Itoe
demande aux Thaïs :
—
Ici ou en cuisine, Mesdemoiselles ?
—
Ici.
C'est Juana,
la métisse, ma préférée. Mais pourquoi, elle n'a pas écrasé ?
Itoe lui dit :
—
Je te laisse le choix, c'est moi qui te fouette ou Maître Seiba.
Là
elle fit ce qu'il faut : elle se met à genoux et joint les mains en
disant :
— Vous,
Mademoiselle, s'il vous plaît...
Itoe
prend une chaise d'une table inoccupée et lui dit :
—
Couche-toi là-dessus.
Quand
c'est fait, elle relève la jupe d'uniforme. Comme nous, Juana n'a
pas de sous-vêtement. Elle a de belles fesses bombées, c'est la
seule qui n'a pas bénéficié d'une "augmentation", ce
n'était pas nécessaire. On a toutes des fesses qui ressemblent aux
siennes. Itoe lève sa baguette en disant :
—
Tu comptes.
Elle
fait siffler la baguette en l'air, mais sans frapper. Juana crispe
ses fesses. La baguette siffle et le bois souple vient mordre les
fesses de Juana... Une marque rouge apparaît d’une hanche à
l’autre.
—
Aaaaïïïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
C’est
ce qu'on doit dire quand on est frappées... Itoe attend quelques
secondes, pour qu’on apprécie bien la douleur.
—
Aaaaïïïïeee ! Deux, merci Mademoiselle.
La
baguette a frappé la base de ses fesses, Juana a fait un petit bond
en avant sur la chaise. Elle a droit à un sec :
—
En position !
—
Aaaaïïïïeee ! Trois, merci Mademoiselle.
Sur
le haut de ses fesses... Juana s’aplatit un peu mais reprend tout
de suite "la position".
—
Aaaaïïïïeee ! Quatre, merci Mademoiselle.
C’est
le haut des cuisses. Juana se met à pleurer. Mademoiselle Itoe
frappe nettement plus fort que lorsqu'elle s’en prend à nos
mollets ou à nos cuisses. Elle ne blesse pas mais je vois quand même
que les marques apparaissent un peu en relief.
—
Aaaaïïïïeee ! Cinq, merci Mademoiselle.
Celui-là,
c’est sur les mollets...
—
Aaaaïïïïeee ! Six, merci Mademoiselle.
—
AAAÏÏÏÏEEEEEE ! Sept, merciiii Mademoiselle.
—
AAAÏÏÏÏEEEEEE ! ! Merci Mademoiselle.
À
nouveau, les cuisses.
—
AAAÏÏÏÏEEEEEE ! Neuf, merci Mademoiselle.
Là,
Itoe a frappé sur une marque déjà existante.
—
AAAÏÏÏÏEEEEEE ! Dix, merci Mademoiselle.
Itoe
pose la main sur les fesses qu'elle vient de fouetter en demandant
:
— Ça fait
mal ?
—
Ouiiiii Mademoiselle.
—
Tu vas encore être insolente ??
—
Non, non ! Je vous jure Mademoiselle !
Itoe
lui caresse les fesses. Elle lui demande :
—
Tu connais la suite ?
—
Oui Mademoiselle.
Juana
se relève péniblement et va se mettre à genoux près de la femme
qui l'a fait fouetter. La femme la laisse pendant un moment sans
s'occuper d'elle, puis elle lui demande :
—
Tu as quelque chose à me dire ?
—
Pardon pour mon insolence Madame. Ça n’arrivera plus. Et merci de
m’avoir donné cette leçon.
La
femme répond :
—
C’est bien. Reprends ton service.
Les
yeux et les fesses rouges, Juana recommence à servir la dame et ses
amies.
La
pauvre... même si elle a fait la conne. Au passage, je lui serre la
main pour la réconforter. Quand tout le monde a quitté le
restaurant, on doit tout mettre en place pour le soir. On doit aussi
servir des boissons dans les chambres et sur la grande terrasse.
