On
a à peine fini qu'une esclave vient nous dire :
—
Mademoiselle Summer a besoin de vous.
On se dirige immédiatement
vers la table où elle se trouve avec les gens importants. Elle nous
dit :
— Les préparateurs ne sont pas chauds pour former des
filles dont le plus grand mérite est d'être tombées par hasard sur
le gisement. Il leur faut simplement des esclaves pour les travaux
durs. Vous en pensez quoi, monsieur Sam .
— Dans une semaine,
on fera parler d'elles dans les médias, mais en attendant... Tu as
une idée, ma chérie ?
Sa chérie, c'est Sara, sa nièce.
Bonjour l'inceste, quoique entre oncle et nièce, ce n'est peut-être
pas de l'inceste. La petite garce nous regarde comme si on étaient
deux vieux chewing-gums collés à la semelle de ses chaussures...
Elle dit :
— Elles sont bonnes à rien, sauf sucer des
bites...
Paf ! Elle tombe dans le même précipice que Madame
Stone. Elle ajoute :
— On choisit une ou deux belles esclaves
de plus et on les met à la disposition de tous ceux qui le
désirent.
Oh ! Elle a oublié de se mettre dedans, elle, la
reine des putes.
Les hommes nous regardent tous en souriant,
surtout les étudiants, ils se lèchent presque les babines à l'idée
qu'on va leur lécher autre chose ! La seule chose que je retiens,
c'est que dans une semaine, on sera présentées aux médias.
Summer
demande à Nouzha :
— Tu pourrais t'en occuper ?
—
Oui, bien sûr.
— Tu choisis deux jolies esclaves en plus. Il
faut qu'elles se lavent et qu'elles s'arrangent un peu, ensuite tu
les colles dans une grande tente.
L'indien hopi lui dit :
—
Très bonne idée.
Je sens qu'on va goûter à des bites de
Hopis. Pourtant, Summer avait bien promis la lune à l'esclave qui
découvrirait les fossiles. Je mets tous mes espoirs dans les
journalistes et les gens de la télé qu'on rencontrera à la fin de
la semaine. Nouzha nous dit :
— Venez, on va vous chercher
deux autres esclaves.
On va à l'endroit où les esclaves sont
assises par terre pour manger. Elle va parler au garde qui les
surveille. Elle revient vers nous en disant :
— Choisissez
chacune une fille.
Oh ! Nous ? Radia regarde les filles
rapidement et elle dit :
— La blonde aux yeux bleus.
Nouzha
me dit :
— Et toi ?
Je désigne une métisse qui a une
longue chevelure ondulée en disant :
— Celle-là,
Mademoiselle.
Le garde lui demande :
— Il y aura bientôt
moyen d'aller s'amuser avec les filles ?
— Bien sûr, on
les lave et on les installe. Tu seras le
bienvenu...
***
L'après-midi, on doit se transformer.
D’esclaves négligées, on se transforme en pin up propres et
parfumées. Mon Dieu, quel plaisir...
On ne doit même pas aider
à installer la tente du bordel. Il y a quatre lits, quelques tables
et des chaises. C'est sommaire.
Le soir, on mange avec l'équipe.
Il y a une métisse, une blonde et deux brunes, toutes les quatre
nues et ravissantes, si, si... Les hommes sont ravis de nous voir.
Ils veulent commencer ce soir, mais Summer leur dit :
— Les
filles seront disponibles demain, de 9 h à 22 h. Vous aurez droit à
une visite par jour.
Ah oui, quand même des journées de 13 h !
On dort dans la tente. Radia et moi, on s'entend super bien, mais on
a envie "d'essayer" les filles qu'on a choisies. Elle dort
avec Cat, la blonde, moi avec Zoé, la métisse. J'aime ses fesses
rondes et son odeur, subtil mélange de sueur et de Chanel n° 5, le
parfum de Marilyn Monroe. Quoique d'après ce que j'ai lu, Marilyn
devait sentir beaucoup plus la sueur que le pjasmin. Je me colle à
Zoé comme je me collais à Summer. On fera des câlins plus tard. On
a eu trop d'émotion, on est crevées...
****
Le lendemain,
pas de toilette, faut pas abuser, on est toujours des esclaves... On
va déjeuner, toujours nues... Les hommes nous dévorent des yeux
comme si on était des nouvelles espèces de Dinosaures. Quand on a
fini, on se lève pour retourner dans la tente, mais Summer nous
siffle. En chiennes bien dressées, on court. Elle nous dit :
—
Nouzha a envie de participer aux fouilles, alors c'est la fille de la
cuisinière qui va s'occuper de vous. Allez vous présenter.
La
cuisinière, je l'ai vue, c'est une grosse Black pas distinguée du
tout, mais bon, on lui demande de faire la cuisine, pas de prendre le
thé chez la reine d'Angleterre. On va devant la tente qui sert de
cuisine et Radia lui dit :
— Nous devons nous présenter à
votre fille, Madame.
