Il
fait chaud ! On arrive à la ferme en sueur. Les jeunes travaillent
dans la cour. Un des garçons dit en japonais :
—
Alerte ! On est envahis par des mendiantes.
Les
autres se mettent à rire. Ils viennent tous nous examiner. Les
parents sortent de la ferme.
Quand
j'étais absolument semblable aux autres, ça ne me gênait pas
d'être nue, mais là, je me sens tout intimidée. Un des adultes dit
:
— Je baiserais
bien la petite blonde.
Keiko
lui répond :
—
On n'a pas le temps, elles doivent aller se montrer au Prince. On lui
demandera.
Puis, à
nous :
— Vous
voulez quoi ?
Jill
répond :
— Un
peu d'eau et un fruit, s'il vous plaît, Mademoiselle Keiko.
—
Et vous êtes ?
—
Des mendiantes qui demandent la charité, Mademoiselle.
Ils
rient, ils sont contents de la formule. Le principal c'est qu'un des
jeunes nous apporte des pommes et nous montre le puits. On s'y dirige
toutes. Un des hommes s'exclame :
—
Putain, ces culs qu'elles ont ! Je bande. Poussin, vient me faire
une pipe !
—
Oui Papa-san.
« San »
est une de marque de respect en japonais. Dans ce cas-ci, le respect
de la fille pour son père qu'elle va sucer... Toujours aussi
obsédée, la famille Adams ! On boit toutes, tandis qu'ils
viennent nous tâter les fesses. Elles ont l'air de beaucoup plaire.
Les Japonaises sont plutôt menues : des petits seins et des petits
derrières. On remercie la famille Adams et on repart en mangeant nos
pommes.
On
approche du château. La rivière miroite au soleil. On voit même un
bateau. Tout a l'air paisible. Espérons que ce soit aussi le cas
dans le château. On traverse le pont. Le garde qui nous attend fait
signe de le suivre. On se retrouve dans une salle à manger... Le
Prince est assis derrière une grande table, entouré de ses Thaïes,
pas maquillées et seulement vêtues d'un T-shirt. Ils sont en
compagnie d'une dizaine de personnes, toutes différentes de celles
qu'on a vues hier. Des servantes en kimono font le service.
On
se met aussitôt à genoux, le nez sur le sol, nos gros derrières en
l'air. Une Thaïe nous dit :
—
Debout !
Tous
les gens nous regardent, je résiste à l'envie de dissimuler ma
chatte avec les mains. Le Prince parle, mais très bas, il nous dit
:
—
Tournez-vous... Bien ! Voilà ce que je veux, des étrangères avec
des beaux culs... Harui !
Une
servante se précipite et se plie en deux en disant :
—
Oui Maître.
—
Elles sont à toi.
—
Merci Maître.
Le
Prince a prononcé quelques phrases, il doit être épuisé ! On
suit la servante dans les sous-sols du château. C'est là que se
trouvent sans doute les cuisines. On arrive dans une pièce avec des
fenêtres dont la moitié supérieure donne sur l'extérieur. Il y a
une grosse femme, qui doit être la cuisinière et plusieurs
servantes. Des hommes sont assis et terminent leur petit déjeuner.
Il y a des revolvers posés sur la table. On a toutes compris que ce
sont des gardes. Harui se plie à 45 °, nous aussi. Elle se redresse
et dit :
— Voici
les prochaines servantes, Maître Seiba.
L'homme
à qui elle s'adresse est un Japonais costaud. Ses yeux sont bridés,
mais à part ça, il ressemble comme deux gouttes de sueur ou de sang
à un acteur du siècle passé... Jack... quelque chose. Ah oui, Jack
Palance. Même nez cassé, mêmes pommettes proéminentes.
Je
n'aimerais pas le rencontrer le soir au coin d'un bois. En fait, je
n'aimerais pas le rencontrer du tout. Les gardes autour de lui
sifflent et font des commentaires salaces. Jack, je veux dire Maître
Seiba, nous dit :
—
Tournez-vous
On
montre toutes nos derrières, les rires et les commentaires
redoublent.
