le dos, le ventre, .. Quoique chien, je n'en reste pas moins homme... La main de Marylin me caresse le ventre... Combien de fois me suis-je caressé, les yeux dans ses yeux, enfin, les yeux du poster au-dessus de mon lit, en criant son nom en jouissant, enfin, doucement pour ne pas réveiller les parents dans la chambre à côté..et là c'est sa main. Oh non, ou plutôt, oh oui, trop bon, je bande, comme un âne, enfin, je me comprends. Et évidemment sa main bute sur ma queue - l'autre, celle du ventre 
- coquin rintintin, dit elle en gloussant, et en attrapant ma queue, commençant à la branler
L'envie est trop forte. Je lui passe un gros coup de langue sur le visage et enfoui ma gueule dans son cou, je descends sur ses seins magnifiques. Je bande, Marylin me branle, je lui lèche les chiens, et la langue d'un berger allemand a une longueur respectable. Elle pousse des petits cris, elle se met à japper doucement, glisse, se détache de moi. Oh non... Mais .. mais... elle se met à genoux sur le tapis, offrant à mes yeux son sexe, surmonté d'un adorable petit trou du cul. Elle gémit-jappe, et de sa main me fait signe d'approcher. Je tends le cou et mon museau se retrouve dans son entre-cuisse. Je sors ma langue et balaye généreusement sa fente, remonte sa raie et l'enfouit dans son petit trou. Elle gémit plus fort. Je lèche. L'instinct animal prend le dessus - j'entends des trompettes retentir dans ma tête, c'est l'heure où la cavalerie intervient: je me dresse sur mes pattes arrières, pose mes pattes avant de part et d'autres de son dos, cherche un peu, sa main saisit ma queue et la dirige ... vers son anus. Avec la quantité de bave que j'y ai laissé, je rentre comme dans de la Margaryn et commence à limer frénétiquement.
 
Oh god, oh dog, reprend-elle de plus belle, et moi qui ne peut pas m'arrêter de faire des petits mouvements rapides du bassin. Je sens ses muscles se contracter autour de ma queue - est-ce que les chiens ont ainsi  conscience du plaisir? Je jouis, en elle, et elle s'affale sur le sol, je manque de me casser la figures, heureusement que j'ai quatre pattes. Oh god, good dog, me dit elle. J'en suis là à ne pas tout à fait réaliser ce qui vient de se passer quand je sens une odeur nouvelle. Le temps de comrpendre d'où cela vient, des clés tournent dans la porte, qui s'ouvre. J'ai à peine le temps de voir le visage poupin de JFK que j'ai bondi, saisi la culotte dans ma gueule et sauté dans la pièce d'à côté. "oh honey, you're ready, waiting for me" "yes Mr president"  se disent-ils dans la pièce d'à-côté, pendant que je rejoins la cellule, m'assoit tant bien que mal dans le fauteuil et avec mes pattes avant appui sur le bouton "Go". 
L'éclair. Le fracas. Les sifflements. La porte s'ouvre. Ma chambre. Je m'apprête à bondir quand je me rends compte que j'ai repris forme humaine... il y a encore quelques subtilités de la relativité gravito-quantique qui m'échappe..et dans la main j'ai la culotte de Marylin. La culotte de Marylin, la vraie. Et un scoop: Marylin s'est bel et bien fait sodomisé par Rintintin, ce n'était pas qu'une légende ! 
 
The end.
 
PS : Marilyn, a mis une perruque brune par discrétion.

Le dessin est de Bruce Morgan, pour "Mia sans dessous"
"Mia sans dessous - tome 4" vient de paraître.
Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
lamusardine.com/P31501-mia-san
 

vendredi 8 décembre 2017

Enfin, une bonne nouvelle...


Grande nouvelle : Bruce et moi, nous venons d'apprendre que La Musardine renouvelait notre contrat. Il y aura donc un "Mia sans dessous - 5".
Alors, lisez vite les 4 premiers tomes.
"Mia sans dessous - tome 4". Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …

Histoire de fesses...


