jeudi 30 juin 2022

Dernière de la série...

 


La dernière photo de cette série et peut-être la plus belle.

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Je ne cache rien...

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mercredi 29 juin 2022

Maid in Japan - 1



1 - Les fleurs de Chichibu.

Paris, le 26 juin 2035.
Mes parents rêvaient d'avoir un enfant médecin et un autre avocat. Ils ont fait de fortes pressions sur moi pour que j’entame des études de droit. Hélas, je viens de rater mon bac et de toute façon, je n'ai pas du tout envie de faire du droit.
Je m'appelle Cécile, je suis une blonde aux yeux bleus et je suis séduisante, je plais aux garçons. Mes parents sont riches et très, très conventionnels. Quand je leur ai dit que je voulais partir en vacances  à Los Angeles, au lieu d'étudier pour la 2e session, ils n'ont pas aimé du tout. Leur moyen de pression habituel, c'est me couper les vivres, c'est-à-dire arrêter de me donner de l'argent tous les mois.
Ils m'ont déjà fait ce genre de chantage, mais cette fois-ci, ils avaient l'air décidés. Mon père m'a dit :
— Tu ne veux plus étudier ? Très bien, trouve du travail.
Ma mère a ajouté :
— Fais-toi engager comme serveuse dans un fast food.
À partir de là, ça a un peu dégénéré... même beaucoup. Pour finir, j'ai fait ma valise et j'ai quitté la maison.
Étant jeune, jolie, intelligente et... sûre de moi, trouver du boulot sera facile. Ou pas, car pour trouver un travail intéressant, il faut avoir des diplômes et moi, je n'ai même pas le bac. Une amie m'a hébergée mais seulement pour une semaine. Pas plus longtemps, car elle attendait de la famille. Je suis allée dans les boîtes d'intérim, mais tout ce qu'on me proposait, c'était des places de serveuses – comme avait dit ma mère – ou pire, genre bonne à tout faire. J'imaginais la tête de mes parents.
Aujourd'hui, je me trouve dans une nouvelle boîte d'intérim. Je dis à la fille qui me reçoit :
— Je parle anglais et je suis prête à voyager n'importe où dans le monde.
Elle regarde son PC et elle me dit :
— Justement, j'ai eu une demande d'une riche famille japonaise. Ils cherchent une jolie Française pour que leurs enfants se perfectionnent en français. Et c'est bien payé.
— Juste pour leur apprendre le français ?
— Oui, enfin, une baby-sitter capable de bien leur apprendre le français.
Baby-sitter ! J'imagine la tête de mes parents, si je leur dis ça. Parce qu'une baby-sitter, c'est un peu comme une bonne, non ?  La fille lit dans mes pensées, car elle ajoute :
— Ils ont plusieurs servantes. Sans le bac, que voulez-vous trouver ?
Visiter le Japon et être bien payée... et puis la tête de mes parents. Je réponds :
— J'accepte.
— Vous êtes sûre ?
— Oui.
— Bien, je vais envoyer les renseignements que vous m'avez donnés, ainsi que des photos, car ils veulent que leur baby-sitter soit jolie.
Normal, quand on est riches, on veut s'entourer d'un personnel séduisant. C'est comme ça chez nous aussi. Je lui demande :
— Vous me téléphonerez ?
— Oui, vous aurez des nouvelles très vite.
— Il y a beaucoup d'autres candidates ?
— Aussi mignonne que vous, non.
C'est gentil. Je lui dis :
— C'est pour être baby-sitter, rien de plus ?
— De toute façon, vous aurez vos billets aller-retour, vous les quittez quand vous voulez.
Ça me décide. Elle ajoute :
— Toujours prête à partir dans cinq jours ?
— Oui, bien décidée.

Le lendemain après-midi, je reçois un mail de l'agence : « Vous êtes engagée. Votre passeport sera prêt vendredi matin. Passez le prendre ainsi que les billets d'avion. Vous devez être à Roissy samedi à midi. Vous décollerez à 15 heures ».

