Dessin inédit de Bruce Morgan pour Lizy, ma nouvelle histoire :
Photo de la série « demain je mangerai pas trop ».
Dans la série « en patins », voici ma photo préférée.
***
Pénétrez dans mon univers érotique, lisez mes livres.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
Les 7 livres avec des dessins de Bruce Morgan sont ici :
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
En fin d'après midi, Monsieur Sam dit enfin :
—
Je n’arriverai pas à prendre plus, vous continuerez demain.
Quelle
bonne nouvelle ! Je suis épuisée et je ne suis pas la seule.
Maintenant, il faut tout ramener, en tirant les sacs en ce qui me
concerne. Je vois que Sarah n'arrive pas à mettre un sac sur son
épaule. Il n'y a que Summer et Mathilda qui y arrivent. Le pick up
de Ruppert a réussi à descendre une partie du chemin. Les hommes
mettent les sacs dans la benne arrière. Quand tous les sacs sont
chargés, Monsieur Sam nous dit :
—
Je reviendrai après demain. Au revoir à tous.
On
répond "Au revoir monsieur Sam". Il part avec Sarah et
Ruppert. Je murmure à Summer :
—
Comment il va faire ?
—
En avion...
Les 4
jours suivants se passent de la même façon. C'est très fatigant...
On rapporte l'or, on mange, on boit, on dort... Monsieur Sam revient
encore deux fois pour achever d'emporter les trésors. Ruppert et sa
famille sont euphoriques. Summer n'a pas l'air de trop s'en faire de
devenir une esclave pendant deux mois et demi.
Au
cinquième jour, on prend un avion à Arthur Town's afin d’aller
travailler pour Monsieur Sam.
****
Quatrième
partie.
**************
En
vol, je dis à Summer :
—
Si on partait en vacances ?
—
Un coup de pute à Monsieur Sam, ça suffit pour le moment... Il a
acheté un grand casino à Vegas. C'est là qu'on va.
—
On sera des esclaves ?
—
Tu l'as entendu, non ?
Je
ne dis pas un mot, ce qui n'est pas dans mes habitudes. Elle ajoute
:
— On ne
restera pas là... Je n'aime pas le désert. Je sais comment faire
pour qu'il nous mette ailleurs..
Je
gémis :
—
Esclave, c'est...
—
Obéis, montre que tu es soumise et tout se passera bien...
Maintenant, tu souris où je demande qu'on te fouette en arrivant.
Je
souris de quelques millimètres. On atterrit à l'Aéroport
international McCarran. Comme on vient des Bahamas, les formalités
sont plus compliquées. On nous interroge, mais le nom de Monsieur
Sam est magique. On prend un taxi jusqu'au casino.
On
arrive devant un très grand bâtiment surmonté d'un soleil au néon
qui illumine l'ensemble. Le casino s'appelle Midnight Sun (soleil de
minuit), c'est original. On entre dans un immense hall. Il y a une
entrée pour l'hôtel, une pour le casino et une troisième pour une
salle de spectacle. On va vers le comptoir de la réception et Summer
dit à un des employés :
—
Salut Jo.
Il la
regarde surpris, puis la reconnaît et dit :
—
Summer ! Alors c'est vrai, tu viens travailler ici ?
Ils
s'embrassent et il ajoute :
—
Tu as pris des risques énormes, à ce qu'on dit...
—
Ça valait le coup. Esclave deux mois, c'est pas la fin du monde.
—
D'accord... mais Madame Stone n'est pas commode.
Summer
me jette un coup d'œil. Elle le savait et elle ne m'a rien dit.
Madame Stone, c’est le démon qui fouette une esclave tous les
matins. Je gémis :
—
J'y vais pas...
Summer
me prend fermement par le bras en disant :
—
Monsieur Sam t'a rachetée à Madame Crasston, tu lui appartiens.
Je
vais me mettre à pleurer... elle ajoute :
—
Dans 15 jours, on part d'ici, promis.
