En plus de ne pas être propres, ses pieds sont vraiment moites. On ne met pas des baskets quand il y a plus de 30°... Je masse comme Lucinda me l'a appris, en passant soigneusement mes pouces le long de la plante de ses pieds. Les filles discutent entre elles. Après une dizaine de minutes, Dolorès me dit :
— Passe ta langue entre ses orteils.
Je dois me baisser, et je passe ma langue. Le goût est un peu salé. La fille me dit :
— Suce-les.
C'est presque comme si je
faisais une fellation à des petites bites... qui ne sentent pas bon.
Quand la blonde en a assez, elle me repousse du pied. Après elle,
j'enlève les baskets des deux filles brunes. J'ai mal aux genoux,
aux reins et mes mains vont puer jusqu'à la fin des temps. Je
termine par Dolorès qui a des bottes courtes, un peu abîmées. Là,
je suis surprise de l'odeur de ses pieds qui se mélange à celle du
cuir, c'est beaucoup moins déplaisant. Au bout d'un moment, elle
crie :
— Zizi, aux pieds !
Une esclave arrive aussitôt
et dit :
— Oui Maîtresse.
— Va dire à Luis de venir
—
Oui Maîtresse.
Je connais Luis, c'est un des gardes. Il arrive
bientôt et demande :
— Vous avez besoin de moi, Mademoiselle
Dolorès ?
— Je veux que tu baises cette chienne pendant
qu'elle me suce les orteils et que tu la fasses jouir.
Dans tes
rêves, garce ! La semelle sur ma chatte c'était vraiment fort,
mais maintenant, j'ai joui. Si tu crois que je vais prendre mon pied
en léchant les tiens, tu.... Luis s'est mis à genoux derrière
moi et, en me tenant fermement par les hanches, il frotte ma fente
avec son gland mouillé. Il s'enfonce en moi et me baise lentement.
Le traître me caresse le clito en même temps. Je suce le pouce du
pied droit de Dolorès tandis que cette bite va et vient de plus en
plus vite en moi... Impossible de résister... tout en suçant
l'orteil de Dolorès, je jouis en gémissant. Une de filles dit :
—
Elle jouit, la chienne.
Dolorès fait un geste à Juan, qui se
retire de moi et s'en va, puis elle me dit :
— Qu'est-ce qu'on
dit :
— Merci Maîtresse.
— Pour ?
— M'avoir
permis de masser vos pieds et ceux de vos invitées.
— Tu as
joui deux fois, qu'est-ce que tu es ?
— Une esclave et une
chienne en chaleur, Maîtresse.
— C'est bien... dégage.
Je
me relève. Du sperme coule le long de ma jambe. Je ramasse mon
uniforme, ma culotte blanche et je m'en vais. Difficile d'humilier
davantage quelqu'un... Mais, j'm'en fous de tout ça, dans 2 ou 3
jours, je ne serai plus ici. En fait, je ne m'en fous pas... je suis
morte de honte.
Je vais sur la plage me rincer les mains et le
visage à l'eau de mer.
C’est la fin de l'après-midi. Je me
balade un peu, puis je vais à la cuisine, en faisant un grand détour
pour éviter Dolorès et ces sorcières d'amies.
Après le
repas, je discute un peu avec Lucinda et les gardes. Elle boit de la
tequila et elle est de bonne humeur, ce soir... Elle parle même
d'une soirée qui aura lieu demain. Je lui demande :
— J'y
serai, Madame ?
— Ah oui et même en Cléopâtre.
—
Et Summer, Madame ?
Je vois qu'elle hésite à répondre... Je
me mets à genoux à côté d'elle et je joins les mains comme si je
priais en disant :
— S'il vous plaît...
Elle aime me
voir comme ça, elle me caresse la joue et répond :
— Dans
trois jours, tu pars avec elle. Mademoiselle aura une autre
servante.
Trois jours, ça veut dire trois fois dormir et je
pars !!
***
Le lendemain, commence le même cérémonial
dans la chambre de Dolorès et de son père. Quand je suis à genoux
penchée sur ses pieds, elle dit à son père :
— Quand on la
voit tellement soumise, tellement humble, difficile d'imaginer
qu'elle a été la Première Dame des États-Unis.
Puis, en
remuant ses orteils qui sont sous mes lèvres, elle ajoute :
—
Difficile d'imaginer, hein, petite ?
Je réponds à son gros
orteil :
— Oui Maîtresse.
M'en fous de son gros orteil
et d'elle, plus que deux fois dormir et je serai loin d'ici, avec
Summer.
Quand le cérémonial du lever et de la salle de bains
sont terminés, je sers le petit déjeuner, puis le repas de midi.