Me voilà à Roissy, dans la salle d'embarquement.
On embarque. Je suis en 2e classe. Avec mes parents, on voyageait toujours en 1re classe et franchement, c'est beaucoup mieux. En 2e classe, on est serrés les uns contre les autres, on doit acheter ses boissons... Pense à Tokyo, Cécile.
Malgré tout, je me dis encore une fois : « Mais qu'est-ce qui m'a pris d'accepter cette place de baby-sitter ? » Bah, je visiterai le Japon. J'ai changé 3000 euros en yen et je quitte cette famille quand je veux. Et, puis, je n'ai rien dit à mes parents, ils vont certainement s'inquiéter et mon père me redonnera mon "argent de poche".
Ça ne sent pas bon en 2e classe ! Je lis : « Stupeur et tremblements » d'Amélie Nothomb. Elle parle de Tokyo où elle a dû nettoyer les toilettes dans la société qui l'employait... C'est vraiment pire que baby-sitter ! Je lis, puis je somnole...
Enfin, après 12 heures de vol, on atterrit à l'aéroport de Narita. On est parti à 15 heures de Roissy, mais il y a 8 heures de décalage : il est 8 heures du matin à Tokyo. Après les formalités de douane, je récupère ma valise et je vais dans le grand hall. Plusieurs personnes brandissent des pancartes avec le nom des voyageurs qu'elles viennent chercher. Je repère la pancarte « Miss Cécile ». C'est un homme grand et costaud qui la tient. Je lui dis :
— I'm Miss Cécile.
— Follow me.
Pas très sympa, le gars. Il ne porte même pas ma valise. On va dans un grand parking, jusqu'à une voiture noire. Je mets la valise dans le coffre et on quitte l'aéroport. On prend rapidement une autoroute.
Les dialogues suivants sont en anglais.  Je lui demande :
— Où habitent Monsieur et Madame Ando ?
— Dans le Sairtama, au-dessus de Chichibu.
Jamais entendu ces noms, c'est du chinois pour moi.
Il ne parle pas bien l'anglais, mais il pourrait un peu m’expliquer, non ? Non ! Bientôt, on quitte l'autoroute et on se dirige vers des montagnes. Le paysage change, il y a des champs et des rizières. Il y a même des champs de fleurs... Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos. On arrive dans une ville, il me dit :
— Chichibu...
C'est beau. Il y a des temples, des vieilles maisons et des pagodes à plusieurs étages. C'est ce que j'espérais voir, je visiterai tout ça plus tard. On se dirige  à nouveau vers des montagnes par une petite route. On finit par arriver face à de hauts murs. Il sort une commande à distance, les portes métalliques s'ouvrent et on pénètre dans un grand jardin ou plutôt un parc. Il y a des massifs de bambous, de hêtres rouges, un étang avec des nymphéas... La maison semble ancienne, c'est une grande pagode de trois étages. Le Japon dans toute sa splendeur. Si le chauffeur n'est pas sympa, je vais au moins vivre dans un très bel endroit. On se gare derrière la maison, le chauffeur ouvre le coffre et il me laisse prendre et porter ma valise. On entre par ce qui doit être l'entrée de service, car elle donne sur une grande cuisine. Deux servantes sont là. Elles se plient à 45° en le voyant. Marrant ! Il me dit :
— Enlève tes chaussures.
Oh ? Je vois que les servantes sont pieds nus. Bon, si c'est la coutume... Je défais mes baskets et les laisse là. Une servante me dit en anglais, avec un fort accent japonais :
— Suivez-moi...
Elle me conduit dans une grande pièce qui donne sur le parc. Une femme d'environ 35 ans est assise dans un grand. La dame est au téléphone... La servante se plie à nouveau à 45 °, puis elle va se mettre à côté de la porte, les yeux baissés, les mains croisées sur le ventre. Du doigt, la femme me montre le sol devant elle, tout en continuant à parler. Je me mets devant elle et, tout en parlant, elle m'examine des pieds à la tête. J'attends en regardant autour de moi.... Autre pays, autres coutumes, mais c'est tout sauf chaleureux. Enfin, elle termine sa conversation et elle me dit en français :
— Bonjour, je suis Madame Ando.
Elle ne me tend pas la main. Je dis poliment :
— Bonjour Madame.
— Adilah va te montrer ta chambre, ensuite je te présenterai à mes enfants.
Elle aurait pu dire « Je vous présenterai mes enfants », mais non. Et pire, elle me tutoie. On n'a pas pourtant gardé les bonzaïs ensemble ! La servante me dit à nouveau :
— Suivez-moi.
On retourne dans la cuisine, elle prend ma valise et je la suis jusqu'au troisième étage. Elle ouvre une porte, j'entre dans une petite chambre, sommairement meublée : un lit, une petite table et une chaise, un lavabo, un coffre par terre. Si mes parents voyaient ça ! Ils regretteraient de m'avoir coupé les vivres. Peut-être...
La servante me dit :
— Tu devrais saluer Monsieur, Madame et les enfants de cette façon.
Elle se plie en deux et ajoute :
— Il faut dire Monsieur Tao et Mademoiselle Keiko aux enfants.
N'importe quoi ! Je réponds :
— Je serai leur professeur de français, pas leur bonne.
Elle hausse les épaules en disant :
— On doit redescendre.
On retourne dans le living. La servante s'incline à nouveau, c'est une manie. Madame est là avec ses enfants, une fille d'environ 8 ans et un garçon de 12 ou 13 ans. Elle leur dit en français :
— Voici votre baby-sitter française.
Puis, à moi :
— Voici mes enfants, Monsieur Tao et Mademoiselle Keiko.
Bon, à Rome fais comme les Romains, je vais les appeler comme ça. Je leur dis :
— Heureuse de faire votre connaissance. Je vais travailler le français avec vous.
Ils font juste un petit salut de la tête et la fille me répond en français, d’un air hautain :
— On connaît le français.
Ils sont vraiment mal élevés, ces gosses. Je sens que je vais vite filer d'ici pour aller m'amuser à Tokyo. Je remarque qu'ils ont tous les trois des chaussures, je suis la seule à être pieds nus, comme les servantes. La mère me dit :
— Tu commenceras les cours demain matin... En attendant, tu peux visiter le domaine, mais enlève tes chaussures quand tu reviens dans la maison.
Elle y tient !!
Je vais me balader dans le jardin, je fais des photos...
Le soir, il y a des invités, mais moi, je mange à la cuisine avec les enfants. Je suis choquée par la façon dont ils parlent aux servantes. Le japonais est une langue... gutturale, mais à un moment, la fille engueule vraiment une des servantes, qui finit par avoir les larmes aux yeux. Je dis aux enfants ;
— Vous n'êtes vraiment pas gentils avec les servantes !
Le garçon demande :
— Depuis quand il faut être gentil avec une servante qui sent encore la bouse des yacks de son village ?
Ils se mettent tous les deux à rire. La fille dit en anglais à la servante :
— Tu as à te plaindre de nous ?
Elle fait un profond salut et répond dans un mauvais anglais :
— NON ! Monsieur Tao et Mademoiselles Keiko sont de très bons maîtres.
Cette fille a l'air terrorisée. Je déteste ces gosses !! Une autre servante arrive dans la cuisine et elle me dit :
— Tu dois me suivre. Monsieur veut te voir.
On va dans l'immense salle à manger. Il y a une dizaine de personnes attablées. Je dis :
— Bonsoir à tous.
Les gens me regardent rapidement, sans répondre. Ils recommencent à parler entre eux.... Seul un gros homme d'une cinquantaine d'années m’observe un peu plus attentivement. Du doigt, il me fait signe de venir. Je vais à côté de lui, il se tourne vers moi en disant  :
— Alors comme ça, tu es Cécile ?
— Oui, Monsieur...
Il me regarde des pieds à la tête, comme l’a fait sa femme, puis il me dit :
— C'est bon, retourne à la cuisine.
Les parents sont aussi mal élevés que leurs rejetons ! Je ne vais pas tenir une semaine ici... Je vais aller m'amuser à Tokyo, avant de rentrer à Paris et de me réconcilier avec mes parents !