L'employé
lui demande :
—
Je vais pouvoir te baiser ?
Summer
sourit et répond :
—
J'en serais très honorée, Monsieur.
Putain !
Qu'est-ce qu'elle prend ça bien, elle ! L'employé appelle une
servante et lui dit :
—
Conduis-les chez la première fille.
—
Oui Monsieur.
On
la suit. Cet hôtel-casino est immense. On descend par un petit
escalier qui nous mène à un couloir en sous-sol, jusqu'à l'arrière
du bâtiment. On monte quelques marches et c'est le bâtiment du
personnel. Elle va frapper à une porte, une fille en sort et lui
demande :
—
Quoi ?
— C’est
mademoiselle Summer et...
—
Oui. Entrez.
Elle
a une robe noire de femme de chambre mais sans tablier. Elle nous dit
:
— Je suis la
Première Fille...
Et
en regardant Summer, elle ajoute :
—
Et j'ai des ordres.
—
Certainement, Mademoiselle.
—
Bien, déshabillez-vous.
Quand
on est nues, elle tend un collier d'esclave à Summer, puis à moi.
On les met autour du cou, avec désinvolture pour Summer, avec
horreur en ce qui me concerne.
Elle
nous dit :
— Je
vous conduis dans la chambre.
Elle
ouvre une porte. Dans une pièce, il y a dix matelas par terre et
cinq filles qui se lèvent dès qu'elles la voient. Elle referme la
porte à clef derrière nous. On entre dans la pièce et Summer dit
:
— Salut les
filles.
Elles
répondent "salut" ou "bonsoir". Elles regardent
toutes les tatouages de Summer : tigre, dragon... Des erreurs de
jeunesse, explique-t-elle. Il y a aussi ses cicatrices qui ne sont
pas vilaines, mais... explicites. Une des filles nous dit :
—
Je suis chef de chambre et... les nouvelles doivent faire les
corvées. Vous allez....
Summer
s'allonge sur un matelas et répond :
—
Non.
La fille
bredouille :
—
Si vous... euh... ne le faites pas... on sera punies toutes les
deux.
— Rien à
foutre.
À ce
moment, la porte s'ouvre et la Première Fille tend son téléphone à
Summer, en disant :
—
Monsieur Sam.
Elle
prend le téléphone et dit :
—
Bonsoir Monsieur, il y a un problème ?
—
.........
— Oui,
je sais ce qui va m'arriver.
—
...........
—
D'accord... Merci, Monsieur.
Elle
se lève et tend le téléphone à la Première Fille, en disant :
—
Merci Mademoiselle, c'est arrangé.
La
fille s'en va. Summer se tourne vers la chef de chambre, en disant
:
— Je vous prie
de m'excuser, nous sommes les dernières arrivées et Ashley fera les
corvées. Pour ma part, je serai fouettée demain.
Elle
a l'air de s'en foutre complètement. La chef de chambre nous dit :
—
Je suis contente que ce soit arrangé... Il y a deux seaux pour faire
pipi, pour le reste, on a accès à une toilette demain. Il y a des
bouteilles d'eau si vous avez soif.
—
Merci et désolée pour tout à l'heure, j'étais un peu à
cran.
C'est le
moins qu'on puisse dire ! Ça commence fort... Les filles n'ont pas
l'air à l'aise du tout. Summer leur dit :
—
On va se présenter. Je m'appelle Summer et je suis chasseuse de
primes. J'ai fait une bêtise et je suis punie. À côté de moi,
c'est Ashley, qui a joué dans Cléopâtre avant d'épouser l'ancien
Président.
Les
filles se présentent aussi. Je suis très stressée et j'oublie tous
les noms immédiatement. Dans la chambre, la tension retombe.
Évidemment, les corvées, ce sera pour moi ! La chef de chambre
nous dit :
— Si
vous voulez boire, prenez une bouteille. Dans cinq minutes, ils vont
éteindre.
