dimanche 30 octobre 2016

Pirates et captivre - 3

En mer - Anno 1667
*****************

C'est Murphy!!! Elle est habillée et elle semble au mieux avec les pirates...
Alors, elle va me faire libérer??
Comme elle ne me regarde pas, je l'appelle, "Eh, Murphy!"
Elle se tourne vers moi, "Ce n'est plus Murphy, c'est Maîtresse."
Je bredouille, "... mais... pourquoi... tu... vous..."
"Tu parleras quand je te donnerai l'autorisation. Compris?"
Je baisse la tête, "Oui... Maîtresse."
D'abord, les pirates, puis Murphy, bientôt ça va être Satan en personne qui va apparaître pour me tourmenter! C'est un cauchemar!!
Hélas non!
On est six pucelles... Tout le monde nous regarde! Un homme vient nous  attacher une bande de tissu rose autour de la taille.
Le capitaine dit à ses hommes, "Interdiction de baiser les pucelles, celui qui le fait, on lui coupera les couilles et on lui fera bouffer!"
Voilà qui semble dissuasif!
Un des hommes demande, "On peut se faire sucer, capitaine?"
"Dans sa bouche, vous pouvez"
Quelle horreur!! Toutes ses émotions plus l'idée que ces hommes enfoncent leurs sexes dégoûtants dans ma bouche, je me sens mal... La tête me tourne et je fais un... malaise...
.... 
Splaaach!!! Je reviens à moi, brutalement!
J'ai reçu un seau d'eau glacé dans la figure.
Je tousse, je crache, c'est de l'eau de mer...
Le Capitaine se penche vers moi, "Alors Princesse, on fait des manières?"
Je m'accroche à lui, "Mon père est riche Monsieur, il vous donnera une..."
Il me coupe, "Tu es une emmerdeuse, toi! Tu vas avoir 10 coups de fouet! Tu verras, ça va t'empêcher de t'évanouir!"
Quoi??? Le fouet!! A moi??
Je lui dis, "J'ai pas fait semblant, je vous le jure!"
"10 de plus, pour avoir parlé sans autorisation. Tu as encore quelque chose à dire?"
Je fais vigoureusement "non" de la tête!
20 coups de fouet!!! Il y a un murmure de satisfaction parmi les filles et des cris de joie de la part de l'équipage.
Deux hommes me prennent par les bras et m'attachent, face contre le mât, les bras levés. Je suis toute nue devant cette racaille et ces filles, dont certaines étaient mes servantes!
Je me souviens des cris des filles que je faisais fouetter... Je trouvais ça très amusant de les entendre appeler leurs mères... supplier... promettre tout ce qu'on voulait...
Un fouet siffle dans l'air..."sssswwwwwitch!!" Je ressens une vive brûlure en travers de mes fesses d'une hanche à l'autre! Je pousse un cri aigu, "aaaiiiiieeeeeeee!!!! Pitié, capitaine, ça fait trop mal!"

 Il me répond, "C'est le but! Mais comme tu as parlé celui-là ne compte pas. Tu as juste le droit de crier!"
Ooooh non!!! J'entends le sifflement du fouet puis, sssswwwwwitch! Il vient mordre la base de mes fesses! "aaaiiiiieeeeeeee!!!!". Je m'aplatis contre le mât!!!
Je crie déjà quand j'entends le sifflement du fouet, mais l'homme qui le manie s'amuse à le faire claquer dans le vide, avant de l'abattre sur mes fesses.
Rires des pirates!!
21 fois encore, le fouet vient cingler mes fesses et mes cuisses... La douleur est insupportable je me tords contre la mât!!
Enfin, au 21ème l'homme s'arrête.
Le capitaine me dit, "Tu as compris la leçon, Princesse?"  
"Ouiiiii Capitaine... J'ai compris la leçon!!"
Je sanglote contre mon mât!!!.
Depuis le haut des fesses jusqu'à la pliure des genoux j'ai l'impression que ma peau est en feu!!!
"Laissez-la attachée au mât à titre d'exemple." dit le Capitaine. Et il ajoute, pour les filles, "Si vous n'obéissez pas, vous serez fouettées comme la princesse! Compris?"
On entend , "oui"... "yes"..." ja"..." Elles ont toutes compris!
Je reste attachée au mât... Les hommes viennent me voir... touchent mes fesses, tire mes cheveux vers l'arrière pour voir mon visage plein de larmes...
Il y en a un qui me dit, "Pas une seule blessure, on pourra recommencer très vite!!"
Je suis en enfer!!!
Tout se passe comme dans un rêve, un très, très mauvais rêve!!
Je reste là interminablement, sans boire et sans manger...
Le soir, on me détache et on m'enchaîne à nouveau dans la cale.
J'ai terriblement mal aux fesses et à l'arrière des cuisses. J'ai aussi soif et faim, surtout soif.
Nous ne sommes plus que quatre dans la cale. Ce ne sont pas d'anciennes servantes du château, heureusement!
Un homme vient nous donner du pain sec et une cruche d'eau...
On mange dans le noir et puis épuisée, je sombre dans un sommeil peuplé de cauchemars, mais la réalité est pire!
Le lendemain matin, des hommes viennent nous détacher et nous font monter sur le pont.
Il y a des filles, un peu partout, occupées à nettoyer. Quelques pirates font régner l'ordre à coups de fouet. On entend crier et supplier régulièrement. La plupart des filles sont nues, quelques-unes ont une chemise.
On n'a plus de chaîne mais toujours un collier de fer autour du cou.
Un homme nous dit, "Vous êtes décidées à obéir à tous les ordres ou vous préférez être fouettées et retourner dans la cale???"
On dit toutes les quatre, "On obéit..."
L'homme crie, "Qui a encore besoin de filles."
Deux pirates viennent voir. L'un d'eux me choisit, mais l'homme dit, "Pas elle!"
J'attends, nue dans le vent froid... Au bout d'un moment, je vois arriver Murphy. Elle est habillée et me dit, "A genoux devant ta Maîtresse!"
Le fouet, il n'y a rien de mieux pour rendre obéissant. Je me mets immédiatement à genoux. Elle vient se mettre tout contre moi. J'ai le visage contre son gros ventre et sa... son intimité...
Elle me dit, "Regarde moi!"
Je dois complètement lever la tête pour la regarder.
"Tu vas être ma servante!"
Je voudrais dire, "Vous êtes folle...", mais je me tais.
C'est une erreur! Elle se recule et m'envoie une bonne gifle sur la joue, "On dit, oui Maîtresse."
Je frotte ma joue en pleurnichant, "Oui, Maîtresse."
"Tu verras, je suis une bonne maîtresse. Bien sûr, je te fouetterai, pour que tu n'oublies pas qu'elle est ta place, mais c'est normal de fouetter une servante, hein?"
"Oui, Maîtresse."
Elle ajoute, "Tu vas avoir le grand honneur d'embrasser le cul de ta Maîtresse!" Sur ce, elle soulève son ample jupe, dévoilant de grosses fesses blanches.
Elle me dit, "Montre ta soumission à tout le monde!"
Je m'approche de ce gros derrière... lentement!
J'entends des rires autour de nous. Une voix d'homme qui dit, "Venez voir la Princesse!"
Murphy  prend ses fesses à pleines mains et les écarte... À ce moment-là un homme pousse ma tête et je me retrouve le visage entre ses fesses.
Je me débats un peu, mais il pousse sur ma tête!!!
Pouahh!!! Murphy se tortille contre mon visage. en disant, "Dans peu de temps tu vas l'aimer mon cul, Princesse!"

