Je réponds aussitôt :
— D'accord.
Eh! C'est beaucoup 400 F . En Roumanie, sur les
parkings de l'autoroute Soarelui, c'est beaucoup moins cher, enfin, à ce
qu'on m'a dit. Et puis, si on peut faire plaisir surtout à des prêtres... Je me
mets à genoux entre les jambes du Père et il rabat sa soutane sur moi.
Heureusement que je n'ai pas peur du noir, enfin pas trop, et heureusement que
le père n'est pas trop fâché avec le savon.
Il est plutôt bien monté, pour un prêtre...
Mais, après tout, les curés sont des hommes! Je caresse un moment son sexe
avant de dégager le gland. Je le lèche un peu puis ma bouche va et vient sur
son sexe. Tout ça dans le noir, heureusement que j'ai une certaine pratique. On
doit apercevoir de drôles de mouvements sous la soutane. Bon, je ne vais pas y
passer des heures, je suis dans le noir et ça manque d'air. J'accélère les
mouvements, tout en emprisonnant ses couilles dans une main. Je tiens un prêtre
par les couilles... Il remue un peu et je sens qu'il va tout lâcher. Juste
avant, je me recule et je vise le sol... Hélas, pour lui c'est le bas de sa
soutane qui prend tout ! Il n'y a rien sur ma robe, c'est le principal.
Je sors de sous sa soutane et je respire
une grande bouffée d'air frais, puis je replonge sous la soutane du père Lucas.
Ouch! Il est moins net. Je mets vite son sexe dans ma bouche, une partie de
l'odeur disparaît. Je le suce tout aussi soigneusement que son collègue. Il est
plus jeune et plus sensible aussi, rapidement, je décore le bas de
sa soutane, aussi. Voilà, voilà...
Le père me tend l'argent. Je lui dis assez
bas pour ne pas réveiller les gens devant nous:
— Merci mon père. Ça ne vous dérange
que mon frère me fasse un petit câlin?
Je vois presque leurs yeux briller dans le
noir. Ils ne seraient pas un peu vicieux, ces deux-là? Oui, moi aussi,
d'accord. Je dis à Julien:
— Viens m'embrasser, petit frère
Il obéit tout de suite... Je m'installe
bien: à moitié couchée sur le père Martin, je mets une jambe sur les cuisses du
père Lucas. J'imagine ma chatte offerte à la langue de mon frère. Il me lèche,
bien. Je sais qu'il est accro à mon odeur, à mon goût et à ma façon de le
traiter. C'est quand même un peu périlleux de faire ça au milieu de tous ces
gens qui dorment ou somnolent...
Je prends les mains des deux prêtres et je
les pose sur mes seins.
Je suis sans doute la seule fille au monde
à se faire lécher la chatte, pendant que deux prêtres lui caressent les
nichons... J'aime cette idée. Je pousse un peu sur la tête de Julien en
murmurant:
— Suce mon clito...
Là, je sens que mon vagin se serre, il se
prépare quelque chose....
Oh oui, oui... ouiiiii, je jouis.... Quel
bel orgasme, presque unique au monde. Je repousse Julien... J'ai dû
gémir un peu fort, car plusieurs personnes se retournent. Le Père Martin leur
dit:
— Elle a fait un mauvais rêve.
Le reste du voyage se passe bien. Quelques
retraités doivent se douter de quelque chose et j'ai droit à des sourires...
complices.
On arrive à Marseille, le car s'arrête dans
un parking, près de la friche La Belle de Mai, un joli nom pour une ancienne
manufacture transformée en lieu culturel. On dit au revoir à tout le monde, les
prêtres m'embrassent, l'un me caresse la chatte, l'autre les fesses, pas trop
discrètement. Ils nous donnent leurs adresses dans les Ardennes.
Nous voilà à Marseille... Mon but, c'est
les Saintes Maries. On marche un bon moment, Julien geint un peu. Je lui
demande s'il veut une bonne raison de pleurnicher. Non, il s'arrête de geindre.
On arrive à une entrée de l'A 7. Je
fais du stop et rapidement, une voiture nous prend. Le conducteur est un
représentant sympa. Il nous dépose à la sortie qui nous permet d'aller vers la
N 113. On est pris par un couple du coin. Julien est surpris de la facilité
avec laquelle les gens nous embarquent. J'inspire confiance! Les gens sont
gentils, enfin, avec les gens jeunes et beaux, les autres peuvent attendre. Je
crois que je donne trop de détails, accélérons un peu.
On arrive aux Saintes Maries et on va
directement à l'église. Je mets un foulard sur mes cheveux. Sara était la
servante noire de Marie Salomé et Marie Jacobé. Moi aussi, je me sens comme une
étrangère, dès qu'on sait que je suis une Rom.
Je reste un moment pour la remercier et
discuter avec elle. Elle me remonte un peu les bretelles, mais dans l'ensemble,
elle m'a à la bonne, à voir son air impassible.
On sort de l'église. C'était la partie
religieuse de mes vacances. Enfin, je veux dire la visite à Sainte Sara. Les
prêtres qui m'ont "forcée" à faire des choses pas convenables. Je
préfère le dire comme ça, tant qu'on est si près de l'église. Maintenant, la
partie sexy des vacances: le Cap d'Agde. J'ai envie d'être nue et que tout le
monde me regarde... D'accord, il y aura peut-être quelques gays qui regarderont
Julien et sa petite quéquette.
On reprend l'A113. Deux voitures et un
camion plus tard, on se retrouve à Agde. Le couple qui nous a pris nous dit
qu'on est à 15' du village naturiste.
C'est la fin d'après-midi, on doit trouver
où se loger à Agde... Je veux dépenser le moins possible. On va dans le centre
et je repère des jeunes qui font la route. Je le sais parce qu'ils ont des sacs
à dos, ils sont sales et ils boivent de la bière! Je vais leur parler:
— Dites, les gars, on est fauchés.
Vous ne savez pas où on peut dormir?
Le grand à qui je me suis adressée, parce
qu'il a l'air cool et un peu pété, répond:
— Tout est hors de prix ici, ma belle.
Mais je peux te donne une adresse.
— Oh oui, volontiers!
Il sort un bout de papier et me griffonne
un truc. Je le remercie. Il me demande:
— T'as pas envie de continuer la route
vers Carcassonne?
— C'est gentil, mais on doit rejoindre
des amis au Cap.
On part dans la direction qu'il nous
indique. Nous marchons pendant un bon quart d'heure. Julien est derrière moi
avec nos sacs.
On finit par arriver à la sortie de la
ville, presque dans la campagne, devant un grand bâtiment qui doit être une
ancienne ferme. Sur la façade, quelqu'un a écrit sur une planche "Auberge
de Jeunesse" et en dessous "Pris résonables" (les fautes ne sont
pas de moi). Vous avez déjà été dans ce genre d'endroit? Non, je ne crois pas.
C'est sommaire. La catégorie en dessous, c'est dormir sur un sac en plastique
dans un taillis.
Nous entrons et je demande des
renseignements à une gamine assez jolie vêtue d'une robe pas très propre et
d'une casquette des « Yankees de New York ». Elle nous dit:
— C'est 50 F par personne. Il y a une
douche et des draps propres pour 2
F . Vous voulez voir?
En la suivant, on arrive dans une très
grande pièce. Il y a des rangées de petits matelas alignés à 50 cm les uns des
autres. Je ne sais pas si je l'ai dit, mais je suis une Rom et j'ai connu pire.
Par contre, Julien est très surpris. Je l'élève à la dure! J’annonce à la
gamine:
— On prend 2 lits.
— Ça fera 100 F . Il y a un distributeur
pour les draps en papier. Avant 22 h, vous pouvez acheter des boissons et
des sandwichs "faits maison". À 22 h, vous n'avez plus accès
qu'à la chambre et au jardin. Il y a un gardien à partir de cette heure-là.
Vous pouvez vous adresser à lui, s'il y a une vraie urgence.
Je la paie et elle me donne un papier avec
les numéros de nos lits. J'achète 4 sandwichs et 4 bouteilles de bière. On va
dans le jardin, qui est en fait la cour de la ferme. À côté, il y a une
"casse" où se trouvent des carcasses de voiture. Un groupe s'est
installé autour d'un petit feu.
Je dis « bonjour » à ceux qui
lèvent la tête à notre arrivée. Un garçon nous dit:
— Venez avec nous. On fait cuire des
marshmallows comme aux USA.
Marrant! J'ai jamais mangé de la guimauve
grillée. On va s'asseoir avec eux. Nous mangeons nos sandwichs et de la
guimauve. Il y a un joint qui tourne, je prends une taffe, Julien me dit:
— S'il te plaît... Samia.
Les autres sont un peu surpris. Je lui
réponds:
— Exceptionnellement.
— Oui, merci Samia.
Les jeunes sont sympas. On partage nos 4
bières et on boit aussi du rosé. Beaucoup d'entre eux continuent la route vers
l'Espagne. Je leur dis la vérité... ou presque: on est en vacances, mais mon
mari — oui, ça surprend — s'est fait voler presque tout notre argent, le con!
On va aller au village naturiste où une fille qui a un tour de poitrine de 90 B
naturel, comme moi, doit forcément trouver un petit boulot. Un jeune gars,
cheveux noirs bouclés, visage d'ange déchu, me dit:
— Ils sont vrais tes nichons?
