Pour changer, voici une rare photo où je suis habillée...
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samedi 30 octobre 2021
Un dos...
Mia avec la voix de BB dans « Le Mépris » :
vendredi 29 octobre 2021
Ashley - 54 Les bébés Gomès.
Je ne suis pas maquillée et j'ai les cheveux tirés en queue de cheval, comme les esclaves du señor de la Cruz. J'ai l'air très jeune, mais pas 8 ans quand même. Summer est redescendue et elle parle avec la serveuse et les hommes dans le café. Je ne serais pas étonnée qu'elle parle de moi, parce qu'ils me regardent en souriant... Elle vient s'asseoir en face de moi et dépose un verre de tequila devant elle. Je n'en voudrais même pas : la tequila, ça pique. Elle me dit :
— On va aller acheter des robes et des sandales pour toi.
Elle, en robe ?! On va à pied jusqu'au village... Il n’y a qu’un magasin de vêtements, avec peu de choix. Summer achète une robe noire sans manche pour elle et une robe blanche avec des petites fleurs rouges et bleues pour moi. On va continuer à me donner des sucettes... Elle m'achète aussi des baskets.
Le soir, le patron du café-restaurant nous a préparé un très bon poisson grillé et comme désert, des "churros renellos" fourrés de chocolat. Le tout arrosé d'un bon vin blanc. Il y a des siècles que je n'ai plus aussi bien mangé. Je fais un énorme effort pour ne pas poser de questions à Summer.
On traîne un peu dans le café, elle parle avec les clients, moi je m'endors à moitié.
Vers 10 h, on monte dans la chambre. Quand on est nues, je lui dis :
— Il y a si longtemps que je ne t'ai plus...
— Demain matin, je suis fatiguée.
Moi aussi. On se couche et je me colle à elle. Comme elle a mis son bras derrière la tête, j'embrasse les poils de son aisselle. J'adore son odeur, je l'ai déjà dit peut-être ?
***
Le lendemain matin, je suis réveillée par une claque sur les fesses. C'est la méthode Summer. Elle me dit :
— Habille-toi, on se tire.
— Mais, je voulais te... t'embrasser.
— Plus tard. On a rendez-vous.
Elle enfile la petite robe noire qu'elle a achetée. Je lui demande :
— Je peux me doucher ?
— Pas le temps !
Bon... J'enfile la robe de petite fille. Elle ferme son sac et me le donne. On descend, elle paye le patron et on quitte l'hôtel. Je marche derrière elle avec son sac. On fait du stop et un homme nous dépose devant un grand hôtel, le Paraiso Marino.
On entre et Summer demande à la réceptionniste de prévenir Messieurs Gomez que Mademoiselle Hunter est là...
On attend, assises dans des fauteuils. Dix minutes plus tard, je vois arriver deux hommes, presque identiques : ils sont blonds, coiffés avec une ligne sur le côté, grassouillets avec des bonnes grosses joues et un petit nez. Ils portent des costumes blancs et des cravates ficelles, comme au Texas. Summer se lève et les embrasse. Elle me présente d'abord :
— Chers maîtres, voici Ashley, l'ex Première Dame.
Ensuite, elle me dit :
— Maîtres Raul et José Gomez, les meilleurs avocats des États-Unis.
Ils m'embrassent sur les deux joues. Ils sentent le talc ! Ils n'ont pas l'air bien redoutables, mais si Summer le dit, c’est qu’ils le sont. On va dans la salle à manger, prendre le petit déjeuner. Mon Dieu, comme c'est agréable de se faire servir. Summer et les frères Gomez parlent de politique et de gens que je ne connais pas. Je mange des œufs au bacon, puis des pâtisseries au miel. Les frères Gomez me regardent, amusés. À un moment, Summer me dit :
— Tu as assez mangé.
Elle a raison... je repousse mon assiette. Comme je ne mange plus, je les observe en cherchant à différencier les frères. J'ai trouvé ! Celui qui s'appelle Raul a la raie à droite, tandis que José a la raie à gauche. Tandis que je les observe, José a soudain le menton qui tremble et il dit tout bas à Summer :
— Pipi...
Elle répond :
— Retiens-toi.
