vendredi 14 octobre 2016

Les fesses d'Eva L.




 
Voici un petit résumé, ainsi qu'un extrait.


Éva L vient d’un milieu modeste, sa mère est servante chez des gens riches. N’ayant que le bac pour tout diplôme, elle croit que seul son physique lui permettra de rencontrer un riche Prince Charmant, afin d’échapper à sa condition. Éva est en effet une très jolie file, dont les fesses bombées et la taille mince plaisent particulièrement aux hommes.
Dans quel endroit ses atouts physiques seront-ils le mieux mis en valeur ? Le village et la plage naturiste du Cap d’Agde. Hélas, le Sud de la France est beaucoup plus cher que ce qu’elle imaginait, aussi est-elle obligée d’accepter un emploi de serveuse… nue, dans un bar.
Beaucoup plus jeune, Éva a été très impressionnée par des esclaves dans un film du genre « Les 1001 Nuits ». Elle voudrait rencontrer un homme riche mais ce qui l’attire surtout, ce sont les hommes décidés et dominants. Ces deux traits de caractère vont l’entraîner dans des aventures plus scabreuses les unes que les autres.
 
Extrait du deuxième chapitre : 
Vers le soir, je fais la connaissance de la belle-fille de Lucien.
Aïcha me dit :
— C’est elle, la patronne. Elle s’appelle Chris, mais on dit « Mademoiselle » ou « patronne. »
Pour le moment, elle est à l’entrée pour accueillir les clients. Elle est blonde, mais certainement décolorée. Elle doit avoir mon âge et elle est jolie. Et bien sûr, totalement dénudée. Mes yeux descendent aussitôt vers son pubis. Je suis sûre qu’elle a une chatte bien noire, quand elle n’est pas toilettée.
Je lui dis sur un ton très poli :
— Bonsoir Mademoiselle, je m’appelle Éva, votre beau-père m’a engagée et…
Elle me regarde bien dans les yeux et termine ma phrase :
— Et tu n’as aucune expérience… Alors, pour compenser, tu montres complaisamment ta chatte aux clients.
Son ton est très ferme.
Bien sûr, je deviens toute rouge, et je baisse même les yeux en bredouillant :
— Euh… c’est la première fois que… mais je vais…
— Du moment que les clients et mon père sont contents, tu peux même servir à quatre pattes pour moi.
Sous son regard, je me retrouve dans le harem.
Elle remarque mon trouble. Cette fille a même l’air de trouver ça très amusant. Oui, mais je suis nue, même plus que nue, puisque je n’ai plus un poil sur le minou, devant une femme également nue, qui a le regard et le ton qui me touchent. Ici, entre les cuisses. Oui, là où c’est devenu aussi lisse que sensible.
A-t-elle compris ce qui se passe ? Assurément, puisqu’elle me dit :
— Tu fais bien tout ce qu’on te dit ?
— Oui, Mademoiselle.
— C’est parfait, j’aime bien les filles obéissantes.
Voilà, voilà… Dur de jouer à être une guerrière quand, à l’intérieur, on est une esclave. Nue, en plus !
Elle m’annonce :
— Aïcha va t’expliquer ce que tu dois faire.
Elle regarde mon bas-ventre et dit :
— C’est elle qui t’a épilée ?
— Oui, Mademoiselle.
Elle pose le dos de sa main sur mon pubis :
— C’est très sensible au début, hein ?
J’en perds presque la voix ! Je finis par bredouiller,
— Oh… euh… oui, très, très…
— Une seule solution, au début : aller se masturber aux toilettes.
Je prends une teinte de rouge supplémentaire. Elle sait ?
Sa main quitte mon pubis, parce que des clients arrivent.
Je peux bouger.
Aïcha a assisté à la scène. Elle me dit :
— Elle t’a mise mal à l’aise ?
— Ben, quand même, sa main qui restait à cet endroit-là...
— T’es trop sensible. Viens, je vais te présenter aux autres.
Il y a deux serveuses de plus pour le restaurant, dont Helena, une fille de l’Est. Elle est occupée à placer des corbeilles de pain sur les tables. Suzy, qui est de Béziers est en congé aujourd’hui.
Helena et moi, on s’embrasse.
Elle me dit :
— Ravie que tu sois là.
Elle a un accent russe et l’air sympa.
Je ne peux pas m’empêcher de regarder son pubis pour voir si ses grandes lèvres sont aussi apparentes que chez moi.
Elle rit et me dit :
— Au début, on fait toutes ça.
Les clients du restaurant arrivent.
Aïcha me donne un conseil :
— Tu devrais retourner au bar.
Elle ajoute :
— Ne te laisse pas faire par les clients et leurs mains baladeuses.
— Non, bien sûr.
Elle ajoute plus bas :
— Sauf s’ils te donnent un gros pourboire.
Une main aux fesses contre un gros pourboire, c’est ce que je pratique déjà.
Je continue à être très troublée par ma nudité, en étant entourée de gens habillés. D’autant plus que ma chatte est terriblement sensible. Je ne dois surtout pas frôler quelque chose, comme me l’a dit Aïcha. J’ai l’impression que mon minou a doublé de volume et je regarde parfois le début de mes petites lèvres, qui saillent d’une façon obscène en haut de ma fente. Je sens d’ailleurs que les bouts de mes seins sont durs et que je suis déjà redevenue humide.
 
Alors, je vous fait une petite confidence. Le début est vrai, enfin, en partie.
A 19 ans, je suis partie passer des vacances au Cap d'Agde et j'ai été très émue de me
retrouver toute nue dans le village.
Faire ses courser ou aller chez le coiffeur toute nue, c'es super quand on est légèrement
exhibitionniste comme moi :o)
J'ai travailler dans un petit resto près de la plage et j'ai aussi vendu des glaces... toute nue.
Si vous voulez en savoir plus... lisez-moi...


Voici où vous pouvez trouver mes livres :
Depuis j'ai publié trois livres en Kindle : "Les fesses d'Eva L" et "Eva en uniforme" et "Dans la peau d'une esclave." je vous en parlerai, dans les articles suivants.

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