Je vais
chercher une bouteille et on va faire pipi ensemble. Ça manque un
peu d'intimité. Il y a heureusement une petite fenêtre ouverte.
Impossible de s'échapper par là avec nos colliers qui indiquent où
nous sommes... quoique je me suis déjà échappée, moi. On se
couche sur deux matelas... Je touche le bras de Summer et elle hoche
la tête. Je peux me mettre contre elle.
Il
y a deux autres filles qui se mettent aussi l'une contre l'autre. Je
chuchote à Summer :
—
Tu seras fouettée ?
Elle
répond de la même façon :
—
Si je me conduis comme une esclave, on ne restera pas longtemps ici
et le fouet, je m'en fous.
J'espère
qu'elle dit vrai ! Je m'endors...
***
Le
lendemain, une fille me secoue et me dit tout bas :
—
Tu dois prendre les seaux et attendre derrière la porte. Une fille
viendra l'ouvrir et elle te montrera ce que tu dois faire.
Je
prends les deux seaux, ils sont lourds. La Première Fille vient
ouvrir, elle est avec une autre esclave. Je lui dis :
—
Bonjour Mademoiselle.
—
Bonjour, cette fille va te dire ce que tu devras faire tous les
matins, jusqu'à l'arrivée d'une nouvelle.
Je
dois vider les seaux dans les w.c., puis les laver avec une brosse et
de la poudre à récurer. Je pense à Summer, pourvu qu'elle ne fasse
pas de connerie... comme tuer Madame Stone. Je ne suis évidemment
pas contre l’idée, sauf que ça lui amènerait des ennuis. Quand
les seaux sont bien propres, la fille me dit :
—
Suis-moi.
On va à
la cuisine. Elle est immense, il y a beaucoup de personnes occupées
de préparer des petits déjeuners ou des plats pour les restaurants
du casino et de l'hôtel. Deux filles font la vaisselle. C'est le QG
de Madame Stone... Elle est assise ou plutôt vautrée dans un
fauteuil, aussi grasse et malfaisante qu'une araignée dans les
marais de Cat Island. Une vingtaine d'esclaves nues forment deux
rangs devant elle. Summer en fait partie, au premier rang, les yeux
baissés. Madame Stone s’exclame :
—
Ashley ! Celle qui m'a fait un coup de pute !
Aïe !
Ça commence mal. Elle poursuit :
—
J'ai eu des ennuis à cause de toi...
—
Je suis désolée, Madame, je...
—
Je t'ai donné l'autorisation de parler ?
—
Non Madame.
— Je
dois punir quelqu'un, Summer ou toi. À toi de choisir. Vas-y, tu
peux parler.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
***
Je vais me faire tirer les oreilles si je publie l’épisode 59,
mais je peux vous l’envoyer par mail si vous le souhaitez.
***
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres.
Fais gaffe, tu vas t’envoler !
- Mais, non… y a mes fesses.
Ah oui, c’est vrai….
***
Assise sur mes fesses, j’écris des livres que vous allez adorer.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
Très joyeux Noël à tous...
Je vous souhaite de passer un super réveillon…
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres.
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Là, je m'apprête à faire un double salto arrière sur patins
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres.
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchJ’écris des livres que vous allez adorer.
J’écris des livres que vous allez adorer.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
Nos 7 livres avec des dessins de Bruce Morgan sont ici :
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mais, pourquoi le photographe me fait toujours grimper sur un truc ?
***
J’écris des livres que vous allez adorer.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
Ils boivent. Summer me laisse terminer sa bière.
Dans
le courant de l'après-midi, des clients viennent chercher des pièces
détachées de voitures et des objets divers. Le père va prendre ça
dans une sorte de hangar bricolé. Ils sont tous Noirs et très
intéressés par la servante blanche. Quelques amis viennent boire
une bière. Ils mangent peu mais boivent beaucoup. Les parents et les
enfants ont tout de suite retenu mon nom, les amis aussi. Sans arrêt,
j'entends "Ashley, va chercher..." à boire ou même, la
fille me dit :
— Ashley,
passe-moi ma bière.
