samedi 17 septembre 2022

Maid in Japan - 8 Au travail.

 

Il fait chaud ! On arrive à la ferme en sueur. Les jeunes travaillent dans la cour. Un des garçons dit en japonais :
— Alerte ! On est envahis par des mendiantes.
Les autres se mettent à rire. Ils viennent tous nous examiner. Les parents sortent de la ferme.
Quand j'étais absolument semblable aux autres, ça ne me gênait pas d'être nue, mais là, je me sens tout intimidée. Un des adultes dit :
— Je baiserais bien la petite blonde.
Keiko lui répond :
— On n'a pas le temps, elles doivent aller se montrer au Prince. On lui demandera.
Puis, à nous :
— Vous voulez quoi ?
Jill répond :
— Un peu d'eau et un fruit, s'il vous plaît, Mademoiselle Keiko.
— Et vous êtes ?
— Des mendiantes qui demandent la charité, Mademoiselle.
Ils rient, ils sont contents de la formule. Le principal c'est qu'un des jeunes nous apporte des pommes et nous montre le puits. On s'y dirige toutes. Un des hommes s'exclame :
— Putain, ces culs qu'elles ont ! Je bande. Poussin, vient me faire une pipe !
— Oui Papa-san.
« San » est une de marque de respect en japonais. Dans ce cas-ci, le respect de la fille pour son père qu'elle va sucer... Toujours aussi obsédée, la famille Adams ! On boit toutes, tandis qu'ils viennent nous tâter les fesses. Elles ont l'air de beaucoup plaire. Les Japonaises sont plutôt menues : des petits seins et des petits derrières. On remercie la famille Adams et on repart en mangeant nos pommes.
On approche du château. La rivière miroite au soleil. On voit même un bateau. Tout a l'air paisible. Espérons que ce soit aussi le cas dans le château. On traverse le pont. Le garde qui nous attend fait signe de le suivre. On se retrouve dans une salle à manger... Le Prince est assis derrière une grande table, entouré de ses Thaïes, pas maquillées et seulement vêtues d'un T-shirt. Ils sont en compagnie d'une dizaine de personnes, toutes différentes de celles qu'on a vues hier. Des servantes en kimono font le service.
On se met aussitôt à genoux, le nez sur le sol, nos gros derrières en l'air. Une Thaïe nous dit :
— Debout !
Tous les gens nous regardent, je résiste à l'envie de dissimuler ma chatte avec les mains. Le Prince parle, mais très bas, il nous dit :
— Tournez-vous... Bien ! Voilà ce que je veux, des étrangères avec des beaux culs... Harui !
Une servante se précipite et se plie en deux en disant :
— Oui Maître.
— Elles sont à toi.
— Merci Maître.
Le Prince a prononcé quelques phrases, il doit être épuisé ! On suit la servante dans les sous-sols du château. C'est là que se trouvent sans doute les cuisines. On arrive dans une pièce avec des fenêtres dont la moitié supérieure donne sur l'extérieur. Il y a une grosse femme, qui doit être la cuisinière et plusieurs servantes. Des hommes sont assis et terminent leur petit déjeuner. Il y a des revolvers posés sur la table. On a toutes compris que ce sont des gardes. Harui se plie à 45 °, nous aussi. Elle se redresse et dit :
— Voici les prochaines servantes, Maître Seiba.
L'homme à qui elle s'adresse est un Japonais costaud. Ses yeux sont bridés, mais à part ça, il ressemble comme deux gouttes de sueur ou de sang à un acteur du siècle passé... Jack... quelque chose. Ah oui, Jack Palance. Même nez cassé, mêmes pommettes proéminentes.