Elle gueule :
— Pearl, y a les putes
!
Venant de la cabine w.c. qui se trouve dans toutes les tentes,
on entend :
— Z'ont qu'à attend', j'suis occupée
d'chier !
La fille n'est pas des plus distinguées non plus...
Sa mère nous demande :
— V'savez entendu ?
— Oui
Madame.
Difficile de ne pas l'entendre, mère et fille gueulent
comme des putois. On attend... La porte de la cabine s'ouvre et une
grande fille en sort en remontant son short ultra court. Elle peut
avoir 25 ans, plutôt grande, jolie certes mais très maquillée et
elle a de grands anneaux aux oreilles. Elle dit :
— Putain,
m’man, plus de haricots, d'abord, ça m'fait péter et puis ça
m'constipe !
On est ravies de l'apprendre. Elle arrive vers
nous. On lui dit plus ou moins toutes les quatre ensemble :
—
Bonjour Mademoiselle.
Elle répond :
— Mains dans la
nuque !
On obéit toutes. Elle nous examine à tour de rôle,
tâte nos seins, nos fesses. Elle me dit :
— C'est toi l'ex
Première Dame ?
— Oui Mademoiselle.
— Ça te plaît
de devoir obéir à une négresse ?
Ouch ! C'est un mot
qu'on ne peut plus employer. D'ailleurs, l'actuel président est
Black. Je réponds :
— Je viens de Notasulga en Georgie
et...
— Je t'ai demandé d'où tu venais ?
— Non,
Mademoiselle. Et oui, je trouve normal de vous obéir, puisque je
suis devenue une esclave.
— Bien, bien... Tu vas montrer à
tes copines comme tu aimes les Blacks. Je viens de chier... et tu vas
me lécher le trou du cul. Ça te plaît ?
— Oui
Mademoiselle.
Sa mère lui dit :
— Tu la taquines !
C'est
le mot que je cherchais !! Elle enlève son short, couche son buste
sur la table en disant :
— Lèche mon cul.
Je me mets
vite à genoux et j'écarte ses fesses des deux mains, puis j'enfonce
ma langue dans le trou rose de son cul. De l'autre côte elle glousse
et dit :
— T'as vu, m'man, fais une photo.
— Oui,
poussin.
La mère sort son téléphone et elle me dit :
—
Montre ton visage et juste le bout de ta langue dans son trou du cul.
Quelques photos, plus tard, la fille me donne un coup avec son cul en disant :
— C'est bon, bouge.
Je me relève et on va avec elle
dans la tente. On a mis un frigo. Elle va prendre une bière et
s'assied à une table. Aucune de nous n'ose lui demander ce qu'on
doit faire. C'est la bonne méthode, elle finit par nous dire :
—
Si vous avez soif, il y a de l'eau dans le frigo... et vous pouvez
bouger.
Il suffit de ramper un peu et elle est contente.
Rapidement, on voit arriver les premiers clients. Ils donnent à
Pearl leur "bon pour une fille". Pute, je connais et j'ai
déjà beaucoup écrit à ce sujet. Ici, rien d'original : ils
veulent d'abord une pipe, ensuite nous baiser. Les clients sont les
étudiants, les techniciens, des Indiens navajos et hopis. Plus
surprenant, on voit arriver des esclaves mâles, ils ont un collier
et un cadran au poignet, comme nous. Je suppose que c'est la
récompense des bons travailleurs.
Notre petit bordel de
campagne a beaucoup de succès... Les clients font la queue et ce
n'est pas une image.
Entre
chaque passe, on sort de la tente par l'arrière et on se rince avec
un tuyau d'arrosage. L'hygiène avant tout !!
Dès que l'une
de nous n'est pas en main, Pearl lui demande quelque chose : une
bière ou allumer un joint et même, en ce qui me concerne, lui
masser les pieds. Elle aime spécialement me voir obéir à ses
ordres.
On passe trois jours à se faire niquer par tout ce qui
a une queue, dans le camp et chez les Indiens. Il y a même des
étudiantes qui viennent ensemble "se faire lécher le minou",
selon leur expression.
***
Vendredi, enfin. On va déjeuner
avec Pearl. Quand on revient dans la tente, il y a un panneau
au-dessus de l'entrée sur lequel il est écrit "La petite
maison blanche". Ah d'accord, je comprends pourquoi. Nouzha nous
apporte des vêtements. Quelle bonne surprise... Quels vêtements :
une belle robe blanche pour moi, un tailleur noir et un chemisier
blanc pour Radia. Oh !! Summer en personne vient nous briefer. Elle
nous dit :
— La tente, c'est la "Maison-Blanche",
Ash est la Première Dame, Radia est son assistante. Nous allons
avoir des visites importantes et pour commencer Norman, le célèbre
présentateur du talk-show le plus suivi des USA et un jeune homme
qui fait un malheur sur le Net. Je compte sur vous pour être aux
petits soins.
Alors là, elle peut compter sur moi ! Je dois
séduire ces deux guignols !
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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