C'est tellement incongru que je dois faire un effort pour ne pas éclater de rire. Raul, donc raie à droite, dit :
— Lolo...
Ils sont gâteux ? Summer se penche vers moi et me dit :
— Tu fais comme moi.
Elle se lève et prend un frère par la main, je fais pareil avec l'autre. On prend l'ascenseur pour aller jusqu'à leur chambre. Elle est super, rien à voir avec celle qu'on avait la nuit passée. Et là, les deux frères se mettent à pleurer ! Summer me dit :
— Ils ont faim.
Elle s'assied sur un lit et Raul s'installe sur ses genoux en pleurnichant. Elle baisse sa robe et lui met le bout d'un de ses seins... dans la bouche. Aussitôt, il tète goulûment.
Moi j'essaie de faire la même chose avec l'autre, mais je n'ai pas la force de Summer et il pèse vachement lourd, ce bébé. Je m'assieds en écartant les jambes et je l'installe entre elles. Je fais comme Summer et dès qu'il le bout de mon sein en bouche, bébé José tête tout aussi goulûment. Ce n'est pas désagréable, c'est même excitant.
Quand il a vidé mon sein de son lait – on fait semblant, hein ? – je lui présente l'autre. Quand ils ont bien bu, Summer me dit :
— Prends-le contre toi et tape dans son dos.
Oh ?! Je le fais en me demandant pourquoi. Mon bébé fait un rot sonore, son frère aussi. C'est franchement ridicule, mais marrant. Summer me dit :
— Maintenant, on va les changer. Fais comme moi.
J'espère qu'ils n'ont pas de lange ! Summer couche bébé Raul sur le lit, elle enlève son pantalon et son caleçon, tandis que le bébé gazouille. Je fais la même chose avec José. Ensuite, je relève ses jambes comme le font les mamans et je suce sa petite bite. Non, là, ce n'est plus comme font les mamans ! Heureusement que je n'ai plus de drone au-dessus de moi... On suce nos bébés. Je suis quand même surprise de voir Summer faire ça ! Nos bébés jouissent à peu près en même temps. Summer va cracher dans la salle de bain, mais moi, j'ai déjà avalé... La force de l'habitude. Les bébés se lèvent et vont eux aussi dans la salle de bain.
Après être revenus dans la chambre, ils se rhabillent et redeviennent des avocats. José dit à Summer :
— On va discuter du contrat avec Monsieur Sam, mais je voudrais d'abord vous en parler.
Là, il me regarde. Summer me dit :
— Ash, tu restes ici !
Ils sortent sur la terrasse. Je m'en fous de leurs histoires. Quand ils ont fini de comploter, ils installent un grand PC. Je suppose qu'ils discutent avec Monsieur Sam. Je prends un coca dans le frigo. Je sais que je ferai partie de l'aventure avec Summer et même cachée derrière elle, si ça devient dangereux. Je bois le coca en rêvant... jusqu'à ce que Summer m'appelle :
— Enlève ta robe et viens te montrer.
Oh !? Je vais devant l'écran et je dis :
— Bonjour Monsieur Sam.
— Montre-toi.
Je tourne sur moi-même. Quand c'est fait, il dit :
— Ça va... mais il ne faut pas qu'elle grossisse. Mets-la au régime, Summer.
— Oui Monsieur Sam.
— Quand ta mission sera terminée, tu travailleras un mois au casino comme esclave.
— Oui, merci Monsieur Sam.
La conversation s'arrête. Elle va travailler comme esclave pendant un mois et elle remercie ! Je lui dis :
— Tu vas travailler comme esclave ?! Mais pourquoi ?
Gros soupir ! Elle me répond :
— Une bonne nouvelle et une mauvaise... Je commence par quoi ?
— La... mauvaise.
— Je serai sous les ordres de Madame Stone et toi aussi... La bonne : nos charmants bébés ont établi un contrat qui me donne 1,5 % au lieu de 1 %. Monsieur Sam pense que je lui force la main... Il me punit comme ça.
Un bébé lui dit :
— Et tu t'en sors bien.
— Oui. En ce qui te concerne il y a aussi une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise : tu seras avec moi et on travaillera sous les ordres de Madame Stone.
Oh, non !! Je gémis :
— Mais Madame Stone, c'est... le diable.