C'est l'après-midi que les choses bougent. D'abord, deux esclaves me
lavent soigneusement. Ensuite, je vais sur la terrasse où une
esthéticienne m'épile quand c'est possible et me rase quand les
poils sont trop courts. Quand elle a fini, je suis aussi douce et
polie qu'une agate polie des chevilles aux aisselles... Je parle de
la pierre, pas d'une fille qui s'appelle Agathe et qui serait bien
élevée. Je pense ce genre de bêtises, ça va mieux (plus que deux
fois...)
Sous les regards des invités, une femme vient me
coiffer à la mode égyptienne, en se basant sur des modèles qu'elle
a sur sa tablette.
Ensuite, on me maquille le visage et le bout
des seins... Elle me met quelques gouttes de parfum de lotus bleu,
j'imagine, sur mes aisselles et mon pubis complètement
lisses.
Enfin, deux esclaves viennent m'habiller avec une robe
compliquée qui laisse voir les seins, les fesses et même mon sexe.
J'entends des commentaires flatteurs des spectateurs, le drone
ronronne au-dessus de moi.
Dolorès vient voir le résultat.
Elle a l'air satisfaite et me dit :
— Tu vas accueillir les
invités... ensuite, on te dira.
— Oui Maîtresse.
Quoi
de plus vraisemblable : la reine d'Égypte accueille ses invités
comme une simple servante !! Je dois me mettre face à l'entrée
entre deux rangées d'esclaves nues maquillée à l'égyptienne. Ça
me fait un peu mal aux seins de le dire, mais le tout doit avoir pas
mal d'allure. Les invités sont des hommes plutôt âgés accompagnés
de jolies femmes. Je dois m'incliner et dire :
— Bonsoir,
soyez les bienvenus.
Ils ne répondent pas mais plusieurs me
caressent les seins, les fesses ou le pubis. Une des femmes me
demande :
— C'est toi l'ex Première Dame ?
— Oui
Madame.
— Et maintenant, tu n'es plus qu'une esclave.
—
Oui Madame.
C'est pas vrai mais si ça lui fait plaisir... Les
invités sont souvent accompagnés de gardes du corps. Bientôt, il y
a une petite armée privée autour de la maison. Un garde vérifie
les invitations. Un peu parano, le señor de la Cruz.
Bientôt,
plus personne n'arrive. Une esclave vient me dire :
—
Suivez-moi...
Pas très stylée, l'esclave. Il faut dire qu'on
ne sait plus très bien qui je suis, ici. Moi, je ne sais qu'une
chose : plus que deux fois dormir. La fille me conduit dans les
sous-sols jusqu'à une salle de cinéma. Oh ! J'ignorais qu'il y
avait ça, ici. Les invités sont assis dans de confortables
fauteuils rouges, face à un grand écran. L'esclave me dit :
—
Vous devez vous asseoir devant, à côté de Mademoiselle Dolorès.
Je
fais ce qu'elle dit et dès que je suis assise, la salle est plongée
dans le noir.
Je pense qu'on va regarder mon film "Cléopâtre"...
Non, le film s'appelle simplement "Ashley" et les premières
images sont des photos de moi, gamine, et des photos d'école...
C'est dingue, ça : ils ont été dans mon village chercher ces
photos. Je ne vais pas déjà pleurer, mais ça m'émeut de me voir à
cette époque. Les scènes suivantes, c'est moi au "House of
Pussies." Je danse sur une table... Quand on voit la Première
du film au Grauman's Chinese Theater, je n'ai plus les larmes aux
yeux, mais je pleure vraiment, sans même avoir de kleenex. Je revois
tout ce qui s'est passé depuis ma rencontre avec Monsieur Sam
jusqu'à mon arrestation et ma vie chez les Crassway.
J'ai écrit
tout ce qui s'est passé... sauf une scène. Je ne l'ai pas fait
parce que c'est vraiment gênant. J'imagine mon lecteur imaginaire
trépigner d'impatience et couinant : "C'est quoi, c'est quoi ?"
Bon, d'accord !
C'est à Alcatraz. Joe, un des gardes,
m'appelle :
— Eh, Cléopâtre, viens ici !
Je me
dépêche d'aller près de lui. Qu'est-ce qu'il me veut ? D'autres
gardes s'approchent en rigolant. Oh ! Que j'aime pas ça. Il me dit
:
— Tu as le choix : te faire fouetter ou te faire baiser.
—
Me faire baiser, chef.
— D'accord.
Il siffle et un garde
arrive avec un grand chien. Okay, j'ai compris. Franchement, je
préfère me faire baiser par un chien que par ces salauds de gardes.
L’animal vient me sentir. Il est beau, je pense que c'est une
variété de chien de traîneau. Joe me dit :
— Déshabille-toi
et mets-toi à quatre pattes pour faire connaissance avec ton
amoureux.
— Oui, chef.
Quand je suis à quatre pattes, le
chien vient me lécher la bouche. Un autre garde dit :
—
Rends-lui son baiser.
J'ouvre la bouche et je tire la langue, ça
plaît au chien. Il me lèche un peu la bouche, puis il fait le tour
pour flairer mon arrière-train. Les gardes font des photos, tandis
que le chien commence à me lécher.
Un des gardes me dit :
—
Tu vas poser ton front sur le sol.
Je mets vite mes mains l'une
sur l'autre, et mon font dessus. Le garde pose son sur ma tête pour
me maintenir sur le sol. Pourquoi il fait ça ? Ils savent bien que
je n'oserais pas bouger. Le chien vient me renifler, je crois que je
lui plais !
Les poils du chien me chatouillent les fesses,
tandis qu'il enserre ma taille de ses grosses pattes. Le bout de son
sexe tâtonne un peu avant de trouver ce qu'il cherche : l'entrée de
mon vagin. Ses pattes me serrent plus fort et son sexe me pénètre !
Ouch ! Ce sexe est aussi gros que celui d'un homme très bien
membré. Le garde me dit :
— Tu la sens bien sa bite, petite
chienne !
Il appuie sur le côté de ma tête avec son pied.
Je
réponds d'une voix hachée, car le chien me baise vigoureusement :
—
Ah ouiiii chef, je la sens bien.
— Ne jouis pas trop vite,
profites-en pour une fois qu'on te baise.
C'est vrai ! Les
gardes se font sucer mais me baisent rarement. Et là... ce sexe qui
va et vient à toute vitesse, ça me rend folle. Je sais que je vais
jouir et je sais que c'est ce qu'ils veulent. Il ajoute ::
—
Manifeste ton plaisir, petite chienne.
Aussitôt, je me laisse
aller et crie :
— Ooohhh ouiiiii... c'est booon aaahhhh... je
vais jouir....
Ce n'est pas du cinéma : je jouis.... comme une
chienne en chaleur qui se fait monter, mais moi, j'en ai honte.
Surtout que c'est la deuxième fois : d'abord une godasse ensuite un
clebs ! Bravo Ashley, la classe. Oui, mais j'en peux rien. Le chien
continue à me baiser à toute allure. Son maître annonce :
—
Maintenant, vous allez voir une merveille de la nature.
Je ne
sais pas ce qu'il fait, mais soudain, quelque chose de très gros
envahit mon vagin. Je crie de douleur, cette fois-ci... À moitié
dans les vapes, je me dis ça doit être ce qu'on appelle le nœud,
une très grosse protubérance à la base du sexe, que le mâle
enfonce dans la vulve de la femelle pour être sûr que son sperme
pénètre partout. Le maître dit :
— Et voilà, ils sont
collés ! Pour que le chien puisse ressortir, il faut attendre ou
leur balancer un seau d'eau froide.
Rires des spectateurs, car
les touristes sont venus voir le spectacle. Le chien bascule sur le
côté et je le suis en criant, puisqu'on ne forme plus qu'un ! On
est dans la position dites de la cuillère, je crois... Quelqu'un
écarte bien une de mes jambes pour que tout le monde puisse voir le
sexe du chien profondément enfoncé en moi. Un des gardes me dit :
—
Te tracasse pas, petite chienne, on te donnera à manger et à
boire... et dans 24 h, vous pourrez vous séparer.
Ça, c'est
pas vrai, c'est impossible !
On reste là, le chien encore
haletant au début, puis plus calme. Deux fois, il essaye de
s'extraire de moi, mais je crie tellement qu'il arrête. Enfin, après
20 minutes environ, une dernière tentative lui permet de s'extraire
de moi ! Je crie à nouveau et vois ma chatte béante d'où
s'écoule le sperme du chien. Les spectateurs poussent des cris et
applaudissent. Ils font aussi des photos. Je pleurniche :
—
Elle ne sera plus jamais comme avant.
Un garde me donne un petit
coup de pied dans les fesses en disant :
— Et les femmes qui
accouchent, alors, stupide esclave ? Allez, rhabille-toi et
retourne à tes corvées !
Par la suite, ils m'ont plusieurs
fois obligée à me laisse monter par le chien. J'écris ça en me
souvenant de ce qui s'est passé, parce que je ne l'ai pas regardé
sur grand écran. Le film s'achève quand je passe la frontière du
Mexique.
À suivre.
Un grand merci à
Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce
Morgan a aussi illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous"
et les 2 tomes de
« Samia, fille du voyage. »
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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