dimanche 29 avril 2018

Samia - 8 Débroussaillage.


      Je dis à Monsieur Miliani :
— On nous a dit que vous cherchiez des jeunes pour vendre des glaces.
— Exact, mais c'est un boulot dur. Il faut marcher avec une glacière dans le sable mou. Toi, tu y arriveras peut-être, mais le jeune homme, je ne pense pas. De plus, il faut avoir 18 ans. Vous êtes ensemble ?
— Non, on est frère et soeurs.
Ça va lui plaire. Le problème, c'est que je suis aussi noire de cheveux qu'une chaude nuit d'été sans lune, tandis que Julien est aussi blond que... la lune ! J'ajoute :
— Il a 19 ans et moi 20. En fait, c'est mon demi-frère.
Il nous regarde attentivement, je me cambre un peu, mais Julien reste là tout con, quel empoté ! Miliani se lèche les babines en regardant la petite bite de Julien. Il nous dit  :
— Tournez-vous.
On obéit, mes fesses sont ravissantes, si, si... mais je dois dire que le cul de Julien n'est pas mal non plus. Miliani aime et dit :
— Pas mal du tout...
On lui fait face. Il poursuit :
— Ma sœur cherche une jolie fille pour servir à midi et même ton frère pourrait aider. Je crois que ce serait de 11 h à 15 h ou un truc du genre. Tu as déjà été serveuse ?
— Oui, je connais bien.
— J'ai peut-être quelque chose d'autre qui serait intéressant financièrement...
Là, je dresse l'oreille.
— Un de mes amis publie "Jeunes et nus au soleil." Il cherche des modèles, surtout un couple. Ça vous intéresserait ?
— Oui, bien sûr.
Il se tourne vers Julien en disant :
— Et toi ?
Je réponds avant lui :
— C'est moi qui décide pour nous deux.
Miliani est surpris, mais il dit simplement :
— Je vais lui téléphoner.
Il l'appelle :
— Bonjour Jo. Dis, j'ai des beaux jeunes gens qui poseraient pour toi.
— ............
— Une vingtaine d'années... Le garçon a une adorable petite bite et la fille un cul du tonnerre.
— .............
— Oui, je leur demande.
Il me dit :
— Vous pourriez vous comporter comme un couple ?
Je prends Julien contre moi et l'embrasse sur la bouche. Ensuite, je me mets à genoux devant lui et prends son "adorable" bite en bouche.
 
 
 
Il reprend son téléphone :
— Oui, Jo, la fille est très délurée, elle a pris le sexe de son frère en bouche !
— .............
— Si, je te jure que c'est vrai !
— ...............
— Bon, demain matin à 9 h chez Simone...
Il me regarde, je fais oui de la tête.
— Ils seront là, ciao !
Il raccroche et me dit :
— Rendez-vous demain à 9 h chez ma sœur, je te donnerai l'adresse et tu verras avec elle pour le job de serveuse.
Il baisse les yeux vers mon pubis et ajoute :
— Faudra débroussailler tout ça pour les photos. Je vais te donner une adresse. Tout à fait épilée, ce serait encore mieux.
— D'accord, je vais le faire. Dites, vous n'avez pas une idée de l'endroit où on pourrait dormir et que ce ne soit pas trop cher.
— Les hôtels sont complets en été. Éventuellement le camping...  
Il prend dans un tiroir un plan du village et indique le restaurant de sa sœur sur la plage, l'institut de beauté et le camping.
— Dis que tu viens de ma part au camping.
— Merci beaucoup.
Il nous prend tous les deux par la taille, il m'embrasse puis embrasse Julien et dit :
— On se reverra.
— Avec plaisir...
On sort du magasin. Première chose : me faire épiler. Tout en marchant, j'observe les gens qu'on croise. Il y a de tout, des familles, des jeunes, des retraités, non, pas ceux du car. Quelques belles filles et des beaux mecs. Marrant de voir les fesses et les seins des femmes bouger au rythme de la marche, tandis que le sexe des hommes se balance de gauche à droite. Je sens bien les regards sur ma fourrure intime, il est temps que je me fasse toiletter.
On arrive à l'Institut. Oh ! Les filles sont nues ! Oui, normal. Une blonde avec des petits seins aux pointes roses et un air déluré, regarde ma chatte en disant :
— Vous venez pour une épilation d'urgence ?
Une femme plus âgée, sans doute sa patronne, la reprend :
— Suzy, un peu de tenue !
— Oui, Madame.
J'interviens :
— Pas de problème, elle a raison. Je viens au Cap pour la première fois et je me rends compte que je dois me faire épiler.
Suzy répond :
— Ah ça oui, on dirait que vous avez un raton laveur entre les cuisses !
La patronne dit à nouveau :
— Suzy !
Mais elle rigole, moi aussi. Suzy me dit :
— Suivez-moi, je vais arranger ça. C'est une petite pièce, le jeune homme devra attendre ici.
Je dis à Julien :
— Assieds-toi et sois sage.
On prend un couloir, je regarde les fesses de Suzy qui se balancent devant moi... On va dans une petite pièce et je m'allonge sur la table de massage. Je lui dis :
— C'est la première fois que je fais du naturisme et je trouve ça... troublant.
— Moi aussi, au début, et d'ailleurs, ça me plaît toujours. Vous êtes très bien faite.
— Merci, c'est gentil. Je m'appelle Samia.
Elle me caresse les seins en disant :
— J'aimerais avoir des seins comme les vôtres. Bon, on va s'occuper de la petite bête que vous avez entre les cuisses.
Elle est marrante. Elle prend des ciseaux et coupe les poils les plus longs, en tirant même dessus. Elle me demande :
— Je vous fais mal ?
— Euh... non, plutôt le contraire. C'est la première fois de ma vie qu'on me fait ça.
En riant, elle répond :
— Je vois bien... vous avez une de ces touffes...
— Et... euh... quand vous tirez là, c'est...
— Excitant ?
— Oui...
Quand elle m'a bien raccourci les poils, elle étale de la cire par petites bandes. Quand la cire a refroidi, elle arrache la bande d'un coup sec !
— Aïïïee!! Ça fait mal !
— C'est parce que vous avez des longues racines.
C'est bien ma veine ! Sur le bord des cuisses, elle termine avec un petit rasoir.