— Mais non. On sera sera fouettées quelquefois, mais on ne fera pas un mois. En ce qui te concerne, la bonne nouvelle est que j'ai rendu service à Madame Crasston et tu faisais partie de la rémunération. Une esclave qui s'est enfuie, personne n'en veut plus.
Un des bébés nous dit :
— On doit partir, nous avons un procès à Fort Worth.
Oh !? Pourquoi ? Un vol de biberon ? Il ajoute :
— Mangez ici ce midi. Il y a une voiture de location pour vous, voici les papiers et les clés.
Summer répond :
— C'est vraiment gentil, merci pour tout.
On s'embrasse et ils appellent quelqu'un pour descendre leurs bagages. Quand ils sont partis, Summer enlève sa robe et se couche sur un des lits. Elle écarte les jambes en disant :
— Ce 0,5 % de plus, ça m'a excitée. Viens téter ma chatte, bébé Ashley.
Faut pas que je pense à Madame Stone... On verra. Je pose ma bouche sur la chatte de ma Maîtresse. Tout me plaît, son odeur, son goût, même... non, surtout quand elle n'est pas lavée. Oui, lectrice imaginaire, tu pinces les ailes de ton nez délicat ? Viens le mettre dans la chatte de Summer et tu comprendras. Avec le pied, elle caresse mon dos. Geste tendre de la part de Summer, qui me donne plus souvent un coup de pied dans les fesses que des caresses. Je ne veux pas qu'elle jouisse trop vite... Quand je la lèche, c'est le seul moment où c'est moi la patronne. D'accord, elle réagit peu, mais elle obéit quand même à mes caresses... Ma langue refait connaissance avec son clito, ses lèvres, son vagin... Je retrouve ses odeurs acidulées autour du clito, musquées le long des aines, un peu fades vers le vagin, chaudes vers l'anus. Oui, je ne peux pas décrire cette odeur autrement. Je fais un peu durer les choses, trop à son goût.
Elle me dit :
— Arrête de jouer !
OK, OK... ma langue tournoie autour de son clito et quelques minutes plus tard, elle jouit... Elle me repousse. Je lui demande :
— Je peux... euh... me caresser ?
— Non ! J'aime quand tu restes ta faim, tu es plus attentive.
D'où elle sort ça ? Elle ajoute :
— Je dois envoyer quelques messages. Tu peux aller jouer...
J'ai même pas de jouets...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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Bruce Morgan
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jeudi 28 octobre 2021
Une turlutte.
Alors, là, ça sent la turlutte à plein nez !
-- Mais… euh… pas du tout, Nounours est propre, enfin, presque.
(La classe, Mia!)
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mercredi 27 octobre 2021
Bruce Morgan
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Personnalité.
- Ni devant, ni derrière, dans la bouche.
lundi 25 octobre 2021
Bruce Morgan.
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Devant ou derrière ?
Alors, nounours, tu te décides : devant ou derrière ?
- Bouge pas, je réfléchis.
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samedi 23 octobre 2021
Dessin inédit de Bruce Morgan
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vendredi 22 octobre 2021
Du miel...
- Vas-y nounours, ma chatte a un goût de miel.
(C’est pas vrai, mais ça l’excite.)
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jeudi 21 octobre 2021
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mercredi 20 octobre 2021
Oursons...
Eh ! Nounours, retire-toi à temps... Je ne veux pas d'oursons, moi.
mardi 19 octobre 2021
Bruce Morgan
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Histoire de fesses...
Montrer ses fesses, c'est se mettre dans un état de vulnérabilité... c'est troublant...
dimanche 17 octobre 2021
Ashley - 53 L'odeur de Summer
J'ai fait un gros effort pour raconter mon après-midi avec le chien...
Les
lumières se rallument et les spectateurs applaudissent, Dolorès me
dit :
— Lève-toi
et salue.
Je
salue... Qu'est-ce qu'ils applaudissent, moi ou tout ce qui m'est
arrivé ?
Après
le film, quelques amis du señor de la Cruz prennent congé. On va
dans une grande pièce où il y a des divans. Pas besoin de faire un
dessin, c’est parti pour la partouze. Je suce des Messieurs, je
lèche des Dames... tout en pensant : plus que deux fois dormir et je
quitte cette île.
