Sandra lui dit :
— Je suis un peu surprise de
te voir jouer les nounous.
— C'est un service que je
rends à Monsieur Sam et il me paye en conséquence.
Voilà, grâce à moi, elle se
fait des couilles en or ! Oui, quand il s'agit de Summer, on peut parler de couilles.
Sandra lui dit :
— Avec moi, elle a été sage...
— Je lui ai fait la leçon,
sinon, on pourrait croire qu'elle a 6 ans. Je dois tout lui dire, comme à un
enfant : apprends ton texte, lave-toi les dents, change de tee-shirt, va faire
pipi, on part...
Sandra rigole. Non, pire, elle
prend des notes dans un petit cahier. Summer ajoute en me regardant :
— Arrête de bouder, sinon je
te donne une fessée et tu ne pourras pas t'asseoir pendant trois jours.
Les deux filles me regardent,
je fais un grand sourire forcé. Sandra lui dit :
— Qu'est-ce qu'elle fait
bien ?
— Elle fait bien la salope.
Elle se fait baiser par n'importe qui, elle séduit, elle lèche bien... Tu veux
l'essayer ?
Non, mais elle dépasse les
bornes, là ! Je vais lui dire... rien, bien sûr. Sandra répond :
— Pas ce soir... mais je
viendrai volontiers pour te présenter mes nouvelles esclaves : des sœurs
jumelles. On fera une compétition, "qui lèche le mieux". Ce qui est
troublant, c'est qu'elles sont cathos et...
Je dois demander quelque
chose à Sandra :
— Des vraies sœurs ?
Mais c'est Summer qui répond :
— Tu coupes la parole aux
gens ?
— Mais... euh...
— Mets-toi à genoux, embrasse
les chevilles de Sandra, ensuite excuse-toi.
Je partirais bien, mais il y a
l'ascenseur. Non, pas que ça. Summer est tellement... décidée... que ça
m'excite. Et puis : on joue !! On joue Maîtresse et esclave. Summer est payée
pour être à mon service... Alors... euh... je me mets à genoux et j'embrasse la
cheville de Sandra, puis je me mets à genoux devant... non, contre elle, parce
qu'elle a écarté les jambes et je lui dis :
— Pardon de vous avoir
interrompue...
— Oh, putain, j'adore la façon
dont tu l'as dressée, Summer... J'accepte ta proposition... Enlève ma culotte,
petite....
Elle se soulève de son siège
pour que je puisse la lui enlever, puis elle met un pied sur la table. Ensuite,
elle pousse ma tête avec son pied et j'atterris contre sa chatte mouillée. Je
le fais parce que j'aime lécher une chatte., sinon je partirais, si j'avais pas
envie de le faire... Oui, même seule en ascenseur : il m'a l'air solide après
tout. Bon, je lèche sa chatte trempée, elle sent la fille excitée qui a pris sa
douche la veille, un peu fort mais pas trop... Je la lèche soigneusement, je
mélange ses sécrétions à ma salive... Elle gémit et son bassin vient au-devant
de ma langue. J'ai jamais léché une fille aussi réceptive... Elle est peut-être
la fille de "Speedy Gonzales" ? Bon, ça m'arrange, le bout de ma
langue tourne autour de son clito et ça y est, elle jouit en serrant mon visage
entre ses cuisses.... Mais lâchez-moi, Madame ! Elle doit faire de
l'équitation, la garce, ses cuisses me serrent comme un étau... Ouf, ça y est,
progressivement, elle desserre son étreinte. Je reprends mon souffle, elle,
aussi. Puis elle se redresse, prend mon visage entre ses mains... Non, pas
serrer ! Non, elle m'embrasse sur la bouche, puis elle dit :
— Tu es une formidable
lécheuse, petite...
— Ah... euh... merci...
— Tu me plais, je vais te
pousser.
Pousser où ça ? Summer lui dit
:
— On doit y aller. La petite doit
encore apprendre son texte pour demain.
On prend l'ascenseur à trois,
moi collée à Summer qui explique :
— Ashley a peur parce qu'il
paraît que l'ascenseur s'est déjà écrasé deux ou trois fois.
Ça les fait rire... Je m'en
fous, on n'en peut rien si on a le vertige.
On quitte Sandra, qui
m'embrasse avec fougue, peut-être parce que je suis parfumée à sa chatte. Par
contre, en rentrant, Summer me dit :
— Lave-toi le visage, tu pues
plus qu'un congrès de gouines.
Oui, ça, c'est Summer tout en
délicatesse. Elle ajoute :
— N'empêche que tu lui as plu,
elle va te pousser.
Qu'elle me pousse !
***
Ce matin, Lee a une autre
fournisseuse, une fille... comment dire ? Genre hard-rockeuse : jeans et
tee-shirt déchirés, cheveux rasés sur un côté, baskets trouvés dans une
poubelle. Si elle s'assied sur son visage après avoir pissé, il va prendre un
méga-pied !
Aujourd'hui, on tourne une
scène très importante. La reine décide de punir ses esclaves. Pas moi, donc,
mais mon personnage. Elle estime que les esclaves sont moins attentives depuis
un moment ou alors ça l'amuse de les fouetter. Des esclaves punies
régulièrement sont beaucoup plus attentives à obéir servilement à n'import quel
ordre, aussi humiliant soit-il. Les esclaves fouettées n'ont pas de fierté.