 Je n'aimerais pas le rencontrer le soir au coin d'un bois. En fait, je n'aimerais pas le rencontrer du tout. Les gardes autour de lui sifflent et font des commentaires salaces. Jack, je veux dire Maître Seiba, nous dit :

— Tournez-vous
On montre toutes nos derrières, les rires et les commentaires redoublent.
— Faites face... Bien. Vous êtes au service des servantes. Tous les matins, elles me signaleront celles qui n'ont pas donné entière satisfaction, je devrai les punir et vous savez quoi ?
Un blanc... Personne n'ose répondre. Il continue :
— J'adore ça.
Brrr... ! J'ai envie de pleurer et de pisser en même temps, tellement il me fiche la trouille. Il dit à Harui, la servante qui nous amenées ici :
— Chaque servante devra faire travailler par une de ces filles et tu noteras celle qui n'a pas bien travaillé.
— Oui Maître.
Un homme lui fait remarquer :
— On se taperait bien un de ces culs.
— Allez-y les gars, mais ce sont des esclaves, elles ne sont pas très propres.
On serait ravies de pouvoir se doucher tous les matins ! La cuisinière, une grosse Japonaise avec un tablier constellé de taches, leur dit :
— Allez dans vos chambres ou derrière le château, les petites Thaïes du Prince doivent passer pour parler des menus.
Les gardes se lèvent et viennent faire leur marché, ils choisissent une fille. Moi je suis prise par un Sumo : il est grand et très gros, son ventre est énorme et ses joues ressemblent à nos nouvelles fesses.
Jack Palance donne un violent coup de poing sur la table, puis il dit :
— Si elles ne font pas ce qu'il faut, dites-le-moi.
Il a une façon de faire qui me terrifie. Le Sumo me prend par la main et on quitte la pièce. Il a dû remarquer mon tatouage, puisqu’il me dit :
— Tu t'appelles Hoki, c'est ça ?
— Oui, Maître.
— Pourquoi tu trembles, Hoki ?
— J'ai peur, Maître. Depuis que je suis arrivée au Japon, je n'ai pas arrêté d'avoir peur !
Il rit ! Et son rire fait trembler les murs. Il me demande :
— T'as peur que je te mange ?
— Non Maître, je n'ai pas peur de ça...
— Tant que tu obéis, il n'y aura pas de problèmes. Les servantes te fouetteront un peu, mais c'est comme ça qu'on dresse les filles.
— Oui Maître.
— On ne blesse pas les filles... Mais tu devras bientôt t'occuper des clients.
— Et ensuite, Maître ?
— La curiosité ne convient pas à une esclave, petite.
On est arrivés au pied d'un ascenseur de service. Il est très étroit, juste de quoi mettre trois personnes normales, mais avec le Sumo, je suis collée contre son ventre. Il sent beaucoup plus la transpiration que moi.
On arrive dans la chambre, deux gardes et deux filles de notre groupe sont déjà là. Ils ont dû prendre un escalier. On va vers un lit, qui a l'air plus solide que les autres. Il me dit :
— Déshabille-moi.
J'enlève sa veste de kimono, puis son pantalon. Pas facile de déshabiller un homme gros comme un éléphant. Il a un sexe qui n'est pas proportionné, heureusement. Il doit bien faire 20 cm, mais j'avais peur de voir une trompe de 40 cm. Après s’être couché sur le lit, qui couine sous son poids, il me dit :
— Grimpe sur moi.
— Oui Maître, mais dans quel sens ?
— 69.
Bon... Il me manque des chaussures à crampons, une corde et une pioche pour escalader cette montagne de graisse ! J'y arrive. Son énorme ventre est même douillet, je m'y enfonce mollement. Je lui dirais bien que ça fait quelques jours qu'on a pas eu la permission de se laver, mais il s'en fout, vu la voracité avec laquelle sa langue fouille ma chatte. Ouch ! Comment il fait ça, l'énorme ? Je suis mollement étendue sur lui, j'ai pris son sexe en main, mais les sensations de sa langue en moi sont tellement fortes que je me contente de gémir en me tortillant sous sa langue. Est-ce que c'est normal qu'un hippopotame vous fasse jouir ? Non, d'abord, est-ce qu'une esclave ou une servante ou quelque soit le nom qu'ils nous donnent, a le droit de jouir ? J'ai tellement peur ici que je gémis :
— Est-ce que je peux jouir, Maître ?
Il ne répond pas et qui ne dit mot, consent. Alors, je m'abandonne... Un spasme tord mon bas-ventre et je...
— Je jouiiiiiisss.... !
C'est la première fois depuis longtemps ! D'ailleurs, je le lui dis :
— Merci, Maître, c'est la première fois que je jouis depuis longtemps.
Il a sorti sa langue de mon vagin et répond :
— Normal, tu es une esclave, Hoki.
Oui, Hoki, c'est moi ! Je lui demande :
— Je peux vous sucer, Maître ?
— Non, j'ai envie de te baiser. Descends !
Je ne demande pas mieux, étant donné que lui peut prendre des douches... mais il n'en prend pas souvent. Je dois me mettre à quatre pattes sur le lit... Il se met debout derrière moi pour me caresser les fesses, en disant :
— Quel beau cul, ils l'ont vraiment bien réussi.
Un des gardes, celui qui se fait sucer par une fille, lui dit :
— Ils leur ont fait des super culs ! Et toi, c'est pour demain ?
Tout en chatouillant ma fente mouillée avec son gland, il répond :
— Oui... Je pars pour une semaine.