 
Ensuite, elle m'épile le pubis, puis les cuisses et le ventre. Oui, ma chatte déborde. J'essaie de ne pas crier, je ne suis pas une chochotte. Après avoir tout enlevé, elle me dit :
— Remontez les jambes et écarte-les bien.
— Oui... euh... Suzy, la douleur et vos mains, ça m'excite.
— Vous êtes sensible, c'est bien.
Ce n'est pas le genre à être choquée... Elle enlève les poils depuis l'intérieur de mes cuisses jusqu'à mon anus. Je me tortille de plus en plus. Je ne vais quand même pas avoir un orgasme parce qu'on m'arrache les poils. Elle me dit :
— Vous allez constater que la peau qui était protégée par les poils depuis des années va être hyper sensible, une fois nue...
Elle me tamponne soigneusement la chatte et les environs avec un linge humide, tandis que je me tortille. Elle me dit :
— Très sensible, hein ?
— Oh, oui !
On rit. Voilà, c'est fini. Je vais me rhabiller.... Mais non je vais rester nue, plus que nue.
Je l'embrasse sur la joue. Ben oui, elle vient de tripoter ma chatte pendant 20 minutes, ça crée des liens. On retourne dans le magasin. Julien est assis là, il lit une brochure. Il me regarde arriver avec de grands yeux. Je lui dis :
— Alors, comment tu trouves ta sœur ?
Il devient tout rouge et répond :
— Très belle.
Je paie à la caisse. Ouch ! C'est cher.... Mais ça vaut ça. Quand je baisse les yeux, j'ai l'impression d'avoir 7 ans. !
On se dirige vers l'endroit du camping. Mes poils ont disparu et ils étaient ma seule protection. Je me sens encore plus nue et je trouve ça encore plus excitant. Il y a un peu de vent qui vient de la mer et qui chatouille ma chatte nue. Un coup de mistral et je jouis !
Je me rends compte qu'on me regarde encore plus. Serais-je plus belle, épilée ? Julien me suit avec nos sacs. Il a son air déboussolé habituel. Il n'a pas de dope, ni d'alcool, mais moi à la place, et c'est beaucoup mieux. Je l'engueule de temps en temps quand il se laisse distancer.
Dans un magasin, j'achète un rasoir et de la mousse à raser pour Julien. Je veux que son sexe soit également dépourvu de poils. Comme ça, il aura vraiment l'air d'être mon petit frère.
Après avoir marché un bon quart d'heure, on arrive au camping naturiste. Il est classe : les caravanes sont séparées par une petite haie. Ça me rappelle mon village natal, les haies en moins. Le seul problème, c'est qu'en arrivant, on voit des pancartes "complet" à différents endroits. On va à la réception, un homme d'une cinquantaine d'années en short nous regarde arriver.
 