J'ai deux qualités : j'ai un joli cul et j'écris des livres supers excitants.
Mon site auteure sur Amazon :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …

mercredi 6 décembre 2017

lundi 4 décembre 2017

Les vancances de Mia -1


   J’ai épousé un homme dominant. Sexuellement, ça me convient bien, mais dans la vie de tous les jours, c’est nettement moins facile.
   Il y a quelques mois, mon mari a voulu aller dans un nouveau club libertin. Il aime ça, moi, pas tellement. Surtout que j’avais commencé à flirter avec une collègue et que je pensais beaucoup à elle. Dans ce genre de club, ça se passe comme ça : mon mari repère un couple dont la femme lui plaît et il me dit :
   — Va les draguer!
   Alors, soit je lui réponds "Va les draguer toi-même, lourdaud" soit, j’obéis. Oui, vous avez deviné, j’obéis. Et ce n’est pas évident, parce que je suis timide. Si, si. À la fois timide et exhibitionniste, mais un peu hypocritement, genre « Oh mon Dieu ce maillot blanc devient complètement transparent quand il est mouillé... »
   Il me désigne un groupe de gens : deux couples dans la quarantaine accompagnés de deux filles d’une vingtaine d’années. C’est une des deux filles qui lui plaît. Je vais près d’eux et... Qu’est ce que je pourrais leur dire. J’essaie un « bonsoir », mais ils discutent entre eux et personne ne m’entend. Je ne vais pas crier quand même. Heureusement, une des femmes plus âgées me remarque  et me dit :  


— Qu’est ce que tu veux, petite ?