***
Comme
tous les matins, je descends à la cuisine. Lucinda me dit :
—
Enlève ton uniforme pour ne pas le salir et file sous la table...
J'ai envie de sentir ta langue dans ma chatte. Allez !!
Mais
pourquoi moi ? Il y a une dizaine d'esclaves ici et elles me
regardent en souriant. Bon, pas d'histoires la veille de ma
libération... Lucinda est plutôt une belle femme, mais une chatte
avant de déjeuner, c'est pas vraiment ce que j'aime. Elle a dû
faire un rêve érotique et résultat, sa chatte est toute collante.
J'entends la porte qui s'ouvre, sûrement un garde. Lucinda me
maintient par la nuque en disant :
—
Toi, tu ne bouges pas et tu continues. Sinon, tu iras à genoux sur
le maïs.
Pas
besoin de me menacer ! J'entends un bruit de baiser puis la voix de
Sumer :
—
Bonjour ma belle. Elle n'est pas là, Ashley ?
—
Si, entre mes cuisses. Je me suis réveillée toute excitée...
—
Pas de problème.
Summer
est là et moi, je suis le visage dans une chatte ! Mais le
principal, c'est qu'elle soit là. Je lèche... Summer lui demande
:
— Tout s'est
bien passé avec Mademoiselle Dolorès ?
—
Oui, je pense... Tu pars demain ?
—
On file vers le Sud... Dis, il fait chaud sur votre île.
—
M'en parle pas, il fait étouffant la nuit.
—
L'airco est en panne ?
—
On est obligés de l'éteindre la nuit, nouvelle loi
écologique.
Pendant
que je lèche, elles continuent de parler de choses et d'autres et
cette garce de Lucinda qui se retient de jouir ! Elle demande à
Summer :
— Tu
déjeunes avec Monsieur et Mademoiselle ?
—
Je crois... J'y vais... À tout à l'heure.
—
Oui...
Puis, elle
s'adresse à moi:
—
Toi, continue de lécher ! Tu es encore sa servante aujourd'hui... et
tu traites Summer comme une invitée, ne lui saute pas dans les
bras
Lucinda jouit
en plaquant mon visage contre sa chatte. Garce ! Je n'ai même pas
pu voir Summer. Je reste entre ses cuisses jusqu'à ce qu'elle me
dise :
— Bouge !
Lave-toi le visage et rhabille-toi, ça va être l'heure.
—
Oui, Madame.
Dernier
jour ! Je monte dans la chambre de Dolorès et de son père. Quand
j'ai fini d'être le nez sur les orteils de Dolorès et le reste du
cérémonial, je descends m'occuper du petit déjeuner. Il y a déjà
plusieurs invités qui sont assis autour d'une table. Une des femmes
me dit :
—
Dépêche-toi, on a faim.
—
Oui Madame, que désirez-vous ?
—
Lucinda le sait, idiote !
Je
crois que je ne vais pas regretter la casa du señor de la
Cruz...
Quand je
reviens avec un plateau bien chargé, Summer est assise avec Dolorès
et son père. Je sers la femme désagréable et ses amis, puis
Summer. J'ai tellement envie de lui parler, mais je fais comme si
elle était une étrangère. Elle est bronzée, elle est belle,
courageuse et intelligente...
Quand
ils ont fini, ils partent avec la femme désagréable et ses amis.
Je
débarrasse et j'amène tout à la cuisine. Là, Lucinda me dit :
—
Mademoiselle Dolorès a besoin d'une séquence pour son film, alors
c'est toi qui vas ranger le salon où a lieu la soirée d'hier et tu
seras aux ordres de Crystal.
Oh
non ! J'ai fouetté Crystal avant quelle ne devienne "première
fille", c'est-à-dire chef des esclaves... Je dis :
—
Mais, vous savez que....
—
Arrête de pleurnicher, les filles peuvent te donner des claques pour
te stimuler, mais pas te fouetter.
Je
vais dans le grand salon. Les esclaves ont toutes un grand sourire.
C'est mon dernier jour et c'est rien, quelques claques. Crystal me
dit :
— Tu vas
un peu travailler, Cléopâtre, pour changer. Pour commencer, enlève
ton uniforme.