A suivre.
 
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
  
 
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Mes livres, ici :
 
 


samedi 28 avril 2018

Justice Cajun - 3

L'épisode 3 de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" est sur le site gratuit de La Musardine,  "Mes histoires porno." 
Toujours nue, Jill est jugée et condamnée en 5 minute et une fellation!

http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-3/




jeudi 26 avril 2018

Un coup de chaud !

Par une belle après midi d'été : pas un poil devant
euh... je veux dire "pas un poil de vent".


Lisez-moi, mes livres sont comme mes photos : indécents !
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#NGOT #BATGOT

mercredi 25 avril 2018

Pôv' Mia...


Je suis obligée de faire une liste de bonnes résolutions pour le ménage.
- J'agrandis la photo et je lis : "Darien - j'ai oublié - bla bla bla" + 1 fleur ! Ça va chauffer pour tes fesses, Mia !
***
Les livres d'une fille qui va recevoir une fessée sont ici, sniiiff... :
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lundi 23 avril 2018

Samia 7 - Kristos.

   Kristos baise rapidement et ses doigts s'enfoncent dans mes fesses. Et, là... je sens venir un super orgasme...
   — Aaaaaahhhh... je jou... ouiiiii...
   Putain, c'est bon! C'est presque trop fort et trop bon. Il me fait jouir comme Vénus jouissait quand elle se faisait enfiler par Mars, le frère de son mari.
   Kristos se retire. Oh! Je me sens toute vide! Je me redresse en chancelant un peu. Kristos me prend contre lui en disant :
   — Alors, c'était bon ?
   — Oui, merci, Monsieur.
   Il me lâche. Je dis à Julien :
   — Remets ma culotte, sinon le sperme va couler sur mes jambes. Il se met à genoux et m’obéit. Comme ça, il se rappelle bien sa place.
   On rejoint les autres. Un garçon me demande :
   — Il t'a montré la carte ?
   Ça les fait rire. Je réponds :
   — Oui, j'ai adoré ça.
   On s'assied autour du feu avec les autres. Je me mets à côté de Kristos. Il me prend par la taille et m'embrasse. Il dit :
   — Cette petite est forte pour lire les cartes.
   Rires à nouveau. Julien est juste derrière moi. Il ne sait pas où se mettre, au propre comme au figuré. Je me tourne vers lui pour dire :
   — Viens t'asseoir ici.
   J'écarte les jambes et lui montre le sol entre elles. Il vient aussitôt s'asseoir à mes pieds. Je lui caresse les cheveux en disant :
   — Tu as été sage, c'est bien.
   Il est entre mes cuisses, tout près de ma culotte très humide du sperme d'un autre. J'adore l'idée. Kristos boit une rasade de bière à la bouteille, puis il me la tend. Je bois et je donne le fond à Julien. Quand il a bu, il tourne la tête pour embrasser ma cuisse, en disant :
   — Merci, Samia.
   Vous voyez comme il est sage ! Par contre, Kristos a les mains baladeuses.  
   Tard dans la nuit, on éteint le feu et tout le monde va se coucher. Kristos me dit :
   — Je pars tôt demain, mais je laisserai un mot pour toi à la réception.
   Il me prend contre lui et m'embrasse. Je gémis un peu :
   — On se reverra, hein ?
   — Dans une semaine.
   — Sûr ?
   Il me donne une claque sur les fesses en disant :
   — Oui, je viens de te le dire.
   Il rejoint les autres dans un coin du dortoir. Eh, il pourrait quand même dormir avec moi. Bah... je suis crevée. Julien et moi, on se couche sur nos paillasses et je m'endors très vite en serrant les cuisses pour garder son sperme en moi. C'est un réflexe de femelle.
   ***
   Le lendemain, on se réveille tard. Je regarde le coin où Kristos a dormi avec ses amis, ils se sont déjà levés. Je vais quand même voir dans la cour. Ni lui ni ses amis ne sont là. Ils sont partis ! Merde ! Julien m’annonce :
   — Samia, je crois que la gamine de l'auberge veut te dire quelque chose.
   Ah oui, elle est à une fenêtre et me fait signe du doigt de venir. Plutôt désinvolte, la gamine. On va dans la pièce où elle se trouve. Elle me dit :
   — C'est quoi ton nom ?
   Elle le sait, puisqu'on a rempli des fiches, hier. Je réponds :
   — Samia, mais...
   Elle me tend un papier, je lis :
   « Ma belle, je serai de retour dans une semaine, appelle Lucie pour dire où tu es.       Kristos »
   Il veut me revoir ! Je demande à la gamine :
   — C'est toi Lucie ?
   — Ouais, donne-moi le papier, je vais t'écrire le numéro de téléphone.
   Elle écrit et je lui dis :
   — Je t'appelle dès qu'on a trouvé un endroit pour dormir pour dire où on est.
   — D'accord. C'est 10 F.
   Normal... Elle me tient ! Je lui donne en disant :
   — Merci d'avance, Lucie.
   Je vous ai parlé des deux visages, non ? Kristos me plaît et si je dois me déculotter et payer pour que cette petite garce fasse le message, je le fais !
   Julien prend nos sacs et on sort de l'auberge. On se dirige vers le Centre. Je n'ai pas pris de douche et j'ai toujours un peu de sperme de Kristos en moi...
   On s'arrête dans un café et je commande un petit déjeuner : croissants et café, 50 F. L'argent file.
   Ensuite on va jusqu'au panneau "Cap d’Agde" pour faire du stop.
   Quelques belles voitures passent sans s'arrêter. Les riches ne prennent pas les auto-stoppeurs. C'est une vieille Peugeot qui nous prend. Le conducteur travaille au Village Naturiste. Il est sympa. On discute un peu du village. Il nous dit que ça donne du boulot à pas mal de gens du coin.
   Un quart d'heure plus tard, on arrive dans le grand parking du village. Il y a un panneau avec les dessins d'un appareil photo et d'une caméra barrés en rouge. On doit payer 100 euros d'entrée. Ouch !


