vendredi 10 juin 2022

Ashley - 72 Un petit bordel.

On a à peine fini qu'une esclave vient nous dire :
— Mademoiselle Summer a besoin de vous.
On se dirige immédiatement vers la table où elle se trouve avec les gens importants. Elle nous dit :
— Les préparateurs ne sont pas chauds pour former des filles dont le plus grand mérite est d'être tombées par hasard sur le gisement. Il leur faut simplement des esclaves pour les travaux durs. Vous en pensez quoi, monsieur Sam .
— Dans une semaine, on fera parler d'elles dans les médias, mais en attendant... Tu as une idée, ma chérie ?
Sa chérie, c'est Sara, sa nièce. Bonjour l'inceste, quoique entre oncle et nièce, ce n'est peut-être pas de l'inceste. La petite garce nous regarde comme si on étaient deux vieux chewing-gums collés à la semelle de ses chaussures... Elle dit :
— Elles sont bonnes à rien, sauf sucer des bites...
Paf ! Elle tombe dans le même précipice que Madame Stone. Elle ajoute :
— On choisit une ou deux belles esclaves de plus et on les met à la disposition de tous ceux qui le désirent.
Oh ! Elle a oublié de se mettre dedans, elle, la reine des putes.
Les hommes nous regardent tous en souriant, surtout les étudiants, ils se lèchent presque les babines à l'idée qu'on va leur lécher autre chose ! La seule chose que je retiens, c'est que dans une semaine, on sera présentées aux médias.
Summer demande à Nouzha :
— Tu pourrais t'en occuper ?
— Oui, bien sûr.
— Tu choisis deux jolies esclaves en plus. Il faut qu'elles se lavent et qu'elles s'arrangent un peu, ensuite tu les colles dans une grande tente.
L'indien hopi lui dit :
— Très bonne idée.
Je sens qu'on va goûter à des bites de Hopis. Pourtant, Summer avait bien promis la lune à l'esclave qui découvrirait les fossiles. Je mets tous mes espoirs dans les journalistes et les gens de la télé qu'on rencontrera à la fin de la semaine. Nouzha nous dit :
— Venez, on va vous chercher deux autres esclaves.
On va à l'endroit où les esclaves sont assises par terre pour manger. Elle va parler au garde qui les surveille. Elle revient vers nous en disant :
— Choisissez chacune une fille.
Oh ! Nous ? Radia regarde les filles rapidement et elle dit :
— La blonde aux yeux bleus.
Nouzha me dit :
— Et toi ?
Je désigne une métisse qui a une longue chevelure ondulée en disant :
— Celle-là, Mademoiselle.
Le garde lui demande :
— Il y aura bientôt moyen d'aller s'amuser avec les filles  ?
— Bien sûr, on les lave et on les installe. Tu seras le bienvenu...
***
L'après-midi, on doit se transformer. D’esclaves négligées, on se transforme en pin up propres et parfumées. Mon Dieu, quel plaisir...
On ne doit même pas aider à installer la tente du bordel. Il y a quatre lits, quelques tables et des chaises. C'est sommaire.
Le soir, on mange avec l'équipe. Il y a une métisse, une blonde et deux brunes, toutes les quatre nues et ravissantes, si, si... Les hommes sont ravis de nous voir. Ils veulent commencer ce soir, mais Summer leur dit :
— Les filles seront disponibles demain, de 9 h à 22 h. Vous aurez droit à une visite par jour.
Ah oui, quand même des journées de 13 h ! On dort dans la tente. Radia et moi, on s'entend super bien, mais on a envie "d'essayer" les filles qu'on a choisies. Elle dort avec Cat, la blonde, moi avec Zoé, la métisse. J'aime ses fesses rondes et son odeur, subtil mélange de sueur et de Chanel n° 5, le parfum de Marilyn Monroe. Quoique d'après ce que j'ai lu, Marilyn devait sentir beaucoup plus la sueur que le pjasmin. Je me colle à Zoé comme je me collais à Summer. On fera des câlins plus tard. On a eu trop d'émotion, on est crevées...
****
Le lendemain, pas de toilette, faut pas abuser, on est toujours des esclaves... On va déjeuner, toujours nues... Les hommes nous dévorent des yeux comme si on était des nouvelles espèces de Dinosaures. Quand on a fini, on se lève pour retourner dans la tente, mais Summer nous siffle. En chiennes bien dressées, on court. Elle nous dit :
— Nouzha a envie de participer aux fouilles, alors c'est la fille de la cuisinière qui va s'occuper de vous. Allez vous présenter.
La cuisinière, je l'ai vue, c'est une grosse Black pas distinguée du tout, mais bon, on lui demande de faire la cuisine, pas de prendre le thé chez la reine d'Angleterre. On va devant la tente qui sert de cuisine et Radia lui dit :
— Nous devons nous présenter à votre fille, Madame.
Elle gueule :
— Pearl, y a les putes !
Venant de la cabine w.c. qui se trouve dans toutes les tentes, on entend :
— Z'ont qu'à attend', j'suis occupée d'chier !
La fille n'est pas des plus distinguées non plus... Sa mère nous demande :
— V'savez entendu ?
— Oui Madame.
Difficile de ne pas l'entendre, mère et fille gueulent comme des putois. On attend... La porte de la cabine s'ouvre et une grande fille en sort en remontant son short ultra court. Elle peut avoir 25 ans, plutôt grande, jolie certes mais très maquillée et elle a de grands anneaux aux oreilles. Elle dit :
— Putain, m’man, plus de haricots, d'abord, ça m'fait péter et puis ça m'constipe !
On est ravies de l'apprendre. Elle arrive vers nous. On lui dit plus ou moins toutes les quatre ensemble :
— Bonjour Mademoiselle.
Elle répond :
— Mains dans la nuque !
On obéit toutes. Elle nous examine à tour de rôle, tâte nos seins, nos fesses. Elle me dit :
— C'est toi l'ex Première Dame ?
— Oui Mademoiselle.
— Ça te plaît de devoir obéir à une négresse ?
Ouch ! C'est un mot qu'on ne peut plus employer. D'ailleurs, l'actuel président est Black. Je réponds :
— Je viens de Notasulga en Georgie et...
— Je t'ai demandé d'où tu venais ?
— Non, Mademoiselle. Et oui, je trouve normal de vous obéir, puisque je suis devenue une esclave.
— Bien, bien... Tu vas montrer à tes copines comme tu aimes les Blacks. Je viens de chier... et tu vas me lécher le trou du cul. Ça te plaît ?
— Oui Mademoiselle.
Sa mère lui dit :
— Tu la taquines !
C'est le mot que je cherchais !! Elle enlève son short, couche son buste sur la table en disant :
— Lèche mon cul.
Je me mets vite à genoux et j'écarte ses fesses des deux mains, puis j'enfonce ma langue dans le trou rose de son cul. De l'autre côte elle glousse et dit :
— T'as vu, m'man, fais une photo.
— Oui, poussin.
La mère sort son téléphone et elle me dit :
— Montre ton visage et juste le bout de ta langue dans son trou du cul.


