Aujourd'hui, une photo spéciale nature : les arbres, les plantes, le soleil... et même la lune.
J'écris pour vous, lisez-moi....
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Aujourd'hui, une photo spéciale nature : les arbres, les plantes, le soleil... et même la lune.
J'écris pour vous, lisez-moi....
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Je sais qu'on va me dire "Tu es dure avec les esclaves, si on ne leur permet pas de se laver, elles puent." D'accord avec vous, faudrait les laver tous les jours et pas seulement avant de les vendre. C'est pas moi qui suis dure, c'est eux.
Les filles sont des
princesses, mais elles doivent pisser et se laver de temps en temps. On sort du
hangar. Tex me dit :
— Ça te dit de voir notre
repaire secret ?
Non ! Je veux être avec lui...
comme des amoureux et qu'il me donne son chewing-gum à terminer... Oui, je suis
une fille romantique, mais comment dire "non" à un homme qui vous
fait mouiller ? D'autant plus qu'il ajoute :
— Il y a 3 copains et 6
esclaves.
Ça, c'est traître... Il ajoute
:
— On te fera membre de notre
petit clan, mais tu ne dois en parler à personne.
— Même pas à Summer ?
— Elle en fait partie.
Bien sûr, j'accepte.
D'ailleurs, les promenades romantiques sur la plage, c'est le bon moyen pour
avoir du goudron sur les plantes des pieds ! On va à l'arrière d'un autre
hangar dissimulé dans la végétation. Il y a un grand poulailler avec des
poules, des canards et des volailles dont je ne connais pas la marque, malgré
que je vienne de la campagne. Il n'y a pas de dindons, heureusement. Petite, je
me suis fait attaquer par un dindon, pour de vrai, et c'est vraiment méchant !
Avec Tex, j'ai peur de rien.
Les volatiles ont un dortoir pour pioncer et faire la sieste. C'est là que Tex
déplace une plaque de contreplaqué, dégageant un petit boîtier avec des
chiffres et des lettres. Il tape "slave 69" et le panneau coulisse.
On se croirait dans un roman d'espionnage. D'accord, la porte coulissante est
au fond d'un poulailler et pas dans une grotte dissimulée par une cascade, mais
ça me plaît quand même.
On entre dans une petite pièce
très sombre, tandis que le panneau se referme derrière nous. Je me colle à Tex,
oui, j'ai quand même un peu peur. Ben, il fait noir et il y a sûrement des
araignées : ça fait beaucoup étant donné que j'ai peur des deux. Tex ouvre une
porte et là on se retrouve dans un bordel de Las Vegas. Une assez grande pièce
avec une table, des chaises, plusieurs divans-lits, une lumière douce et de la
musique. "Dua Lupa", je crois. Il y a 3 gardes que je connais et 6
esclaves. Elles sont mixed, c'est-à-dire de différentes couleurs, sauf deux qui
se ressemblent comme ma fesse droite ressemble à ma fesse gauche, sans doute
des sœurs jumelles. Tex dit :
— Chers amis, voici un nouveau
membre.
Les gardes me souhaitent la
bienvenue et m'embrassent. Ensuite les esclaves viennent me déshabiller et
embrassent tout ce qu'elles découvrent, y compris mes pieds... j'aime... Tex
dit à ses amis :
— Je la chauffe un peu, puis
on jouera ensemble.