— Cent pour cent bio.
— Montre.
— Demande à mon mari s'il est
d'accord.
Le jeune regarde Julien en disant:
— Ta femme peut montrer ses seins?
Réponse embrouillée de Julien:
— Euh... comme on va au... Cap d'Agde
et que...
Je baisse les bretelles de ma robe pour
leur montrer mes nichons. Je tourne un peu pour qu'ils les voient bien. J'ai
droit à quelques coups de sifflet admiratifs et à des compliments.
Le jeune homme se met aussitôt à me
caresser les seins. Je me défends en riant, puis je remonte ma robe en disant:
— Devant mon mari! T'es pas gêné, toi!
Manifestement, il se fiche de mon mari.
Montrer ses seins, c'est fou ce que ça aide à briser la glace. Une autre fille
montre les siens en disant:
— Moi aussi, ils sont vrais!
C'est vrai et ils sont presque aussi beaux
que les miens. On nous offre des bières, on rigole. Il y un mec qui a une
guitare et qui joue. Une fille se met à chanter pas mal du tout. La nuit tombe
et l'éclairage de l'auberge se limite à quelques ampoules nues.
Le jeune qui m'a caressé les seins
s'appelle Kristos et il est grec. Il est beau, aussi. Il me dit:
— Il y a un plan d'Agde et du Cap près
du bureau. Tu veux que je te montre les endroits où tu peux trouver un job?
— Oui, volontiers.
Je me lève, Julien aussi. Kristos me dit à
l'oreille:
— Ton mari, c'est obligatoire qu'il
nous suive?
— Il fera le guet, si tu veux encore
jouer avec mes nichons.
Grand sourire carnassier de l'ange
grec. On va dans le couloir, mais on reste juste derrière la porte. Je dis
à Julien:
— Tu surveilles!
— Oui, Samia.
Ça m'excite de flirter juste à côté de lui.
Kristos descend son pantalon sur ses chevilles et un sexe plus de 20 cm se dresse vers
moi. Il a beaucoup de poils très noirs qui montent vers son nombril. Il me dit:
— À genoux et commence par me lécher
les couilles!
Les gens peuvent avoir deux visages, non?
Je veux un mari qui fait tout ce que je veux... mais, j'aime me faire baiser
par un Homme avec un grand H qui me traite comme une femelle avec un petit f!
Je me mets à genoux sur le carrelage et en
prenant ses fesses en main, je couvre ses couilles de baisers. J'ai le nez dans
ses poils et il sent l'homme... viril, un peu trop, mais mon petit f
aime ça ! Je lèche même ses couilles et j'ai le goût salé de sa sueur en
bouche. Après quelques minutes il me dit :
— Maintenant suce-moi.
Je tire sur la peau de son sexe et dégage
le gland. L'odeur virile devient très marine. Je le prends en bouche et ma tête
va et vient sur son sexe. Je ne le suce pas très longtemps. Dès que son gland
est propre, il retire son sexe de ma bouche et me dit :
— Présente tes fesses.
Je me lève et je retire ma culotte que je
donne à Julien - vous voyez bien qu'il sert à quelque chose. Ensuite, je
remonte ma jupe jusqu'à la taille et je me mets à quatre pattes. Kristos me dit
:
— Demande.
— Baisez-moi.
Il me donne une bonne claque sur les
fesses.
— Aiiieeeee !
— Demande mieux que ça et remue ton cul.
Tout en roulant un peu des hanches, je dis
:
— Baisez-moi, Monsieur, s'il vous plait.
— Aiiieee... aaahhh.... oooohhh...
Il m'a pénétrée jusqu'à ce que ses couilles
viennent claquer sur le haut de mes cuisses. Ensuite, il me baise à grands
coups de reins. C'est bon, je gémis de plus en plus fort, ce qui me vaut une
nouvelle claque tandis qu'il grogne.
— En silence !
Il ajoute pour Julien:
— Embrasse ta femme pendant que je la
baise.
Il ne serait pas un peu vicieux le Grec ?
Julien vient se mettre à genoux devant moi. Je l'embrasse, pour la première
fois en fait - je vous rappelle qu'on n'est que fiancés.
A suivre.
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour
les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3 et 4 de "Mia sans dessous"
sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres, ici :
Intéressant :)
RépondreSupprimer... Et ces deux prêtres ont bien de la chance.
RépondreSupprimerMerci... les prêtres, ils m'excitent. Les religieuses aussi...
SupprimerNous sommes tous attirés par les interdits, je crois. Une belle religieuse, surtout si elle a des gros seins... mais je n'en dis pas plus :)
RépondreSupprimerOu alors genre Ssters of Mercy ?
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