Pour cette scène, Lee et
Madame Wolf ont vu grand. Un garde arrive avec une camionnette bourrée
d'esclaves. C'est d'ailleurs indiqué en grand sur la camionnette. Il y a une
esclave enchaînée, sous la mention "Slave Paradise". Il y a d'autres
indictions : "Vente d'esclaves tous les jours à partir de 11 h." À
l'arrière de la camionnette, il est indiqué "Transport d'esclaves".
Je connais le garde, on a
mangé avec lui à Venice. Surpris de me voir en reine d'Égypte, il ose à peine
me caresser les fesses en m'embrassant. Il me fait beaucoup de compliments. Je
l'aime bien, lui.
Il m'apprend le maniement du
fouet. Ce n'est pas évident, il faut un petit mouvement du poignet à la fin,
pour que le fouet ait le maximum de vitesse quand il atteint la cible. Je
m'exerce sur... des pastèques. C'est marrant. Enfin, pas pour les pastèques,
mais ce sont des pastèques esclaves ! J'apprends vite et Lee qui a assisté à la
scène me dit :
— Tu vas t'exercer sur les
deux esclaves du studio.
On ne les utilise pas pour la
scène, car elles sont colorées. Pour le film, il faut des fesses bien blanches
pour qu'on voie les marques rouges. De plus, ces filles ont certainement besoin
d'être punies régulièrement. Lee leur dit de se mettre à 4 pattes et je
m'exerce, le fouet siffle et claque sur les fesses tandis que les esclaves
piaillent. Je vise de mieux en mieux et je suis grisée par les cris plus
intenses quand je fais le mouvement correctement. J'arrêterais bien pour
ménager leurs derrières, mais il "faut" que je m'exerce. Quand je
m'arrête, les fesses des filles sont couvertes de jolies marques rouges. Le
fouet se termine par une partie de cuir large, le but est que ça fasse mal,
mais sans blesser. Attirés par les cris des filles, beaucoup de gens sont venus
admirer le spectacle. On m'applaudit... Il paraît que je suis une bonne
fouetteuse. On va passer à la scène. Pour ça, on va dans un joli jardin qui a
servi pour un péplum.
Les esclaves sont déjà en
position. Je marche entre les rangées en parlant avec Jules César. Il me dit :
— Ma chère Cléopâtre, venez à
Rome avec moi, vous deviendrez la reine du monde.
Cléopâtre envoie deux coups de
fouet sur les fesses d'une blonde, faite pour être fouettée. Comme elle crie un
peu fort, elle reçoit deux autres coups de fouet. Je réponds à César :
— Seigneur, c'est mon rêve de
vous accompagner à Rome... et de devenir Impératrice.
Il y a un petit silence, ce
qui agace Cléopâtre. Elle envoie plusieurs coups de fouet sur les fesses d'une
rousse qui est à sa droite, puis d'une brune à gauche.
Un centurion arrive, courbé en deux. Il donne un parchemin à César et part en reculant. César lui dit :
— Un problème urgent à régler, ma chère Cléopâtre, j'en ai pour peu de temps...
Il sort. Encore plus agacée, Cléopâtre fouette les filles alternativement. Elle donne une dizaine de coups de fouet à chacune... Elle s'arrête en sueur, jette son fouet et va s'asseoir sur un trône. Deux esclaves agitent des palmes à toute allure pour l'éventer.
— Coupez !
Lee me dit :
— Bravo Ashley, excellente scène.
— Merci, c'est gentil.
Pour dire vrai, je suis un peu déçue, j'espérais recommencer la scène plusieurs fois. Pas parce que j'aime fouetter les esclaves, mais pour des raisons... professionnelles. Les esclaves quittent le jardin en gémissant et en se frottant les fesses. Quelles pleurnicheuses !
On va manger... puis on tourne des scènes beaucoup moins amusantes.
On finit tôt et Summer vient me chercher à 17 h pour aller au "Slave Paradise". Elle me dépose, Tex me reconduira. Elle me dit :
— Ne picole pas.
Je vais à la petite porte secrète, vous savez celle qu'on a prise la dernière fois. Je téléphone à Tex et je lui dis :
— Je suis là.
Un garde ouvre, on s'embrasse et il me dit :
— Tu viens te vendre ?
— J'ai déjà un acheteur.
On rigole... Je vous ferais remarquer que je n'ai plus peur. Tex vient à notre rencontre. Il est grand, costaud et il a une grosse bite. On s'embrasse mais bien... Ensuite on va voir les esclaves, ce sont les familles qui m'intéressent. On va dans le hangar où elles sont en cages. Il me montre deux sœurs dans une cage. Les pauvres, elles ont l'air affolées. Mais ce sont des délinquantes, donc elles sont mieux ici qu'en prison. Ici elles seront vendues et elles rapporteront de l'argent à l'Etat, au lieu d'en coûter en prison.
D'accord, elles vont se faire fouetter. Ce sont des fouets qui font mal mais ne blessent pas. D'ailleurs, elles ne sont fouettées que si elles sont maladroites, insolentes... ou si leur maître est énervé, c'est vrai. Tex me montre des jumelles serrées l'une contre l'autre. Je les prendrais bien pour jouer, mais Tex me dit :
— Viens, je suis ici tout le temps et ça pue.
C'est vrai que ça sent un peu la ménagerie.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia
sans dessous" sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici
:
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0
…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire