Je sais qu'on va me dire "Tu es dure avec les esclaves, si on ne leur permet pas de se laver, elles puent." D'accord avec vous, faudrait les laver tous les jours et pas seulement avant de les vendre. C'est pas moi qui suis dure, c'est eux.
Les filles sont des
princesses, mais elles doivent pisser et se laver de temps en temps. On sort du
hangar. Tex me dit :
— Ça te dit de voir notre
repaire secret ?
Non ! Je veux être avec lui...
comme des amoureux et qu'il me donne son chewing-gum à terminer... Oui, je suis
une fille romantique, mais comment dire "non" à un homme qui vous
fait mouiller ? D'autant plus qu'il ajoute :
— Il y a 3 copains et 6
esclaves.
Ça, c'est traître... Il ajoute
:
— On te fera membre de notre
petit clan, mais tu ne dois en parler à personne.
— Même pas à Summer ?
— Elle en fait partie.
Bien sûr, j'accepte.
D'ailleurs, les promenades romantiques sur la plage, c'est le bon moyen pour
avoir du goudron sur les plantes des pieds ! On va à l'arrière d'un autre
hangar dissimulé dans la végétation. Il y a un grand poulailler avec des
poules, des canards et des volailles dont je ne connais pas la marque, malgré
que je vienne de la campagne. Il n'y a pas de dindons, heureusement. Petite, je
me suis fait attaquer par un dindon, pour de vrai, et c'est vraiment méchant !
Avec Tex, j'ai peur de rien.
Les volatiles ont un dortoir pour pioncer et faire la sieste. C'est là que Tex
déplace une plaque de contreplaqué, dégageant un petit boîtier avec des
chiffres et des lettres. Il tape "slave 69" et le panneau coulisse.
On se croirait dans un roman d'espionnage. D'accord, la porte coulissante est
au fond d'un poulailler et pas dans une grotte dissimulée par une cascade, mais
ça me plaît quand même.
On entre dans une petite pièce
très sombre, tandis que le panneau se referme derrière nous. Je me colle à Tex,
oui, j'ai quand même un peu peur. Ben, il fait noir et il y a sûrement des
araignées : ça fait beaucoup étant donné que j'ai peur des deux. Tex ouvre une
porte et là on se retrouve dans un bordel de Las Vegas. Une assez grande pièce
avec une table, des chaises, plusieurs divans-lits, une lumière douce et de la
musique. "Dua Lupa", je crois. Il y a 3 gardes que je connais et 6
esclaves. Elles sont mixed, c'est-à-dire de différentes couleurs, sauf deux qui
se ressemblent comme ma fesse droite ressemble à ma fesse gauche, sans doute
des sœurs jumelles. Tex dit :
— Chers amis, voici un nouveau
membre.
Les gardes me souhaitent la
bienvenue et m'embrassent. Ensuite les esclaves viennent me déshabiller et
embrassent tout ce qu'elles découvrent, y compris mes pieds... j'aime... Tex
dit à ses amis :
— Je la chauffe un peu, puis
on jouera ensemble.
Tex se déshabille. Quand il
est nu, il me prend contre lui et m'embrasse. Ce n'est pas facile, vu notre
différence de tailles... Il recule et se laisse tomber sur un lit en me tenant
toujours contre lui. C'est mieux, je peux me mettre à hauteur de sa bouche. On
s'embrasse, il a un goût de menthe. Une bouche fraîche, c'est très important
pour moi... J'adore sentir sa peau contre la mienne. Quand notre baiser se
termine, ma bouche descend de son cou vers les poils de son torse. Ses poils me
chatouillent le nez. Il a une odeur virile et animale. Ma chatte et moi, on
raffole de ce genre d'odeurs, surtout quand on est excitées... Ma bouche
descend sur les petites bosses des abdos, jusqu'aux poils de son pubis d'où
émerge son sexe dressé, frémissant. Une pucelle serrerait les fesses
d'appréhension en voyant ses dimensions, mais je ne suis plus pucelle du tout
et ma chatte rêve de pénétration énergique en le voyant. Un peu de patience
Pussy, on va vérifier son goût d'abord. Ma bouche remonte le long de la hampe
du sexe jusqu'au bout tout humide d'intérêt pour moi. Une belle bite me rend
lyrique. Je fais coulisser la peau qui recouvre le gland. Il est énorme mais
attendrissant avec sa couleur rose pâle qui tranche sur la peau brune du ventre.