 

Ça ou le fouet? Je préfère ça!! Je ne me débats plus, je lèche un peu!!!
Elle n'est pas propre!  Je savais qu'elle n'avait pas beaucoup d'hygiène, mais c'était l'affaire des servantes! Maintenant, j'ai son odeur et son goût dans le nez et dans la bouche!!
Elle me dit, "J'espère que ça te plaît... Parce que j'aime me faire lécher le trou du cul et je ne suis pas la seule!"
J'entends rire des hommes, "Ouais, tu vas avoir du travail, Princesse!!".
Ce n'est pas le fouet qui marque le début de mon affreuse nouvelle vie, c'est ce moment où j'embrasse le trou du cul de celle qui était ma gouvernante sous les rires et les quolibets des hommes!
Murphy me confie à un des pirates en lui disant, "Tu veux bien la laver ? Elle pue!"
Décidément, elle est le chef, ici!
Le gars, ça lui plait! Il me prend par le bras, "Allez viens, on va te briquer ta chatte de pucelle!"
Il appelle une esclave nue qui frotte le pont avec une brosse, "Toi, viens ici avec ton seau..."
Il me renverse le seau d'eau de mer sur la tête!
Je crie et je me mets à trembler. L'eau de mer très froide, ça réveille!!
"On va te réchauffer!", dit l'homme.
Il se met à me... récurer avec une brosse pour nettoyer le pont."
Je crie, "Aaaaaiiiie!! Ça fait maaal... aaaiiii!!!".
"Ta gueule!!!"
Ma peau devient toute rouge. Quand il frotte mes fesses encore très douloureuses d'avoir été fouettées, je crie sans arrêt! Il me dit, "Ou tu la fermes ou je demande à Murphy de te fouetter!"
Je geins... en silence...
Quand il a finit de me brosser, je ressemble à un homard... cuit.
Il me rince avec de l'eau de mer. C'est toujours aussi froid, mais ça diminue la sensation de brûlure causée par la brosse.
L'homme me prend par le collier et me reconduit à la porte des appartements du Capitaine.
Il toque, Murphy vient ouvrir.
Je suis nue, rouge et je claque des dents.
"Merci." dit Murphy.
On va dans les quartiers du capitaine. C’est une grande pièce à l'arrière du bateau. C'est le seul endroit où il y a des fenêtres. Ici, elles surplombent la mer. Il y a aussi les chambres des officiers ou leurs équivalents chez les pirates.
Elle me fait mettre une simple tunique blanche que je dois nouer autour de la taille avec une bande d'étoffe rose. De cette façon tout le monde saura que je suis encore pucelle.
Ensuite, elle s'assied sur le lit et me dit, "A genoux!"
J'obéis... Elle me caresse le visage, "Tu sais que j'ai souvent pensé à ce moment où tu deviendrais ma servante?"
Aaah???
"Quand je me faisais lécher par une servante, j'imaginais que c'était toi, après une petite de séance de fouet!"
Pouaah!!! Elle est folle!!
"J'ai imaginé plusieurs stratagèmes et puis tu vois, j'ai pensé aux pirates barbaresques. Le capitaine a été emballé par l'idée de prendre le château et les plus belles femmes."
Satan n’est plus dans les enfers, il est là devant moi, et il a pris l'apparence d'une grosse femme!!
Je lui dis, "Alors, c'est vous qui..."
PAF!! Elle me donne une gifle qui me fait voir des étoiles!! "Je t'ai donné l'autorisation de parler??"
"Non, mais..."
PAAFFF!!! A nouveau je prends une gifle, sur l'autre joue! "On dit, Maîtresse!"
Je frotte mes joues, "Pardon, Maîtresse."
Elle reprend, "Tu vas me servir de servante le jour... et la nuit. Je suis sûr que ça va te plaire."
NNNOOOONNN!!!! "Oui, Maîtresse."
"Bien... Il faudra servir à table, mais tu as eu du personnel et tu sais comment on doit faire.... La nuit tu vas avoir une tache plus valorisante...". Elle rigole, "Tu vas être responsable de mon pot de chambre. C'est une tâche délicate. Les servantes au château, je les fouettais si elle manquait d'enthousiasme... Enfin, non, je les fouettais de toute façon. Dorénavant tu n'es plus, ni Princesse, ni Mademoiselle, ni Mina, tu es l'esclave de Madame Murphy! Tu as bien compris?"
"Oui, Maîtresse."
"Dis le."
"Je suis l'esclave de Madame Murphy, Maîtresse."
Elle me donne ensuite une série de corvées à faire.
Le soir, je vais chercher le repas aux cuisines avec une jolie captive vêtue de blanc comme moi.
Le Capitaine et ses... officiers, si on dit comme ça, s'installent à table avec les captives qu'ils ont choisies...
Ouch!!!! Il y en a une qui a été une de mes servantes!!! Elle me fait un grand sourire... Elle s'appelle Orlane. Je l'ai fait fouetter quelques fois... sans beaucoup de raison, si ce n'est que... j'aimais faire ça!!
Elle me dit, "Mais, qui voilà?? La garce de Princesse qui prenait beaucoup de plaisir à faire fouetter ses servantes."
Les hommes me regardent en rigolant.
Elle ajoute, "C'est amusant comme situation, non?"
Je réponds, "... non... oui... Maîtresse."
Un des officiers a choisi Orlane, les deux autres ont de très jolies filles à leurs côtés.
Elles ont de jolies robes décolletées.
L'autre servante et moi, on a juste une courte tunique en lin blanc, comme les esclaves romaines...
On sert les gens autour de la table. Je sais de quel côté il faut se tenir... Quel est le verre pour l'eau, le vin...
Je fais le service mécaniquement, comme dans un mauvais rêve... Le contraste est tellement violent, entre Princesse au château et servante ou plutôt esclave de pirates!!
Les hommes passent leurs mains sous ma tunique et me caressent les fesses. Les filles qui les accompagnent se foutent de moi... Je dois ramasser ce qu'elles laissent tomber par terre. Normal...
Quand ils ont fini de manger, on débarrasse la table. Dans la cuisine, il y a des filles pour la vaisselle. On retourne se mettre au service du capitaine et de ses invités...
Murphy me regarde... avec gourmandise, comme si j'étais une truffe au chocolat qu'elle se réjouit de gober bientôt!!!
Je ne veux pas faire la truffe!! Je ne veux pas que Murphy me gobe!! Je veux rentrer chez mmooooiiiii!!!
En fin de repas, comme les choses ont tendance à... dégénérer, c'est à dire que les filles sucent les hommes sous la table ou se font prendre sur la table, le Capitaine me dit, "Toi la ficelle rose, file à la cuisine."
Je vais aider... appréhendant le moment, où je vais être à la... merci de Murphy!
Tard dans la soirée elle vient me chercher.
On va dans sa chambre.
Esclave de Murphy! Ya t'il moyen de tomber plus bas?? Mina paie pour l'attitude de tous les nobles d'Irlande, vis-à-vis de leurs servantes!
Elle me dit, "Rappelle-moi, ta fonction de nuit."
"... euh... responsable de votre pot de chambre, Maîtresse."
Elle sourit, "Bien...Tu sais qu'il y avait des servantes qui rechignaient un peu, trouvant cette fonction un peu dégradante. Toi, ça te plait??"
Je réponds vite, "Oui, ça me plait, Maîtresse!"
"Je veux une réponse détaillée...". Elle me montre un fouet posé sur un coffre. Tout plutôt que le fouet!!
"Oui, Maîtresse, ça me plait de tenir votre pot de chambre pendant que vous faites vos besoins!"
Même ça, ce n'est pas suffisant, "... et me lécher la chatte quand j'ai pissé et le cul quand j'ai chié!"
"Oui, Maîtresse. C'est un très grand honneur de pouvoir lécher votre chatte et votre cul."
Voilà, elle est contente!!!
Elle me dit, "Dans ce cas, déshabille-toi, je vais t'expliquer ton travail et puis on fera un essai. Je dois pisser comme une vache!"
Elle me montre la position : assise par terre, je dois tenir le pot de chambre, le menton sur le rebord.

