mardi 25 octobre 2016

Une semaine de vacances.

En juillet, dernier, mon mari me dit, "On part en vacances..."
Cool!! J'ai vraiment envie de changement : soleils, cocotiers, lagons, récifs de coraux, Napoléons (les poissons).
Il me dit, "On part une semaine dans le Nord...  "
"Le Grand Nord??"
Il rigole, "Presque... le Pas-de-Calais."
Ah, ouais... d'accord...
Il me dit, "Alors, ça te fait plaisir??"
Comme il est un peu susceptible et un peu impatient, je lui réponds, "Oh oui, beaucoup!"
Comment ça, froussarde??? Oui, bon un peu...
D'ailleurs, il a différentes raisons de prendre de courtes vacances et on ne va pas  perdre des journées à voyager...
Mon mari a loué une chambre d'hôtes, dans une belle maison... à Berck-sur-Mer.
On paye 85 e par nuit *avec* petit déjeuner!
Berck-sur-Mer, c'est... spécial! Vous voyez St-Tropez ou Knokke le Zoute ou Deauville, ben le contraire!
Presque tous les hommes sont tatoués, des femmes aussi et beaucoup pourraient faire de la figuration dans un film genre "Mad Max". Bon, je vous parle de Berck-sur-Mer, en juillet, août.
Sur la plage, on croise une bande de jeunes dont le hobby doit être d'organiser des  tournantes dans les caves d'immeubles HLM.
D'accord, je critique un peu. Les tournantes, ça peut être fun... pour les mecs!
Comme mon mari est un costaud qui sait se défendre, je ne lâche pas sa main : il fait trop chaud pour une tournante!!
Ces hommes tatoués, genre toile d'araignée sur le cou ou larme sur la joue, rien ne dit qu'ils ont fait de la tôle! Ils ont peut être bénéficié d'un non-lieu ou d'un sursis.
On s'installe sur la plage. On ne passe pas inaperçu, mon mari parce qu'il est bâti comme Hulk, sauf qu'il n'est pas vert! Et moi, parce que j'ai un maillot si rikiki que si je me mouchais dedans, j'en aurais plein les doigts!! 
*** La grande classe, ta comparaison, mia!!!
Oui ben, à Berck, fais comme les Berckois... 
"On va nager...", dit mon mari! Elle est froide et j'ai peur des méduses, mais comme je suis obéissante,  je me baigne. Si je suis piquée par une méduse, je trouverai bien une jolie baigneuse tatouée pour me pisser dessus.
Mon mari, qui est extraverti pour deux, discute avec des jeunes qui jouent au Volley. On joue avec eux! Cool le Volley! Surtout quand on mesure moins d'1 m 64, comme moi. Au bout d'un moment, aucune des deux équipes ne veut de moi. Du coup, je fais la spectatrice et je peux admirer deux joueuses belles et musclées. C'est à elles que je demanderai, en cas de piqures de méduses!!  


Le soir, on mange un Welch. C'est un plat à base de beaucoup de cheddar, de pain, de patates et de lard avec un œuf sur le tout, ah oui, et des frites! Juste ce qu'il faut quand on s'est beaucoup dépensé à regarder les filles jouer au Volley!!!
Ensuite, on regagne notre chambre.
Mon mari a envie de me tirer (c'est son expression!).
Il me prend en levrette. Il aime cette position, étant donné que, d'après lui, mon cul, c'est ce que j'ai de mieux. Et moi, j'aime être à quatre pattes,  offerte... Il me fait un peu tortiller du cul... et un peu supplier, de ne pas me claquer les fesses trop fort, vu l'étroitesse de mon maillot. 
Le lendemain, on va visiter la baie d'Anthie. La plage est immense et il n'y a presque personne.
Mon mari demande à un petit groupe, où sont les phoques. Fastoche, on marche sur la plage et quand on  ne sait plus continuer à cause d'une étendue d'eau, ils sont en face.

Au bout d'un brise-lame, on les voit, faisant la sieste au soleil. Ce sont des phoques gris, la plus grande espèce française. Ils ne sont pas vifs comme des otaries, mais je suis très contente de les voir. 
 