Alors
qu'elle n'a qu'à tendre le bras pour la prendre ! Je suis leur
nouveau jouet.
***
Le
soir, ils sont plusieurs à manger ici. Tous, ils me demandent
quelque chose et ils sont ravis quand je leur fais une révérence.
Il faut dire que les épouses et les filles travaillent comme bonnes
chez des riches propriétaires blancs. Quant aux hommes, ceux qui
travaillent, c'est souvent dans leurs plantations. À la fin du
repas, je reçois les restes... Ils ont une grosse revanche à
prendre et, manque de pot, ça tombe sur moi. Quand j'ai fini, je
demande à la fille :
— Vous
pourriez me dire où je peux faire pipi, Mademoiselle ?
— Dehors.
Le
fils prend une lampe de poche en disant :
— Je
vais te montrer.
On
sort et il éclaire un coin de terre herbeux en
disant :
— Fais-la.
Oh
putain, ils n'ont pas de w.c. ! Je retrousse ma jupe et je pisse,
tandis qu'il éclaire ma chatte.
Quand
j'ai fini, il pose la main sur mon épaule en disant :
— Reste
comme ça.
Il
éclaire mon visage puis le bout de son sexe. Mais, j'ai pas envie du
tout, moi !! Il me dit sèchement :
— Obéis !!
J'ai
tellement l'habitude d'être docile que j'ouvre la bouche et il
s'enfonce entre mes lèvres en grognant de satisfaction. Il braque
toujours sa lampe sur moi, tandis que mon visage va et vient sur son
sexe. Il me dit :
— J'aime
ça, voir une Blanche me sucer la bite.
Mais
qu'est-ce qu'ils ont tous avec les Blancs ?
Tu
le sais, lectrice imaginaire, quand on suce un homme à l'improviste,
ce n'est pas toujours agréable. D'autant plus quand c'est un garçon
qui vit dans une cabane où il n'y a pas de sanitaires... Tandis que
je tiens la base de son sexe de la main droite, je presse ses
couilles de la main gauche. Il aime et me le dit :
— Oh,
putain de Blanche, qu'est-ce que tu suces bien !
Encore
quelques allers et retours de ma bouche sur son sexe et il jouit. Là
aussi, j’ai l’habitude d’être obligée d’avaler. Il me
regarde déglutir son sperme dans le faisceau de sa lampe et il
redit :
— Oh,
putain de putain !
Ça
va, j'ai compris... Je me relève et on retourne dans la maison. Ils
ont tous bien picolé. Dès que je suis de retour, je dois continuer
à servir un alcool du coin qui a l'air hyper fort. Le jeune homme me
regarde beaucoup et il me caresse la jambe quand je suis près de
lui.
Vers
minuit, j'ai du mal à me retenir de bâiller. Heureusement, c'est
l'heure où les invités s'en vont. Il y a deux petites chambres, une
pour les parents, l'autre pour les enfants... Le père amène un
vieux matelas dans la pièce qui sert de living. Mouais... Summer et
moi, on se couche toutes habillées et je me colle à elle.
***
Le
lendemain, les parents se lèvent vers 8 h. J'ai heureusement passé
une bonne nuit, surtout parce que j'étais contre Summer. Le fils,
vient m'embrasser, tandis que sa sœur, continue à me donner
des ordres, les parents aussi... Connaissant bien Summer, je
vois qu'elle a l'air stressée. Je lui demande :
— Il
y a un problème ?
— Oui,
il va y en avoir un... tu te souviens du 1 % de plus que les bébés
Gomez ont obtenu... Monsieur Sam n'a pas aimé du tout. Tu vas voir
que...
Elle
s'interrompt parce qu'on entend un bruit de moteur. C'est un taxi qui
dépose Monsieur Sam. Je vois qu'il est avec quelqu'un. Oh !