Alors, elle me tourne le dos, relève sa jupe, frotte ses grosses fesses sur mon visage et s'assied sur le pot. Ouch!! Elle est lourde. Je dois faire un gros effort. Elle pisse dru... Quand elle a fini, elle se relève et colle sa chatte mouillée sur mon visage en disant, "Essuie-moi bien!!!"
Dans mon nouveau monde, c'est normal, je lèche des gouttes de pisses sur le sexe malodorant, d'une grosse femme et ce n’est qu'un début!
Je lèche soigneusement le sexe poilu, à tout prendre je préfère ça, au fouet.
"Tu y prends goût Princesse?", me demande Murphy en rigolant
"J'essaie de vous satisfaire, Maîtresse."
"Tu as surtout peur du fouet!"
"Oui, Maîtresse."
"Bon repose le pot de chambre. Quand je devrai pisser durant la nuit, tu connais la position..."
Je geins, "Maîtresse, je dois aussi faire pipi."
"D'abord, tu me lèches, ensuite tu pisses."
Encore!!!
Bien sûr, je savais, que c'était ce qu'elle faisait faire aux servantes, la nuit...
La pièce est éclairée par quelques bougies allumées.
Murphy s'allonge sur le lit. Ses seins s'étalent et débordent sur ses flancs.
"Allez Princesses, au boulot... et fais ça bien!"
Je me glisse entre ses cuisses. Elle relève une jambe et pose le pied sur mon dos nu. Je me retrouve le nez dans son vagin... Et le goût, aussi... J'avais remarqué au château, qu'elle n'avait pas beaucoup d'hygiène, mais ça m'était égal...
Je murmure, "Je n'ai jamais fait ça, Maîtresse."
Elle me répond, "Eh bien, tu as intérêt à apprendre vite, parce que tu vas me lécher la chatte tous les jours!"
Elle écarte ses grandes lèvres et met le bout de son index, au-dessus de son clitoris, "Lèche bien là!"
Son clitoris est rouge et gonflé.
Y a-t-il pire besogne??? Peut-être... lécher la bite du diable!!
Murphy me donne une claque sur la tête, "Il va falloir t'habituer à faire ça souvent!"
 
D'accord je lèche... Elle aime, "Mmmhhh... tes lèvres sont douces, petite salope... tu suces mieux qu'une servante..." Je lèche et je suce, interminablement! J'en ai mal aux mâchoires. Mon visage va sentir sa chatte jusqu’à la fin des temps!!
Enfin, elle se cambre en poussant des grognements! Elle pousse mon visage contre son sexe et jouit.
Pppfffff...
Elle me caresse la tête, "Tu es une bonne petite lécheuse. Allez, viens dans le lit Princesse."
Elle me colle contre elle. Mes petits seins contre son opulente poitrine, sa bouche contre la mienne. Tout mon corps collé à son corps moite!
Je me demande si je n'étais pas mieux dans la cale!
Je rêve... le château... les bois aux alentours.
Je suis réveillée en sursaut par Murphy qui me pousse et gueule, "Le pot!!"
C'est le matin, je me dépêche de le prendre et de me mettre dans la position..
Elle relève sa chemise en me tournant le dos et s'assied sur le pot!
Elle pisse.
"Ça te plait, Princesse ?"
"... euh... pas vraiment, Maîtresse!"

A suivre.

Dessins de Bruce Morgan pour "Mia sans dessous".

Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres :

samedi 29 octobre 2016

Pirates et captives - 2

        
Anno 1867
*********
Et puis, c'est le chaos, la fin du monde... Nos soldats se rendent ou sont tués...
On essaye de se réfugier dans la tour du château... Des hommes nous rattrapent. On a beau crier, supplier, ça les fait rire!
Un homme me prend sur son épaule, plaque sa main sur mes fesses et m'emmène...
Dans la cour du château, on est toutes regroupées, moi la Princesse, les filles et les femmes des nobles et puis des servantes et des paysannes...
Je crie, "Mon père est le Seigneur, il paiera pour que vous ne m'emmeniez pas!!"
Un homme brun et barbu me fait un grand sourire et me dit, "Ton père, t'as vendue Princesse!"
"C'est pas vrai, vous mentez, vous êtes..."
Paf!! Il me donne une gifle qui claque sur ma joue!!! Je pousse un cri, ça fait vraiment mal! Dieu sait que j'en ai donné des gifles aux servantes, mais c'est la première que j'en reçois!!!
L'homme continue, "Sois polie, sinon tu vas recevoir la fessée!"
Il est fou!!
"Ton père nous a donné de l'or et les plus belles femmes, pour avoir la vie sauve et qu'on ne mette pas le feu au château!!!"
IL MENT!!!! Mais je ne le dis pas, j'ai la joue brûlante et douloureuse.
Ils nous mettent un collier de fer autour du cou. Ensuite, on est toutes attachées l'une à l'autre par une chaîne.
Sur trois rangées, on se dirige vers le port. La seule lumière vient de la lune, on trébuche...
Des pirates sortent des maisons avec des objets et des femmes qui hurlent!
On entend crier, "Embarquez sur les bateaux..."
Je regarde vers le ciel. Oh mon Dieu, pourquoi, nous? Et même, surtout, pourquoi moi??
Des fouets claquent et on doit courir péniblement jusqu'aux quais.
Je distingue les silhouettes de bateaux dans la pénombre.
On nous fait monter sur une passerelle et on se retrouve dans le noir, dans un endroit humide et puant, sans doute, la cale.
Des filles poussent des cris. Il y en a d'autres qui pleurent. Mon je fais les deux, je pleure et je pousse des cris!
Je suis la fille du Seigneur de la région et je me retrouve enchaînée et enfermée avec des servantes, des paysannes et des prostituées...
On finit par s'asseoir et pour avoir moins froid, je me colle contre ma voisine.
Cette nuit-là, je dors à peine... Des filles gémissent toute la nuit, des bêtes nous courent dessus. Une fille crie, "Ce sont des rats!!"
On se met toutes à crier!!
Le jour est sûrement levé, mais dans la cale, il fait toujours aussi noir.
Enfin, on ouvre une trappe et des hommes viennent distribuer du pain sec et de l'eau!!
La fille contre laquelle, je me suis collée pendant la nuit est une jeune paysanne. Elle ne me connaît pas.
On parle un peu dans le noir... Des filles savent ce qui nous attend : on a été enlevées par des pirates et on va être vendue à Alger... On se lamente toutes... 


 *-*-*-*
Des heures plus tard, des hommes viennent nous chercher pour nous amener sur le pont...
On est sales, on pue... On a toutes... pissés dans nos vêtements, même moi!
Quelle horreur de traiter des êtres humains de cette manière!
On est sur un très grand bateau. L'air me fait du bien.
Des hommes nous enlèvent les colliers de fer et les chaînes.
Un homme crie, "Déshabillez-vous."
Les filles autour de moi enlèvent leurs robes et leurs chemises. Je fais la même chose... quelle honte!! Les larmes coulent sur mes joues. Je suis nue comme les servantes. Je me cache tant bien que mal en mettant un bras sur mes seins et une main sur... mon intimité.
On doit se mettre sur plusieurs rangées, les unes derrière les autres. Des hommes passent, nous regardent... Certains nous caressent les seins, les fesses.
Celui, qui doit être le Capitaine, à voir comme les autres s'écartent quand il arrive, crie, "Qui est la Princesse??"
Je ne bouge pas... Je crois que j'ai plus de chances de pouvoir m'évader, si on me prend pour une fille du peuple.
Une des filles crie, "Elle est ici, Capitaine!"
Une de mes servantes!!
Les filles s'éloignent un peu de moi... Le capitaine me prend par un bras et en même temps, il me donne une violente claque sur les fesses. Je crie, "aaaaaiiiiieee!!"
"Et alors, tu as oublié, qui tu es?"
Je pleurniche, "Pardon Capitaine, je... je n'avais pas compris!"
Je reçois une nouvelle claque, je crie à nouveau, ça fait vraiment mal.
Il me dit, "Menteuse!!"
Les hommes rigolent. Ils disent, "Donnez lui, la fessée, Capitaine!"
Un autre crie, "Elle a un cul de paysanne, pour une princesse."
"On la fessera plus tard.", dit le Capitaine!
Puis à moi, "Tu es pucelle?"
Je réponds, "...... oui....."
Il me donne une bonne claque sur l'arrière de la tête! Sale brute!! Je dis bien haut, "Oui, Capitaine!"
"Bon, tu vas te mettre là." Il me désigne un endroit près du mat.
Il ajoute, "Les autres pucelles aussi."
J'y vais avec deux filles de commerçants et trois jeunes paysannes.
On est cinq en tout... sur une trentaine de filles.
Le Capitaine s'adresse à quelqu'un, "C'est tout, à ton avis?"
Et alors... je vois arriver quelqu'un que je connais... très bien. Murphy!!!
Je lui dis, "Murphy, tu viens me chercher???"
Elle rigole, le Capitaine aussi. Il la prend par la taille et l'embrasse...
C'est Murphy!!! Elle est habillée et elle semble au mieux avec les pirates...
Alors, elle va me faire libérer??
Comme elle ne me regarde pas, je l'appelle, "Eh, Murphy!"
Elle se tourne vers moi, "Ce n'est plus Murphy, c'est Maîtresse."
Je bredouille, "... mais... pourquoi... tu... vous..."
"Tu parleras quand je te donnerai l'autorisation. Compris?"
Je baisse la tête, "Oui... Maîtresse."
D'abord, les pirates, puis Murphy, bientôt ça va être Satan en personne qui va apparaître pour me tourmenter! C'est un cauchemar!!
Hélas non!
On est six pucelles... Tout le monde nous regarde! Un homme vient nous attacher une bande de tissu rose autour de la taille.
Le capitaine dit à ses hommes, "Interdiction de baiser les pucelles, celui qui le fait, on lui coupera les couilles et on lui fera bouffer!"
Voilà qui semble dissuasif!
Un des hommes demande, "On peut se faire sucer, capitaine?"
"Dans sa bouche, tout ce ce que vous voulez."
Quelle horreur!! Toutes ses émotions plus l'idée que ces hommes enfoncent leurs sexes dégoûtants dans ma bouche, je me sens mal... La tête me tourne et je fais un... malaise...
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Splaaach!!! Je reviens à moi, brutalement!
J'ai reçu un seau d'eau glacé dans la figure.
Je tousse, je crache, c'est de l'eau de mer...
Le Capitaine se penche vers moi, "Alors Princesse, on fait des manières?"
Je m'accroche à lui, "Mon père est riche, Monsieur, il vous donnera une..."
Il me coupe, "Tu es une emmerdeuse, toi! Tu vas avoir 10 coups de fouet! Tu verras, ça va t'empêcher de t'évanouir!"
Quoi??? Le fouet!! A moi??
Je lui dis, "J'ai pas fait semblant, je vous le jure!"
൒ de plus, pour avoir parlé sans autorisation. Tu as encore quelque chose à dire?"
Je fais vigoureusement "non" de la tête!
20 coups de fouet!!! Il y a un murmure de satisfaction parmi les filles et des cris de joie de la part de l'équipage.
Deux hommes me prennent par les bras et m'attachent, face contre le mât, les bras levés. Je suis toute nue devant cette racaille et ces filles, dont certaines étaient mes servantes!
Je me souviens des cris des filles que je faisais fouetter... Je trouvais ça très amusant de les entendre appeler leurs mères... supplier... promettre tout ce qu'on voulait...
Un fouet siffle dans l'air..."sssswwwwwitch!!" Je ressens une vive brûlure en travers de mes fesses d'une hanche à l'autre! Je pousse un cri aigu, "aaaiiiiieeeeeeee!!!! Pitié, capitaine, ça fait trop mal!"
Il me répond, "C'est le but! Mais comme tu as parlé celui-là ne compte pas. Tu as juste le droit de crier!"
Ooooh non!!! J'entends le sifflement du fouet puis, sssswwwwwitch! Il vient mordre la base de mes fesses! "aaaiiiiieeeeeeee!!!!". Je m'aplatis contre le mât!!!
Je crie déjà quand j'entends le sifflement du fouet, mais l'homme qui le manie s'amuse à le faire claquer dans le vide, avant de l'abattre sur mes fesses.
Rires des pirates!!
21 fois encore, le fouet vient cingler mes fesses et mes cuisses... La douleur est insupportable, je me tords contre la mât!!
Enfin, au 21ème l'homme s'arrête.
Le capitaine me dit, "Tu as compris la leçon, Princesse?"
"Ouiiiii Capitaine... J'ai compris la leçon!!"
Je sanglote contre mon mât!!!
Depuis le haut des fesses jusqu'à la pliure des genoux j'ai l'impression que ma peau est en feu!!!
"Laissez-la attachée au mât à titre d'exemple." dit le Capitaine. Et il ajoute, pour les filles, "Si vous n'obéissez pas, vous serez fouettées comme la princesse! Compris?"
On entend , "oui"... "yes"..." ja"..." Elles ont toutes compris!
Je reste attachée au mât... Les hommes viennent me voir... touchent mes fesses, tire mes cheveux vers l'arrière pour voir mon visage plein de larmes...
Il y en a un qui me dit, "Pas une seule blessure, on pourra recommencer très vite!!"
Je suis en enfer!!!
Tout se passe comme dans un rêve, un très, très mauvais rêve!!
Je reste là interminablement, sans boire et sans manger...
Le soir, on me détache et on m'enchaîne à nouveau dans la cale.
J'ai terriblement mal aux fesses et à l'arrière des cuisses. J'ai aussi soif et faim, surtout soif.
Nous ne sommes plus que quatre dans la cale. Ce ne sont pas d'anciennes servantes du château, heureusement!
Un homme vient nous donner du pain sec et une cruche d'eau...
On mange dans le noir et puis épuisée, je sombre dans un sommeil peuplé de cauchemars, mais la réalité est pire!
Le lendemain matin, des hommes viennent nous détacher et nous font monter sur le pont.
Il y a des filles, un peu partout, occupées à nettoyer. Quelques pirates font régner l'ordre à coups de fouet. On entend crier et supplier régulièrement. La plupart des filles sont nues, quelques-unes ont une chemise.
On n'a plus de chaîne mais toujours un collier de fer autour du cou.
Un homme nous dit, "Vous êtes décidées à obéir à tous les ordres ou vous préférez être fouettées et retourner dans la cale???"
On dit toutes les quatre, "On obéit..."
L'homme crie, "Qui a encore besoin de filles."
Deux pirates viennent voir. L'un d'eux me choisit, mais l'homme dit, "Pas elle!"
J'attends, nue, dans le vent froid... Au bout d'un moment, je vois arriver Murphy. Elle est habillée et me dit, "A genoux devant ta Maîtresse!"
Le fouet, il n'y a rien de mieux pour rendre obéissant. Je me mets immédiatement à genoux. Elle vient se mettre tout contre moi. J'ai le visage contre son gros ventre et sa... son intimité...
Elle me dit, "Regarde-moi!"
Je dois complètement lever la tête pour la regarder.
"Tu vas être ma servante!"
Je voudrais dire, "Vous êtes folle...", mais je me tais.
C'est une erreur! Elle se recule et m'envoie une bonne gifle sur la joue, "On dit, oui Maîtresse."
Je frotte ma joue en pleurnichant, "Oui, Maîtresse."
"Tu verras, je suis une bonne maîtresse. Bien sûr, je te fouetterai, pour que tu n'oublies pas qu'elle est ta place, mais c'est normal de fouetter une servante, non?"
"Oui, Maîtresse."
Elle ajoute, "Tu vas avoir le grand honneur d'embrasser le cul de ta Maîtresse!" Sur ce, elle soulève son ample jupe, dévoilant de grosses fesses blanches.
Elle me dit, "Montre ta soumission à tout le monde!"
Je m'approche de ce gros derrière... lentement!
J'entends des rires autour de nous. Une voix d'homme qui dit, "Venez voir la Princesse!"
Murphy prend ses fesses à pleines mains et les écarte... À ce moment-là un homme pousse ma tête et je me retrouve le visage entre ses fesses.
Je me débats un peu, mais il pousse sur ma tête!!!
Pouahh!!! Murphy se tortille contre mon visage, en disant, "Dans peu de temps tu vas l'aimer mon cul, Princesse!"
Ça ou le fouet? Je préfère ça!! Je ne me débats plus, je lèche un peu!!!
Elle n'est pas propre! Je savais qu'elle n'avait pas beaucoup d'hygiène, mais c'était l'affaire des servantes! Maintenant, j'ai son odeur et son goût dans le nez et dans la bouche!!
Elle me dit, "J'espère que ça te plaît... Parce que j'aime me faire lécher le trou du cul et je ne suis pas la seule!"
J'entends rire des hommes, "Ouais, tu vas avoir du travail, Princesse!!".
Ce n'est pas le fouet qui marque le début de mon affreuse nouvelle vie, c'est ce moment où j'embrasse le trou du cul de celle qui était ma servante sous les rires et les quolibets des hommes!

A suivre...
 
 


 

vendredi 28 octobre 2016

L'été, c'est bien fini...

Il fait froid, il pleut... bbrrr...
Alors, si on se souvenait de l'été...
Je situe : on est dans la nature, il fait chaud, il y a une odeur de fleurs dans l'air.
On entends le murmure d'un ruisseau tout proche...
Ah, non, sorry. Il n'y a pas de ruisseau.
Vous êtes déçus? Vous voulez absolument un ruisseau?
Bon, qu'est ce que je ne ferais pour faire plaisir à  des visiteurs qui liront peut-être un jour mes livres :o)
Je fais le ruisseau :

Oui, un peu de patience, le ruisseau va venir.
Vous savez siffler?
Alors allez-y!
Voilààààà...
Comment, vous ne voyez pas bien le ruisseau?
Bon et comme ça?
Non, impossible de se baigner dans le ruisseau :o))

C'étais une petite histoire de Mia, l'auteure qui se plie en 4, pour plaire à ses lecteurs...

Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres :
 

jeudi 27 octobre 2016

Pirates et captives - 1

Un château en Irlande. 

Irlande - Anno 1667
*******************
Je m'appelle Wilhelmina et je suis née en Irlande. Mon père est un Seigneur qui possède un château et beaucoup de terres, dans le Connaught.
Mes parents ne se sont jamais beaucoup occupés de moi. La plupart du temps, ils sont à la Cour ou à diverses occupations.
Ah oui, on utilise le diminutif de mon prénom, Mina, enfin seulement mes parents ou ma proche famille.
Des gouvernantes se sont succédées auprès de moi, dès ma naissance. Depuis trois mois, il s'agit de Madame Murphy, que j'ai baptisé Murph. Elle est chargée de veiller à ce que j'ai tout ce que je désire.
Mes parents me demandent de temps en temps si je suis satisfaite de Murphy. Et, oui, je suis satisfaite. Elle fait tout ce que je veux. Elle a compris que c'était la condition pour garder son emploi. Par contre, elle est très sévère avec le personnel et particulièrement avec les servantes. 



Mon père a droit de haute et basse justice, sur ses terres. Il ne manque jamais de faire fouetter les domestiques ou les paysans quand il le juge nécessaire. J'avais été très impressionnée de voir de très jeunes femmes déshabillées et fouettées en publique. Pour une jeune fille, la honte d'avoir ses fesses dénudées me semblait une punition pire que le fouet. Il faut dire que je ne l'ai jamais reçu!
Les punitions corporelles se pratiquent à tous les niveaux.
Les professeurs, souvent des curés, punissent les élèves, depuis la réprimande jusqu'à la canne. Les maîtres fouettent les domestiques. Il existe une loi, qui s'appelle "the rule of the thumb" (la règle du pouce), qui autorise un mari à battre sa femme à condition que le bâton qu'il utilise soit d'un diamètre inférieur à un pouce. *
Petite, je me suis vite rendue compte, que moi aussi, je pouvais  punir à ma guise les servantes et les paysannes, soit parce qu'elles avaient commis une faute, soit parce que cela m'amusait. Murphy, ma gouvernante, est une experte dans ce domaine et a fortement encouragé mon penchant naturel. C'est une forte femme et elle manie le fouet avec beaucoup d'habileté. Elle m'a expliqué que le fouet se manie de façon à faire le plus mal possible, sans blesser, de façon à pouvoir recommencer souvent et à ne pas laisser de marques.
La Bible cautionne ses pratiques. Dans la lettre de Paul aux Hébreux, il est dit au verset 7 "Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils."
Plus jeune, j'ai fait part de mon goût pour punir les jeunes servantes, à mon confesseur. Il m'a dit que c'était tout à fait normal et que c'était la seule façon de faire travailler les servantes ou les paysannes qui sont naturellement paresseuses. Rougissante, je lui ai avoué que je repensais à ces punitions et qu'il m'était arrivé de rêver à ça... et que c'était agréable... trop agréable. L'abbé, un homme d'un certain âge ne comprenait pas bien pas ce que je voulais dire. Il m'a posé beaucoup de questions... nécessaires, pour me donner l'absolution. Je lui expliquai que voir relever les jupes d'une servante, pour dénuder ses fesses, puis de les voir rougir sous le fouet, ça me troublait.
Il me demanda, "À part ça, vous n'avez pas de pensées impures mon enfant?"
"... euh... non... mon père."
"Vous aimez simplement les voir punies?"
"Oui, mon père."
"Alors, ce n'est pas grave. Ces filles du peuple sont généralement des dévergondées et ce n'est que justice qu'elles soient punies. Il s'agit, d'une innocente petite distraction."
Personnellement je me conduis avec la retenue due à mon rang. Récemment, la seule chose que j'ai permise à celui qui va devenir mon fiancé, c'est de prendre ma main... et... de la porter à ses lèvres. Nous avions échappé un instant à notre chaperon.
Je me suis confessée le lendemain matin. L'abbé m'a grondée et m'a donné  l'acte de contrition à réciter 20 fois à genoux. Je dois attendre d'être fiancée pour me laisser accepter ce genre de privauté.
L'abbé m'a dit, "Amusez-vous à punir vos servantes, mon enfant, mais ne faites pas de jeux de ce genre  avant le mariage, Dieu vous regarde!"
Bon. J'obéis à mon confesseur et quand il m'arrive d'avoir un semblant de pensée impure au sujet de Geoffrey, mon futur fiancé, je me défoule sur les servantes. Il y en a une vingtaine dans le château.
J'aime aussi me promener sur nos terres, pour punir les jeunes paysannes.
De toute façon c'est dans l'ordre des choses et je ne suis pas cruelle, loin de là. J'ai même fait donner une dot à une jeune servante que j'aimais bien, afin qu'elle se marie avec un des palefreniers. Mais comme le dit Murphy, il faut que les servantes sachent où est leur place.
Elle a peut-être des pensées moins pures que les miennes. Je sais qu'elle fait souvent coucher une servante dans sa chambre, pour lui masser les pieds si elle a des crampes la nuit. Entrant, dans sa chambre à l'improviste, j'ai plusieurs fois remarqué qu'une servante était dans son lit, sous les couvertures. J'ai fait semblant de ne rien voir.
Murphy aime obliger une servante à se mettre nue pour vérifier qu'elle n'a rien volé ou plus simplement, parce qu'on... se réjouit toutes les deux de la honte de la fille.
Il y a beaucoup de raisons pour donner le fouet à une servante : l'insolence, la paresse, les maladresses, un visage pas souriant... Oserais-je ajouter, pour s'amuser?
Tous les jours, on punit quelques servantes. Comme il y en a une bonne vingtaine, ça veut dire qu'elles ont le fouet deux fois par semaine, ce qui n'est pas excessif. De cette façon, elles sont extrêmement attentives et obéissantes. J'aime ce pouvoir! Cependant, comme je l'ai déjà dit, je suis une maîtresse  accommodante. À part des gifles et le fouet de temps en temps, elles n'ont pas à se plaindre. Je sais que c'était pire chez leurs parents à la ferme!!   
Une bonne  idée de Murphy a été d'installer un pilori dans la salle de garde. Le climat n'étant pas clément, il était cruel de mettre des gens au pilori en hiver.  
Mes parents ont trouvé l'idée excellente, les soldats aussi.
De cette façon, celle qui a été punie a le temps de réfléchir à sa faute.
Pas plus tard que ce matin, j'ai été obligée de sévir. Une servante... euh... en vérité, je ne me souviens plus de ce qu'elle avait fait ou pas fait!
De son côté Murphy désirait punir une servante qui ne lui avait pas assez bien... massé les pieds.
Personnellement je suis contre cette promiscuité. Je suis très pudique et je refuse que les servantes me voient nue quand je me lave ou que je m'habille. Murphy trouve ça incroyable, mais mon confesseur pense que j'ai raison. 
Ce matin, je fais donc venir les deux coupables. Elles sont jeunes et jolies... les laides sont dans les champs.
Murphy leur dit, "A genoux! La Maîtresse va décider, qu'elle sera votre punition."
C'est à moi de décider... alors... "Voici votre punition..."
C'est un moment de grâce, j'ai tous pouvoirs. "Vous passerez la soirée au pilori du corps de garde de 6 h ce soir à minuit et vous serez fouettée demain matin à 11 h."
"Très bien, Princesse.", me dit Murphy les yeux brillants.
Les servantes supplient un peu... rampent un peu à nos pieds.
"Au travail!", dit Murphy, "ou on double la punition."
Le soir, nous passons par la salle de garde. Les deux jeunes servantes sont là, penchées en avant, les poignets et le cou prit dans les orifices du pilori.
On a relevé leurs jupes et leurs fesses sont nues. Les soldats ont bien le droit de s'amuser aussi. Comme il y a en deux qui... leur content fleurette, je détourne pudiquement le regard.
Le lendemain matin, je m'étire dans mon lit. Je suis de bonne humeur en pensant aux deux servantes qu'on va fouetter ce matin et qui ont dû passer une mauvaise nuit!
Les punitions se passent dans la salle de garde et il y a toujours des spectateurs, des soldats, des domestiques...
Et puis, je me dis, ce sera plus amusant ce soir!!
Les servantes nous attendent, en chemise, les pieds nus.
Je dis à Murphy, "On fera ça ce soir Murph."
"Bien, Princesse."
C'est amusant de différer une punition! 
L'après-midi, nous avons des visites... c'est d'un ennui!!
J'attends le soir pour me distraire.
Enfin, ils s'en vont. Mes parents et les gens de la cour ont leurs occupations, moi je file dans la salle de garde.
Les filles sont là, pieds nus et en chemise comme ce matin.
Murphy va les fouetter.
"Enlevez vos chemises" dit Murphy.
Elles obéissent aussitôt. Leur peau est très blanche et elles tremblent de froid... et de peur.
"Vous n'allez pas avoir froid longtemps, leur dit Murphy, je vais vous réchauffer.
Avec l'aide de deux soldats, elle attache les filles, l'une contre l'autre, les bras tendus vers le haut de façon à ce qu'elles soient sur la pointe des pieds.
Murphy fait claquer son fouet. À ce bruit les filles poussent un cri... Elles se pressent l'une contre l'autre. La position les oblige à bouger, dans l'espoir vain de trouver un appui pour leurs pieds tendus. Leurs jambes se tendent pour essayer de diminuer la tension dans les épaules. Leurs fesses nues frémissent, blanches dans la lumière des bougies et des torches...
Murphy commence, d'un geste souple mais plein de force et... de grâce. Elle déploie le fouet qui décrit un cercle et vint claquer sur les fesses des filles. Elles  poussent un cri aigu en contractant leurs fesses qui s'ornent d'une première marque rouge. Murphy attend quelques secondes,  puis la lanière vient mordre le haut des cuisses... Ensuite, elle fouette le dos depuis la nuque jusqu'au haut des fesses, puis les jambes et les mollets... Les filles agitent leurs jambes, ce qui ne fait qu'accroire la douleur dans les épaules... 
 
Murphy envoie un méchant coup de fouet qui vient s'enrouler sur les mollets des filles. En poussant des cris aigus, elles lèvent leurs jambes, immédiatement Murphy envoie le fouet de bas en haut entre les jambes des filles, les lanières viennent claquer sur leurs... enfin vous voyez ce que je veux dire. je détourne pudiquement le regard.
Il y a des rires et des bravos venant des spectateurs...
Je lui dis, "Encore quelques coups sur leurs fesses Murph." C'est vrai quoi, il faut rester correct. et puis le bruit fouet qui vient claquer sur les fesses, mêlé aux plaintes des filles, cela fait une musique si agréable...
Elles se poussent en avant, comme pour diminuer l'ampleur de  leurs fesses, impossible. Elles ont toutes les deux de belles fesses, on nourrit bien nos domestiques.
Les meilleures choses ont une fin, enfin je veux dire pour les spectateurs,! On arrête la punition. Les filles continuent à crier, ça devient franchement pénible!
Murphy leur dit, "Vous voulez une bonne raison de crier..."
Non!!! Elles ne veulent pas! On entend plus que des gémissements étouffés...
Murphy et l'intendant les détachent. Elles viennent rapidement et  péniblement se mettre à genoux devant moi...
C'est le moment du repentir et des bonnes résolutions, ça donne à peu près ceci, "Pardon, Maîtresse, on ne sera plus paresseuse ou insolente..."
Je leur abandonne mes mains qu'elles couvrent de baisers et de leurs pleurs...
C'est un peu dégoûtant, mais... grisant!
Je leur demande, "Ce sera suffisant comme punition?"
Alors là c'est un concert de supplications... abjectes... mmmmhhhh...
Je fais signe à Murphy, que j'en ai fini.
Elle leur dit, "Reprenez le travail."
Les filles n'en demandent pas plus.  Elles enfilent leurs chemises et quittent le corps de garde.
Je me sens, comment dire... un peu troublée, mais aussi apaisée.
Murphy me dit, "Pour demain, il y a une nouvelle servante, qui..." 
Et, là oui, là, tout bascule!!! On entend des cris des coups de feu. Des hommes en armes arrivent dans le corps de garde... Ils sont très bruns de peaux avec des barbes noires. Ils ont aussi des pistolets et de grands sabres recourbés
J'entends crier, "Au secours,  les pirates Barbaresques!!!"
Oooh non...   

À suivre.   

* rule of the thumb : authentique.

 

Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres.
Ils sont ici :

mardi 25 octobre 2016

Une semaine de vacances.

En juillet, dernier, mon mari me dit, "On part en vacances..."
Cool!! J'ai vraiment envie de changement : soleils, cocotiers, lagons, récifs de coraux, Napoléons (les poissons).
Il me dit, "On part une semaine dans le Nord...  "
"Le Grand Nord??"
Il rigole, "Presque... le Pas-de-Calais."
Ah, ouais... d'accord...
Il me dit, "Alors, ça te fait plaisir??"
Comme il est un peu susceptible et un peu impatient, je lui réponds, "Oh oui, beaucoup!"
Comment ça, froussarde??? Oui, bon un peu...
D'ailleurs, il a différentes raisons de prendre de courtes vacances et on ne va pas  perdre des journées à voyager...
Mon mari a loué une chambre d'hôtes, dans une belle maison... à Berck-sur-Mer.
On paye 85 e par nuit *avec* petit déjeuner!
Berck-sur-Mer, c'est... spécial! Vous voyez St-Tropez ou Knokke le Zoute ou Deauville, ben le contraire!
Presque tous les hommes sont tatoués, des femmes aussi et beaucoup pourraient faire de la figuration dans un film genre "Mad Max". Bon, je vous parle de Berck-sur-Mer, en juillet, août.
Sur la plage, on croise une bande de jeunes dont le hobby doit être d'organiser des  tournantes dans les caves d'immeubles HLM.
D'accord, je critique un peu. Les tournantes, ça peut être fun... pour les mecs!
Comme mon mari est un costaud qui sait se défendre, je ne lâche pas sa main : il fait trop chaud pour une tournante!!
Ces hommes tatoués, genre toile d'araignée sur le cou ou larme sur la joue, rien ne dit qu'ils ont fait de la tôle! Ils ont peut être bénéficié d'un non-lieu ou d'un sursis.
On s'installe sur la plage. On ne passe pas inaperçu, mon mari parce qu'il est bâti comme Hulk, sauf qu'il n'est pas vert! Et moi, parce que j'ai un maillot si rikiki que si je me mouchais dedans, j'en aurais plein les doigts!! 
*** La grande classe, ta comparaison, mia!!!
Oui ben, à Berck, fais comme les Berckois... 
"On va nager...", dit mon mari! Elle est froide et j'ai peur des méduses, mais comme je suis obéissante,  je me baigne. Si je suis piquée par une méduse, je trouverai bien une jolie baigneuse tatouée pour me pisser dessus.
Mon mari, qui est extraverti pour deux, discute avec des jeunes qui jouent au Volley. On joue avec eux! Cool le Volley! Surtout quand on mesure moins d'1 m 64, comme moi. Au bout d'un moment, aucune des deux équipes ne veut de moi. Du coup, je fais la spectatrice et je peux admirer deux joueuses belles et musclées. C'est à elles que je demanderai, en cas de piqures de méduses!!  


Le soir, on mange un Welch. C'est un plat à base de beaucoup de cheddar, de pain, de patates et de lard avec un œuf sur le tout, ah oui, et des frites! Juste ce qu'il faut quand on s'est beaucoup dépensé à regarder les filles jouer au Volley!!!
Ensuite, on regagne notre chambre.
Mon mari a envie de me tirer (c'est son expression!).
Il me prend en levrette. Il aime cette position, étant donné que, d'après lui, mon cul, c'est ce que j'ai de mieux. Et moi, j'aime être à quatre pattes,  offerte... Il me fait un peu tortiller du cul... et un peu supplier, de ne pas me claquer les fesses trop fort, vu l'étroitesse de mon maillot. 
Le lendemain, on va visiter la baie d'Anthie. La plage est immense et il n'y a presque personne.
Mon mari demande à un petit groupe, où sont les phoques. Fastoche, on marche sur la plage et quand on  ne sait plus continuer à cause d'une étendue d'eau, ils sont en face.

Au bout d'un brise-lame, on les voit, faisant la sieste au soleil. Ce sont des phoques gris, la plus grande espèce française. Ils ne sont pas vifs comme des otaries, mais je suis très contente de les voir. 
 
Ce n'est pas à Tahiti, sous les cocotiers, qu'on aurait vu des phoques!!
L'après-midi, on va au Touquet.
Là c'est la classe. L'inverse de Berck, je ne peux pas dire que je m'y sente très à l'aise. Mon mari, lui, est à l'aise partout.
Le jour suivant, on va vers les Caps : Gris-Nez et Blanc-Nez.
Je connais déjà, mais j'aime beaucoup m'y balader.
Vous vous doutez que je ne vous décris pas simplement mes petites vacances, mais qu'il va se passer quelque chose de spécial! Bingo! Ça va venir!
Avant d'en parler, je dois remonter dans le temps et vous expliquer les rapports que j'entretiens avec certains magasins. Je vais aussi faire la "Petite Cosette"!
J'étais à l'école dans une région qui avait énormément souffert de la fermeture des mines. Il ne restait plus qu'une seule usine importante. Les parents de la plupart des enfants y travaillaient. Exception faite de quelques enfants de notables et de la fille du patron de l'usine. Il trouvait bien qu'elle côtoie les enfants de ses ouvriers. D'autant plus qu'il était le bourgmestre (le maire) de la petite ville.
Sa fille était bien habillée, mais c'est surtout après les cours que la différence entre elle et ses amies, filles de notables, d'un côté et nous, filles d'ouvriers, de l'autre, apparaissait. Elles allaient toutes au magasin de friandises où il y avait bien sûr des boissons, mais surtout toutes sortes de sucreries.
Ma copine et moi, on les regardait depuis le trottoir d'en face en salivant, parce qu'on ne recevait *jamais* d'argent de poche (Cosette sort de mon corps!!).
Un jour la fille du patron de l'usine qui s'appelait Marie-Charlotte (ça ne s'invente pas!) m'a tendu un Mars, qu'elle avait mangé aux trois quarts. Je n'ai pas hésité, j'ai accepté et je n'ai fait qu'une bouchée! Ses copines me regardaient en rigolant, m'en fous, j'en avais trop envie!!
Elle a trouvé ça amusant et tous les jours elle me donnait des bouts de ce qu'elle mangeait : demi-cuberdons, bouts de lacets (réglisse), hosties avec de la poudre sûre... Même des choses plus... euh... spéciales, comme le chewing gum qu'elle avait un peu mâché, mais qui avait encore plein de goût! Ça les amusait et moi,  ça ne me dégoûtait pas. J'adorais le sucré. Je faisais... ce qu'elle voulait pour un petit bout de chocolat!
On est devenues... pas amies, bien sûr, mais proches.
Elle m'a invité à venir chez elle.
J'ai demandé la permission à la responsable du Centre où je me trouvais.
Le nom de famille de Marie-Charlotte a suffi, elle a accepté.
Marie-Charlotte avait vu "Angélique et le sultan", au cinéma ou à la TV, je ne sais plus. Elle m'a raconté le film en détails. Je l'écoutais, fascinée, par les aventures d'Angélique.
Elle m'a proposé d'y jouer. Bien sûr, elle était le sultan et moi... sa servante.
Bon... je ne vais pas m'étendre... Tout le monde a fait ce genre de jeux un peu... spéciaux.
Quand j'avais bien tenu mon rôle, Marie-Charlotte me donnait un peu d'argent.
Grâce à ça, j'ai découvert le palais des mille et un délices : le magasin de friandises!
Plus tard, j'ai ressenti la même chose avec ma première paye, quand j'ai pu acheter des produits de maquillage...
Actuellement, j'ai la même "frénésie" dans certains magasins.
Comme par exemple, les "bazars", où on vend de la quincaillerie, des souvenirs... et toutes sortes de machins kitschs.
 

Lors de notre visite d'une petite ville qui se trouve entre Boulogne et Calais, je tombe en arrêt devant une petite baigneuse assise sur un ballon, exposée dans une vitrine.
"J'en ai envie!"
Gros soupir de mon mari, qui n'aime ni les bibelots, ni les caprices!
Je fais une petite voix, "Je t'en prie."
Vous allez me dire, qu'est ce qui t'empêche d'entrer dans le magasin et d'acheter ce que tu veux?
Oui... mais, c'est un peu comme avec Marie-Charlotte... Ce n'est pas moi qui commande.
Il finit par dire, "Bon... d'accord, mais je ne t'achètes qu'un truc.
Chouette, c'est déjà ça.
On entre et j'examine soigneusement tout, pour acheter "le mieux du mieux"!
C'est trop beau! Il y a des baigneuses, des petits ivrognes agrippés à un réverbère, des phares miniatures, des encadrements avec des nœuds marins (oui, c'est marrant!) et aussi un peu en hauteur... des martinets!!! Alors là, je reste à les regarder avec de grands yeux!


Mon mari me demande, "Qu'est-ce qui t'arrive?"
"Rien, rien, mon chéri.". Il ne faut surtout pas qu'il les voie. Je me doute de ce qui se passerait une fois rentrés dans notre chambre, s'il en achète un!
Il vient près de moi, regarde... et les voit!!
Il me sourit, "Tu as vu? Amusant... non?"
Non!!!
Le patron du bazar s'approche de nous. C'est est un homme âgé avec des cheveux blancs et des lunettes en acier... Mon mari lui dit, "N'ont pas l'air très solides, vos martinets!"
Le vieux réagit au quart de tour, "Sûr qu'ils sont solides, si on sait les utiliser comme il faut. Il faut frapper juste assez fort et c'est vraiment efficace..."
Mon mari secoue la tête, "Ça m'étonnerait!!"
"Pour vous convaincre," dit le vieux, "je devrais vous faire une démonstration, mais il faudrait quelqu'un qui a fait une bêtise!"
Ils se tournent tous les deux vers moi!!
Je dis d'une voix tremblante, "J'ai pas fait de bêtise, moi!"
"Aujourd'hui, pas encore," dit mon mari, "mais, c'est pour une démonstration."
"Exactement," dit le vieux, "Vous allez voir comme ils sont efficaces, ces martinets...  Je ferme la boutique??"
"Très bonne idée!" 
A la place de la petite baigneuse, je vais me faire punir, sans raison.
Je vais le dire à mon mari... ou pas!
Je  le regarde avec des yeux suppliant... Il me dit à l'oreille, "Je te conseille d'arrêter ton cinéma! Le vieux a bien 80 ans et les lanières de ce martinet ne sont pas épaisses..."
Le vieux baisse le volet métallique. On le suit dans son arrière boutique.
"Moi c'est Albert", dit le vieux.
"Enchanté", dit mon mari, "moi c'est X et elle, Mia."
Albert s'assied sur une chaise et me montre ses cuisses en disant, "Venez vous mettre ici, ma petite dame!"
Je jette un coup d'œil à mon mari, des fois que pris d'un coup de folie, il déciderait d'annuler... mais non, il est bien sûr ravi de cette petite aventure!
Je me couche sur les genoux du vieux Bert.
Il relève ma jupe et baisse ma culotte de maillot.
Il dit à mon mari, "Vous permettez que je tâte un peu, pour me rendre compte de la finesse de la peau?"
"Bien sûr, vous pouvez y aller. Ce ne sera pas sa première fessée!!"
Bert tâte en disant, "Exactement le cul qu'il faut pour une démonstration!"
"C'est ce qu'elle a de mieux.", dit mon mari.
Et après, on s'étonne que je ne sois pas sûre de moi!!
"Vous allez voir,"  dit le vieux, "Je vais lui donner une bonne correction, sans abîmer, ni le martinet, ni son gros derrière!"
Involontairement, je me crispe et serre mon "gros derrière"!!
Ça ne plait pas à mon mari, "Si tu serres tes fesses, tu vas vraiment être punie."
Albert me donne une bonne claque, "Votre mari a raison, il ne faut pas les serrer!"
Je geins, "Oui Monsieur, pardon!"
Le vieux lève le bras et dit, "Pour une démonstration, dix coups, ce serait bien."
"Parfait!!", dit mon mari! "Et elle va compter!"
Non, ce n'est pas parfait!!!! En plus, je vais me taper la honte avec des marques sur les fesses!!!
J'entends, "Sssswwwitcch", et les lanières viennent me claquer les fesses!!!
"Aaaaiiiiieeee!!! Un... pas top fort Monsieur, s'il vous plait."
"Ce n'est pas fort", répond t'il et il ajoute, "Ça, c'est fort!!!".
"Sssswwwitcch!!!" Les lanières me cinglent encore plus douloureusement!
"AAAIIIIEEEE!! Deux!!". Je n'ajoute plus rien.
 
Mon mari et le vieux rigolent. Il dit, "Elle comprend vite!"
Et ça repart, "Sssswwwitcch, "Aaaaaiiie!!! Trois."
Mon mari touche mes fesses, je fais un petit bond sur les genoux du vieux, il dit, "Jolies marques..."
Je geins, "On les verra quand je serai en maillot."
"Comme ça tout le monde verra que tu reçois le martinet!"   
Le vieux frappe à nouveau, "Sssswwwitcch" "Aaaiiiiiieee!!! Quatre!"
Sssswwwitcch!!,  "Aaaiiiiiieee!! Cinq!!"
Je pense très fort, "ça fait maaaaalllll!!", mais je ne dis rien!
Ssssswwwitcch!!  "Aaaiiiiiieee!! Six!!"
Soi-disant qu'il n'avait pas de force, le vieil Albert!!
Sssswwwitcch  "Aaaiiiiiieee!! Sept!!"
Je geins, mais me tais!!
Ssssswwwitcch  "Aaaaiiiiiieee!! Huit!!"
En plein sur les cuisses, ça va se voir sous la minijupe!!!!!
Ssssswwwitcch  "Aaaaiiiiiieee!! Neuf!!
J'ai les fesses en feu!!
Ssssswwwitcch  "Aaaiiiiiieee!! Dix!!
Je voulais juste une baigeneeeeuuuuuuse!!!
Mon Dieu faites que ce soit le dernier!!!!
"Voilà!", dit le vieux, il pose la main sur mes fesses, "Elles sont cuites à point, n'est ce pas ma p'tite dame??"
"Ouiiii, Monsieur..."
"Très bien, ", dit mon mari, "Bon matériel et bonne technique, félicitations!"
"Il faudrait la mettre au piquet... mais... j'ai un petit service à vous demander, "dit Albert et en me donnant une claque sur les fesses, "Levez-vous, mia!".
Quand je suis debout, je frotte mes fesses couvertes des stries des lanières.
Albert montre à mon mari, la bosse dans son vieux pantalon.
Soit disant qu'il était vieux!!
"Elle va vous arranger ça.", dit mon mari, "Après tout c'est de sa faute!"
Ben voyons!!
Le reste ne fait pas mal, heureusement! Je n'ai pas besoin d'explications. Je me mets à genoux entre ses jambes et j'extirpe le sexe de son pantalon.
Aaah, il ne s'attendait pas à se faire sucer le vieux! Il a oublié la douche...
Je le prends en bouche, le bout est tout mouillé, le goût est dégoûtant!!
Il est vieux disait mon mari!! Mais il a tapé sur mes fesses, comme un jeune et il bande comme un jeune aussi! 
 


Après de longues minutes de va-et-vient, il jouit abondamment dans ma bouche!! J'avale tout... Berck!! Je veux dire bèrke!!
Les hommes sont contents... "On se reverra dit mon mari!!"
"Avec plaisir!",  dit Albert. 
Bon, on a reçu le martinet, la petite baigneuse et une boîte recouverte de coquillages.
Je connais la dernière chose que mon mari attend de moi.
Je dis, "Merci, pour la démonstration, Monsieur Albert et pour avoir joui dans ma bouche et pour les cadeaux."