   Le conducteur de la Peugeot a un abonnement. On entre dans le village et je lui demande :
   — On peut se déshabiller ici ?
   — Bien sûr.
   J'enlève ma robe rouge, qui a besoin d'être lavée, et ma culotte que je ne laverai pas. Le chauffeur de la Peugeot me dit :
   — Boudiou ! Que tu es belle.
    Je l'embrasse sur la joue pour le remercier du compliment. Il en profite pour me donner une claque amicale sur les fesses. À tout hasard, je lui demande :
   — Vous n'auriez pas une idée de ce qu'on pourrait trouver comme petits boulots ?
   — Ici, dans le village naturiste?
   — Oui.
   — Gaulée comme tu es... ça ne doit pas être difficile.
   Il remet la main sur mes fesses. Si ça l'aide à réfléchir, autant le laisser faire. Il me dit :
   — Dans la grand-rue qui va vers les plages, il y a un glacier qui s'appelle Miliani. Tu demandes Monsieur Miliani. L'année passée, il a engagé ma petite nièce pour vendre des glaces e il a d'autres affaires, aussi.
   — Merci, c'est très gentil.
   Dernière claque sur les fesses. Je regarde Julien. Ce petit ahuri a gardé son slip. Je lui dis :
   — À poil, petit.
   Il l'enlève et on met nos vêtements dans un sac. Nous voilà nus comme Adam et Ève après qu'Ève a croqué la pomme, car on sait que c'est un péché et c'est ce qui me plaît.
   Quand je me relis, je me dis qu'on pourrait penser que je parle de moi avec complaisance ou que je suis narcissique et... euh... c'est un peu vrai. J'ai conscience que je suis belle et séduisante... Je ne vais pas me décrire de nouveau en détail. À moins que vous n'insistiez. Oui ? Bon, d'accord ! J'ai une abondante chevelure brune ondulée que j'attache en une queue de cheval... sauvage. J'ai de grands yeux noirs, un petit nez, une bouche charnue naturellement... Dommage que je ne puisse pas me dédoubler et m'embrasser avec passion.
   Je continue et j'aurais dû commencer par là : je mesure 1 m 70 et pèse 55 kg. Ma peau est ambrée, comme celle de mes ancêtres venant des Indes. J'ai la taille mince, des seins en poire bien ferme, des fesses bombées, des belles cuisses. Oh Samia, je t'aime ! Mais oui ma chérie, je t'aime aussi.
   Pour le dire autrement : je plais et ma description flatteuse est très proche de la vérité.
   Je vais aussi décrire Julien, mon esclave gadjo. Il mesure environ 1 m 70 et il est mince, mais avec un petit ventre mou : je l'ai déjà mis au régime ! Ses cheveux sont blond sale, comme on dit en anglais. Il est... banal, pas vraiment beau, pas vraiment laid. On est aussi bien assortis qu'une licorne et un mulet ou une sirène et un cabillaud.
   On marche nus au milieu des gens nus. Ils ont l'habitude, mais je sens quand même les regards des hommes sur mes seins, mes fesses et surtout les poils de mon pubis. J'aime ça.
   Je constate que beaucoup de femmes sont épilés, ou au moins "toilettées". Moi, j'ai une forêt vierge sur le pubis et entre les cuisses. Enfin, disons une forêt tropicale.
   Tout d'abord, il faut trouver un job pour mon gadjo. On va chez le glacier. C'est un bel établissement, où deux serveuses nues servent des glaces à des clients nus, pour la plupart... C'est dingue ! Je demande Monsieur Miliani à une des serveuses. Elle m'indique une porte où il est écrit "Privé" en disant :
   — Demandez à la secrétaire.
   On y va. Dans le bureau, je dis à une femme habillée :
   — Je voudrais voir Monsieur Miliani pour lui...
   Elle me coupe, tout en regardant les poils de mon sexe d'un air dégoûté :
   — Vous devez téléphoner pour prendre un rendez-vous. Monsieur Miliani est très occupé.
   Elle est franchement pas sympa, mais j'essaie quand même de lui dire :
   — C'est important.
   Elle hausse les épaules et répond en articulant bien :
   — Prenez rendez-vous. Maintenant, si vous voulez me laisser, j'ai du travail.
   J'hésite entre lui balancer mon poing sur le nez ou renverser sa carafe d'eau sur le clavier de sa machine à écrire électrique. Une tête apparaît au-dessus d'une vitre opaque, séparant le bureau voisin de celui-ci. Un homme nous regarde et me sourit. Il tape sur le carreau, la secrétaire lève la tête et le regarde. Il lui fait signe. Elle me regarde en disant :
   — Partez maintenant, je dois aller dans l'autre bureau.
   — Je crois que votre patron a envie de nous voir.
   Oh qu'elle n'aime pas! Elle se lève et va dans le bureau voisin. Deux minutes, plus tard, elle revient et on dirait qu'elle vient de mordre dans un citron pas mûr! Elle nous annonce :
   — Monsieur Miliani va vous recevoir.
   Nous entrons dans le bureau. Monsieur Miliani est un gros type au crâne rasé, moustache, polo couleur lavande. Il sent le parfum Infinity et ses mains sont soignées... donc, il est... gay ! Cool, je ne devrai pas le sucer pour avoir le job, par contre c'est peut-être Julien qui devra s'y coller ! Il nous dit :
   — Que puis-je pour vous ?
   Il regarde avec gourmandise le tout petit "service-trois pièces" de Julien. Il est gay !
   Il se lève et tourne autour de nous, C'est surprenant.


