Je ne suis pas maquillée et j'ai les cheveux tirés en queue de cheval, comme les esclaves du señor de la Cruz. J'ai l'air très jeune, mais pas 8 ans quand même. Summer est redescendue et elle parle avec la serveuse et les hommes dans le café. Je ne serais pas étonnée qu'elle parle de moi, parce qu'ils me regardent en souriant... Elle vient s'asseoir en face de moi et dépose un verre de tequila devant elle. Je n'en voudrais même pas : la tequila, ça pique. Elle me dit :
— On va aller acheter des robes et des sandales pour toi.
Elle, en robe ?! On va à pied jusqu'au village... Il n’y a qu’un magasin de vêtements, avec peu de choix. Summer achète une robe noire sans manche pour elle et une robe blanche avec des petites fleurs rouges et bleues pour moi. On va continuer à me donner des sucettes... Elle m'achète aussi des baskets.
Le soir, le patron du café-restaurant nous a préparé un très bon poisson grillé et comme désert, des "churros renellos" fourrés de chocolat. Le tout arrosé d'un bon vin blanc. Il y a des siècles que je n'ai plus aussi bien mangé. Je fais un énorme effort pour ne pas poser de questions à Summer.
On traîne un peu dans le café, elle parle avec les clients, moi je m'endors à moitié.
Vers 10 h, on monte dans la chambre. Quand on est nues, je lui dis :
— Il y a si longtemps que je ne t'ai plus...
— Demain matin, je suis fatiguée.
Moi aussi. On se couche et je me colle à elle. Comme elle a mis son bras derrière la tête, j'embrasse les poils de son aisselle. J'adore son odeur, je l'ai déjà dit peut-être ?
***
Le lendemain matin, je suis réveillée par une claque sur les fesses. C'est la méthode Summer. Elle me dit :
— Habille-toi, on se tire.
— Mais, je voulais te... t'embrasser.
— Plus tard. On a rendez-vous.
Elle enfile la petite robe noire qu'elle a achetée. Je lui demande :
— Je peux me doucher ?
— Pas le temps !
Bon... J'enfile la robe de petite fille. Elle ferme son sac et me le donne. On descend, elle paye le patron et on quitte l'hôtel. Je marche derrière elle avec son sac. On fait du stop et un homme nous dépose devant un grand hôtel, le Paraiso Marino.
On entre et Summer demande à la réceptionniste de prévenir Messieurs Gomez que Mademoiselle Hunter est là...
On attend, assises dans des fauteuils. Dix minutes plus tard, je vois arriver deux hommes, presque identiques : ils sont blonds, coiffés avec une ligne sur le côté, grassouillets avec des bonnes grosses joues et un petit nez. Ils portent des costumes blancs et des cravates ficelles, comme au Texas. Summer se lève et les embrasse. Elle me présente d'abord :
— Chers maîtres, voici Ashley, l'ex Première Dame.
Ensuite, elle me dit :
— Maîtres Raul et José Gomez, les meilleurs avocats des États-Unis.
Ils m'embrassent sur les deux joues. Ils sentent le talc ! Ils n'ont pas l'air bien redoutables, mais si Summer le dit, c’est qu’ils le sont. On va dans la salle à manger, prendre le petit déjeuner. Mon Dieu, comme c'est agréable de se faire servir. Summer et les frères Gomez parlent de politique et de gens que je ne connais pas. Je mange des œufs au bacon, puis des pâtisseries au miel. Les frères Gomez me regardent, amusés. À un moment, Summer me dit :
— Tu as assez mangé.
Elle a raison... je repousse mon assiette. Comme je ne mange plus, je les observe en cherchant à différencier les frères. J'ai trouvé ! Celui qui s'appelle Raul a la raie à droite, tandis que José a la raie à gauche. Tandis que je les observe, José a soudain le menton qui tremble et il dit tout bas à Summer :
— Pipi...
Elle répond :
— Retiens-toi.
C'est tellement incongru que je dois faire un effort pour ne pas éclater de rire. Raul, donc raie à droite, dit :
— Lolo...
Ils sont gâteux ? Summer se penche vers moi et me dit :
— Tu fais comme moi.
Elle se lève et prend un frère par la main, je fais pareil avec l'autre. On prend l'ascenseur pour aller jusqu'à leur chambre. Elle est super, rien à voir avec celle qu'on avait la nuit passée. Et là, les deux frères se mettent à pleurer ! Summer me dit :
— Ils ont faim.
Elle s'assied sur un lit et Raul s'installe sur ses genoux en pleurnichant. Elle baisse sa robe et lui met le bout d'un de ses seins... dans la bouche. Aussitôt, il tète goulûment.
Moi j'essaie de faire la même chose avec l'autre, mais je n'ai pas la force de Summer et il pèse vachement lourd, ce bébé. Je m'assieds en écartant les jambes et je l'installe entre elles. Je fais comme Summer et dès qu'il le bout de mon sein en bouche, bébé José tête tout aussi goulûment. Ce n'est pas désagréable, c'est même excitant.
Quand il a vidé mon sein de son lait – on fait semblant, hein ? – je lui présente l'autre. Quand ils ont bien bu, Summer me dit :
— Prends-le contre toi et tape dans son dos.
