lundi 30 août 2021

Ashley - 50 Une servante, pas une esclave.

 

Je me promène dans la maison. Partout, il y a des photos et des tableaux de Dolorès. Je sors dans le jardin et là je vois... des statues de Dolorès faisant impudiquement saillir ses seins et ses fesses.
Le señor de la Cruz a l'air d'être fou de sa fille.
Il y a encore des gens à la piscine, je les évite... Comme il fait très chaud, je transpire dans mon uniforme. Je vais m'asseoir à l'ombre d'un grand arbre... Je m'allonge dans l'herbe et... je m'endors.
Je suis réveillée par une esclave qui me dit :
— Mademoiselle Ashley, vous devez aller à la cuisine.
Ce n’est pas Dolorès qui me fait appeler. Elle a peut-être changé d'avis.
Je me lève et j'y vais. Autour de la table, il y a Lucinda, six hommes et une femme. Je les situe "gardes du corps" : la petite armée personnelle du señor de la Cruz. Lucinda leur dit :
— Voici Ashley, la nouvelle servante de Mademoiselle Dolorès.
Ils me disent bonjour et bienvenue. Lucinda me dit :
— Fais le tour et dis bonjour.
Elle peut me commander ? Dans le doute, j'obéis. Tous m'embrassent et deux d'entre eux glissent la main sous ma jupe pour me caresser les fesses. Un des hommes me dit :
— Viens te mettre près de moi, petite.
Son voisin s'est reculé et, sans qu'on lui en donne l'ordre, une esclave apporte une chaise. Mon voisin me dit :
— On a Cléopâtre et la Première Dame des États-Unis à notre table. C'est ça ?
— Oui, Monsieur...
— Et tu passes de Summer à Mademoiselle Dolorès.
Ils disent tous "Mademoiselle", il y a sûrement des micros. Je réponds :
— Elle n'est pas trop dure ?
— Pas plus que Summer. Elle aime humilier les femmes libres ou ses amies, même sa sœur quand elle a raté son année scolaire.
Des esclaves font le service. On mange, c'est bon. On a même droit à un dessert : une pâtisserie très sucrée. Quand j'ai fini de manger, il me dit :
— Je dois partir demain pour quelques jours, alors tu dors avec moi.
Ce n'est pas une question ! Lucinda lui dit :
— Je ne l'ai même pas encore essayée... Bon, OK Mateo, mais elle doit être ici à 8 h précise. Mademoiselle l'appellera sûrement demain matin.
— D'accord.
Et mon avis ? Ils s'en foutent tous, on dirait. Lucinda roucoule avec le garde Black, un autre se fait sucer par une esclave. On reste encore un peu, puis Mateo me dit :
— Viens, petite.
On sort par l'arrière de la maison et on se dirige vers un bâtiment caché derrière des bambous, c'est là que logent les gardes. Il me tient par la taille et me dit :
— On a tous vu ton film Cléopâtre.
— Et ça vous a plu ?
— Beaucoup... même à Mademoiselle Dolorès.
Ce n'est pas normal qu'il dise encore "Mademoiselle Dolorès" quand on est deux. Je m'arrête, monte sur la pointe des pieds et je lui dis à l'oreille :
— On nous entend ?
Il répond tout bas :
— Il y a des micros et des drones partout, tu ne les vois pas, tu ne les entends pas.
C'est bien ce que je pensais. On arrive dans sa chambre. Elle est très simple, un lit, une armoire. Il se déshabille, moi aussi. On se regarde, on se plaît. Il est grand, musclé, poilu sur le torse et le ventre... Son sexe est déjà tendu vers moi. Je me couche sur le lit et il m'embrasse de la tête aux pieds, recto verso, en s'attardant spécialement sur mes fesses. Ensuite, il me lèche et on finit dans la position du missionnaire...