   A suivre.
  
Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …

Mes livres, ici :
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Après deux épisodes, ma nouvelle histoire "Justice Cajun" est en 3ème position du nombre de lecteurs sur le site gratuit de La Musardine "Mes histoires porno".
Il faut dire que c'est une super histoire :o)  
Commentaire (gentil :o) bienvenus.
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1/




samedi 21 avril 2018

And the (presque !) winner is :


Après deux épisodes, ma nouvelle histoire "Justice Cajun" est en 3ème position du nombre de lecteurs sur le site gratuit de La Musardine "Mes histoires porno".

Il faut dire que c'est une super histoire :o) 



Commentaires (gentils :o) : bienvenus.

http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1/


vendredi 20 avril 2018

Un coup de vent traître...


Hier, avec des collègues, on a été faire un tour en bateau dans le port d'Anvers.
Comme il y faisait 27 °, j'ai mis une petite robe, c'était l'été...
- Dis, Mia, y avait du vent sur le bateau ?
Ben oui pourquoi ?
***
Lisez-moi, je ne mets pas de culotte pour écrire.
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …

mercredi 18 avril 2018

Les filles, c'est doux et ça sent bon...

Mia fait son "coming out" :
Voilà, mon genre de fille... (moi, je suis en dessous)
Dessin de Bruce Morgan pour "Mia sans dessous."
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …


lundi 16 avril 2018

Une jeune femme au pilori...



Le 2ème épisode de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" est sur le site gratuit de La Musardine,  "Mes histoires porno." http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-2/

Si vous aimez, soyez gentil de mettre un commentaire (sympa :o)


samedi 14 avril 2018

Samia - 6 Une nuit à l'auberge.