Il y a des caméras dans la pièce, plus le drone qui ne va pas perdre une miette de la scène. Dès que j'ai enlevé mon uniforme, les ordres fusent :
—
Va porter la vaisselle dans la cuisine !
—
Vide les cendriers !
—
Regarde sous les fauteuils !
Les
filles prennent leur revanche, alors que ce n'est pas de ma faute si
elles ont été condamnées à l'esclavage.
Quand
j'ai tout rangé, tout nettoyé, j'ai les fesses aussi rouges qu'un
soleil couchant par une journée venteuse. Je vais à la cuisine.
Lucinda me dit :
—
Tu peux remettre ton uniforme et tu ne dois pas servir le repas de
midi.
Super ! Je
sors de la maison et, en faisant un détour, comme chaque fois, je
vais sur la plage. Je m'assieds et je mets le visage entre mes mains.
Pas pour pleurer... enfin si, un peu. Et là, je reçois un petit
coup dans le dos. Merde, c'est quoi ça ? Je me retourne, c'est
Summer ! Aussitôt, j'enlace ses jambes et j'embrasse ses genoux.
Elle me dit :
—
Ah là, là... Ashley, toujours en train de pleurnicher.
—
Mais non... Enfin, si un peu... Mais je m'arrête de pleurer.
—
Bon, on s'en va....
—
Pour de vrai ?
Summer
lève les yeux au ciel. On marche sur la plage. Je prends sa main et
elle me laisse faire. La connaissant, je lui demande :
—
Ça n'a pas marché comme tu voulais ?
Pas
de réponse, je n'insiste pas. Elle me dit :
—
Tu n'as rien à prendre ici ?
—
Je n'ai rien... à part une brosse à dents usagée.
—
Bon. Tiens, porte mon sac.
Il
est lourd, mais c'est celui de Summer.
Je
fais au revoir au drone qui est toujours là. On va à l'embarcadère
et on attend quelques minutes en silence. Je vois bien qu'elle
réfléchit. Un petit bateau de pêche arrive et on monte à bord.
Summer parle en espagnol avec les deux pécheurs. J'ai du mal à
suivre... Je suis libre ! Je sais que je devrai obéir à Summer,
mais sans elle, qu'est ce que je ferais dans ce pays dont je parle
mal la langue ? Oui, pute. Je l'ai déjà fait, mais c'était à
Atlanta, pas au Mexique. On navigue peu de temps, j'entends un des
pêcheurs dire :
—
Voilà Puenta Fueca.
C'est
un village. Le bateau s'arrête le long d'une plage déserte. Un des
hommes montre une petite construction au-dessus de la plage. On les
salue et on saute dans l'eau pour rejoindre la plage. Summer a enlevé
ses sandales et moi je suis pieds nus. On se dirige vers la maison.
C'est un petit café restaurant qui se trouve proche d'une route. Il
y a une famille mexicaine autour d'une table. On entre... Quelques
hommes boivent de la bière en nous regardant, ravis de voir des
jolies filles. Le patron derrière le bar est un gros Mexicain en
maillot de corps, Summer lui parle. Je comprends plus ou moins
qu'elle lui demande une chambre et un repas pour le soir. Ils font
affaire. Le patron appelle sa fille et elle nous conduit dans la
chambre. C'est sommaire, mais je suis libre et avec Summer, elle me
dit :
— Tu ne
vas pas rester avec cet uniforme.
Elle
ouvre son sac, fouille un peu et elle me donne un short et un
tee-shirt en disant :
—
C'est à laver, mais tu seras mieux avec ça.
J'imagine
la mine dégoûtée de ma lectrice imaginaire, mais Summer me plaît
et j'aime son odeur. J'enlève l'uniforme et mets ses vêtements. Son
tee-shirt est mouillé sous les bras et ma chatte reconnaît les
traces de la sienne dans le short.
Elle
me donne 10 $ en disant :
—
Je dois téléphoner, va jouer sur la plage ou boire un verre.
—
Merci Summer.
—
Bois à la bouteille et jamais de glaçons.
Je
vais dans le café et je demande à la fille de la maison :
—
Je pourrais avoir une bière ?
—
No comprendo.
—
Una birra, por favor
—
Si.