Oh ?! Je le fais en me demandant pourquoi. Mon bébé fait un rot sonore, son frère aussi. C'est franchement ridicule, mais marrant. Summer me dit :
— Maintenant, on va les changer. Fais comme moi.
J'espère qu'ils n'ont pas de lange ! Summer couche bébé Raul sur le lit, elle enlève son pantalon et son caleçon, tandis que le bébé gazouille. Je fais la même chose avec José. Ensuite, je relève ses jambes comme le font les mamans et je suce sa petite bite. Non, là, ce n'est plus comme font les mamans ! Heureusement que je n'ai plus de drone au-dessus de moi... On suce nos bébés. Je suis quand même surprise de voir Summer faire ça ! Nos bébés jouissent à peu près en même temps. Summer va cracher dans la salle de bain, mais moi, j'ai déjà avalé... La force de l'habitude. Les bébés se lèvent et vont eux aussi dans la salle de bain.
Après être revenus dans la chambre, ils se rhabillent et redeviennent des avocats. José dit à Summer :
— On va discuter du contrat avec Monsieur Sam, mais je voudrais d'abord vous en parler.
Là, il me regarde. Summer me dit :
— Ash, tu restes ici !
Ils sortent sur la terrasse. Je m'en fous de leurs histoires. Quand ils ont fini de comploter, ils installent un grand PC. Je suppose qu'ils discutent avec Monsieur Sam. Je prends un coca dans le frigo. Je sais que je ferai partie de l'aventure avec Summer et même cachée derrière elle, si ça devient dangereux. Je bois le coca en rêvant... jusqu'à ce que Summer m'appelle :
— Enlève ta robe et viens te montrer.
Oh !? Je vais devant l'écran et je dis :
— Bonjour Monsieur Sam.
— Montre-toi.
Je tourne sur moi-même. Quand c'est fait, il dit :
— Ça va... mais il ne faut pas qu'elle grossisse. Mets-la au régime, Summer.
— Oui Monsieur Sam.
— Quand ta mission sera terminée, tu travailleras un mois au casino comme esclave.
— Oui, merci Monsieur Sam.
La conversation s'arrête. Elle va travailler comme esclave pendant un mois et elle remercie ! Je lui dis :
— Tu vas travailler comme esclave ?! Mais pourquoi ?
Gros soupir ! Elle me répond :
— Une bonne nouvelle et une mauvaise... Je commence par quoi ?
— La... mauvaise.
— Je serai sous les ordres de Madame Stone et toi aussi... La bonne : nos charmants bébés ont établi un contrat qui me donne 1,5 % au lieu de 1 %. Monsieur Sam pense que je lui force la main... Il me punit comme ça.
Un bébé lui dit :
— Et tu t'en sors bien.
— Oui. En ce qui te concerne il y a aussi une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise : tu seras avec moi et on travaillera sous les ordres de Madame Stone.
Oh, non !! Je gémis :
— Mais Madame Stone, c'est... le diable.
— Mais non. On sera sera fouettées quelquefois, mais on ne fera pas un mois. En ce qui te concerne, la bonne nouvelle est que j'ai rendu service à Madame Crasston et tu faisais partie de la rémunération. Une esclave qui s'est enfuie, personne n'en veut plus.
Un des bébés nous dit :
— On doit partir, nous avons un procès à Fort Worth.
Oh !? Pourquoi ? Un vol de biberon ? Il ajoute :
— Mangez ici ce midi. Il y a une voiture de location pour vous, voici les papiers et les clés.
Summer répond :
— C'est vraiment gentil, merci pour tout.
On s'embrasse et ils appellent quelqu'un pour descendre leurs bagages. Quand ils sont partis, Summer enlève sa robe et se couche sur un des lits. Elle écarte les jambes en disant :
— Ce 0,5 % de plus, ça m'a excitée. Viens téter ma chatte, bébé Ashley.
Faut pas que je pense à Madame Stone... On verra. Je pose ma bouche sur la chatte de ma Maîtresse. Tout me plaît, son odeur, son goût, même... non, surtout quand elle n'est pas lavée. Oui, lectrice imaginaire, tu pinces les ailes de ton nez délicat ? Viens le mettre dans la chatte de Summer et tu comprendras. Avec le pied, elle caresse mon dos. Geste tendre de la part de Summer, qui me donne plus souvent un coup de pied dans les fesses que des caresses. Je ne veux pas qu'elle jouisse trop vite... Quand je la lèche, c'est le seul moment où c'est moi la patronne. D'accord, elle réagit peu, mais elle obéit quand même à mes caresses... Ma langue refait connaissance avec son clito, ses lèvres, son vagin... Je retrouve ses odeurs acidulées autour du clito, musquées le long des aines, un peu fades vers le vagin, chaudes vers l'anus. Oui, je ne peux pas décrire cette odeur autrement. Je fais un peu durer les choses, trop à son goût.
Elle me dit :
— Arrête de jouer !
OK, OK... ma langue tournoie autour de son clito et quelques minutes plus tard, elle jouit... Elle me repousse. Je lui demande :
— Je peux... euh... me caresser ?
— Non ! J'aime quand tu restes ta faim, tu es plus attentive.
D'où elle sort ça ? Elle ajoute :
— Je dois envoyer quelques messages. Tu peux aller jouer...
J'ai même pas de jouets...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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