jeudi 3 mars 2022

Ashley - 64 Contrats

Il revient le lendemain, je suis devenue son idée fixe. Dans la chambre, il me dit :
— Tu vas me sucer et je vais jouir, mais je veux que tu n’avales que quand je te le dirai, hiiiiiiiiiiii !
— Oui Monsieur.
Je m'agenouille entre ses maigres cuisses, face à l'anguille morte qui lui sert de bite. Je commence à la sucer. Il me répète :
— Tu gardes tout en bouche, hein !
Je hoche la tête sur sa bite. Heureusement que je n'en suis pas à ma première pipe ! Ça ne dure pas... Il jouit en faisant un festival de cris variés. Ça y est, j'ai la bouche pleine. Il presse son sexe de bas en haut pour m'envoyer ce qui reste encore dans le canal. J'ai les joues aussi gonflées qu'un hamster qui revient des grandes courses ! Il est ravi et me dit :
— Tu n'as rien avalé ?
Je fais non de la tête. Rire idiot... Si ça doit durer, je sens que je vais tout lui envoyer dans la figure... Enfin, il me dit :
— Tu peux avaler, hiiiiiiiiiiii !
Ce n'est pas ma tasse de thé du tout, mais je suis une pute... Il prend des billets dans son portefeuille et les éparpille par terre en disant :
— Ramasse, hiiiiiiiiiii !
Quand c'est fait, j'ai droit à un :
— Qu'est-ce qu'on dit ?
— Merci Monsieur, vous êtes très généreux.
— Et toi, tu sais comment gagner de l'argent avec tes fesses et ta bouche, hoooouuuuu !
Il s'en va... au diable, j'espère.
Le reste de la journée se passe normalement... Deux ou trois fellations et levrettes, la routine. Je pense au fou : me marier avec ça  !!!
***
Le lendemain, je revois Donald... On joue "chienne". Je suis obligée de me mettre nue, à quatre pattes. Il me lance un os en caoutchouc que je dois aller chercher et rapporter. Tout ça ponctué de rires idiots. Il me met un collier et une laisse. 



Il faut le sucer aussi et quand la chienne a avalé le sperme de son maître, il me demande :
— Qu'est-ce qu'elle fout ta propriétaire ?
— Mademoiselle Hunter est au Canada, Monsieur, mais elle revient pour vous voir...
— Je te jouerai au poker avec elle, je gagne toujours, hiiiiiiiiiiii !
Il part en me laissant une poignée de billets de 100 $. Je me rhabille pour aller au bureau. Summer est là, enfin... Je me colle à elle et lui demande :
— Tu restes un peu, hein ?
— Oui, on va s'occuper de ton amoureux.
Je fais la grimace. Elle ajoute :
— Monsieur Sam est ici spécialement pour ça.
Oh ! Il prend le dingue au sérieux ! On quitte le bordel pour aller vers l'hôtel. Monsieur Sam est assis à la terrasse de l'hôtel avec Sarah, sa maîtresse, qui est une vraie garce. Summer serre la main de Monsieur Sam et embrasse Sarah. Ils échangent quelques mondanités. Et moi ? J'ai dit bonjour « Monsieur Sam, bonjour mademoiselle Sarah ». Personne ne répond, je crois que je suis devenue transparente. Summer dit à Monsieur Sam :
— J'ai pris Ashley avec moi, elle est quand même très concernée. Elle peut s'asseoir ?
C'est Sarah qui répond :
— Tu l'as affranchie ?
— Non, mais..
— Alors qu'elle reste comme ça, elle a tendance à oublier où est sa place.
Elle, un jour, je... Qu'est-ce que je pourrais jamais faire ? Je suis désarmée et tout est organisé pour que je n'oublie surtout pas que je suis une esclave. Je m'en fous ou alors... je sens que j'ai les larmes aux yeux. Sarah commence par rire, puis elle me dit :
— Pleure pas bébé, tu peux t'asseoir, mais pas près de nous.
Elle me désigne une table un peu plus loin. Je suis tellement bien drillée que je réponds :
— Merci, Mademoiselle.
Alors que je lui enfoncerais volontiers... une bouteille de bière dans le cul. Non, elle pourrait aimer ! Une serveuse vient demander à Summer ce qu'elle veut boire. Quand elle revient, c'est avec deux verres. Un pour Summer et l'autre pour moi. En souriant, elle me dit :
— De la part de ta Maîtresse.
— Merci...
Grâce à ma "Maîtresse", je peux boire une Margarita et j'adore ça !
Je bois, ils parlent... de mes futures noces ! Mais non, je refuse d'épouser le dingo ! J'entends qu'ils parlent d'un contrat de mariage... les bébés Gomez ou plutôt Maîtres Gomez et Gomez vont lui faire signer un contrat où il est écrit que Summer Hunter accepte la proposition de Donald Spassy d'épouser l'esclave Ashley Stirland qui lui appartient – en échange d'une somme de 10 000 $ – mais qu'en cas de divorce ou de décès, l'esclave Ashley Stirland redeviendra la propriété de Mademoiselle Summer Hunter. Ils ont intérêt à me donner de sérieuses garanties pour que j'épouse ce barjo ! Oui, je dis des bêtises, là. Je ferai ce que Summer me dira de faire, évidemment. Je bois en rêvant à une vie avec Summer, on est riches, on a un bateau et... Un "pssst" me sort de ma rêverie. C'est Sarah qui me fait signe d'approcher. Elle me dit :
— Assieds-toi.
Quel honneur ! Quand je suis assise, Sarah (pourquoi elle ?) m'annonce :
— Tu vas épouser ce type et ça ne durera que trois semaines, maximum un mois.
— Il me fait peur, Mademoiselle.
Elle se tourne vers Summer en disant :
— Tu vois, elle n'est pas encore bien dressée. Je vais la prendre avec moi, j'ai une gouvernante qui est beaucoup plus efficace que Madame Stone.
Je réponds aussitôt :
— Je ferai tout ce que me dira ma Maîtresse.
Summer me répond :
— Je sais... tu devras faire des jeux comme dans la chambre, la chienne, les billets... Ce qu'il aime, c'est humilier la Première Dame. Il ne t'a pas fait mal ?
— Non. À part... non, rien.
Je n'ose pas dire qu'il m'a donné une claque sur les fesses. Ce serait de la folie de se plaindre d'une claque quand on est une esclave. N'empêche, je pourrais bien me mettre à pleurer. Monsieur Sam me dit :
— On a quelqu'un sur place.
Je regarde Summer, elle fait oui de la tête. Bon, je baisse la tête, vaincue sans combattre. Je peux déjà être heureuse de pouvoir rester à la même table qu'eux et même de recevoir quelque chose à boire. Summer, qui me connaît bien, me dit :
— Ça m'énerve quand tu joues les martyrs.
— Mais... tu ne le connais pas, il est...
Sarah répond :
— Très riche.
Elle n'a qu'à l'épouser elle-même, la conne !
***
Deux jours plus tard, on se retrouve dans la nursery des bébés Gomez... Mais non, dans le bureau de maîtres Gomez et Gomez. Il y a Summer et moi, Monsieur Sam et Sarah, les bébés Gomez et bien sûr Donald Spassy plus gloussant que jamais. On est assis autour d'une grande table, même moi. Summer y va de son petit compliment :
— Je suis très flattée qu'un homme de votre importance m'achète une esclave, mais vous devez comprendre que je tiens quand même à elle. Elle est très demandée. 
Rire de l'idiot qui répond :
— Oui, c'est une pute qui a la langue bien pendue, hiiiiiiii !
— Je vous la vends pour 1000 $ par mois pendant 5 ans.
Geste désinvolte de Donald, qui répond :
— D'accord, aucun problème, c'est une goutte d'eau dans ma mer de pétrole, hiiiiiiii !
Trop drôle ! Tout le monde rit complaisamment. Il se touche l'entrejambe en disant :
— On est donc d'accord... Mais comme tout ça m'excite, j'ai envie que ma future femme me suce la bite. Si ça ne vous dérange pas.
C'est Monsieur Sam qui répond :
— Pas le moins du monde, cher Monsieur, c'est comme si elle était déjà à vous.
Mais ils sont tous devenus fous ?? Là, je vois un rapide échange de regards entre Monsieur Sam et Summer, comme si tout ça les arrangeait bien. Sarah me lance :
— File sous la table, Ashley !