Ce n'est pas à Tahiti, sous les cocotiers, qu'on aurait vu des phoques!!
L'après-midi, on va au Touquet.
Là c'est la classe. L'inverse de Berck, je ne peux pas dire que je m'y sente très à l'aise. Mon mari, lui, est à l'aise partout.
Le jour suivant, on va vers les Caps : Gris-Nez et Blanc-Nez.
Je connais déjà, mais j'aime beaucoup m'y balader.
Vous vous doutez que je ne vous décris pas simplement mes petites vacances, mais qu'il va se passer quelque chose de spécial! Bingo! Ça va venir!
Avant d'en parler, je dois remonter dans le temps et vous expliquer les rapports que j'entretiens avec certains magasins. Je vais aussi faire la "Petite Cosette"!
J'étais à l'école dans une région qui avait énormément souffert de la fermeture des mines. Il ne restait plus qu'une seule usine importante. Les parents de la plupart des enfants y travaillaient. Exception faite de quelques enfants de notables et de la fille du patron de l'usine. Il trouvait bien qu'elle côtoie les enfants de ses ouvriers. D'autant plus qu'il était le bourgmestre (le maire) de la petite ville.
Sa fille était bien habillée, mais c'est surtout après les cours que la différence entre elle et ses amies, filles de notables, d'un côté et nous, filles d'ouvriers, de l'autre, apparaissait. Elles allaient toutes au magasin de friandises où il y avait bien sûr des boissons, mais surtout toutes sortes de sucreries.
Ma copine et moi, on les regardait depuis le trottoir d'en face en salivant, parce qu'on ne recevait *jamais* d'argent de poche (Cosette sort de mon corps!!).
Un jour la fille du patron de l'usine qui s'appelait Marie-Charlotte (ça ne s'invente pas!) m'a tendu un Mars, qu'elle avait mangé aux trois quarts. Je n'ai pas hésité, j'ai accepté et je n'ai fait qu'une bouchée! Ses copines me regardaient en rigolant, m'en fous, j'en avais trop envie!!
Elle a trouvé ça amusant et tous les jours elle me donnait des bouts de ce qu'elle mangeait : demi-cuberdons, bouts de lacets (réglisse), hosties avec de la poudre sûre... Même des choses plus... euh... spéciales, comme le chewing gum qu'elle avait un peu mâché, mais qui avait encore plein de goût! Ça les amusait et moi,  ça ne me dégoûtait pas. J'adorais le sucré. Je faisais... ce qu'elle voulait pour un petit bout de chocolat!
On est devenues... pas amies, bien sûr, mais proches.
Elle m'a invité à venir chez elle.
J'ai demandé la permission à la responsable du Centre où je me trouvais.
Le nom de famille de Marie-Charlotte a suffi, elle a accepté.
Marie-Charlotte avait vu "Angélique et le sultan", au cinéma ou à la TV, je ne sais plus. Elle m'a raconté le film en détails. Je l'écoutais, fascinée, par les aventures d'Angélique.
Elle m'a proposé d'y jouer. Bien sûr, elle était le sultan et moi... sa servante.
Bon... je ne vais pas m'étendre... Tout le monde a fait ce genre de jeux un peu... spéciaux.
Quand j'avais bien tenu mon rôle, Marie-Charlotte me donnait un peu d'argent.
Grâce à ça, j'ai découvert le palais des mille et un délices : le magasin de friandises!
Plus tard, j'ai ressenti la même chose avec ma première paye, quand j'ai pu acheter des produits de maquillage...
Actuellement, j'ai la même "frénésie" dans certains magasins.
Comme par exemple, les "bazars", où on vend de la quincaillerie, des souvenirs... et toutes sortes de machins kitschs.
 

Lors de notre visite d'une petite ville qui se trouve entre Boulogne et Calais, je tombe en arrêt devant une petite baigneuse assise sur un ballon, exposée dans une vitrine.
"J'en ai envie!"
Gros soupir de mon mari, qui n'aime ni les bibelots, ni les caprices!
Je fais une petite voix, "Je t'en prie."
Vous allez me dire, qu'est ce qui t'empêche d'entrer dans le magasin et d'acheter ce que tu veux?
Oui... mais, c'est un peu comme avec Marie-Charlotte... Ce n'est pas moi qui commande.
Il finit par dire, "Bon... d'accord, mais je ne t'achètes qu'un truc.
Chouette, c'est déjà ça.
On entre et j'examine soigneusement tout, pour acheter "le mieux du mieux"!
C'est trop beau! Il y a des baigneuses, des petits ivrognes agrippés à un réverbère, des phares miniatures, des encadrements avec des nœuds marins (oui, c'est marrant!) et aussi un peu en hauteur... des martinets!!! Alors là, je reste à les regarder avec de grands yeux!


Mon mari me demande, "Qu'est-ce qui t'arrive?"
"Rien, rien, mon chéri.". Il ne faut surtout pas qu'il les voie. Je me doute de ce qui se passerait une fois rentrés dans notre chambre, s'il en achète un!
Il vient près de moi, regarde... et les voit!!
Il me sourit, "Tu as vu? Amusant... non?"
Non!!!
Le patron du bazar s'approche de nous. C'est est un homme âgé avec des cheveux blancs et des lunettes en acier... Mon mari lui dit, "N'ont pas l'air très solides, vos martinets!"
Le vieux réagit au quart de tour, "Sûr qu'ils sont solides, si on sait les utiliser comme il faut. Il faut frapper juste assez fort et c'est vraiment efficace..."
Mon mari secoue la tête, "Ça m'étonnerait!!"
"Pour vous convaincre," dit le vieux, "je devrais vous faire une démonstration, mais il faudrait quelqu'un qui a fait une bêtise!"
Ils se tournent tous les deux vers moi!!
Je dis d'une voix tremblante, "J'ai pas fait de bêtise, moi!"
"Aujourd'hui, pas encore," dit mon mari, "mais, c'est pour une démonstration."
"Exactement," dit le vieux, "Vous allez voir comme ils sont efficaces, ces martinets...  Je ferme la boutique??"
"Très bonne idée!" 
A la place de la petite baigneuse, je vais me faire punir, sans raison.
Je vais le dire à mon mari... ou pas!
Je  le regarde avec des yeux suppliant... Il me dit à l'oreille, "Je te conseille d'arrêter ton cinéma! Le vieux a bien 80 ans et les lanières de ce martinet ne sont pas épaisses..."
Le vieux baisse le volet métallique. On le suit dans son arrière boutique.
"Moi c'est Albert", dit le vieux.
"Enchanté", dit mon mari, "moi c'est X et elle, Mia."
Albert s'assied sur une chaise et me montre ses cuisses en disant, "Venez vous mettre ici, ma petite dame!"
Je jette un coup d'œil à mon mari, des fois que pris d'un coup de folie, il déciderait d'annuler... mais non, il est bien sûr ravi de cette petite aventure!
Je me couche sur les genoux du vieux Bert.
Il relève ma jupe et baisse ma culotte de maillot.
Il dit à mon mari, "Vous permettez que je tâte un peu, pour me rendre compte de la finesse de la peau?"
"Bien sûr, vous pouvez y aller. Ce ne sera pas sa première fessée!!"
Bert tâte en disant, "Exactement le cul qu'il faut pour une démonstration!"
"C'est ce qu'elle a de mieux.", dit mon mari.
Et après, on s'étonne que je ne sois pas sûre de moi!!
"Vous allez voir,"  dit le vieux, "Je vais lui donner une bonne correction, sans abîmer, ni le martinet, ni son gros derrière!"
Involontairement, je me crispe et serre mon "gros derrière"!!
Ça ne plait pas à mon mari, "Si tu serres tes fesses, tu vas vraiment être punie."
Albert me donne une bonne claque, "Votre mari a raison, il ne faut pas les serrer!"
Je geins, "Oui Monsieur, pardon!"
Le vieux lève le bras et dit, "Pour une démonstration, dix coups, ce serait bien."
"Parfait!!", dit mon mari! "Et elle va compter!"
Non, ce n'est pas parfait!!!! En plus, je vais me taper la honte avec des marques sur les fesses!!!
J'entends, "Sssswwwitcch", et les lanières viennent me claquer les fesses!!!
"Aaaaiiiiieeee!!! Un... pas top fort Monsieur, s'il vous plait."
"Ce n'est pas fort", répond t'il et il ajoute, "Ça, c'est fort!!!".
"Sssswwwitcch!!!" Les lanières me cinglent encore plus douloureusement!
"AAAIIIIEEEE!! Deux!!". Je n'ajoute plus rien.
 
Mon mari et le vieux rigolent. Il dit, "Elle comprend vite!"
Et ça repart, "Sssswwwitcch, "Aaaaaiiie!!! Trois."
Mon mari touche mes fesses, je fais un petit bond sur les genoux du vieux, il dit, "Jolies marques..."
Je geins, "On les verra quand je serai en maillot."
"Comme ça tout le monde verra que tu reçois le martinet!"   
Le vieux frappe à nouveau, "Sssswwwitcch" "Aaaiiiiiieee!!! Quatre!"
Sssswwwitcch!!,  "Aaaiiiiiieee!! Cinq!!"
Je pense très fort, "ça fait maaaaalllll!!", mais je ne dis rien!
Ssssswwwitcch!!  "Aaaiiiiiieee!! Six!!"
Soi-disant qu'il n'avait pas de force, le vieil Albert!!
Sssswwwitcch  "Aaaiiiiiieee!! Sept!!"
Je geins, mais me tais!!
Ssssswwwitcch  "Aaaaiiiiiieee!! Huit!!"
En plein sur les cuisses, ça va se voir sous la minijupe!!!!!
Ssssswwwitcch  "Aaaaiiiiiieee!! Neuf!!
J'ai les fesses en feu!!
Ssssswwwitcch  "Aaaiiiiiieee!! Dix!!
Je voulais juste une baigeneeeeuuuuuuse!!!
Mon Dieu faites que ce soit le dernier!!!!
"Voilà!", dit le vieux, il pose la main sur mes fesses, "Elles sont cuites à point, n'est ce pas ma p'tite dame??"
"Ouiiii, Monsieur..."
"Très bien, ", dit mon mari, "Bon matériel et bonne technique, félicitations!"
"Il faudrait la mettre au piquet... mais... j'ai un petit service à vous demander, "dit Albert et en me donnant une claque sur les fesses, "Levez-vous, mia!".
Quand je suis debout, je frotte mes fesses couvertes des stries des lanières.
Albert montre à mon mari, la bosse dans son vieux pantalon.
Soit disant qu'il était vieux!!
"Elle va vous arranger ça.", dit mon mari, "Après tout c'est de sa faute!"
Ben voyons!!
Le reste ne fait pas mal, heureusement! Je n'ai pas besoin d'explications. Je me mets à genoux entre ses jambes et j'extirpe le sexe de son pantalon.
Aaah, il ne s'attendait pas à se faire sucer le vieux! Il a oublié la douche...
Je le prends en bouche, le bout est tout mouillé, le goût est dégoûtant!!
Il est vieux disait mon mari!! Mais il a tapé sur mes fesses, comme un jeune et il bande comme un jeune aussi! 
 


Après de longues minutes de va-et-vient, il jouit abondamment dans ma bouche!! J'avale tout... Berck!! Je veux dire bèrke!!
Les hommes sont contents... "On se reverra dit mon mari!!"
"Avec plaisir!",  dit Albert. 
Bon, on a reçu le martinet, la petite baigneuse et une boîte recouverte de coquillages.
Je connais la dernière chose que mon mari attend de moi.
Je dis, "Merci, pour la démonstration, Monsieur Albert et pour avoir joui dans ma bouche et pour les cadeaux."

1 commentaire:

  1. Pauvre mia ses fesses attirent les fessees comme le miel qui attirent les abeilles
    Radia

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