Je réponds aussitôt :
— D'accord.
Eh! C'est beaucoup 400 F. En Roumanie, sur les parkings de l'autoroute Soarelui, c'est beaucoup moins cher, enfin, à ce qu'on m'a dit. Et puis, si on peut faire plaisir surtout à des prêtres... Je me mets à genoux entre les jambes du Père et il rabat sa soutane sur moi. Heureusement que je n'ai pas peur du noir, enfin pas trop, et heureusement que le père n'est pas trop fâché avec le savon.
Il est plutôt bien monté, pour un prêtre... Mais, après tout, les curés sont des hommes! Je caresse un moment son sexe avant de dégager le gland. Je le lèche un peu puis ma bouche va et vient sur son sexe. Tout ça dans le noir, heureusement que j'ai une certaine pratique. On doit apercevoir de drôles de mouvements sous la soutane. Bon, je ne vais pas y passer des heures, je suis dans le noir et ça manque d'air. J'accélère les mouvements, tout en emprisonnant ses couilles dans une main. Je tiens un prêtre par les couilles... Il remue un peu et je sens qu'il va tout lâcher. Juste avant, je me recule et je vise le sol... Hélas, pour lui c'est le bas de sa soutane qui prend tout ! Il n'y a rien sur ma robe, c'est le principal.
Je sors de sous sa soutane et je respire une grande bouffée d'air frais, puis je replonge sous la soutane du père Lucas. Ouch! Il est moins net. Je mets vite son sexe dans ma bouche, une partie de l'odeur disparaît. Je le suce tout aussi soigneusement que son collègue. Il est plus jeune et plus sensible aussi,  rapidement, je décore le bas de sa soutane, aussi. Voilà, voilà...
Le père me tend l'argent. Je lui dis assez bas pour ne pas réveiller les gens devant nous:
— Merci mon père. Ça ne vous dérange que mon frère me fasse un petit câlin?
Je vois presque leurs yeux briller dans le noir. Ils ne seraient pas un peu vicieux, ces deux-là? Oui, moi aussi, d'accord. Je dis à Julien:
— Viens m'embrasser, petit frère
Il obéit tout de suite... Je m'installe bien: à moitié couchée sur le père Martin, je mets une jambe sur les cuisses du père Lucas. J'imagine ma chatte offerte à la langue de mon frère. Il me lèche, bien. Je sais qu'il est accro à mon odeur, à mon goût et à ma façon de le traiter. C'est quand même un peu périlleux de faire ça au milieu de tous ces gens qui dorment ou somnolent...
Je prends les mains des deux prêtres et je les pose sur mes seins.
Je suis sans doute la seule fille au monde à se faire lécher la chatte, pendant que deux prêtres lui caressent les nichons... J'aime cette idée. Je pousse un peu sur la tête de Julien en murmurant:
— Suce mon clito...
Là, je sens que mon vagin se serre, il se prépare quelque chose....
Oh oui, oui... ouiiiii, je jouis.... Quel bel orgasme, presque unique au monde.  Je repousse Julien... J'ai dû gémir un peu fort, car plusieurs personnes se retournent. Le Père Martin leur dit:
— Elle a fait un mauvais rêve.
Le reste du voyage se passe bien. Quelques retraités doivent se douter de quelque chose et j'ai droit à des sourires... complices.
On arrive à Marseille, le car s'arrête dans un parking, près de la friche La Belle de Mai, un joli nom pour une ancienne manufacture transformée en lieu culturel. On dit au revoir à tout le monde, les prêtres m'embrassent, l'un me caresse la chatte, l'autre les fesses, pas trop discrètement. Ils nous donnent leurs adresses dans les Ardennes.
Nous voilà à Marseille... Mon but, c'est les Saintes Maries. On marche un bon moment, Julien geint un peu. Je lui demande s'il veut une bonne raison de pleurnicher. Non, il s'arrête de geindre.