Elle me donne
une bouteille de bière XX, c'est la marque sur l’étiquette. Elle
sort du frigo, elle est fraîche. Je lui tends le billet mais elle me
dit quelque chose avec la "cuenta", je comprends que ce
sera sur la note. Je vais sur la terrasse boire ma bière à l'ombre
d'un parasol. Je suis en vacances et pour la première fois depuis
longtemps, je suis excitée...
— Je
suis sûre que les choses se sont arrangées.
—
Pourquoi ?
—
Je le sens.
Une
serveuse lui apporte une Tequila qu'elle a demandée en passant. Elle
me répond :
—
Oui, les choses s'arrangent. Ce que tu dois savoir, c'est que
Monsieur Sam va financer mon projet.
—
Le Monsieur Sam de LA ?
Elle
lève les yeux au ciel, comme s'il ne pouvait pas y avoir d'autres
Sam. Elle continue :
—
Tu as un choix. Le compte des îles Cayman est épuisé depuis
longtemps, mais si tu veux ta liberté, je te donne 1000 $ et un
passeport. Tu es toujours une esclave aux Etats-Unis, tant que tu
n'es pas "affranchie" par ton propriétaire, mais ici tu es
libre, il n'y a pas d'accord entre les deux pays.
—
NON ! Je veux rester avec toi.
Comme
j'ai un peu crié le NON, elle me dit :
—
Combien tu as bu de bière ?
—
Deux... euh... Trois, mais...
Elle
me coupe :
—
C'est fini jusqu'à ce soir. L'autre option, tu restes avec moi mais
tu deviens une employée de Monsieur Sam. S'il avance l'argent, il
veut que tous les gens que je vais engager soient ses employés, tu
sauras pourquoi plus tard.
—
Je reste avec toi.
Elle
regarde sa montre et ajoute :
—
J'ai un coup de fil à donner à cinq heures, tu peux revenir dans un
quart d'heure.
J'ai
encore soif. Si je bois encore une bière Summer ne s'en rendra pas
compte. Je vais dans le café, il y a une dizaine de clients, je sors
mon meilleur espagnol pour demander à la serveuse :
—
Una otra birra, por favor.
En
souriant, elle me répond :
—
No, ya has bebido lo suficiente. Eres demasiado joven para la cerveza
(tu as bu suffisamment, tu es trop jeune pour boire de la bière).
Ça
fait rire les clients. Comme je la regarde sans comprendre, elle
ajoute :
— Toi,
petite, pas de bière. Aqui esta para ti (ça c'est pour toi)
Elle
me donne une sucette. Grosse marrade dans le café.
Je
retourne m'asseoir sur la terrasse, les joues rouges de honte, mais
Summer a raison, je ne dois pas trop boire.
À suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
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livres sont ici :
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Bruce
Morgan a aussi illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous"
et les 2 tomes de « Samia, fille du voyage. »
samedi 16 octobre 2021
Un coup de mou...
Mon nounours a un coup de mou... Vivement que ses copains arrivent... 😀
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vendredi 15 octobre 2021
jeudi 14 octobre 2021
Une fable...
Cette photo me fait penser à une célèbre fable de La Fontaine, mais oui vous la connaissez : « La moule et l’ours ».
mercredi 13 octobre 2021
Bruce Morgan
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins dans nos livres.
mardi 12 octobre 2021
De l'air...
Nounours : Surtout ne t'assied pas sur mon visage.
Mia : Dis que j'ai un gros cul pendant que tu y es... euh... non, ne dis rien.
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lundi 11 octobre 2021
Bruce Morgan.
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de dessins de lui dans nos livres.https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
dimanche 10 octobre 2021
Mia allaite...
vendredi 8 octobre 2021
Un ours excité
Ah ! Je sens un frémissement… il devient excité.
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jeudi 7 octobre 2021
Beaux articles en solde...
C'est les soldes...
mercredi 6 octobre 2021
Mia joue...
Première photo de la série "Mia et son nounours" et ça va devenir très chaud.
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mardi 5 octobre 2021
des baisers
Une fille qui en embrasse une autre sur les lèvres, c’est mignon… Moi, je voudrais embrasser Rihanna ou Dua Lipa ou Léa Seydoux ou Kristen Stewart ou…
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