Tout
se met en place dans le château, on voit arriver une vingtaine
d'esclaves nues, qui n'ont pas la marque du Prince sur les fesses ni
le tatouage dans le cou. À l'odeur, je dirais qu'elles viennent de
la ferme. Je reconnais aussi la signature des jeunes sur leurs jambes
et leurs fesses. Il y a un nouveau chef des esclaves qui leur dit ce
qu'elles ont à faire.
***
Au
soir du sixième jour, je m'approche de la table des Thaïs et une
jolie Japonaise crie :
—
Aïe ! Vous venez de m'écraser le pied !
C'est
absolument faux, mais je me plie en deux en disant :
—
Mille fois pardon, Madame, je...
Elle
crie à Itoe :
—
Vous ! Fouettez cette fille !
—
Certainement, Mademoiselle.
C'est
vraiment injuste, mais qu'est-ce qui n'est pas injuste ici ? Itoe
va chercher un fouet à trois lanières. Elle me montre une chaise.
Je remonte ma jupe d'uniforme et je me couche sur cette chaise, comme
l’une de nous doit le faire à chaque repas. Ça fait un
moment que je n'ai pas été fouettée et je connais le tarif, c'est
10 coups de badine ou de fouet. La garce qui a menti dit à Itoe :
—
Je m'appelle Mademoiselle Kagerou.
Itoe
me donne une claque sur les fesses en disant :
—
Tu as compris Boy-ra ?
—
Oui Mademoiselle.
Le
fouet siffle, j'essaye de rentrer dans la chaise. Il claque sur mes
fesses. Je crie :
—
Aaaïïïee... Un, merci Mademoiselle Kagerou.
Des
invités rient bêtement !
Neuf
fois, les lanières du fouet claquent encore sur mes fesses et je
remercie la garce de salope de menteuse de...
—
Aïïïeeee. Dix, merci Mademoiselle Kagerou.
Mon
cul et le haut de mes cuisses sont en feu. Je vais me mettre à
genoux près de cette sale garce. Elle fait signe d'approcher encore
plus. Arrivée à côté d'elle, je lui dis :
—
Merci pour la punition mademoiselle je l'ai méritée et je...
Elle
interrompt mon stupide petit compliment et elle me souffle son
haleine de saké dans la figure en disant :
—
On sait toutes les deux que tu ne m'as jamais marché sur le pied,
hein ?
— ...
Euh, je... j'ai cru que... sans m'en rendre compte, je....
—
Ne mens pas.
—
Je... crois que vous aviez envie de me faire souffrir,
Mademoiselle.
—
Donc tu as menti !
—
On nous a enseigné à dire ce qu'on souhaite que nous disions,
Mademoiselle.
—
Pas mal répondu Boy-ra.
—
Merci Mademoiselle.
—
Mets-toi debout.
Je
me relève. Elle passe la main sous ma jupe et caresse mes fesses en
demandant :
— Tu
crois que c'est suffisant comme fessée ?
—
Je ne sais pas Mademoiselle, c'est vous qui décidez. Si vous pensez
que ce n'est pas suffisant, je me remettrai aussitôt en position.
La
fille dit aux Thaïs :
—
Intéressant.
Thaï
n° 2 répond :
—
Tu vois, je te l'avais dit, l'Américaine et elle ne sont pas
connes.
— Oui,
on va envisager différentes choses pour elle.
Je
ne comprends rien à ce qu'elles racontent, j'attends les yeux
baissés, jusqu'à ce qu'on me dise :
—
Reprend ton service Boy-ra.
—
Merci Mademoiselle.
C'est
au tour de Juana de me serrer le bras au passage.
L'après-midi,
on a diverses corvées à effectuer, mais rien à voir avec les
travaux durs que font une nuée d'esclaves. Ce sont des filles de
races diverses, mais il n'y a pas de Japonaises...