On arrive à une entrée de l'A 7. Je fais du stop et rapidement, une voiture nous prend. Le conducteur est un représentant sympa. Il nous dépose à la sortie qui nous permet d'aller vers la N 113. On est pris par un couple du coin. Julien est surpris de la facilité avec laquelle les gens nous embarquent. J'inspire confiance! Les gens sont gentils, enfin, avec les gens jeunes et beaux, les autres peuvent attendre. Je crois que je donne trop de détails, accélérons un peu.
On arrive aux Saintes Maries et on va directement à l'église. Je mets un foulard sur mes cheveux. Sara était la servante noire de Marie Salomé et Marie Jacobé. Moi aussi, je me sens comme une étrangère, dès qu'on sait que je suis une Rom.
Je reste un moment pour la remercier et discuter avec elle. Elle me remonte un peu les bretelles, mais dans l'ensemble, elle m'a à la bonne, à voir son air impassible.
On sort de l'église. C'était la partie religieuse de mes vacances. Enfin, je veux dire la visite à Sainte Sara. Les prêtres qui m'ont "forcée" à faire des choses pas convenables. Je préfère le dire comme ça, tant qu'on est si près de l'église. Maintenant, la partie sexy des vacances: le Cap d'Agde. J'ai envie d'être nue et que tout le monde me regarde... D'accord, il y aura peut-être quelques gays qui regarderont Julien et sa petite quéquette.
On reprend l'A113. Deux voitures et un camion plus tard, on se retrouve à Agde. Le couple qui nous a pris nous dit qu'on est à 15' du village naturiste.
C'est la fin d'après-midi, on doit trouver où se loger à Agde... Je veux dépenser le moins possible. On va dans le centre et je repère des jeunes qui font la route. Je le sais parce qu'ils ont des sacs à dos, ils sont sales et ils boivent de la bière! Je vais leur parler:
— Dites, les gars, on est fauchés. Vous ne savez pas où on peut dormir?
Le grand à qui je me suis adressée, parce qu'il a l'air cool et un peu pété, répond:
— Tout est hors de prix ici, ma belle. Mais je peux te donne une adresse.
— Oh oui, volontiers!
Il sort un bout de papier et me griffonne un truc. Je le remercie. Il me demande:
— T'as pas envie de continuer la route vers Carcassonne?
— C'est gentil, mais on doit rejoindre des amis au Cap.
On part dans la direction qu'il nous indique. Nous marchons pendant un bon quart d'heure. Julien est derrière moi avec nos sacs.
On finit par arriver à la sortie de la ville, presque dans la campagne, devant un grand bâtiment qui doit être une ancienne ferme. Sur la façade, quelqu'un a écrit sur une planche "Auberge de Jeunesse" et en dessous "Pris résonables" (les fautes ne sont pas de moi). Vous avez déjà été dans ce genre d'endroit? Non, je ne crois pas. C'est sommaire. La catégorie en dessous, c'est dormir sur un sac en plastique dans un taillis.
Nous entrons et je demande des renseignements à une gamine assez jolie vêtue d'une robe pas très propre et d'une casquette des « Yankees de New York ». Elle nous dit:
— C'est 50 F par personne. Il y a une douche et des draps propres pour 2 F. Vous voulez voir?
En la suivant, on arrive dans une très grande pièce. Il y a des rangées de petits matelas alignés à 50 cm les uns des autres. Je ne sais pas si je l'ai dit, mais je suis une Rom et j'ai connu pire. Par contre, Julien est très surpris. Je l'élève à la dure! J’annonce à la gamine:
— On prend 2 lits.
— Ça fera 100 F. Il y a un distributeur pour les draps en papier. Avant 22 h, vous pouvez acheter des boissons et des sandwichs "faits maison". À 22 h, vous n'avez plus accès qu'à la chambre et au jardin. Il y a un gardien à partir de cette heure-là. Vous pouvez vous adresser à lui, s'il y a une vraie urgence.
Je la paie et elle me donne un papier avec les numéros de nos lits. J'achète 4 sandwichs et 4 bouteilles de bière. On va dans le jardin, qui est en fait la cour de la ferme. À côté, il y a une "casse" où se trouvent des carcasses de voiture. Un groupe s'est installé autour d'un petit feu.