Je hume le gland et le goûte à petits coups de langues. Il est sauvage mais
très comestible. Tex me donne une claque sur les fesses en disant :
— Arrête de jouer, suce.
J'ouvre grand la bouche et le
gland fait la connaissance de mes amygdales, ils sympathisent.
Bon, j'arrête de jouer, sinon je vais prendre une autre claque. Ma tête va et vient sur son sexe... Il me caresse la nuque, genre "tu es une bonne petite chienne".
Lors de soirées avec votre
épouse, vous avez sûrement dû remarquer qu'elle ferme les yeux quand elle suce
la bite d'un Monsieur. C'est ce qu'on fait toutes, sinon on louche, ce qui
n'est pas glamour. Après l'avoir longuement léché, Tex me prend par la nuque et
ôte sa bite de ma bouche en disant :
— Je vais te prendre en
levrette...
J'ouvre les yeux et je
m'aperçois que les gardes et leurs esclaves sont autour de nous. Mon Dieu !
C'est très gênant ! Mais non, je rigole, j'adore ça.
Je me mets à quatre pattes et
je remue les fesses comme une chienne en chaleur. Tex vient se mettre derrière
moi et il frotte son gland tout propre le long de ma fente mouillée. Ce qu'il
ignore, c'est qu'il y a un piège : au moment où il passe à la hauteur de mon
vagin, ma chatte l'aspire jusqu'au cou... Je veux dire jusqu'aux couilles. Il
aurait bien voulu taquiner ma fente encore un peu, mais maintenant, il n'a plus
qu'une solution : me baiser à grands coups de reins. Il me dit :
— Tu te crois maligne, mais tu
vas jouir dans pas longtemps.
Je réponds :
— Toi... avant... moi.
Mon débit est un peu haché à
cause de ses coups de reins. Il dit :
— Occupez-vous d'elle, les
filles.
Quoi ? Obéissant à la seconde
à la voix d'un de leurs Maîtres, les filles me sautent dessus comme... des
anguilles. L'une d'elles se glisse sous moi et tandis qu'il me baise, elle
colle sa bouche à mon clito. Ouch ! Deux filles viennent des deux côtés et
sucent le bout de mes seins, tandis que deux autres lèchent la plante de mes
pieds et sucent les orteils. La dernière vient contre moi et me souffle à
l'oreille :
— Tu sens la grosse bite de
mon Maître qui te défonce ?
Eh ! Mais elle me tutoie !
Elle continue :
— On se ressemble, mon Maître
va nous échanger ce soir. Tu seras dans une cage à supplier qu'on ne te fouette
pas et à sucer les bites de tous les gardiens.
C'est censé m'exciter, ça ?
Hélas, oui... c'est trop ! Autant participer. Je dis à l'esclave :
— Embrasse-moi.
Quand sa bouche qui suce les
bites de n'importe qui se pose sur la mienne, qui fait pareil, je jouis.... En
poussant des petits gémissements de chienne... Tex tapote mes fesses en disant
:
— C'est bon, petite ?
— Tricheur !
Il rigole. Comment voulez-vous
résister à autant de stimulations ? Un des gardes me dit :
— C'était très beau, Ashley.
Tu jouis comme une reine !
Oui, je sais, la reine
d'Égypte. Je lui souris. Ils sont tous les trois autour de moi, les bites
dressées vers moi. Je dis à Tex :
— J'avais envie que tu
jouisses en moi...
— Les copains vont te baiser
et ensuite, je jouirai en toi.
— Promis ?
— Promis. Tu veux une bière,
d'abord ?
Un regard de Tex et une
esclave m'apporte une bière fraîche. Ça fait du bien, je la vide en deux fois.