Après
avoir servi le repas du soir, on va manger dans la grande cuisine. Un
garde explique à Jill, notre chef, où se trouve notre nouvelle
chambre.
Oh ! On
a des lits, étroits, certes, mais ce n'est plus des matelas posés
par terre. Juana et moi on dort dans le même lit. C'est à son tour
de me consoler, j'ai toujours mal aux fesses et aux cuisses...
***
Le
lendemain, nos uniformes ont disparu. Une fille donne l’explication
:
— Des esclaves
sont venues les chercher ce matin très tôt.
On
va déjeuner, nues... Comme je m'étais déjà habituée à
l'uniforme, je suis gênée d'être toute nue en public. Après le
petit déjeuner, un garde nous dit :
—
Allez attendre dans le grand hall. On viendra vous chercher.
Il
y a des nouvelles servantes pour servir les invités... On attend une
dizaine de minutes en se demandant à quelle sauce on va être
mangées. Une Japonaise en kimono blanc sort d'un ascenseur,
accompagnée de deux filles plus jeunes.
Elle
vient devant nous, on s'incline toutes à 45°, mais elle désigne le
sol de l'index. On s'agenouille puis on met le nez sur le sol. Elle
nous dit :
—
Bonjour Mesdemoiselles, relevez-vous.
On
se redresse, mais en restant à genoux. Elle ajoute :
—
Je suis Madame Hanaé. Je vais vous transformer en filles
appétissantes, mais d'abord...
Elle
plisse le nez...
—
Il va falloir vous laver, d'urgence
On
ne demande pas mieux, parce qu'en tant que servantes, on n'avait
droit qu'à une douche par semaine. Il paraît que c'était comme ça
en Angleterre au 19e siècle et encore, elles devaient se laver dans
une grande bassine. J'ai vu ça dans un vieux feuilleton.
Il
y a plein de nouveautés, comme une petite salle avec six douches. On
se lave soigneusement, partout, partout. On doit se frotter la plante
des pieds avec une brosse dure. On se lave les cheveux aussi.
L'ensemble fait un peu colonie de vacances. D'accord, dans les vraies
colonies de vacances, on n'est pas fouetté.
Quand
on est propres et essuyées avec des grandes serviettes, on va dans
une autre pièce, qui porte un écriteau "soins du corps".
Il y a des lits comme dans un salon de massage et des fauteuils
coiffeurs devant des miroirs.
Madame
Hanaé et ses deux assistantes nous font coucher sur les lits pour
nous épiler entièrement. Elles nous laissent juste, les cheveux,
les cils et les sourcils. On pousse quelques cris, surtout les brunes
dont les poils ont de longues racines... Ensuite, on s'assied dans
les fauteuils et les filles nous font des manucures et des pédicures.
Quel bonheur, on s'occupe de nous pour nous embellir, pas pour nous
punir. Pour terminer, on est coiffées et maquillées. Les filles
nous mettent un peu de parfum, sous les seins et dans les plis du
coude. Je reconnais l'odeur, c’est celle des fleurs de lotus.
On
ne se reconnaît plus, de souillons, on est devenues des pin up !
D'autant plus que des filles nous apportent des robes. Mais je
n'irais quand même pas prendre le thé habillée comme ça chez le
roi d'Angleterre. D'abord parce que je n'ai aucune envie de le
rencontrer, ensuite parce que ce sont des robes avec lesquelles on
est plus nues que nues ! Elles ont l'air décentes, mais elles sont
complètement transparentes. Le tissu léger est clair, parsemé des
grandes fleurs rose pâle. Une autre caractéristique, c'est qu'elles
s'envolent au moindre souffle d'air.
Vous
imaginez la tête du roi d'Angleterre, si j'allais prendre le thé
dans cette tenue ? Par contre, son frère serait peut-être
d'accord...