Je fais un effort et même un très gros effort pendant deux jours. Je me rends compte que les enfants se foutent de moi en japonais et les servantes  s’y mettent aussi ! Je les trouve tous particulièrement odieux !
Ce matin, on regarde un film en français. Je mets sur pause quand ils veulent me demander une explication.
Keiko me dit :
— J'ai soif, va me chercher un Coca.
— Je ne suis pas la bonne, mais votre professeur.
Tao intervient :
— Tu es une servante comme les autres. La preuve, tu es pieds nus. Obéis ou tu seras punie.
Il est cinglé, ce sale môme ! Je réponds :
— Je vous trouve particulièrement déplaisants, tous les deux. Je vais en parler à votre mère.
Il se lève et s'approche de moi en disant :
— Obéis ! sale chienne de Française !
Ensuite, il me crache à la figure !  
Sa salive atteint mon nez et mon œil gauche. Alors... je n'ai jamais frappé un enfant, mais sur le coup de la colère, je le gifle ! Sans doute un peu fort, parce que je vois sa joue devenir rouge. Les enfants se regardent, puis se mettent à hurler. Les servantes arrivent en courant. Bientôt, la mère entre dans la pièce, juste vêtue d'une chemise de nuit rose. Les enfants se précipitent sur elle en pleurant. Même le garde s’en mêle.
J'essaie d'expliquer ce qui s'est passé, mais les petits parlent en japonais à toute vitesse, toujours en pleurant. Pour finir, je crie pour me faire entendre :
— Je suis désolée, mais votre fils m'a craché dans la figure !
La mère me dit :
— Tu as osé frapper mon fils, tu vas le payer !
Elle dit quelque chose au garde, qui m'attrape par les poignets et me charge sur son épaule comme un sac de patates.

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.




Bruce...


 

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mardi 28 juin 2022

Dure la vie des esclaves.



C'est interminable, mais qu'est ce qu'elle fout ?
(voir la photo d'avant-hier)
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lundi 27 juin 2022

Bruce Morgan


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dimanche 26 juin 2022

Soleil.


 J'attends la Maîtresse pour la protéger du soleil

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samedi 25 juin 2022

Bruce

 Trop beaux, les dessins de Bruce. Là, c'est moi à l'avant-plan, sauf que je ne fume pas.