—
Faites face... Bien. Vous êtes au service des servantes. Tous les
matins, elles me signaleront celles qui n'ont pas donné entière
satisfaction, je devrai les punir et vous savez quoi ?
Un
blanc... Personne n'ose répondre. Il continue :
—
J'adore ça.
Brrr... !
J'ai envie de pleurer et de pisser en même temps, tellement il me
fiche la trouille. Il dit à Harui, la servante qui nous amenées ici
:
— Chaque
servante devra faire travailler par une de ces filles et tu noteras
celle qui n'a pas bien travaillé.
—
Oui Maître.
Un
homme lui fait remarquer :
—
On se taperait bien un de ces culs.
—
Allez-y les gars, mais ce sont des esclaves, elles ne sont pas très
propres.
On serait
ravies de pouvoir se doucher tous les matins ! La cuisinière, une
grosse Japonaise avec un tablier constellé de taches, leur dit :
—
Allez dans vos chambres ou derrière le château, les petites Thaïes
du Prince doivent passer pour parler des menus.
Les
gardes se lèvent et viennent faire leur marché, ils choisissent une
fille. Moi je suis prise par un Sumo : il est grand et très gros,
son ventre est énorme et ses joues ressemblent à nos nouvelles
fesses.
Jack
Palance donne un violent coup de poing sur la table, puis il dit :
—
Si elles ne font pas ce qu'il faut, dites-le-moi.
Il
a une façon de faire qui me terrifie. Le Sumo me prend par la main
et on quitte la pièce. Il a dû remarquer mon tatouage, puisqu’il
me dit :
— Tu
t'appelles Hoki, c'est ça ?
—
Oui, Maître.
—
Pourquoi tu trembles, Hoki ?
—
J'ai peur, Maître. Depuis que je suis arrivée au Japon, je n'ai pas
arrêté d'avoir peur !
Il
rit ! Et son rire fait trembler les murs. Il me demande :
—
T'as peur que je te mange ?
—
Non Maître, je n'ai pas peur de ça...
—
Tant que tu obéis, il n'y aura pas de problèmes. Les servantes te
fouetteront un peu, mais c'est comme ça qu'on dresse les filles.
—
Oui Maître.
—
On ne blesse pas les filles... Mais tu devras bientôt t'occuper des
clients.
— Et
ensuite, Maître ?
—
La curiosité ne convient pas à une esclave, petite.
On
est arrivés au pied d'un ascenseur de service. Il est très étroit,
juste de quoi mettre trois personnes normales, mais avec le Sumo, je
suis collée contre son ventre. Il sent beaucoup plus la
transpiration que moi.
On
arrive dans la chambre, deux gardes et deux filles de notre groupe
sont déjà là. Ils ont dû prendre un escalier. On va vers un lit,
qui a l'air plus solide que les autres. Il me dit :
—
Déshabille-moi.
J'enlève
sa veste de kimono, puis son pantalon. Pas facile de déshabiller un
homme gros comme un éléphant. Il a un sexe qui n'est pas
proportionné, heureusement. Il doit bien faire 20 cm, mais j'avais
peur de voir une trompe de 40 cm. Après s’être couché sur le
lit, qui couine sous son poids, il me dit :
—
Grimpe sur moi.
—
Oui Maître, mais dans quel sens ?
—
69.
Bon... Il me
manque des chaussures à crampons, une corde et une pioche pour
escalader cette montagne de graisse ! J'y arrive. Son énorme
ventre est même douillet, je m'y enfonce mollement. Je lui dirais
bien que ça fait quelques jours qu'on a pas eu la permission de se
laver, mais il s'en fout, vu la voracité avec laquelle sa langue
fouille ma chatte. Ouch ! Comment il fait ça, l'énorme ? Je
suis mollement étendue sur lui, j'ai pris son sexe en main, mais les
sensations de sa langue en moi sont tellement fortes que je me
contente de gémir en me tortillant sous sa langue. Est-ce que c'est
normal qu'un hippopotame vous fasse jouir ? Non, d'abord, est-ce
qu'une esclave ou une servante ou quelque soit le nom qu'ils nous
donnent, a le droit de jouir ? J'ai tellement peur ici que je gémis
:
— Est-ce que
je peux jouir, Maître ?