Madame
Hanaé vient nous examiner. Elle nous renifle un peu et examine nos
mains et nos pieds, avant de nous dire :
—
Demain matin, on parlera de sexe et l'après-midi, vous accueillerez
les visiteurs et vous ferez tout ce qu'ils souhaitent.
OK,
on remplace les geishas. Elle ajoute :
—
Maintenant que vous êtes propres, vous pouvez aller dans la salle à
manger. Soyez toutes là à 8 heures. Vous commencerez par saluer les
demoiselles émissaires du Prince.
Alors
là, on est sur le cul qui est tout propre et même parfumé ! Jill
lui demande :
—
Madame, s'il vous plaît...
—
Oui ?
— En
attendant, il y a un endroit où on peut aller ?
—
Faites un tour dans le parc. Mais prévenez d'abord les gardes.
Elle
quitte la pièce. Nous, on est ravies d'avoir un peu de liberté même
si on a toujours la trouille d’avoir affaire aux gardes.
Il
y a des gens classes, comme je pensais. Il y a aussi deux actrices
que je reconnais... et puis des esclaves pas maquillées et avec les
cheveux tirés. On va s'asseoir dans un divan... Une servante vient
aussitôt me proposer du champagne. Tandis que je bois avec classe,
mon pote John me dit :
—
J'ai pensé que tu aimerais assister à la punition de ces
filles...
— Oh
oui... m'sieur... euh... John. Ce sont des esclaves qui ont fait une
bêtise ?
—
Non, pas du tout. Ce sont des étudiantes en droit qui ont fait un
site qui me dérange beaucoup. Alors, on va les punir un peu. Celles
qui vont faire amende honorable en seront quittes pour avoir passé
un moment un peu désagréable, celles qui persisteront dans leurs
erreurs seront vendues comme esclaves à Djibouti ou à Shanghai...
quelque part loin !
—
Super idée...
Je
vous rappelle que ces filles attaquent les États-Unis à travers
notre Président... Il ajoute :
—
On les fait mariner un peu. La peur de la punition à venir est déjà
une punition.
Quel
homme raffiné... C'est un peu cruel, mais ces filles l'ont
cherché... Je réponds :
—
Elles n'ont que ce qu'elles méritent.
—
Viens, je voudrais te parler en privé...
Oui,
mais moi, je voudrais voir les filles fouettées... mais bon,
qu'elles attendent... On va au 3e et dernier étage de l'hôtel. Je
me doute qu'il en veut à ma vertu... Mais tirer un coup, je ne dis
jamais non, surtout au Président...
Je
me déshabille. Quand je suis nue, je le regarde... Il est toujours
habillé... Et alors, on fait quoi ? Il me dit :
—
J'aimerais te voir avec un homme... Tu serais d'accord ?
—
Ben... oui.
—
J'arrive.
Il sort
et revient quelques minutes plus tard avec un grand mec costaud.
Belle gueule de baroudeur... mon genre. Le mec me sourit et se
déshabille... Ouaouh ! Il est musclé et il a une bite qui vise
déjà ma chatte. John me dit :
—
Suce-le.
Alors là,
c'est pas de refus. Je mets à genoux et je commence par embrasser le
bout mouillé de sa bite, ses couilles gonflées, les poils du
pubis... Le Président vient tout près regarder ma langue tourner
autour du gland du costaud... Il me dit :
—
Je voudrais te voir lui lécher le...
Il
cale. Aller, accouche ! Je lui propose :
—
Le trou du cul ?
—
Ouiii...
Il est
ravi. Je commence à le trouver un peu spécial, le Président. Le
costaud se met à quatre pattes et moi, je me mets à genoux derrière
lui. J'écarte ses fesses musclées avec les mains.
Il
a une odeur de transpiration mélangée à un parfum pour homme, une
odeur plaisante. Le Président vient à nouveau regarder de tout
près. Tu veux du spectacle ? OK. Je lèche l'anus du gars et y
enfonce même la langue. Il me dit :
—
Tu aimes faire ça...