   Impossible de répondre que mon mari veut baiser une des jeunes femmes qui est avec eux, donc, je réponds :
   — Pardon Madame, mais mon mari et moi, on est nouveaux ici... et...
   Ils me regardent tous maintenant. Un des hommes me caresse les fesses en disant :
   — Tu as un joli petit cul, toi.
   — Merci Monsieur, on pourrait... se joindre à vous ?
   — Ton mari, c’est le grand costaud qui nous regarde ?
   — Oui, Monsieur
   — Ma femme sera ravie de se faire embrocher par lui. Va lui dire.
   Je vais chercher mon époux, qui grogne  :
   — Je t’avais demandé de draguer la petite rousse, tu es nulle !
   Vous voyez comment il est !
   Heureusement, ça se passe bien. Mon mari plaît à toutes les femmes, donc il les baise et laisse même un des hommes lui lécher les couilles. Moi, je baise aussi... Les deux jeunes femmes sont des escortes de luxe. Par contre, les deux couples sont de la haute société et ils sont venus s’encanailler ici. Eh oui, on ne vit pas dans le même monde. Quand on parle voiture, par exemple, une des femmes a une Porsche, l’autre une Mercedes.
— Et toi mia? 
— ... euh... moi, le bus et le train.
Je les fais rire. La même chose pour les vacances, ils parlent de Marrakech et des Seychelles.
   — Et toi Mia, où as-tu été ??
   — Berck-sur-Mer...
   Ils sont morts de rire. Si vous connaissez Berck-sur-Mer, vous comprenez pourquoi. Mais moi, j’aime bien Berck, il y a des phoques sur un banc de sable près de la plage.
   Je ne parle pas de mes vacances dans le Midi, en Tunisie, aux USA, parce que c’était avant mon mariage et j’étais un peu comme une... accompagnatrice.
   En résumé, on leur plaît physiquement et en plus, moi, je les amuse. Ne parlons pas des escortes qui sont là pour gagner leur vie.
   Par la suite, un des deux couples, Laurence et Harold, nous ont invités régulièrement à des soirées qu’ils organisent chez eux. Il s’agit de partouze VIP : champagne, caviar, fesses qui sentent le Shalimar, bites à l’haleine fraîche.
   Harold, le maître de maison, et mon mari se rendent compte qu’ils ont des points communs comme le tir, les motos, les quads...
   Il y a environ deux mois, ils nous ont invités à passer un week-end à Mondorf, au Luxembourg. Harold doit y aller régulièrement pour ses affaires. L’hôtel n’est pas un 5 étoiles, mais il leur plaît avec ses différentes piscines, dont une réservée aux naturistes. On peut même se balader à poil dans une petite partie du parc. Le soir, à table, mon mari raconte ce qui est arrivé le samedi précédent. Ça me gêne, mais lui, il trouve ça amusant.
   Ce samedi, j’étais en plein grand nettoyage. Je déteste faire ça mais mon lui est maniaque et le matin même, il m’avait crié dessus : «?La maison est de nouveau dégoûtante, souillon?! Je veux que ce soir, tout soit impeccable.?»
   Pppfffff.... Un samedi à nettoyer : l’horreur ! J’avais un vieux jean sale et déchiré, un tee-shirt qui ne valait pas mieux, des gants jaunes en caoutchouc, une raclette dans une main et un torchon dans l’autre. On sonne. Mon mari, qui regardait un feuilleton à la télé, crie :
   — Mia, va ouvrir !
   J’y vais. Il y a deux hommes. Le plus grand me dit :
   — Va dire à ton patron que ses potes Milo et Luc sont là.
   — Euh... Oui, Monsieur.
   Je vais dire à mon "patron" :
   — C’est Milou et Luc.
   — Ah oui, c'est des collègues.
   Il se lève et va accueillir ses potes en leur disant :
   — Salut les gars. Alors, vous avez fait la connaissance de ma femme.
   Le grand répond :
   — Ouch ! On a cru que c’était la bonne !
   Ça les fait rire tous les trois.
   Mon mari raconte l’histoire à Laurence et Harold qui se marrent, eux aussi. Elle me dit :
   — Mia, tu dois être très mignonne en bonne. Et j’ai du mal à trouver une fille un peu mignonne quand j’organise des soirées.
   Je réponds :
   — Pour les soirées libertines ?
   — Non, là, on préfère qu’il n’y ait pas de personnel, il y a parfois des gens importants. C’est pour des dîners ou des après-midi où nous recevons des amis et des clients. Tu n’aurais pas envie de faire ça ?
   Elle se tourne vers mon mari et ajoute ;
   — Si tu es d’accord, bien sûr.
   — Bien sûr, Mia serait parfaite en bonne.
   Eh oh, j’suis pas une bonne, moi ! J’ai fait des études! Petites, mais quand même... Laurence me dit :
   — On paie 200 euros pour la soirée.
   Oh ! C’est beaucoup. Mais bon, je ne suis pas une bonne ! Ce qui n’empêche pas mon mari de répondre :
   — On est d’accord, Mia va le faire.
   Laurence lui tend la main en disant :
   — D’accord.
   Mon lui serre la main. Ça y est, il m’a vendue pour 200 euros ! Laurence ajoute :
   — Si elle est stylée et souriante, elle aura sûrement des pourboires.
   Des pourboires, maintenant ! D’un autre côté, pour faire des courses avec les copines, j’aurais enfin un budget. Sans devoir supplier mon mari.  Sur le chemin du retour, je lui dis :
   — Faire la bonne chez eux, c'est quand même humiliant.
   — Tu pourras garder 100 euros et les pourboires. Point final.
   ***
   Quinze jours plus tard, Laurence téléphone vers 10 h à mon mari, car elle a besoin de moi. Il me dit :
   — Tu dois être chez eux à 17 h pour aider à préparer et tu seras payée 300 euros.
   — Je pourrai garder 150 euros ?
   — Oui.
   Yesss ! À moi les magasins de fringues! Enfin, les magasins pas trop chers.
   ***
   N’empêche, pour commencer, 17 h, c’est tôt !
   En général, mon mari ne me dépose nulle part. Pour prendre le bus, je dois d’abord faire 15 minutes de marche rapide. Il m’a expliqué que c’est bon pour mes cuisses et mes fesses. Là, il me dépose chez les amis. C’est Alix, la fille de Laurence, qui vient ouvrir. C’est une jolie brune qui fait des études de droit. Je l’ai déjà aperçue, mais, je ne lui ai jamais parlé. Je lui dis :
   — Bonjour... euh... je...
   Mon mari me coupe et lui dit :
   — C’est Mia, la nouvelle bonne.
   Elle rigole et me dit :
   — Suis-moi.
   Mon mari va parler avec Harold, moi, je vais à la cuisine avec Alix. Elle s’assied et me regarde. Je suis toute gênée. Je lui dis :
   — C’est... euh... ta maman qui...
   — Je préfère que tu me dises «vous».
   — Oui... Mademoiselle.
   Ces trois phrases ont scellé nos rapports futurs. Elle pourrait être ma fille, mais, là, c’est ma patronne. Elle me dit :
   — Tu es beaucoup trop maquillée. Tu es ici pour travailler, pas pour draguer. Une servante n’a pas besoin de maquillage. Va dans la salle de bains et enlève-moi tout ça.
   — C’est pare que... comme, je suis blonde, sans maquillage, je suis un peu fade et...
   — Et alors ? On ne doit pas remarquer une bonne. Plus elle passe inaperçue, mieux c’est. Arrête de discuter et démaquille-toi. Va dans la salle de bains et enlève tout ce que tu as sur le visage. Et, Mia...
   — Oui, Mademoiselle
   — Que ça ne dure pas des heures !
   Elle exagère ! J’ai un métier, moi, et je fais ça juste ça pour... l’argent. J’ai très envie d’aller dire à mon mari que je ne veux pas le faire, mais... Je vais dans la salle de bain et je me démaquille rapidement.