Lisez-nous, vous vous ferez plaisir et à nous aussi.
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vendredi 24 juin 2022

jeudi 23 juin 2022

Bruce Morgan

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lundi 20 juin 2022

Ashley 74 En route, vers de nouvelles aventures.

Jeudi matin, quand on a fini de déjeuner, Nouzha nous dit :

— Vous devez apprendre ce texte par cœur.
Elle nous donne deux feuilles avec du texte et un itinéraire. Ouch ! J'ai beaucoup de mal à retenir un texte. Elle ajoute :
— Vous avez une heure.
Je réponds :
— Mais...
— Vous avez une heure... Point !
J'arriverai jamais. Je lis, il s'agit de l'itinéraire depuis un camp situé à deux kilomètres d'ici, jusqu'à l'endroit où on aurait trouvé les fossiles. Il y a même les phrases qu'on doit dire, en cas de découverte !
Radia voit que je galère, elle me dit :
— Lis tout haut.
— Oui, tu as raison
Je vais dans un coin de la tente et je lis à haute voix... Tout se mélange dans ma tête. Quand Nouzha revient, elle commence par sa sœur Radia. Elle ne fait que quelques erreurs. Ensuite moi et c'est une catastrophe. Je reçois plusieurs coups de fouet sur les cuisses et les fesses. Elle me dit :
— Je reviens dans une demi-heure,
Je ne le saurai jamais. Quand elle revient, je me trompe encore et elle me fouette à nouveau. Je relis tout à travers mes larmes.
Dans la journée, les clients s'amusent de me voir zébrée de marques rouges. Je relis tout chaque fois que j'en ai l'occasion. Le soir, Radia me fait répéter paragraphe après paragraphe.
***
Vendredi matin, je connais à peu près mon texte. Nouzha vient nous chercher pour aller dans une grande tente à environ deux kilomètres de notre camp. C'est de là qu'on va partir et jouer la comédie, genre "Oh ! La belle dent !" On a l'uniforme rouge des esclaves, un sac avec de l'eau, une petite pioche et quelques sacs pour mettre ce qu'on trouve.
Summer et Monsieur Sam ont invité une douzaine de personnes, des journalistes, des amis et des Indiens des deux tribus. Je reconnais Norman Frosler, le présentateur du plus célèbre talk-show des États-Unis.
Radia et moi partons de cette tente vers le nouveau camp. On s'arrête par moment pour ramasser un minéral un peu bizarre et le mettre dans un petit sac en plastique, sur lequel on écrit les coordonnées indiquées par l'écran qu'on a au poignet. On va devoir jouer comme si on découvrait la dent. On discute, genre « pourvu qu'on trouve ». « Oh oui Mademoiselle Summer serait vraiment contente. » « Tu crois qu'elle nous récompenserait ? » « Oui, certainement ». Franchement, ça m'étonnerait qu'elle nous récompense.
On arrive enfin à la première dépression, près du nouveau camp. Il y a déjà des fouilles, aussi on va sur une paroi qui n'est pas celle où on a trouvé la dent. Radia et moi, on dit ensemble :
— Oh, regarde !
Puis elle me demande :
— C'est quoi ?
— Une dent... de crocodile ?
— Non, c'est la dent qu'on cherche.
Toutes les deux ensemble, à nouveau :
— Youuuppppiiieee !
Bravo au scénariste ! Je téléphone aussitôt à Summer pour tout lui dire.

Bientôt on est très entourées, filmées et photographiées. Summer nous demande :
— Vous étiez habillées ?
— Non, Mademoiselle.
— On veut voir comment vous étiez vraiment. Allez !
Tout cela est écrit, bien sûr. On obéit... Il y a beaucoup de spectateurs mais personne n'est choqué de voir des esclaves nues. En 2028, les choses ont bien évolué, les esclaves sont des biens, presque des objets ou des animaux domestiques. On doit rejouer la découverte de la dent, mais à poil cette fois-ci.
Summer dit à tous :
— J'espère que cette visite des lieux vous aura plu. Ceux qui veulent interviewer les filles qui ont découvert le gisement doivent voir ça avec moi. Pour le moment, je vous invite à un petit buffet. Suivez-moi.
On se dirige tous vers le nouveau camp, qui est à côté du gisement. Elle nous dit :
— Vous deux, allez dans la tente et mettez les vêtements. Vous aurez une visite, je veux que les deux visiteurs soient pleinement satisfaits.
On va dans la tente. Il y a un tailleur noir, un chemisier blanc et des chaussures pour Radia et une jolie robe blanche pour moi. On doit se déguiser, moi en Première Dame et Radia en assistante ou secrétaire.

Il y a deux fauteuils pour les invités.

On s'attend à voir arriver le Président et le Pape en personne ! En attendant, on boit une bière et on mange des chips... On parle un peu... On attend sûrement une heure et demie. Enfin, on entend des rires à l'extérieur et puis deux hommes entrent dans la pièce. J'en connais un, Norman Frosler, l’animateur d'un très célèbre talk-show. C'est un gros homme d'une cinquantaine d'années, dégarni. Il est accompagné d'un gamin à tignasse blonde hirsute. Ils ont déjà pas mal bu, ça se voit. Ils s'affalent tous les deux dans les fauteuils. Le gamin nous dit :
— Mesdames, nos hommages... mon ami et moi, nous avons envie de tirer un coup !
Norman rit, puis nous dit :
— Veuillez excuser mon jeune ami, Mesdames, on a tous les deux peur de l'avion et on a soigné ça à la Tequila, avant de boire du champagne avec la maîtresse de ce... royaume.
N'importe quoi ! Je réponds :
— Soyez les bienvenus, Messieurs, nous allons nous plier en quatre pour vous satisfaire.
Le gamin répond :
— Vous allez plutôt vous mettre à quatre pattes.
Rires ! Norman nous dit :
— Je me présente, je m'appelle Norman et mon jeune ami c'est Crazy Kit qui fait un malheur sur le Net. Bon, pour commencer...
Il se tourne vers Crazy Kit pour lui dire :
— Moi, je vais d’abord faire une petite sieste.
— Super idées. Les filles, dans 30 minutes, vous viendrez à poil tout doucement vous mettre à genoux entre nos jambes et vous nous ferez une pipe pour nous réveiller. On va sortir le matos.
Il sort son sexe de son pantalon, Norman aussi. Il nous dit :
— Allez faire un tour.
On sort de la tente. Radia me dit :
— Ils sont dingues ces types !
— Oui, mais tu as entendu Summer, il faut qu'ils soient complètement satisfaits.
Je regarde l'heure à l'écran de mon poignet. Je dis à Radia :
— Je prends le vieux, toi le jeune.
— D'accord.
On marche un peu, on parle... Enfin, 29 minutes et demie plus tard, on entre dans la tente, on se déshabille et on va se mettre à genoux entre les jambes des hommes. Ils ont vraiment l'air de dormir. Norman a un gros ventre et un sexe mou qui pend entre ses cuisses...  Crazy machin, en a une plus belle. Bon, quand faut y aller... Je couvre le sexe de Norman de petits baisers. Dure la vie d'esclave et de pute !! Il se réveille, je dégage le gland et je le lèche, en espérant que son sexe est toujours vivant car il reste tout mou. Ah, il réagit un peu. Norman me caresse la tête, genre, il est gentil le toutou. Il me dit :
— Tu suces bien, toi... Mieux que l'actuelle Première Dame.
Crazy Kit lui demande :
— Tu te fais sucer la bite par Norma Chance ?
— Yep ! Elle suce mal. Et toi, la tienne est comment ?
— Elle suce comme une esclave. Rien de tel que la crainte du fouet pour que les femmes sucent bien.
Quel con ! Enfin, un mec quoi et sûrement un macho du Sud ! Ils continuent à discuter :
— Elle est un peu colorée, la tienne, non ?
— Ouais... Arabe, je pense.
— Elles vont bien ensemble. Je ferai peut-être quelque chose avec les filles... et toi tu as envie de les inviter dans ton émission ?
Ils discutent comme s'ils étaient au café du coin. Norman répond :
— Je ne sais pas... Elle suce bien... mais est-ce qu'elle a quelque chose à dire ?
Il me regarde. Je hoche vigoureusement la tête... avec sa bite dans la bouche. Il me dit :
— Quand je vais jouir, et c'est dans pas longtemps, je veux que tu gardes mon sperme en bouche et que tu attendes ma permission pour l’avaler.
Tous les mêmes ! À nouveau, je fais oui de la tête. Crazy Kit rigole et il dit à Radia :
— Toi aussi, petite.
Évidemment, il jouit plus vite que Norman qui a deux ou trois fois son âge. Radia se retrouve les joues gonflées de sperme comme un hamster qui aurait découvert une mine de noisettes. Je caresse les couilles de Norman et les presse... Il aime... J'accentue mon va-et-vient sur sa bite. Il aime beaucoup même et bientôt, il m'envoie des décharges de sperme. À mon tour de faire le hamster aux joues gonflées... Les deux hommes nous regardent en souriant. Norman dit :
— J'aime bien les voir comme ça. Je fais des photos.
— Ouais, bonne idée, répond l’autre.
Il sort une assez grande tablette et nous photographie nues, les joues gonflées.

— Je te les enverrai... tu as envie de les inviter dans ton show ?
Ils rigolent tous les deux... sales cons ! Norman nous dit :
— Vous allez pouvoir avaler à zéro. Attention... 5, 4, 3, 2, 1... 0.
Ouf ! On avale toutes les deux. Crazy Kit nous dit :
— On s'amuse bien avec nous, hein les filles ?
— Oui Monsieur. Vous allez nous interviewer ? S'il vous plaît...
Il regarde Norman... qui nous dit :
— Mais oui, c'est ce qui est prévu... Vous passez samedi dans mon émission et le Kit va faire des vidéos avec vous. On jouait un peu.
Tu parles d'un jeu de con !!
Crazy Kit ajoute :
— Mais il faudra être sage, obéir et sucer qui on vous dit.
Radia répond :
— Bien sûr Monsieur, on est des esclaves...
***
Norman tient ses promesses et le vendredi suivant, Radia et moi, nous sommes effectivement invitées dans son talk-show. Mieux, nous faisons toute la deuxième partie. Preuve s'il en faut qu'elle et moi, on suce comme des reines ou des putes du ghetto !  On est interrogées sur la découverte des dinosaures, puis Norman me fait parler longuement de ma vie de star, de l'époque Cléopâtre, puis de ma vie de Première Dame. Summer m'a donné quelques directives sur ce qu'il fallait dire ou pas.
Notre interview fait des audiences records.
On va aussi jouer à faire des vidéos avec Crazy Kit, on se marre bien. Tout cela fait énormément de publicité pour le parc des dinosaures qui est en cours de construction. Monsieur Sam construit un casino sur les terres indiennes avec la collaboration des deux tribus.
Nouzha n'a pas affranchi Radia. Elles s'occuperont du parc d'attractions et Summer ne m'a pas affranchie non plus. Comme elle dit :
— Pourquoi laisser s'échapper dans la nature une poule aux œufs d'or ?
Monsieur Sam lui a proposé un film pour moi. Je ne sais pas de quoi il s'agit, mais je suis contente de retrouver l'excitation du cinéma. Dans deux mois, le tournage commence.
On vit dans la maison de Santa Monica. Je ne fais pas de bêtises, une seule menace de Summer a suffi :
— Une connerie et je fais venir Madame Stone...
Je n'ai que deux esclaves, c'est peu. Alors ce matin je dis à Summer :
— Dis, si on allait acheter quelques esclaves au Slave Paradise ?
Elle hausse les épaules et répond :
— Tu parles d'un truc exaltant ! J'ai besoin d'aventures... Il paraît qu'on aurait aperçu un dodo vivant à l'île Maurice.
Un dodo ??? Elle poursuit :
— Ferme la bouche. Tu ne sais pas ce que c'est ?
— Un petit somme ?
— Sotte. C'est une sorte pigeon d'un mètre de haut qui pesait 10 kg. Le Dodo s'est éteint moins d'un siècle après sa découverte, à la fin du XVIIe siècle, avec l'arrivée des Européens. On va en trouver et les faire se reproduire dans une réserve...

 


Mais le parc des Dinosaures ?

— Nouzha s'en occupe :
— Et le film ?
— C'est dans deux mois.
— Mais...
— Tu sais ce qui arrive aux esclaves qui discutent ?
— Pardon Summer, on va l'attraper, ce dodo.

FIN


Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.


Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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une chatte...

 


Une photo un peu plus hard...

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dimanche 19 juin 2022

Bruce Morgan


 

Le dessin du jour est soft, mais mon héroïne est trop belle.

Il y a plus de 500 dessins de Bruce Morgan, dans nos livres.. et ils sont beaucoup plus « hards ».
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samedi 18 juin 2022

Trop chaud !


 

Fait trop chaud... j'suis toute moite 😀

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Il y a un nouvel épisode de Lizy avec un dessin inédit de Bruce Morgan.
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vendredi 17 juin 2022

Bruce Morgan

 Dessin de Bruce Morgan.



Il y a des centaines de dessins super excitants de lui dans nos livres.
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mercredi 15 juin 2022

Fait chaud....

 


Il fait de plus en plus chaud... heureusement, je ne suis pas trop vêtue pour mon job de vacance.

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lundi 13 juin 2022

Des visiteurs...


 

Faites entrer le premier visiteur 😌

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dimanche 12 juin 2022

For my English speaking french

Bruce Morgan made over 500 drawings for our 7 books. 
He sells the original signed drawings. 
Informations : brucemorgan@hotmail.fr or mia.michael@hotmail.fr

samedi 11 juin 2022

De l'air...

 


C'est pas très élégant comme pose, mais ma chatte a besoin de respirer.😀

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vendredi 10 juin 2022

Ashley - 72 Un petit bordel.

On a à peine fini qu'une esclave vient nous dire :
— Mademoiselle Summer a besoin de vous.
On se dirige immédiatement vers la table où elle se trouve avec les gens importants. Elle nous dit :
— Les préparateurs ne sont pas chauds pour former des filles dont le plus grand mérite est d'être tombées par hasard sur le gisement. Il leur faut simplement des esclaves pour les travaux durs. Vous en pensez quoi, monsieur Sam .
— Dans une semaine, on fera parler d'elles dans les médias, mais en attendant... Tu as une idée, ma chérie ?
Sa chérie, c'est Sara, sa nièce. Bonjour l'inceste, quoique entre oncle et nièce, ce n'est peut-être pas de l'inceste. La petite garce nous regarde comme si on étaient deux vieux chewing-gums collés à la semelle de ses chaussures... Elle dit :
— Elles sont bonnes à rien, sauf sucer des bites...
Paf ! Elle tombe dans le même précipice que Madame Stone. Elle ajoute :
— On choisit une ou deux belles esclaves de plus et on les met à la disposition de tous ceux qui le désirent.
Oh ! Elle a oublié de se mettre dedans, elle, la reine des putes.
Les hommes nous regardent tous en souriant, surtout les étudiants, ils se lèchent presque les babines à l'idée qu'on va leur lécher autre chose ! La seule chose que je retiens, c'est que dans une semaine, on sera présentées aux médias.
Summer demande à Nouzha :
— Tu pourrais t'en occuper ?
— Oui, bien sûr.
— Tu choisis deux jolies esclaves en plus. Il faut qu'elles se lavent et qu'elles s'arrangent un peu, ensuite tu les colles dans une grande tente.
L'indien hopi lui dit :
— Très bonne idée.
Je sens qu'on va goûter à des bites de Hopis. Pourtant, Summer avait bien promis la lune à l'esclave qui découvrirait les fossiles. Je mets tous mes espoirs dans les journalistes et les gens de la télé qu'on rencontrera à la fin de la semaine. Nouzha nous dit :
— Venez, on va vous chercher deux autres esclaves.
On va à l'endroit où les esclaves sont assises par terre pour manger. Elle va parler au garde qui les surveille. Elle revient vers nous en disant :
— Choisissez chacune une fille.
Oh ! Nous ? Radia regarde les filles rapidement et elle dit :
— La blonde aux yeux bleus.
Nouzha me dit :
— Et toi ?
Je désigne une métisse qui a une longue chevelure ondulée en disant :
— Celle-là, Mademoiselle.
Le garde lui demande :
— Il y aura bientôt moyen d'aller s'amuser avec les filles  ?
— Bien sûr, on les lave et on les installe. Tu seras le bienvenu...
***
L'après-midi, on doit se transformer. D’esclaves négligées, on se transforme en pin up propres et parfumées. Mon Dieu, quel plaisir...
On ne doit même pas aider à installer la tente du bordel. Il y a quatre lits, quelques tables et des chaises. C'est sommaire.
Le soir, on mange avec l'équipe. Il y a une métisse, une blonde et deux brunes, toutes les quatre nues et ravissantes, si, si... Les hommes sont ravis de nous voir. Ils veulent commencer ce soir, mais Summer leur dit :
— Les filles seront disponibles demain, de 9 h à 22 h. Vous aurez droit à une visite par jour.
Ah oui, quand même des journées de 13 h ! On dort dans la tente. Radia et moi, on s'entend super bien, mais on a envie "d'essayer" les filles qu'on a choisies. Elle dort avec Cat, la blonde, moi avec Zoé, la métisse. J'aime ses fesses rondes et son odeur, subtil mélange de sueur et de Chanel n° 5, le parfum de Marilyn Monroe. Quoique d'après ce que j'ai lu, Marilyn devait sentir beaucoup plus la sueur que le pjasmin. Je me colle à Zoé comme je me collais à Summer. On fera des câlins plus tard. On a eu trop d'émotion, on est crevées...
****
Le lendemain, pas de toilette, faut pas abuser, on est toujours des esclaves... On va déjeuner, toujours nues... Les hommes nous dévorent des yeux comme si on était des nouvelles espèces de Dinosaures. Quand on a fini, on se lève pour retourner dans la tente, mais Summer nous siffle. En chiennes bien dressées, on court. Elle nous dit :
— Nouzha a envie de participer aux fouilles, alors c'est la fille de la cuisinière qui va s'occuper de vous. Allez vous présenter.
La cuisinière, je l'ai vue, c'est une grosse Black pas distinguée du tout, mais bon, on lui demande de faire la cuisine, pas de prendre le thé chez la reine d'Angleterre. On va devant la tente qui sert de cuisine et Radia lui dit :
— Nous devons nous présenter à votre fille, Madame.
Elle gueule :
— Pearl, y a les putes !
Venant de la cabine w.c. qui se trouve dans toutes les tentes, on entend :
— Z'ont qu'à attend', j'suis occupée d'chier !
La fille n'est pas des plus distinguées non plus... Sa mère nous demande :
— V'savez entendu ?
— Oui Madame.
Difficile de ne pas l'entendre, mère et fille gueulent comme des putois. On attend... La porte de la cabine s'ouvre et une grande fille en sort en remontant son short ultra court. Elle peut avoir 25 ans, plutôt grande, jolie certes mais très maquillée et elle a de grands anneaux aux oreilles. Elle dit :
— Putain, m’man, plus de haricots, d'abord, ça m'fait péter et puis ça m'constipe !
On est ravies de l'apprendre. Elle arrive vers nous. On lui dit plus ou moins toutes les quatre ensemble :
— Bonjour Mademoiselle.
Elle répond :
— Mains dans la nuque !
On obéit toutes. Elle nous examine à tour de rôle, tâte nos seins, nos fesses. Elle me dit :
— C'est toi l'ex Première Dame ?
— Oui Mademoiselle.
— Ça te plaît de devoir obéir à une négresse ?
Ouch ! C'est un mot qu'on ne peut plus employer. D'ailleurs, l'actuel président est Black. Je réponds :
— Je viens de Notasulga en Georgie et...
— Je t'ai demandé d'où tu venais ?
— Non, Mademoiselle. Et oui, je trouve normal de vous obéir, puisque je suis devenue une esclave.
— Bien, bien... Tu vas montrer à tes copines comme tu aimes les Blacks. Je viens de chier... et tu vas me lécher le trou du cul. Ça te plaît ?
— Oui Mademoiselle.
Sa mère lui dit :
— Tu la taquines !
C'est le mot que je cherchais !! Elle enlève son short, couche son buste sur la table en disant :
— Lèche mon cul.
Je me mets vite à genoux et j'écarte ses fesses des deux mains, puis j'enfonce ma langue dans le trou rose de son cul. De l'autre côte elle glousse et dit :
— T'as vu, m'man, fais une photo.
— Oui, poussin.
La mère sort son téléphone et elle me dit :
— Montre ton visage et juste le bout de ta langue dans son trou du cul.


Quelques photos, plus tard, la fille me donne un coup avec son cul en disant :

— C'est bon, bouge.
Je me relève et on va avec elle dans la tente. On a mis un frigo. Elle va prendre une bière et s'assied à une table. Aucune de nous n'ose lui demander ce qu'on doit faire. C'est la bonne méthode, elle finit par nous dire :
— Si vous avez soif, il y a de l'eau dans le frigo... et vous pouvez bouger.
Il suffit de ramper un peu et elle est contente. Rapidement, on voit arriver les premiers clients. Ils donnent à Pearl leur "bon pour une fille". Pute, je connais et j'ai déjà beaucoup écrit à ce sujet. Ici, rien d'original : ils veulent d'abord une pipe, ensuite nous baiser. Les clients sont les étudiants, les techniciens, des Indiens navajos et hopis. Plus surprenant, on voit arriver des esclaves mâles, ils ont un collier et un cadran au poignet, comme nous. Je suppose que c'est la récompense des bons travailleurs.
Notre petit bordel de campagne a beaucoup de succès... Les clients font la queue et ce n'est pas une image.

  


Entre chaque passe, on sort de la tente par l'arrière et on se rince avec un tuyau d'arrosage. L'hygiène avant tout !!
Dès que l'une de nous n'est pas en main, Pearl lui demande quelque chose : une bière ou allumer un joint et même, en ce qui me concerne, lui masser les pieds. Elle aime spécialement me voir obéir à ses ordres.
On passe trois jours à se faire niquer par tout ce qui a une queue, dans le camp et chez les Indiens. Il y a même des étudiantes qui viennent ensemble "se faire lécher le minou", selon leur expression.
***
Vendredi, enfin. On va déjeuner avec Pearl. Quand on revient dans la tente, il y a un panneau au-dessus de l'entrée sur lequel il est écrit "La petite maison blanche". Ah d'accord, je comprends pourquoi. Nouzha nous apporte des vêtements. Quelle bonne surprise... Quels vêtements : une belle robe blanche pour moi, un tailleur noir et un chemisier blanc pour Radia. Oh !! Summer en personne vient nous briefer. Elle nous dit :
— La tente, c'est la "Maison-Blanche", Ash est la Première Dame, Radia est son assistante. Nous allons avoir des visites importantes et pour commencer Norman, le célèbre présentateur du talk-show le plus suivi des USA et un jeune homme qui fait un malheur sur le Net. Je compte sur vous pour être aux petits soins.
Alors là, elle peut compter sur moi ! Je dois séduire ces deux guignols !


À suivre.


Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.


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Bruce Morgan

 


Dessin de Bruce Morgan.

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mercredi 8 juin 2022

Un Bruce Morgan chez vous.

 


Bruce Morgan a fait plus de 500 dessins pour nos livres. 

Il vend tous les dessins originaux, signés à un prix tout à fait abordable. Infos : brucemorgan@hotmail.fr ou mia.michael@hotmail.fr