—
Oui m'sieur... euh, oui John.
—
Tu as envie de te faire baiser ?
—
Grave : je suis toute mouillée.
—
Allez-y.
Le
costaud se relève et me prend dans ses bras aussi facilement que si
j'étais une poupée Barbie. Il me met sur le lit, se couche sur moi
et m'enfonce 25 cm de sexe dur dans la chatte. Aïe ! Non mais dis
donc, toi, je ne connais même pas ton prénom ! Heureusement que
je suis une fille accueillante. Je vois plus au moins le Président
derrière le cul du gars observer nos sexes aller venir l'un dans
l'autre. Je ferme les yeux pour mieux apprécier ce sexe violant ma
chatte à grands coups de reins... Je gémis... et je dis les trucs
que les filles disent quand elles se font tringler, genre :
—
Ah oui... je te sens bien... c'est booonnn... plus foooort...
Je croise mes chevilles sur ses reins pour qu'il me pénètre encore plus profondément. Pas longtemps, car je sens mon vagin se crisper sur le sexe qui le transperce et...
—
Oh ouiiii... je jouuuuis...
Ah
putain de merde, c'est bon...
Quelques
coups de reins de plus et mon baiseur jouit aussi, inondant ma chatte
de son sperme... Il grogne un peu en jouissant. Je veux le garder en
moi, mais il me dit à l'oreille :
—
C'est au tour du Président...
Oh !
Il va me baiser ? Non, dès que le sexe de mon partenaire quitte
mon vagin, le Président colle sa bouche et il aspire le sperme qui
est en moi. Je me demande si tous les Présidents font ça ! Le
Président de la 2e puissance mondiale suce ma chatte pleine de
sperme. C'est un peu surprenant, non ? Si c'est le genre d'apéro
qu'il aime, ça ne me dérange pas. Au contraire, je ne devrai pas me
laver. Quand il a fini de boire son apéro à ma chatte, on se
rassied... Le costaud va dans la salle de bain. Il y a un silence,
faut que je trouve quelque chose à dire... Ah oui :
—
J'ai adoré cette petite partie à trois, John.
—
Moi aussi, ma chère Ashley, moi aussi. C'était un peu spécial.
—
Non, non, ça me plaît.
—
On pourrait dire que j'ai des goûts un peu... spéciaux...
—
Vous savez, moi j'aime lécher Summer quand elle vient de faire
pipi...
Je dis ça
pour le rassurer. Il continue :
—
Des méchantes langues disent que je suis gay...
Tu
m'étonnes !!
—
Alors... il faut que je trouve une femme très belle et aussi très
compréhensive au sujet de mes goûts....
Il
ne va quand même pas...
—
Alors Ashley, veux-tu m'épouser ?
C'est
rien, je vais me réveiller ! Figurez-vous que je rêve que le
Président des USA veut m'épouser ! Dingue non ? Dans mon rêve,
je réponds :
—
Avec grand plaisir.
Si
je ne rêve pas, c'est juste une farce, genre caméra cachée. Il me
dit :
— On
descend, je vais annoncer la nouvelle à nos amis.
Bien
sûr. Je joue le jeu... Je remets ma robe transparente. En bas,
Summer est là et elle discute avec Monsieur Sam. Le Président
annonce :
— Une
grande nouvelle, mes amis : Ashley et moi, nous allons nous
marier.
Tout le
monde vient nous féliciter... Je vais près de Summer et je lui dis
tout bas :
— On
se fout de moi, hein ?
—
Non, il a besoin d'une épouse charismatique et qui, accessoirement,
couche avec n'importe qui...
—
Eh, tu exagères !
—
Tu as oublié qu'on s'est rencontré au "House of Pussies".
—
Pardon, mais, c'est que... je suis perdue... et... snif...
