jeudi 2 juin 2022

Ashley - 71 On prépare les fouilles.

 

Elle resserre sans doute les parois de son vagin... et le vainqueur est Summer ! L'Indien jouit en elle. Ensuite, il repousse mes fesses. Il veut respirer sans doute. Je me relève et le laisse le visage tout mouillé. Summer se relève aussi et me montre le sol du doigt. Oh non, c'est à Radia de faire le nettoyage ! Je sais que Summer n'a pas de patience, aussi je me couche vite sur le dos et elle s'accroupit : la chatte juste au-dessus de ma bouche grande ouverte. Elle contracte son vagin et m'envoie le sperme qui la remplit. Oh putain, ça fait des mois qu'il n'a pas joui ?? C'est un plein bol qu'elle m'envoie. Je colle ma bouche sur son vagin et j'aspire ce qu'il y reste.

  

Il y a de quoi faire toute une tribu avec le sperme que j'ai avalé. En montrant Radia, l'indien dit à Summer :

— Elle n'a pas joui, la petite...
— C'est une esclave. Tu fais ce que tu veux.
Entendant ça, Radia s'applique et sa petite langue lèche soigneusement le sexe de l'Indien, des couilles jusqu'au gland. C'est peut-être facile pour un sha... man de rebander. Il lui dit :
— Tu peux t'asseoir dessus, petite esclave.
— Merci Maître.
Elle saute dessus et le sexe disparaît en elle. Eh ! Je suis un peu jalouse. Je vais près de Summer pour lui dire :
— Tu verras, la dent, c'est vraiment ça.
— Oui, s'il le dit, c'est un shaman et le chef de la tribu hopi, mais je ne comprends pas l'intérêt qu'il a à nous montrer le gisement....
— Si c'est le gisement, je pourrai rester avec toi ?
— Oui petite scie !
Radia, qui a le feu au cul, jouit bruyamment. Summer me dit :
— Couche-toi et lèche-la, je ne veux pas qu'elle salope la voiture.
Pfff... Pour la deuxième fois, le sperme de l'indien se déverse dans ma bouche. Allez, imaginons que le sperme d'un shaman soit magique et qu'il me donne des super pouvoirs !
On se rhabille et on rejoint la voiture. C'est l'Indien qui conduit. On roule assez longtemps sur une piste, jusqu'à ce qu'on arrive au ruban en plastique rouge qui indique la limite du terrain acheté par Summer. L'Indien lui dit :
— C'est dans cette grande dépression des deux côtés de ta clôture.
Oh ! Il y a une partie chez les Hopis. Summer lui demande :
— Tu le savais ?
— Quand tu as acheté cet immense terrain, on a pensé qu'il y avait peut-être du pétrole. Alors on a réuni toute la tribu et on a demandé à tous s'ils avaient déjà trouvé quelque chose sur ce terrain. À part des plantes, du gibier, non.
On est suspendu à ses lèvres... Il continue :
— Et puis deux enfants – un garçon et une fille – se lèvent. Je leur demande ce qu'ils ont trouvé. La fillette me répond qu'ils ont vu une très grande dent, mais qu'ils l'ont laissée là, craignant qu'elle n'attire le mauvais sort. On est allé sur le terrain et j'ai vu plusieurs morceaux d'os qui dépassaient de l'argile, des deux côtés de ta limite. Je n'étais pas sûr que ce soit que vous cherchiez, c'est pour ça que j'ai interrogé les deux filles.
On descend dans la grande cuvette et l'Indien lui montre des ossements dissimulés derrière des branchages. Ils se trouvent effectivement des deux côtés de la limite du terrain de Summer. Elle fait un grand sourire, si, si, ça arrive et elle lui dit :
— Je crois qu'on va s'associer, mon frère. Il y aura de très grands projets pour nos deux communautés.
Ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre ? Non, quand même pas. Et puis là, on entend une petite voix, c'est Radia. Elle dit :
— Et nous, Mademoiselle Summer ?
— Quoi vous ?
— C'est quand même nous qui avons trouvé...
— Le gisement ?
L'Indien intervient :
— Je les aime bien, ces filles.
Summer répond :
— Moi aussi, je les aime bien. Mais elles ont toutes les deux un problème de drogue, donc je préfère qu'elles soient surveillées.
Elle se tourne vers nous et dit :
— Vous participerez aux fouilles et...
Elle réfléchit... puis ajoute :
— Marchez jusqu'au rocher qui est là !
Ça, c'est pour dire des choses qu'on ne peut pas entendre. On marche vers le rocher. Radia me demande :
— Tu n'es pas fâchée que je lui aie demandé, pour nous ?
— Mais non.
On attend un moment puis Summer siffle dans ses doigts et nous fait signe de revenir. Qu'est-ce qui nous attend ? Elle nous dit :
— Mon frère Isha et moi avons décidé de vous désigner comme "inventeurs" du site. C'est l'appellation officielle. Vous ne pourrez rien revendiquer puisque vous êtes des esclaves, mais vous serez mieux traités que les autres esclaves. Nous avons même des projets, on en parlera plus tard.
On la remercie toutes les deux, même si on ne sait pas de quoi. Pourquoi nous désigner comme celles qui ont découvert le gisement ? En fait, c'est Summer qui l'a découvert, même si elle ne se souvenait plus de l'endroit exact. Et puis, miracle, je crois que j'ai compris : c'est plus "glamour" si le gisement a été découvert par deux jolies esclaves. Surtout si l'une d'elles est l'ex Première Dame et a été la vedette de Cléopâtre. Summer me regarde et dit :
— Tu as compris ?
— Oui...
— Tu vois que tu es moins idiote qu'on croit.
Trop gentil ! Bah, Summer n'allait pas faire un vrai compliment à une esclave. Elle nous dit :
— Vous aiderez les "préparateurs", ce qui est moins dur que fouiller, mais...
Aïe !
— Mais, je veux que tous les soirs, vous rédigiez un compte-rendu de ce que vous avez fait dans la journée et vous le présenterez le matin à madame Stone.
— Oh non, pas Madame Stone...
— Je veux que vous soyez contrôlées. Point final !
Message reçu ! On peut aller dormir dans la tente de Nouzha et des étudiants. Il y a en plusieurs qui viennent nous féliciter, on est devenues des vedettes. On dort l'une contre l'autre, Radia et moi. Nouzha a un nouveau chouchou, une jolie étudiante blonde.
***
Le lendemain matin, on va déjeuner dans la tente du réfectoire. On est servies par des esclaves. On a presque fini quand madame Stone arrive. Elle vient se mettre derrière nous, on se lève aussitôt pour dire en chœur :
— Bonjour Madame.
Elle répond :
— Comment s'appelle le dinosaure que vous avez trouvé ?
Qu'est-ce qu'on en sait nous ! Je réponds :
— Un petit Tyrannosaure, Madame.
— Il s'appelle Suskityrannus Hazelae. Apprenez le nom par cœur.
À nouveau, on répond ensemble :
— Oui Madame.
— Demain matin à 8 h, je veux un compte-rendu détaillé de ce que vous aurez fait aujourd'hui.
Elle s'en va et tombe dans un précipice ! Hélas, non.
***
Dans l'après-midi, des tas de gens arrivent : des paléontologues, palynologues et autres spécialistes en "logue". Il y a aussi Monsieur Sam et Sara sa nièce et maîtresse, le gouverneur du Nouveau-Mexique et un proche du Président, celui qui a fait tomber mon lâche ex-mari. Du côté indien, il y a des représentants navajos et hopis.
Nouzha nous dit :
— Demain, vous serez au service des techniciens, mais aujourd'hui, vous aiderez les esclaves à déménager le camp. Enlevez vos pantalons comme les autres.
— Mais...
Elle prend son fouet et aussitôt on enlève le pantalon. Avec les autres esclaves, on démonte tout, on le charge dans les camions. Nouzha, les gardes et même les étudiants nous donnent autant de coups de fouet qu'aux autres esclaves. Le soir, on a les fesses zébrées de traces rouges. C'est trop injuste !


 

On dort dans le nouveau camp avec les autres, comme si on n'avait pas découvert des tas de Suskytrannus Hazalae. On a appris le nom par cœur, bien sûr.
***
Le lendemain, on fait vite notre devoir : on écrit tout ce qu'on a fait la veille, difficile de remplir une page, mais à deux on y arrive. À 7 h 55, on est dans la tente du réfectoire. Des esclaves servent les premiers arrivés. Madame Stone arrive et va s'asseoir. On va se mettre à genoux à sa droite. On ferait tout pour l'amadouer. Elle jette un vague coup d'œil sur notre feuille, puis elle dit :
— Vous pouvez aller à la table des étudiants. Présentez-vous aux techniciens. Demain, 8 h ici.
— Merci Madame.
À la table qu'elle nous a désignée, il y a déjà les étudiants et sans doute les techniciens, ainsi que les préparateurs qu'on doit aider.
On va saluer tout le monde et je dis à un des techniciens :
— Je crois que nous allons travailler pour vous.
Il répond :
— On a suffisamment d'étudiants. Mademoiselle Summer vous en parlera.
Pas sympa, le gars. Je lui demande :
— On peut s'asseoir ici pour déjeuner ?
— Pour moi, oui.
On demande à une esclave du thé et du café. On a vraiment faim toutes les deux. Des étudiants arrivent, certains sont sympas. L’un d'eux nous dit :
— Bravo pour la découverte, racontez-nous comme ça s'est passé.
J'y ai pensé, figurez-vous, et j'ai mis au point une histoire : "On cherchait aux limites de la propriété de Mademoiselle Summer et dans une dépression, Radia et moi, on a vu dépasser quelque chose de pointu : une dent de Surkytirannus." Tout le monde m'écoute, c'est agréable.
Les VIP arrivent : Summer, les scientifiques, Monsieur Sam et Sara. Le gouverneur est reparti. Il y a aussi quelques Indiens des deux tribus.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search





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