C'est Sarah, sa nièce. C'est une vraie garce. Il ne lui a fallu que
24 h pour arriver. Je suppose qu'il a pris un jet jusqu'à Nassau,
puis un petit avion jusqu'ici. Summer va le saluer et elle embrasse
Sarah. Moi, on m'ignore ou plus exactement, avec mon uniforme, je
passe complètement inaperçue. Monsieur Sam, Summer et Sarah vont
discuter avec Ruppert dans l'atelier. La mère et Melinda n'ont pas
l'air très concernées. Au bout d'une vingtaine de minutes, ils
reviennent devant la maison. tout à l'air d'aller... à part quand
Monsieur Sam dit :
— J'ai
quelque chose à mettre au point avec les filles et puis on peut y
aller.
— Pas
de problème.
Il
se tourne vers Summer en disant :
— Je
sais que tu n'as pas peur de grand-chose, mais me faire chanter,
c'est prendre un très gros risque.
— Je
n'ai pas fait ça, je...
— Tu
te tais et tu écoutes.
On
écoute tous, moi pas du tout à l'aise. Monsieur Sam poursuit :
— Tu
as doublé ce que je voulais te donner, à un moment où je ne
pouvais plus changer mes plans. Tu seras punie.
Ouch !
Personne n'ose parler comme ça à Summer. Monsieur Sam
continue :
— Tu
auras tes 2 %, mais... toi et ta copine, vous devrez travailler
trois mois pour moi. Après ces fouilles, vous viendrez au nouveau
casino et tu seras traitée comme une esclave.
Summer
répond :
— Merci
Monsieur.
Ah,
mince ! Elle sera traitée comme une esclave et elle remercie...
sans doute parce qu'elle craignait pire. Qu'est-ce qu'il y a de pire
qu'être traitée comme une esclave ? Oui, plein de choses.
Monsieur Sam se tourne vers le père et lui dit :
— On
peut y aller.
On
monte dans un vieux pick up. Ruppert conduit, Monsieur Sam et Sarah
sont à côté de lui.... Summer et moi, on est dans la benne du pick
up. Je prends la main de Summer et je caresse sa paume avec mon
pouce, ce geste signifiant : « Je t'en prie Summer, explique ».
Elle me dit à l'oreille :
— Qu'est-ce
que tu veux que je te dise... Je l'ai baisé et ça lui fait mal au
cul. Esclave pendant deux mois pour 1 % de plusieurs trésors, je
prenais le risque.
— Et
moi, je serai esclave avec toi ?
— Toutes
les chances... mais Monsieur Sam va te garder. Dans deux bons mois,
on partira ensemble... Je t'expliquerai.
— Et
pour le trésor ou les trésors ?
— Ruppert
est le jardinier et l'homme à tout faire d'un riche Blanc, dont la
famille est ici là depuis des siècles. Leur fille est leur bonne.
Quand ils sont absents, c'est-à-dire neuf mois par an, c'est lui qui
s'occupe des chiens, de la maison et du jardin. La propriété est
entourée d'un haut mur électrifié. Là où on cherchait, on a
aperçu le mur. Les trésors sont juste derrière.
J'ai
bu ses paroles et je la regarde avec de grands yeux. Elle
ajoute :
— Ça
te plaît comme histoire, hein ?
— Oh
oui ! Par contre la présence de Sarah....
Je
ne continue pas, car on est arrivées devant la propriété. Tout
autour, il y a le mur électrifié. Le portail s'ouvre puis se
referme derrière nous. Deux chiens courent autour de la voiture.
Ruppert arrête le pick up et descend. Les chiens lui font une fête.
Ils sont grands et impressionnants, je ne connais pas leur marque, je
veux dire leur race, peut-être des danois. Il dit aux chiens qu'on
est des amis... Oui, ça vaut mieux. On descend tous...