—
Ah, ne te mets pas à pleurer ! Tu acceptes et si un jour tu en as
marre, tu divorces et tu auras une énorme pension alimentaire.
Avec
elle, c'est aussi simple que ça ! Je la regarde et elle me dit :
—
Ferme la bouche !
Je
la ferme... Je m'imagine à Paris reçue par la nouvelle
Présidente... J'irai manger au sommet de la tour Eiffel et puis aux
Folies Bergères.... Il y a deux choses que je veux garder : Summer
et la maison de Malibu. Oui, Summer, c'est une addiction. Mon futur
mari vient me dire :
—
Ma chérie, si on châtiait ces petites garces ?
—
Excellente idée, John.
Il
m'appelle "ma chérie" ! Le Président !! Je commence à
y croire un peu.
En
ce qui concerne les filles, je regrette qu'elles soient
bâillonnées... J'aime entendre les cris et les supplications des
filles fouettées. Quatre gardes que je connais viennent se mettre
derrière les filles, armés d'un fouet. Je les ai déjà vus à
l'œuvre, ils sont très adroits. Le Président dit :
—
Vingt coups, ensuite on leur demandera leurs impressions.
C'est
pas beaucoup. Un signe de tête du Président et les trois lanières
des fouets viennent claquer sur les fesses des filles. Elles font :
—
Mmmffffmmmma !
Je
sais ce que ça veut dire "Aaaaiiieee!!! Ça fait
maaal..."
Elles
sont aussi douillettes que des esclaves. Les quatre gardes ont dû
répéter, car ils nous font quasiment un ballet : les fouets qui
sifflent dans l'air, le bruit mat quand ils zèbrent les fesses des
filles... les cris étouffés. C'est beau.
J'ai
un petit problème : regarder les filles fouettées, ça m'excite, je
vais mouiller ma robe transparente. Les gardes repeignent les fesses
des filles en rouge... Le haut des cuisses, aussi. Je pense qu'elles
vont faire "kaï kaï" quand elles vont s'asseoir, les
prochains jours... Ils s'arrêtent ! Oh déjà ? Ils enlèvent
les bâillons. Là, je les entends enfin pleurer et gémir... Quelles
moules ! Quand elles sont calmées, mon fiancé... va devant elles.
Il parle bas, comme quelqu'un qui est habitué à ce que tout le
monde l'écoute avec attention. Il leur dit :
—
Je trouve votre site très bien, mais pas la cause que vous défendez.
Si vous êtes prête à travailler pour moi, vous aurez beaucoup
d'avantages. Dans le cas contraire...
Les
filles sont là, les fesses en l'air et bien rouges. Elles doivent
relever la tête pour le voir... Une belle brune dit d'une petite
voix enrouée :
—
Nous irons en prison ?
— Non,
vous serez vendue dans un bordel de Tombouctou.
Une
blonde répond très vite :
—
Moi, j'accepte Monsieur le Président,
À
tour de rôle, les trois autres acceptent. Et voilà, on leur tape un
peu sur les fesses et elles renient leurs idées ! On les détache
et elles se mettent debout, les jambes tremblantes, les fesses et les
yeux rouges. Faudrait les envoyer chez Madame Stone, là elles
feraient vraiment connaissance avec le fouet. Le Président leur dit
:
— Vous allez
signer quelques papiers et on vous reconduira chez vous...
Elles
bredouillent un truc du genre :
—
Oui, Monsieur le Président...
Ensuite,
on discute du mariage. On va s'asseoir avec Monsieur Sam, Madame Wolf
et sa chérie, Sara, je crois. Il y a aussi un homme aux cheveux
gris. Le Président me dit :
—
Tu es décidée à devenir mon épouse ?
En
fait, non, pas du tout, mais je veux devenir la Première Dame des
États-Unis, alors je réponds :
—
Absolument, cher John.
À
suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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