Quelques photos, plus tard, la fille me donne un coup avec son cul en disant :

— C'est bon, bouge.
Je me relève et on va avec elle dans la tente. On a mis un frigo. Elle va prendre une bière et s'assied à une table. Aucune de nous n'ose lui demander ce qu'on doit faire. C'est la bonne méthode, elle finit par nous dire :
— Si vous avez soif, il y a de l'eau dans le frigo... et vous pouvez bouger.
Il suffit de ramper un peu et elle est contente. Rapidement, on voit arriver les premiers clients. Ils donnent à Pearl leur "bon pour une fille". Pute, je connais et j'ai déjà beaucoup écrit à ce sujet. Ici, rien d'original : ils veulent d'abord une pipe, ensuite nous baiser. Les clients sont les étudiants, les techniciens, des Indiens navajos et hopis. Plus surprenant, on voit arriver des esclaves mâles, ils ont un collier et un cadran au poignet, comme nous. Je suppose que c'est la récompense des bons travailleurs.
Notre petit bordel de campagne a beaucoup de succès... Les clients font la queue et ce n'est pas une image.

  


Entre chaque passe, on sort de la tente par l'arrière et on se rince avec un tuyau d'arrosage. L'hygiène avant tout !!
Dès que l'une de nous n'est pas en main, Pearl lui demande quelque chose : une bière ou allumer un joint et même, en ce qui me concerne, lui masser les pieds. Elle aime spécialement me voir obéir à ses ordres.
On passe trois jours à se faire niquer par tout ce qui a une queue, dans le camp et chez les Indiens. Il y a même des étudiantes qui viennent ensemble "se faire lécher le minou", selon leur expression.
***
Vendredi, enfin. On va déjeuner avec Pearl. Quand on revient dans la tente, il y a un panneau au-dessus de l'entrée sur lequel il est écrit "La petite maison blanche". Ah d'accord, je comprends pourquoi. Nouzha nous apporte des vêtements. Quelle bonne surprise... Quels vêtements : une belle robe blanche pour moi, un tailleur noir et un chemisier blanc pour Radia. Oh !! Summer en personne vient nous briefer. Elle nous dit :
— La tente, c'est la "Maison-Blanche", Ash est la Première Dame, Radia est son assistante. Nous allons avoir des visites importantes et pour commencer Norman, le célèbre présentateur du talk-show le plus suivi des USA et un jeune homme qui fait un malheur sur le Net. Je compte sur vous pour être aux petits soins.
Alors là, elle peut compter sur moi ! Je dois séduire ces deux guignols !


À suivre.


Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.


Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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