 




Il est gentil pour un costaud. Il jouit en moi et on s'endort en cuiller. Je me sens protégée, ça fait du bien...
***
Le lendemain, à 7 h 45, il me donne une claque sur les fesses pour me  réveiller en disant :
— Va à la cuisine.
— Oui. Merci pour tout Monsieur.
J'exagère un peu, mais ça a l'air de lui faire plaisir et je veux en faire un allié. On s'habille... Je crois que la douche, ce sera pour plus tard.
Dans la cuisine, deux gardes sont occupés à déjeuner et Lucinda crie sur deux esclaves. Les filles sont déjà à quatre pattes. En me voyant, elle me dit :
— Viens m'aider à punir ces filles.
J'hésite, je suis passée par là et... Elle crie :
— Obéis ou tu seras également punie !
Je prends aussitôt le fouet qu'elle me tend. Je ne sais pas si elle a le droit de me fouetter, mais je suis prudente. Lucinda ajoute :
— Si tu ne frappes pas assez fort, je m'occuperai de tes fesses.
Sans discuter, je lève le bras et j'abats les lanières sur le derrière d'une esclave. La fille pousse un cri et Lucinda me dit :
— Ensemble maintenant !
On frappe de concert, les fouets claquent  sur les fesses des filles qui crient... Marrant ! Non, ce n'est pas ce que je voulais dire ! Je suis forcée, d'ailleurs ! Dix fois, les fouets vont claquer sur les fesses des filles. Ça me rappelle le temps de la villa à Malibu...
Quand on s'arrête, les esclaves nous remercient en embrassant nos chevilles, ensuite elles vont mettre des grains de maïs dans deux coins de la pièce et elles s'agenouillent dessus, les mains croisées dans la nuque. Ouch ! Tout ça me donne chaud. Lucinda me dit :
— Viens ici, toi.
Qu'est-ce qu'elle me veut ? Elle ajoute :
— Écarte les jambes.
Elle glisse la main entre mes cuisses, jusqu'à ma chatte. Elle me regarde en souriant... Oui, d'accord, je mouille. Elle ajoute :
— Ça m'excite aussi. Tu as juste le temps de me remercier. File sous la table. Allez !
Oui, mais... Mateo et les deux hommes me regardent en souriant. Je demande à Lucinda :
— Ce ne sont pas les esclaves qui font ça ?
— Je suis comme Mademoiselle Dolorès, j'ai envie qu'une star de cinéma me lèche la chatte ! ALLEZ... sous la table !
Je lui obéis. Lucinda est une belle femme et pour peu qu'elle soit soignée, ça peut être agréable... humiliant mais agréable. Elle a déjà remonté sa jupe et elle s'est avancée sur sa chaise, les cuisses écartées. Il fait sombre sous la table, et j'aperçois à peine la masse foncée de ses poils. Elle me prend par la nuque et colle mon visage contre sa chatte mouillée. Je lape sa chatte comme un chaton assoiffé laperait le lait de son bol. Elle a une odeur sauvage qui me rappelle celle de Summer, mais son goût est différent. Je ne tiens quand même pas à rester longtemps sous la table, comme une esclave que je ne suis pas ! Je lèche et je suce son clito. Là, elle me reçoit 5 sur 5 et lâche ma nuque. Elle n'a pas les cuisses collées à mes oreilles et j'entends bien ce qu'ils se disent. Un des hommes demande :
— Elle fait ça bien ?
Elle répond :
— Pas mal... elle aime ça !
Mais non, j’y suis obligée ! J'aime ça avec Summer. Je continue à lécher, jusqu'à ce qu'elle jouisse en me plaquant contre sa chatte. Elle me dit :
— Tu peux te relever.
Je me lève, gênée. Ils me regardent en souriant, même les esclaves, mais c'est peut-être une impression. Lucinda me dit :
— Va te laver le visage, tu sens la chatte.
Tu m'étonnes ! Ça les fait rire... Je me lave avec un bout de savon. Quand j'ai fini, je reviens à table et Lucinda me donne un papier en disant :
— Voilà ce que tu devras faire et dire à Mademoiselle Dolorès. Tu as 10 minutes pour apprendre ça par coeur.
Ouch, c'est long ! Je lis et relis. Déjà, quand je faisais du cinéma, il y a des siècles, ce n'était pas facile de retenir mon texte. Lucinda me dit :
— C'est l'heure, vas-y.
— Mais...
— Cours !!
Je fonce jusqu'à la chambre. J'ai mis le papier dans une des poches de mon chemisier d'uniforme. J'entre doucement et j'ouvre grand les tentures. Comme dans presque toutes les pièces, il y a des photos et des tableaux de Dolorès, généralement nue. Dans un grand lit, père et fille sont couchés, enlacés. La chambre sent le sexe et... le pipi. Je comprends vite pourquoi en allant me mettre à genoux à côté du lit. Il y a une salle de bain, mais elle fait pipi dans un pot de chambre, une antiquité. La suite, je l'ai bien apprise... La lumière réveille les amants. Dolorès s'assied et met ses pieds sur le sol. Elle s'étire en bâillant puis elle active son drone, qui va rester au-dessus d'elle presque sans arrêt. Elle me fait un signe et aussitôt, je dois me baisser pour embrasser ses pieds en disant à ses orteils :
— Bonjour Maîtresse. Ashley, à votre service.
Le drone tourne autour de nous en photographiant ou en filmant. Elle pose son autre pied sur ma nuque, je suis coincée. Elle dit à son père :
— J'adore ton cadeau, merci papa.
— Avec plaisir, querida.
Elle caresse ma nuque de son pied nu en disant :
— Je l'ai vue à la première de Cléopâtre et maintenant, elle est littéralement sous mes pieds.
Elle retire son pied de ma nuque et me dit :
— Va vider le pot de chambre.
— Oui Maîtresse.
Je dois le prendre à deux mains et... embrasser le bord... clic, clic, fait le drone. Je vais le vider dans les w.c.. Là, je dois attendre à genoux. Elle vient s'asseoir et... pousse, tout en me regardant.