Pfff... je me retrouve à nouveau entre les cuisses du dingo, puis devant son sexe qui me dégoûte, mais alors à un point...! Je l'embrasse en grimaçant, puis je prends son gland en bouche. En haut, Summer me dit :
— Le grand jeu, n'est-ce pas jeune fille !
Elle ne dit jamais ça ! J'obéis évidemment à ma Maîtresse. C'est au tour des bébés Gomez d'entrer dans la danse, ils lui disent :
— Le problème qu'il pourrait y avoir, c'est que si vous divorcez, Mademoiselle Summer se retrouverait sans revenus... Nous avons donc ajouté une clause précisant qu'en cas de divorce ou de décès, Ashley et tous ses biens redeviendront la propriété de Mademoiselle Summer.
Je caresse le bout de son gland avec mes amygdales, tandis qu'il répond :
— Putain de merde ! Cette pute est la meilleure suceuse de bite que j'ai rencontrée, hooooooooooooo...
— Alors vous êtes d'accord, Monsieur Spassy ?
— Ouiiiiiiiiiiii, il me la faut ! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....
— Si vous voulez bien parapher toutes les pages puis écrire « lu et approuvé » sur la dernière et la signer.
Je ralentis le rythme de ma langue tandis qu'il signe... Enfin, je suppose parce que je suis toujours à l'étage en dessous. Je m'arrête un peu pour me reposer la langue, mais il lance aussitôt :
— Je t'ai dit de t'arrêter ?
Je continue, tout en pressant ses couilles gonflées ! Allez, crache ton venin, horrible... troll !! Ah, il redevient sonore :
— Hooooo, hiiiiiiiiii, avale tout, salope !
Je déglutis son sperme, il est mieux dans mon ventre que dans mon vagin, tout sauf un bébé de ce dingue... au cas où ma contraception me lâcherait. Après sa panoplie de cris, un des Gomez lui dit :
— Tout est en ordre, Monsieur Spassy. Voici les documents et votre contrat de mariage.
Donald prend les papiers et dit :
— On va partir à Vegas... Mon jet privé nous attend. Au revoir.
Il ajoute pour moi :
— Et ce soir, c'est ta nuit de noces. Ça va être la fête à ton cul, salope, hiiiiiiiiiii !
Je me remets debout, j'embrasse Summer et je le suis... Oh, sans le moindre enthousiasme !
À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

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