   
Quand, je retourne à la cuisine et qu'elle me voit, Alix éclate de rire. Elle me dit :
   — Pour ce qui est d’être fade, c’est vrai que tu fais fort !
   J’ai les larmes aux yeux... Elle me dit :
   — Ah, ne commence pas à pleurnicher ! Tu as accepté de le faire et tu es bien payée, alors assumes. Fais ce que je te dis, point final.
   La même formule que mon mari. Quelle garce ! Je réponds :
   — Oui Mademoiselle
   — Bien, tu as un chouchou dans ton sac ?
   — Euh... non... Mademoiselle.
   — Prends un élastique qui est là et tire bien tes cheveux en queue de cheval. On n’a pas envie de trouver tes cheveux dans nos assiettes.
   Moi qui avais passé du temps à bien me coiffer, je tire mes cheveux et les maintiens avec un gros élastique. Elle me dit :
   — Prends l’uniforme qui est dans ce placard et mets-le.
   — Je... je vais devoir mettre un uniforme... Mademoiselle ?
   Elle pousse un gros soupir en levant les yeux au ciel. Bah, au point où j’en suis... Je n’ose pas demander où je peux me changer. J’enlève mes vêtements et me retrouve aussi nue que le jour de ma naissance. Alix me dit :
   — Je comprends qu’avec un tour de poitrine de 75 A, tu ne mettes pas de soutien-gorge, mais tu pourrais au moins mettre une culotte. Je vais arranger ça.
   D’abord, j’ai du 85 A ! Laurence, sa mère, arrive dans la cuisine à ce moment-là. Elle est surprise de me voir toute nue dans sa cuisine. Je lui dis :
   — C’est... euh... ta fille qui... qui est allée me chercher une culotte, car...
   Elle me coupe :
   — C’est mieux de mettre une culotte, effectivement. N’oublie pas de me vouvoyer et de m’appeler Madame.
   Telle fille, telle mère !
   — Oui Madame.
 
   À suivre.


Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les supers dessins. 

"Mia sans dessous - tome 4" vient de paraître.  
Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html …

Sa chatte/ma langue...



Mieux que les anti-dépresseurs, les joints et la Tequila :
quand, j'ai la langue dans la chatte d'une copine, j'oublie mes angoisses !
Dessin de Bruce Morgan pour "Mia sans dessous." tome 1
Mia sans dessous - tome 4" vient de paraître.
Près de 400 pages et plus de 100 dessins de Bruce Morgan.
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

Pétante de santé !


J'ai les bonne joues roses des filles qui habitent la campagne :o)
Et puis, j'écris pour vous... des livres supers excitants.
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … … … …

vendredi 1 décembre 2017

Histoire de nénés...

Je ne suis pas une fille à forte poitrine. Vous ne me croyez pas ? Regardez :

 
Par contre, j'écris des livres super excitants...
Vous ne me croyez pas ? Lisez-moi, vous verrez.