Quand elle a fini, elle me dit :
— Tu as de la chance que j'aime bien Summer, sinon je te ferais lécher mon cul sale...
Elle se lève, pousse un gros soupir et dit :
— Papier !
Je la nettoie... et jette les papiers dans la cuvette. Elle demande :
— C'est propre ?
— Oui, Maîtresse.
— Écarte mes fesses et embrasse.
J'embrasse son anus avec passion, comme Lucinda m'a dit de le faire. Elle me laisse un moment embrasser son trou du cul, comme Marc Antoine embrassait Cléopâtre sur la bouche. Le drone cliquette toujours. Elle finit par se redresser en disant :
— Cuisine.
— Oui Maîtresse.
Je suppose que toutes ces photos et ces films vont se retrouver sur le Net. Mais au point où j'en suis, je m'en fous. Je vais vite à la cuisine. Lucinda me demande :
— Tu ne t'es pas trompée ?
— Non, Madame.
— Bon, il y a des gens déjà installés dans la grande salle à manger. Elle veut que tu sois la seule à servir. Demande à ces invités ce qu'ils veulent.
J'y vais. Il y a  deux couples installés à une table. Je leur demande :
— Bonjour, que puis-je vous servir ?
Une femme d'une quarantaine d'années avec un énorme brillant répond :
— Présente-toi d'abord, petite malpolie.
Je fais une révérence en disant :
— Je m'appelle Ashley et je suis à votre service, Madame.
— L'ex Première Dame ?
— Oui Madame.
Elle est avec un homme plus âgé et un autre couple. Ils parlent du fait que c'est amusant, une Première Dame devenue une servante.
Ils me disent ce qu'ils veulent. De tout. Je devrais avoir un carnet pour noter. J'essaie de ne rien oublier et je vais vers la cuisine. Une des femmes me dit :
— Reviens ici.
— Oui Madame ?
— Quand tu entres dans une pièce et quand tu la quittes, tu dois faire une révérence.
— Oui, pardon, Madame.
Je fais une belle révérence et je quitte la pièce.

A suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour tous les super dessins.

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