Un des gardes vient se coucher sur le lit, Tex me prend sous les genoux comme
si j'avais 3 ans et qu'il veuille me faire pisser. Il m'assied délicatement sur
la bite de son copain. Il est nettement moins bien monté que Tex, je le sens à
peine. Le suivant vient s'agenouiller derrière moi et il s'enfonce dans mon
cul. Ouch ! Là, je le sens... Le troisième vient se mettre à genoux au-dessus
de celui qui est couché, il lui caresse le visage avec ses couilles, mais ce
sont des copains, alors, ça va. Je sais ce qu'il veut, évidemment : que je le
suce...
Heureusement, il me reste le nez sinon j'aurais été complètement bouchée. On se synchronise bien : quand il y en a un qui sort de ma chatte, l'autre entre dans mon cul. Je veux jouir avec Tex, pas avec eux, alors je suce bien la bite qui est dans ma bouche et je contracte mon vagin et mon cul... Ça marche, celui qui est dans mon cul jouit le premier, suivi de près par son copain qui est dans ma chatte et enfin le troisième jouit dans ma bouche. C'est vrai qu'il y a une satisfaction à faire jouir rapidement les autres.
Tex dit :
— Les filles, nettoyez-moi
cette jeune fille. Puceron, tu t'occupes de la chatte !
Les esclaves ont des noms
marrants. Puceron est une belle brune, elle me dit :
— Si vous voulez bien vous
accroupir au-dessus de ma bouche, Maîtresse.
Elle se couche par terre et je
m'accroupis au-dessus de son visage, la chatte au-dessus de sa bouche. Je
pousse et des bulles de sécrétions et de sperme mêlés font les délices de
Puceron. Ou pas, mais on s'en fout, c'est une esclave.
Quand je me suis vidée en elle, elle met sa bouche sous mon anus et je pousse aussi. De l'air lui arrive en pleine figure, puis du sperme. Bon appétit, Puceron !
Voilà, je suis quasi propre et
je me couche sur le dos. Tex vient sur moi. Je lève les jambes et croise mes
chevilles sur ses reins. Tandis qu'il m'embrasse, il me pénètre. Voilà ce que
je voulais. Qu'il me baise comme si j'étais une jeune mariée... ou une épouse
amoureuse ou une jeune indigène sous son missionnaire. Pas que je souhaite que
Tex m'épouse. Physiquement, il me convient, mais un garde, non merci. Je veux
un mari riche, puissant, avec des propriétés pleines de pucerons, je veux dire
d'esclaves... Tex baise bien et depuis que tout le monde est vacciné contre les
MST, j'adore sentir un homme jouir en moi. Je vais aussi le taquiner et, tandis qu'il me baise à grands coups de reins,
je crie :
— Puceron, viens lécher son
cul.
— Oui Maîtresse.
J'écarte bien les fesses de Tex qui me regarde en souriant. Il me dit :
— Même avec la langue de
Puceron dans le cul, tu vas jouir avant moi...
— Jamais de la vie.
— On parie ?
Merde, je ne veux pas parier
avec lui. Surtout qu'il fait des mouvements tournants avec son sexe et ma
chatte adore ça... Je réponds :
— Suite à un voeu, je ne
parie... plus.
— Dégonflée.
— Je na suis pas... ooohh...
Il donne un bon coup de reins
et se retourne sur le dos, moi toujours fichée sur sa bite. Il me colle à lui
c'est à son tour d'écarter mes fesses en disant :
— Lèche son cul, Puceron.
Quel traître ! J'ai
l'impression que la langue de puceron investit complètement mon derrière. La
langue de cet insecte est magique... Évidemment, je gémis et je jouis comme
n'importe quelle écolière (de 18 ans) devant le show de son chanteur préféré.
Dès que je jouis, il ouvre en grand les vannes et m'inonde. Son jet puissant
arrose le fond de mon vagin. Je reste sur lui, jusqu'à ce qu'il me dise :
— Tu veux que Puceron te
nettoie ?
— Non... Je veux garder ton
sperme en moi.
Il m'embrasse... Ça devient
tendre entre nous... mais c'est un garde et moi une future star...
A suivre.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0
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