J'admire
la maison... très grande, très moderne. Elle est entourée d'une
belle végétation tropicale. Plus loin, c'est la forêt et les
marais qui recommencent jusqu'à la mer. En contrebas de la maison,
il y a une très grande piscine. Ruppert nous dit :
— Suivez-moi,
c'est à une petite demi-heure.
Sarah
me montre un grand sac qui est à l'arrière du pick up ainsi qu'un
frigo portable en disant :
— Toi
tu portes ça, il faut que tu serves à quelque chose.
Mais
pourquoi moi ? Elle me regarde, alors je réponds :
— Oui
mademoiselle Sarah.
Toujours
aussi garce ! On prend un petit sentier entouré de buissons
d'hibiscus et d'autres arbustes à fleurs. Ruppert est devant, suivi
par Sarah, Monsieur Sam, Summer, moi et mon gros sac et puis les
chiens qui me collent autant que si j'étais une entrecôte sur
pattes. En quittant les buissons de fleurs, on entre dans la forêt.
Je regarde bien autour de moi, au cas où il y aurait des araignées.
Après une marche épuisante, surtout pour moi, on arrive pas loin du
haut mur qui clôt la propriété. Ruppert dit :
— C'est
ici, devant nous.
Je
pose enfin le sac et le frigo. Il va dans une zone un peu dégagée
entre des arbres en disant :
— Les
chiens suivaient un animal, ils ont creusé et des monnaies sont
apparues.
Sarah me
dit :
— Donne-moi
le sac.
Je vais le
mettre à ses pieds.
— Ouvre
et sors le détecteur.
Elle
est devenue paralysée ? Je lui donne le détecteur, elle l'allume
et met des écouteurs. Ensuite, elle le passe au-dessus de la zone
que Ruppert a indiquée en faisant des mouvements de va-et-vient très
près du sol. Elle s'arrête et nous regarde en disant :
— Ça
sonne partout !
Elle
prend une pelle pliable dans le sac et me
dit :
— Creuse.
Heureusement,
le sol est sableux, donc assez meuble. Je creuse environ un mètre et
je cogne quelque chose. Je dégage un peu et je vois apparaître des
débris de bois et l'éclat doré des monnaies. Ils viennent tous
voir. Grand sourire de Monsieur Sam, qui dit à Ruppert :
— On
commence demain si ça vous convient.
— Tout
à fait.
Puis
il me dit :
— Rebouche
le trou...
Pendant
que je remets de la terre dans la cavité, Summer sort des bouteilles
de champagne du frigo en disant :
— On
va arroser ça.
C'est
pour ça que c'était si lourd : il y a plusieurs bouteilles de
champagne. Elle l'ouvre et remplit des gobelets en plastique. Je
demande à Monsieur Sam :
— Je
peux en avoir, Monsieur ? J'ai très soif...
— Oui.
Ouf !
Comme eux, je bois plusieurs verres... On est tous euphoriques.
À
suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Bruce Morgan a aussi illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous".
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres.
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mia se prend pour une autruche.
***
Qui n’est pas caché y est...
- Cache-toi, Mia.
Mais, je suis cachée.
***
J’écris des livres que vous allez adorer.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Je voulais publier la photo d'un vieux mur... mais c'est pas glamour... C'est peut-être mieux avec mes fesses devant ?
***
J’écris des livres que vous allez adorer.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
Il y a un nouvel épisode de Lizy, avec ce dessin inédit de Bruce Morgan, ici :
www
Non, je ne suis pas coincée… Enfin, si quand même un peu.
Quelqu’un aurait un chausse-pieds ?
***
Quand je ne suis pas coincée, j’écris des livres que vous allez adorer.
https://www.amazon.fr/gp/product/B01LZV7WG2/ref=dbs_a_def_rwt_bibl_vppi_i3
Il y a un nouvel épisode des aventures de Lizy sur www.miasansdessous.com
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans nos livres.
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search