Il
ne répond pas et qui ne dit mot, consent. Alors, je m'abandonne...
Un spasme tord mon bas-ventre et je...
—
Je jouiiiiiisss.... !
C'est
la première fois depuis longtemps ! D'ailleurs, je le lui dis :
—
Merci, Maître, c'est la première fois que je jouis depuis
longtemps.
Il a
sorti sa langue de mon vagin et répond :
—
Normal, tu es une esclave, Hoki.
Oui,
Hoki, c'est moi ! Je lui demande :
—
Je peux vous sucer, Maître ?
—
Non, j'ai envie de te baiser. Descends !
Je
ne demande pas mieux, étant donné que lui peut prendre des
douches... mais il n'en prend pas souvent. Je dois me mettre à
quatre pattes sur le lit... Il se met debout derrière moi pour me
caresser les fesses, en disant :
—
Quel beau cul, ils l'ont vraiment bien réussi.
Un
des gardes, celui qui se fait sucer par une fille, lui dit :
—
Ils leur ont fait des super culs ! Et toi, c'est pour demain ?
Tout
en chatouillant ma fente mouillée avec son gland, il répond :
—
Oui... Je pars pour une semaine.
Là
il s'enfonce en moi et... Oh ! Qu'il baise bien... Son gros ventre
va et vient sur mes reins et son sexe en moi. J'ignore complètement
si une esclave peut jouir une deuxième fois, mais c'est impossible
de résister, je me laisse emporter par un orgasme d'une force
prodigieuse, un genre de tsunami. Le meilleur de ma vie. D'accord, je
n'ai pas beaucoup d'expérience. Il continue pendant encore un moment
à me baiser, puis il jouit en moi... Il quitte mon vagin et pas
besoin qu'il me dise de le faire, je nettoie son sexe en esclave
zélée et repue de sexe. Il me dit :
—
C'est bien, rejoins les autres, petite.
—
Merci Maître.
Je
n'ose pas dire plus. Les trois filles qui étaient dans la pièce
attendent avec une servante qui est venue nous chercher. J'ai peur
qu'elle me punisse, mais non, elle me regarde en souriant, avant de
me demander :
—
Alors, c'était bon, esclave ?
—
... Euh... Oui, Mademoiselle, je ne sais pas bien pourquoi, j'ai...
je...
— Tu as
joui, parce que tu as le feu au cul, c'est tout.
Même
les trois filles de notre groupe me regardent en souriant.
On
suit la fille jusqu'à la pièce où se trouvent les servantes. Harui
parle avec elles, vite et sans doute en langage servante, car je ne
comprends rien. Elles me regardent toutes, certaines rient. Une des
servantes me dit :
—
On va demander à Maître Seiba de changer ton nom, tu ne
t'appelleras plus Hoki mais Boira.
Toutes
les servantes se mettent à rire. La fille me demande :
—
Tu sais ce que ça veut dire ?
—
Non Mademoiselle.
—
Ça veut dire "chaudière". Tu sais pourquoi on va
t'appeler comme ça ?
—
Oui, Mademoiselle.
—
Dis-le.
Autant
dire quelque chose qui leur convient ! Je réponds :
—
Parce que j'ai le feu au cul, Mademoiselle.
Rire
général... même les filles de notre groupe rigolent. Harui, la
chef des servantes, dit :
—
En attendant, on va les faire travailler.
Les
servantes ont toutes un fouet à trois lanières plates qu'on ne
connaît que trop bien, hélas. Elles choisissent une fille.
On
va toutes dans la pièce où est entreposé le matériel de
nettoyage. La servante qui est devenue ma Maîtresse énumère ce que
je dois prendre : seau, serpillière, balai, comme mon ancien nom,
savon, raclette... On va aussi chercher draps, taies d'oreiller,
serviettes propres... Ensuite, nous allons au premier étage. Elle
toque à la porte d'une chambre, personne ne répond. Elle ouvre avec
son passe.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos
7 livres illustrés sont ici :
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