Je dis « bonjour » à ceux qui lèvent la tête à notre arrivée. Un garçon nous dit:
— Venez avec nous. On fait cuire des marshmallows comme aux USA.
Marrant! J'ai jamais mangé de la guimauve grillée. On va s'asseoir avec eux. Nous mangeons nos sandwichs et de la guimauve. Il y a un joint qui tourne, je prends une taffe, Julien me dit:
— S'il te plaît... Samia.
Les autres sont un peu surpris. Je lui réponds:
— Exceptionnellement.
— Oui, merci Samia.
Les jeunes sont sympas. On partage nos 4 bières et on boit aussi du rosé. Beaucoup d'entre eux continuent la route vers l'Espagne. Je leur dis la vérité... ou presque: on est en vacances, mais mon mari — oui, ça surprend — s'est fait voler presque tout notre argent, le con! On va aller au village naturiste où une fille qui a un tour de poitrine de 90 B naturel, comme moi, doit forcément trouver un petit boulot. Un jeune gars, cheveux noirs bouclés, visage d'ange déchu, me dit:
— Ils sont vrais tes nichons?
— Cent pour cent bio.
— Montre.
— Demande à mon mari s'il est d'accord.
Le jeune regarde Julien en disant:
— Ta femme peut montrer ses seins?
Réponse embrouillée de Julien:
— Euh... comme on va au... Cap d'Agde et que...
Je baisse les bretelles de ma robe pour leur montrer mes nichons. Je tourne un peu pour qu'ils les voient bien. J'ai droit à quelques coups de sifflet admiratifs et à des compliments.
Le jeune homme se met aussitôt à me caresser les seins. Je me défends en riant, puis je remonte ma robe en disant:
— Devant mon mari! T'es pas gêné, toi!
Manifestement, il se fiche de mon mari. Montrer ses seins, c'est fou ce que ça aide à briser la glace. Une autre fille montre les siens en disant:
— Moi aussi, ils sont vrais!
C'est vrai et ils sont presque aussi beaux que les miens. On nous offre des bières, on rigole. Il y un mec qui a une guitare et qui joue. Une fille se met à chanter pas mal du tout. La nuit tombe et l'éclairage de l'auberge se limite à quelques ampoules nues.
Le jeune qui m'a caressé les seins s'appelle Kristos et il est grec. Il est beau, aussi. Il me dit:
— Il y a un plan d'Agde et du Cap près du bureau. Tu veux que je te montre les endroits où tu peux trouver un job?
— Oui, volontiers.
Je me lève, Julien aussi. Kristos me dit à l'oreille:
— Ton mari, c'est obligatoire qu'il nous suive?
— Il fera le guet, si tu veux encore jouer avec mes nichons.
Grand sourire carnassier de l'ange grec. On va dans le couloir, mais on reste juste derrière la porte. Je dis à Julien:
— Tu surveilles!
— Oui, Samia.
Ça m'excite de flirter juste à côté de lui. Kristos descend son pantalon sur ses chevilles et un sexe plus de 20 cm se dresse vers moi. Il a beaucoup de poils très noirs qui montent vers son nombril. Il me dit:
— À genoux et commence par me lécher les couilles!
Les gens peuvent avoir deux visages, non? Je veux un mari qui fait tout ce que je veux... mais, j'aime me faire baiser par un Homme avec un grand H qui me traite comme une femelle avec un petit f!
Je me mets à genoux sur le carrelage et en prenant ses fesses en main, je couvre ses couilles de baisers. J'ai le nez dans ses poils et il sent l'homme... viril, un peu  trop, mais mon petit f aime ça ! Je lèche même ses couilles et j'ai le goût salé de sa sueur en bouche. Après quelques minutes il me dit :
— Maintenant suce-moi.
Je tire sur la peau de son sexe et dégage le gland. L'odeur virile devient très marine. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe. Je ne le suce pas très longtemps. Dès que son gland est propre, il retire son sexe de ma bouche et me dit :
— Présente tes fesses.
Je me lève et je retire ma culotte que je donne à Julien - vous voyez bien qu'il sert à quelque chose. Ensuite, je remonte ma jupe jusqu'à la taille et je me mets à quatre pattes. Kristos me dit :
— Demande.
— Baisez-moi.
Il me donne une bonne claque sur les fesses.
— Aiiieeeee !
— Demande mieux que ça et remue ton cul.
Tout en roulant un peu des hanches, je dis :
— Baisez-moi, Monsieur, s'il vous plait.
— Aiiieee... aaahhh.... oooohhh...
Il m'a pénétrée jusqu'à ce que ses couilles viennent claquer sur le haut de mes cuisses. Ensuite, il me baise à grands coups de reins. C'est bon, je gémis de plus en plus fort, ce qui me vaut une nouvelle claque tandis qu'il grogne.
— En silence !
Il ajoute pour Julien:
— Embrasse ta femme pendant que je la baise.
Il ne serait pas un peu vicieux le Grec ? Julien vient se mettre à genoux devant moi. Je l'embrasse, pour la première fois en fait - je vous rappelle qu'on n'est que fiancés.


A suivre.
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.

Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …

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