 



 

Là il s'enfonce en moi et... Oh ! Qu'il baise bien... Son gros ventre va et vient sur mes reins et son sexe en moi. J'ignore complètement si une esclave peut jouir une deuxième fois, mais c'est impossible de résister, je me laisse emporter par un orgasme d'une force prodigieuse, un genre de tsunami. Le meilleur de ma vie. D'accord, je n'ai pas beaucoup d'expérience. Il continue pendant encore un moment à me baiser, puis il jouit en moi... Il quitte mon vagin et pas besoin qu'il me dise de le faire, je nettoie son sexe en esclave zélée et repue de sexe. Il me dit :
— C'est bien, rejoins les autres, petite.
— Merci Maître.
Je n'ose pas dire plus. Les trois filles qui étaient dans la pièce attendent avec une servante qui est venue nous chercher. J'ai peur qu'elle me punisse, mais non, elle me regarde en souriant, avant de me demander :
— Alors, c'était bon, esclave ?
— ... Euh... Oui, Mademoiselle, je ne sais pas bien pourquoi, j'ai... je...
— Tu as joui, parce que tu as le feu au cul, c'est tout.
Même les trois filles de notre groupe me regardent en souriant.
On suit la fille jusqu'à la pièce où se trouvent les servantes. Harui parle avec elles, vite et sans doute en langage servante, car je ne comprends rien. Elles me regardent toutes, certaines rient. Une des servantes me dit :
— On va demander à Maître Seiba de changer ton nom, tu ne t'appelleras plus Hoki mais Boira.
Toutes les servantes se mettent à rire. La fille me demande :
— Tu sais ce que ça veut dire ?
— Non Mademoiselle.
— Ça veut dire "chaudière". Tu sais pourquoi on va t'appeler comme ça ?
— Oui, Mademoiselle.
— Dis-le.
Autant dire quelque chose qui leur convient ! Je réponds :
— Parce que j'ai le feu au cul, Mademoiselle.
Rire général... même les filles de notre groupe rigolent. Harui, la chef des servantes, dit :
— En attendant, on va les faire travailler.
 Les servantes ont toutes un fouet à trois lanières plates qu'on ne connaît que trop bien, hélas. Elles choisissent une fille.
On va toutes dans la pièce où est entreposé le matériel de nettoyage. La servante qui est devenue ma Maîtresse énumère ce que je dois prendre : seau, serpillière, balai, comme mon ancien nom, savon, raclette... On va aussi chercher draps, taies d'oreiller, serviettes propres... Ensuite, nous allons au premier étage. Elle toque à la porte d'une chambre, personne ne répond. Elle ouvre avec son passe.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.


Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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