dimanche 31 juillet 2022

Bruce


 

Dessin de Bruce Morgan.

Il y a des centaines de dessins super excitants de lui dans nos livres. Vous allez adorer, parole de Mia. lamusardine.com/recherche?s=mi

samedi 30 juillet 2022

Un dessin inédit de Bruce.

 J'aime bien le vent...

Il y a un nouvel épisode de Lizy avec un dessin inédit de Bruce Morgan.
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com

vendredi 29 juillet 2022

Bruce


 

Dessin de Bruce Morgan.

Il y a des centaines de dessins super excitants de lui dans nos livres. Vous allez adorer, parole de Mia. lamusardine.com/recherche?s=mi

jeudi 28 juillet 2022

Maid in Japan - 3 La Voix.

Juste avant d'arriver, le garde nous dit :
— Il ne suffit pas de vous courber pour saluer vos maîtres, mettez-vous à genoux et inclinez-vous jusqu'à ce que votre front touche le sol.
On va rencontrer l'empereur du Japon ? Bien sûr, on fait ce qu'il dit et quand on est devant un groupe d'hommes et de femmes, on prend la pose qu'il a décrite, le front sur le sol, les fesses en l'air. Le garde est satisfait, il dit :
— Redressez-vous, mais restez à genoux.
On a l'occasion de regarder nos "maîtres". Ils ont l'air d'une famille : les grands-parents, deux couples d'une quarantaine d'années, deux garçons et trois filles d'une vingtaine d'années. Ils sont vêtus de pantalons qui s'arrêtent aux genoux et d'une espèce de chemise sans manche, aussi bien les hommes que les femmes. Leurs vêtements sont sales et usés, ce sont des vêtements de travail. Le garde nous dit :
—  Soyez obéissantes et travaillez bien.
Il s'en va. Un des hommes nous parle en japonais. Aucune de nous ne comprend. Une des filles parle un peu l'anglais. Elle désigne la ferme du doigt en disant  :
— Suivez-nous.
Cette ferme est un ancien bâtiment de pierre, assez délabré. Certaines parties plus récentes sont en bois. On entre dans la cour. En plus de la maison, il y a une grange, d'autres petits bâtiments de bois, un enclos avec une dizaine de porcs et des poules en libertés. Il y a aussi une fosse à purin. C'est une ferme, quoi. La fille nous montre des balais et des pelles appuyés contre un mur, en disant.
— Vous nettoyer et jeter là.
Elle nous montre la fosse à purin et ajoute :
— Si pas bien : fouet !
Une fille lève la main. La fille lui dit :
— Quoi ?
— On peut former des équipes, maîtresse ?
Elle consulte les autres du regard... Ils n'ont pas compris. Elle répond :
— Travaillez.
Le fait d'être appelée maîtresse, ça lui a plu. Je dois me faire bien voir de cette fille. Je la regarde plus attentivement, elle est plutôt grande, mince et son visage est assez joli.
La fille qui lui a posé la question nous dit :
— On va s'organiser...
Comme nous, elle semble être Malaise, mais je pense qu’en réalité, il s’agit d’une Américaine. Peut-être une universitaire, à entendre sa façon de parler. On fait des équipes, des filles réunissent les excréments des poules et des débris divers. D'autres les chargent dans des brouettes pour les déverser dans la fosse à purin. La fille de la ferme crie :
— Plus vite !
Plus vite que quoi ? Aussitôt, les quatre autres jeunes nous foncent dessus et nous donnent des coups de fouet sur les fesses, les cuisses et les mollets. Ils visent bien les salopards. On se met toutes à courir en gémissant. C'est ce qu'ils veulent ! La fille dit :
— Bien !
Dès qu'on ralentit, on se fait fouetter. On court pendant au moins deux heures à ramasser de la merde de poulets, des détritus et même les mauvaises herbes qui ont poussé un peu partout. Je suis fatiguée et j'ai mal au dos, mais je suis quand même étonnée d'avoir pu tenir ce rythme pendant deux heures. Ce nouveau corps a vraiment l'air performant. La cour de ferme est propre ou presque. La nuit tombe et j'ai l'impression qu'il n'y a pas d'électricité ici. La fille nous dit :
— Pas sortir ferme. Dormir là.
Elle désigne la grange... et ajoute :
— Manger bientôt... eau, là.
Elle nous montre un puits et s'en va. On reste dans cette cour de ferme, les poules sont rentrées dans leur poulailler, les porcs sont installés sous un auvent. La chef, enfin, celle qui est la plus décidée et qui a parlé à la fille, nous dit :
— Première chose, boire.
Elle se dirige vers le puits, enlève le couvercle de bois et tourne une manivelle jusqu'à ce qu'un seau en bois apparaisse. Une fille sait comment le bloquer. Il y a quelques récipients, genre un pot cassé sur le bord du puits.
À tour de rôle, on vient boire... Oh, ça fait du bien... Plusieurs filles se frottent les épaules et les reins. On va toutes s'asseoir sur des ballots de paille dans la grange. 
  


Maintenant, on attend la nourriture. C'est surprenant de voir les autres filles aussi semblables et de savoir qu'on ressemble à ça. C'est comme si nous avions 11 miroirs reflétant notre image.  La chef nous dit :
— On devrait se présenter. Je suis Américaine... et avocate. Je défendais quelqu'un d'important, mais quand je me suis rendu compte qu'il était coupable, je n'ai plus travaillé avec assez conviction. Il a pris un autre avocat. Deux hommes sont entrés chez moi, ils m'ont maintenue et m'ont fait une piqûre... vous connaissez la suite.
À tour de rôle, les filles racontent leur histoire :
— Je m'appelle Laini, j'ai 18 ans et je suis Malaise, j'étais servante à Hong Kong. J'ai cassé un vase et brûlé un chemisier en soie en le repassant. La maîtresse m'a battue, puis un homme m'a fait une piqûre...
— Je suis Anglaise et j'ai trompé plusieurs fois mon mari. Il l'a découvert....
— Je suis Italienne et j'étais vendeuse. J'ai volé plusieurs sous-vêtements.
— Je suis Allemande et j'étais strip-teaseuse. J'ai refusé de partir en week-end avec un riche client.
— Je suis Brésilienne et j'ai déposé plainte contre mon patron pour des attouchements.
— Je suis Coréenne et je tenais un blog sur le darknet. Je dénonçais les abus du pouvoir.
— Je suis Indienne et j'ai giflé un producteur qui a mis la main sous ma jupe
— Je suis Française, j'étais baby-sitter au Japon et j'ai giflé un gamin qui m'a craché au visage.
— Je viens des Philippines et j'étais servante dans un pays du Golf, j'ai refusé de faire une fellation à mon patron.
— Je suis Australienne et j'ai dénoncé un trafic d'animaux sur mon blog.
On a toutes un point commun, en dehors du fait qu'on se ressemble comme des sœurs jumelles, on a fait quelque chose qui a servi de prétexte. De là à nous punir de cette façon...
L'avocate nous dit :
— Il doit y avoir autre chose... on est trop différentes au départ. On est toutes de nationalité différente. Il doit y avoir une raison à notre présence ici.
La Coréenne répond :
— Je crois aussi. Sur le darknet, j'ai lu que des filles étaient enlevées par...
Elle s'arrête net et pousse un cri en se frottant la hanche et la cuisse. Elle grimace de douleur pendant quelques minutes.... Puis, elle se calme, mais elle n'a pas l'air à l'aise du tout ! La chef lui dit :
— Qu'est-ce qui s'est passé ?
— Rien, rien... D'ailleurs, je me trompe, je... mélange avec un film. Sur le darknet, il y a beaucoup de rumeurs.
Ouais... On se regarde et je crois qu'on pense toutes la même chose, on est contrôlées ! La chef regarde le plafond... elle cherche des micros, je crois.  Là, je pense à un article que j'ai lu et j'ai la mauvaise idée de leur dire :
— J'ai lu un article qui parlait d'une organisation qui... Aaaïïeee !
J'ai une douleur fulgurante de la hanche au mollet, le long du tracé du nerf sciatique. En même temps, j'entends :
— Stop !
Ouch ! On doit avoir une minuscule oreillette implantée dans l'oreille. La chef qui me regardait a compris... la Coréenne et d'autres filles aussi. La chef nous dit :
— Les filles, on va faire ce qu'on nous dit et dès qu'on sera obéissantes et qu'on parlera japonais, notre situation va s'améliorer. Le fouet fait mal mais il ne blesse pas. Je crois que...
On ne le saura pas car toute la famille arrive, les jeunes portent des casseroles... et des lampes au pétrole, car il commence à faire vraiment noir. Ils poussent le souci de l'authenticité vraiment loin... Des lampes à pétrole, c'était en 1850 ou un truc comme ça. Je dis qu'ils sont une famille, mais on peut douter de tout ici !
On se lève et on salue. On va manger... Non, car la fille nous dit :
— Avant manger, apéritif. À genoux !
On obéit, tandis que les hommes baissent leurs pantalons. Oh non ! Je comprends ce que veut dire "apéritif". À tout prendre, c'est encore la fille qui parle anglais qui me dégoûte le moins. Par chance, je suis près d'elle, je bouge un peu. Elle me regarde et descend elle aussi son pantalon de toile. Je suis face à une chatte d'un noir d'encre. La mienne doit lui ressembler. Les types choisissent une fille, n'importe laquelle puisqu'on est toutes pareilles. La fille qui a sa chatte presque sur mon visage nous dit :
— Faites bien... sinon, pas manger : fouet.   



Message bien reçu !
Elle enlève son pantalon et se couche dans la paille. Elle écarte les cuisses, ses lèvres roses et mouillées me font une moue obscène au milieu de ses poils. Je lui dis :
— C'est la première fois que je fais ça, Mademoiselle.
Elle a l'air de n'en avoir rien à foutre et me montre sa chatte du doigt.
C'est vrai que je n'ai jamais fait ça avec une fille... Dans mon milieu, c'est quelque chose qui ne se fait pas... Non, c'est bête de dire ça. Disons que je n'ai jamais eu d'attirance sexuelle pour les filles. Mais, je veux manger et je ne veux pas être fouettée, alors je ferme les yeux et je colle mes lèvres aux siennes... Son odeur est forte... mais j'embrasse et je lèche... J'invente un proverbe pour dédramatiser la circonstance : "ventre affamé n'a point d'odorat ni de goût". Je veux la satisfaire...
Des garçons m'ont déjà léchée et je me caresse parfois, oui, dans mon milieu ça se fait ! Alors, je sais que je dois m'occuper de son clitoris, je lui donne des petits coups de langue et le suce un peu. Elle aime ! Je continue à faire le premier cunni de ma vie et je ne me débrouille pas trop mal... Bientôt, elle gémit et dit des choses en japonais... Ses cuisses frémissent contre mes oreilles et son bassin vient au-devant de ma langue. Elle met son pied sur ma nuque et elle me pousse dans sa chatte en gémissant. Elle jouit... Je vais manger !
Elle se redresse et regarde les autres.
Un des hommes a pris une fille de sa famille sur ses genoux et l'a assise sur son sexe, les fesses tournées vers lui. Peut-être père et fille, parce qu’ils se ressemblent fort... Ils ont tous les deux les jambes écartées. Une de nous lèche le sexe du père et le clitoris de sa fille. L'air ravie de ce qu'on lui fait, elle tourne la tête pour embrasser... son père ? Les autres filles sucent les hommes, se font baiser en levrette ou encore lèchent les femmes. Un vrai film porno !! Je crois que ce sont vraiment des paysans et qu'ils sont ici pour gagner de l'argent et se lâcher sexuellement. Pas de douleur dans la jambe ? Ouf ! "L'ordinateur central" ne peut pas lire mes pensées.
Mais je m'en fous du spectacle porno, j'ai faim !
Il faut bien une dizaine de minutes avant que tous les membres de la famille Adams (vous vous souvenez du film ?) jouissent dans une de nous. La fille qui parle un peu l'anglais, celle dont j'ai l'odeur sur le visage et le goût dans la bouche, nous montre un seau en bois en disant :
— Les besoins.
Compris... Ils s'en vont... avec les lampes et nous laissent dans le noir. Il ne doit pas y avoir de clair de lune pour faire aussi noir. Une fille dit :
— Eh ! L'Américaine, comment on fait ?
Elle répond :
— Qui sait où sont les casseroles ?
— Moi, je suis à côté.
— Bien, les filles, on doit se donner la main.
On se tâte dans le noir et on finit par toutes se donner la main. La chef dit :
— La fille qui est près des casseroles, tu as vu ce qu'il y a dedans ?
— Du riz, du poisson séché, je crois, et puis des pommes.
Comment on va faire ? Une fille se met à pleurer... Et là, miracle, enfin façon de parler, une faible lueur éclaire la grange. Une fille dit :
— Merci, Arigatō, Arigatō (merci).
On répète toutes :
— Arigatō, Arigatō.
La Voix nous a aidés ! C'est dingue ! On se réunit toutes autour des casseroles et on mange avec nos mains sales.
La chef l'avait dit, " Ils veulent nous garder en forme ". La preuve c'est qu'il y a assez à manger. Quand on a fini, on passe toutes sur le seau... Là, le peu de lumière m'arrange. Quand on a toutes fait ce qu’il faut, on boit, car il y a une cruche avec de l'eau. Une fille a repéré des sacs de jutes vides, on les dispose sur la paille. Il y en a assez pour en mettre sur soi comme un drap. C'est le grand luxe ! Je dis :
— J'ai peur, je voudrais dormir contre quelqu'un.
D'autres filles répondent :
— Moi aussi.
On se retrouve collées les unes aux autres et je m'endors...

À suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins. 

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

Lapins en bande...

 


Tu te fais braquer par un lapin ?

- Mais non, fait chaud, je m’aère les aisselles.
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Mes livres plaisent aux femmes comme aux hommes.
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mercredi 27 juillet 2022

Bruce chez vous


 

Bruce Morgan a fait plus de 500 dessins pour nos livres.

Il vend tous les dessins originaux, signés. Infos : brucemorgan@hotmail.fr

mardi 26 juillet 2022

Vêtements.

 


Ce qu’il y a de bien avec les vêtements, c’est qu’on peut les enlever.

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lundi 25 juillet 2022

Bruce



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dimanche 24 juillet 2022

ah non, pas toute nue !


 

Moi, me balader à poils devant tout le monde, c'est pas mon genre.

Alors le photographe m'a donné un vêtement. Comme ça, ça va. *** Lisez mes livres à 2,99 €. Vous aimerez et entrerez dans ma liste VIP. //www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share

vendredi 22 juillet 2022

Histoire de fesses...


 

Vous voyez la paire de fesses ? Je suis juste à côté 😄

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Dans mes livres, il y beaucoup de fesses et plein d’autres choses excitantes.
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jeudi 21 juillet 2022

Bruce

 


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mercredi 20 juillet 2022

les gendarmes le savent.

 


Mon voisin m’a dit qu’à partir de 35 °, on n’était plus obligé de mettre des vêtements.

- Et tu l’as cru ??
Ben oui, c’est un ancien gendarme !
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mardi 19 juillet 2022

Bruce

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lundi 18 juillet 2022

Le trophée.


 

Je participe à un rallye d'orientation. En fait, je suis la récompense du vainqueur... Mais, comme il y a des paysans qui s'occupent de leurs champs, je dois être habillée...

dimanche 17 juillet 2022

Bruce

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samedi 16 juillet 2022

Pirate sexy

 


C'est un déguisement de pirate, mais un pirate sexy comme on en voit au Bois de Boulogne...

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vendredi 15 juillet 2022

Bruce Morgan

 


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jeudi 14 juillet 2022

mercredi 13 juillet 2022

Bruce Morgan

 


Il faut comprendre la gouvernante : la bonne a cassé un verre !

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mardi 12 juillet 2022

s'aérer les fesses...

 


Là ce n'est plus le vent c'est moi pour m'aérer...

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lundi 11 juillet 2022

Petit job de vacances 2

 


Toujours le petit job de vacances ?

-- Oui, celui-là est pénible mais c'est mieux payé.

***

Dessin de Bruce Morgan.

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dimanche 10 juillet 2022

 

Je crie et j'appelle au secours, ce qui est idiot. Il va dans le garage, moi sur son épaule. Quand il me dépose par terre, j'essaie de m'enfuir, mais il me maintient les poignets dans le dos. De l'autre main, il prend des liens en plastique pour m'attacher les poignets, puis il me couche par terre et attache mes chevilles. Comme je continue de pousser des cris, il me pince cruellement le bout d'un sein. Là, il m'enfonce une balle de caoutchouc noir dans la bouche. Il maintient cette balle avec un morceau de tissu qu'il noue derrière ma tête. Je suis pieds et poings liés et bâillonnée. Je suis tombée chez des fous furieux ! Seigneur, qu'est-ce qui va m'arriver ? J'ai tellement peur que ça me donne une terrible envie de faire pipi. Il me charge à nouveau sur son épaule et on va dans la grande pièce de réception. La mère est assise dans un divan, sa fille sur les genoux, son fils collé à elle. Les enfants font semblant d'avoir peur en me voyant. Ce sont des sales petits comédiens. Le chauffeur me dépose dans un fauteuil, devant la mère et ses enfants.


 
Elle appelle quelqu'un au téléphone et discute un moment, puis, elle passe ses deux enfants. Je pense qu'ils ont leur père au téléphone. Quand ils ont fini de raconter des mensonges et de pleurer, je regarde la mère en faisant « Mmmhhh mmmmhhh ! ». Elle me dit :
— On va enlever ton bâillon, mais si tu cries ou si tu parles sans notre permission, on le remet. Compris ?
Je fais oui de la tête. Le chauffeur enlève le bâillon, la mère me dit :
— Quoi ?
— J'ai terriblement envie de faire pipi, je vous jure....
Elle dit une phrase en japonais au chauffeur. Aussitôt, il me remet sur son épaule. Aïe ! Ma vessie va exploser ! On va dans les toilettes. Là, il remonte ma jupe, baisse ma culotte et m'assied sur les w.c. Il reste là, tant pis, je fais pipi.  Quand c'est fait, il remonte ma culotte et me charge à nouveau sur son épaule, avant de me déposer aux pieds de la famille de psychopathes ! Je dis à la mère :
— Je suis désolée, mais votre fils m'a craché à la figure. Laissez-moi partir, il ne faut pas me payer et...
Elle me coupe :
— Je t'avais pourtant dit de te taire. Une petite leçon te fera du bien.
Elle s'adresse au chauffeur qui sort de la pièce et revient quelques minutes plus tard. Je n'ose plus dire un mot. Le chauffeur me pince de nouveau le bout du sein. Je crie et il me met une cuillère de quelque chose dans la bouche, puis il remet la balle et le tissu. Il ne me faut que quelques secondes pour avoir la bouche en feu ! Ma langue et mon palais brûlent... Je me tortille par terre. Keiko me dit :
— C'est du wasabi, tu aimes ?
Ils rient tous les trois. Allez brûler en enfer ! Je me tourne sur le ventre pour que le wasabi ne me coule pas dans la gorge. Je me tortille pendant sûrement cinq minutes, avec un incendie dans bouche, avant que la mère donne un ordre au chauffeur. Il enlève le bâillon et la balle. Je tousse et je pleure !
La mère me dit :
— Ça va te servir de leçon ?
Je fais vigoureusement oui de la tête, je n'ose plus parler ! Elle ajoute :
— Qu'est-ce qu'on fait d'elle, les enfants ?
Tao répond :
— On l'enferme 15 jours dans la cave !
Des psychopathes, tous !
Keiko dit  :
— Moi, j'aimerais qu'on la transforme en servante malaise, comme papa a expliqué, et puis l'envoyer dans la période médi... euh...
Sa mère vient à son aide :
— Médiévale. Oui, excellente idée, ma chérie.
Ils vont m'envoyer dans le passé... d'accord ! Je donnerais n'importe quoi pour un verre d'eau. Non, ce serait pire, plutôt du pain. La mère poursuit :
— On la transforme et on l'envoie à l'école de servantes.
Ils s'amusent, ils disent n'importe quoi pour me faire peur. Il faut que ça cesse. Je dis :
— Je veux juste partir sans être...
Tao me dit :
— Qui t'a autorisée à parler ?
— Mais...
— Ça va, j'ai compris : tu aimes le wasabi.
Je fais frénétiquement non de la tête. La mère continue :
— On la transforme en servante malaise, au village, puis au château. Elle apprendra le japonais, à nettoyer et à être humble et obéissante... Ensuite on la reprend un peu et votre père décidera.
Tao demande à sa mère :
— Elle travaillera pour lui ?
— Peut-être, une jolie Malaise bien dressée, ça a de la valeur.
Ils me regardent en souriant. Tao me dit :
— Tu vois, tu n'iras pas dans la cave, tu travailleras. Tu es contente ?
Un cauchemar, ça ne dure jamais aussi longtemps !
La mère dit quelque chose en japonais au chauffeur. Il lève ma jupe, je me débats, mais il est trop fort. Il me fait une piqûre... La réalité s'estompe, c'est bien un cauchemar...
***
Je me réveille péniblement. J'ouvre les yeux : je suis couchée dans un lit... dans une salle commune d'un hôpital ! Autour de moi, il y a plusieurs filles avec des pansements sur le visage. Je suis dans un film d'horreur. Je ne pense qu'à une chose : fuir ! Comme personne ne me regarde, je descends du lit... Je suis attachée ! J'ai des anneaux aux chevilles, relié par une chaîne à un montant du lit ! J'ai aussi un collier métallique autour du cou. Au secours ! Une infirmière a remarqué que j'essayais de me lever. Elle quitte la salle et revient avec un gros Japonais déguisé en médecin. Dès qu'il est près de moi, je lui dis :
— Aidez-moi Monsieur, on m'a droguée et enlevée. Mes parents sont très riches, ils vous paieront si...
Il lève une main paume vers moi en disant :
— STOP !!
— Mais...
— Tu ne parles que si on t'interroge et sinon tu te tais ! Compris ?
— Mais...
— Non, tu n'as pas compris. Si tu n'obéis pas, tu seras fouettée. Compris, cette fois-ci ?
— Oui Monsieur.
Le cauchemar continue, sauf que ce n'est pas un cauchemar !
— Bien... Alors tu as giflé le fils de Monsieur Ando, qui est un homme très puissant.
Je meurs d'envie de répondre « Il m'avait craché à la figure ! » mais je me tais. Il poursuit :
— Voilà ce qu'il a décidé : on va faire de toi une vraie servante malaise... Tu vas apprendre à obéir, à nettoyer soigneusement et à parler le japonais. Tout ça dans le passé.
Je le regarde avec de grands yeux. Il est fou ? À mon air ahuri, il doit voir que je ne sais pas de quoi il parle. Il m’explique :
— Tu vas faire un voyage dans le temps. C'est très enrichissant.
Oui bien sûr. Je serai Ève ?
Il parle en japonais à l'infirmière qui défait les chaînes de mes chevilles. Ensuite il me dit :
— Je vais t'examiner. Déshabille-toi.
Il sourit... peut-être à l'idée que je ne vais pas obéir. Il fait encore plus peur quand il sourit ! Je vais lui obéir mais je m'enfuirai à la première occasion. Je me lève, j’enlève ma robe et mes sous-vêtements. J'ai beaucoup transpiré, j'aurais besoin d'une douche. Nue, je dois faire un gros effort pour ne pas mettre un bras devant mes seins et une main sur mon sexe. Il se lève... Oh ! qu'il est gros... Il tâte mes seins en disant :
— Ils sont petits, c'est bien. Par contre...
Il pince ma hanche et ajoute :
— Il faudra perdre quelques kilos. Quant au visage...
Il se tourne vers l'infirmière en disant :
— On va foncer sa peau de + 3 et ses cheveux de + 4... Ensuite on va un peu élargir son nez et diminuer ses yeux... Ah, et des lentilles + 6.
Là, je n'en peux plus, je crie :
— NON !! Vous ne pouvez pas faire ça. Je déposerai plainte à la police et même à mon ambassade. Vous verrez...
Il soupire et dit :
— Tu dois te taire, je te le répète. Tu ne peux parler que pour répondre à une question. Dernier avertissement.
J'ai récupéré... alors, je cours vers la porte, j'ouvre et... je tombe dans les bras d'un garde ! Il me ramène à l'intérieur de la salle commune. Il y a quelques rires de la part des filles qui sont là. Je crie :
— Au secours ! Vous n'avez pas le droit...

Le garde me met sur le lit, couchée sur le ventre.


 

Je me débats mais il est trop fort, il attache ms chevilles et mes poignets aux montants du lit avec des menottes. Ensuite, il passe la main sous mon ventre pour me soulever un peu. L'infirmière pousse un oreiller sous moi. On dirait qu’ils ont l'habitude de faire ça... Je supplie le docteur, tout en sachant que c'est inutile. Le docteur flatte mon derrière de la main en disant :

— Belle cible ! Vous, les Occidentales, vous avez des beaux culs, mais vous êtes vraiment stupides ! Vous ne comprenez rien. Je suis hélas obligé de te faire fouetter.
Oh ! mon Dieu, non ! Ce n'est pas possible, c'est juste pour me faire peur... Mais j'entends le sifflement du fouet, qui claque aussitôt sur mes fesses.
— Aaaaaïïïïïïeeeee !!! Ça fait maaal...
Le fouet siffle à nouveau...
— Aïïïïeeeeee !
J'essaie de m'enfoncer dans le lit, mais avec l'oreiller, c'est impossible.
— Aïïïïeeeeee !
Je me tortille sur le lit, les fesses à nouveau cinglées.
— Aïïïïeeeeee !  J'obéirai, je vous le jure, je...
— Aïïïïeeeeee !
Je crie et je pleure... Il me demande :
— Tu as compris la leçon ?
— Ouiiiii... j'ai compris !
***
L'après-midi, onze filles et moi, nous devons monter dans une camionnette et nous coucher par terre. On roule très longtemps... des heures, avant de pouvoir sortir faire pipi, boire et manger du riz et des fruits. On s'arrête enfin et on descend de la camionnette. On est dans une forêt de bambous, devant un grand mur.
On a été opérées et transformées. On se ressemble toutes comme des soeurs jumelles :  peau ambrée, petits seins... On a toutes la même coiffure en queue de cheval.
On suit le garde jusqu'à une petite porte. Il toque et quelqu'un vient ouvrir. C'est un grand Japonais athlétique, en dépit de son gros ventre. Il est vêtu d'un kimono défraîchi et de sandales. Les hommes se saluent. Notre garde repart en refermant la porte. Le nouveau garde nous dit :
— Mettez-vous ici, à genoux assises sur les talons.
Il désigne des nattes disposées part terre. Il ajoute :
— Les jambes écartées, les mains posées sur les cuisses.
Il doit avoir une vue imprenable sur nos douze chattes. Il reprend :
— Vous allez avoir la chance de travailler pour des gens très importants et même si vous êtes au plus bas de l'échelle sociale du personnel, vous serez importantes à votre niveau. Vous devrez travailler et obéir sans discuter. Sinon, vous serez punie. Vous serez également punie si ça amuse un hôte. Mais ne vous tracassez pas, un derrière fouetté n'a jamais empêché une servante de travailler.
Il rit, nous pas ! Il poursuit :
— Première étape, vous allez apprendre le japonais, travailler dans les champs et amener des marchandises ou des hôtes au château. Formez une rangée devant moi, direction le village.
On se regarde sans bien comprendre. Quoi ? Qu'est-ce qu'on doit faire ? Il fait claquer son fouet et aussitôt, on se place sur une file. Dix minutes plus tard, on arrive dans un village... On voit une rivière au loin et un château qui a l'air immense.
Le village se compose d'une très grande ferme, de ce qui semble une  auberge et de quelques petites maisons. Dans les prés, il y a des vaches et des chevaux. Des Japonais, hommes et femmes nous regardent arriver...

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search

samedi 9 juillet 2022

Un petit job.

 


J'ai enfin trouvé un petit job de vacances dans un parking, mais c'est un peu gênant quand même.

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Dessin de Bruce Morgan.

Il y a des centaines de dessins super excitants de lui dans nos livres. Votre lecture de l'été...

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vendredi 8 juillet 2022

un petit maillot 2



 Il fait chaud même avec un tout petit maillot.

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