Tex se déshabille. Quand il
est nu, il me prend contre lui et m'embrasse. Ce n'est pas facile, vu notre
différence de tailles... Il recule et se laisse tomber sur un lit en me tenant
toujours contre lui. C'est mieux, je peux me mettre à hauteur de sa bouche. On
s'embrasse, il a un goût de menthe. Une bouche fraîche, c'est très important
pour moi... J'adore sentir sa peau contre la mienne. Quand notre baiser se
termine, ma bouche descend de son cou vers les poils de son torse. Ses poils me
chatouillent le nez. Il a une odeur virile et animale. Ma chatte et moi, on
raffole de ce genre d'odeurs, surtout quand on est excitées... Ma bouche
descend sur les petites bosses des abdos, jusqu'aux poils de son pubis d'où
émerge son sexe dressé, frémissant. Une pucelle serrerait les fesses
d'appréhension en voyant ses dimensions, mais je ne suis plus pucelle du tout
et ma chatte rêve de pénétration énergique en le voyant. Un peu de patience
Pussy, on va vérifier son goût d'abord. Ma bouche remonte le long de la hampe
du sexe jusqu'au bout tout humide d'intérêt pour moi. Une belle bite me rend
lyrique. Je fais coulisser la peau qui recouvre le gland. Il est énorme mais
attendrissant avec sa couleur rose pâle qui tranche sur la peau brune du ventre.
Je hume le gland et le goûte à petits coups de langues. Il est sauvage mais
très comestible. Tex me donne une claque sur les fesses en disant :
— Arrête de jouer, suce.
J'ouvre grand la bouche et le
gland fait la connaissance de mes amygdales, ils sympathisent.
Lors de soirées avec votre
épouse, vous avez sûrement dû remarquer qu'elle ferme les yeux quand elle suce
la bite d'un Monsieur. C'est ce qu'on fait toutes, sinon on louche, ce qui
n'est pas glamour. Après l'avoir longuement léché, Tex me prend par la nuque et
ôte sa bite de ma bouche en disant :
— Je vais te prendre en
levrette...
J'ouvre les yeux et je
m'aperçois que les gardes et leurs esclaves sont autour de nous. Mon Dieu !
C'est très gênant ! Mais non, je rigole, j'adore ça.
Je me mets à quatre pattes et
je remue les fesses comme une chienne en chaleur. Tex vient se mettre derrière
moi et il frotte son gland tout propre le long de ma fente mouillée. Ce qu'il
ignore, c'est qu'il y a un piège : au moment où il passe à la hauteur de mon
vagin, ma chatte l'aspire jusqu'au cou... Je veux dire jusqu'aux couilles. Il
aurait bien voulu taquiner ma fente encore un peu, mais maintenant, il n'a plus
qu'une solution : me baiser à grands coups de reins. Il me dit :
— Tu te crois maligne, mais tu
vas jouir dans pas longtemps.
Je réponds :
— Toi... avant... moi.
Mon débit est un peu haché à
cause de ses coups de reins. Il dit :
— Occupez-vous d'elle, les
filles.
Quoi ? Obéissant à la seconde
à la voix d'un de leurs Maîtres, les filles me sautent dessus comme... des
anguilles. L'une d'elles se glisse sous moi et tandis qu'il me baise, elle
colle sa bouche à mon clito. Ouch ! Deux filles viennent des deux côtés et
sucent le bout de mes seins, tandis que deux autres lèchent la plante de mes
pieds et sucent les orteils. La dernière vient contre moi et me souffle à
l'oreille :
— Tu sens la grosse bite de
mon Maître qui te défonce ?
Eh ! Mais elle me tutoie !
Elle continue :
— On se ressemble, mon Maître
va nous échanger ce soir. Tu seras dans une cage à supplier qu'on ne te fouette
pas et à sucer les bites de tous les gardiens.
C'est censé m'exciter, ça ?
Hélas, oui... c'est trop ! Autant participer. Je dis à l'esclave :
— Embrasse-moi.
Quand sa bouche qui suce les
bites de n'importe qui se pose sur la mienne, qui fait pareil, je jouis.... En
poussant des petits gémissements de chienne... Tex tapote mes fesses en disant
:
— C'est bon, petite ?
— Tricheur !
Il rigole. Comment voulez-vous
résister à autant de stimulations ? Un des gardes me dit :
— C'était très beau, Ashley.
Tu jouis comme une reine !
Oui, je sais, la reine
d'Égypte. Je lui souris. Ils sont tous les trois autour de moi, les bites
dressées vers moi. Je dis à Tex :
— J'avais envie que tu
jouisses en moi...
— Les copains vont te baiser
et ensuite, je jouirai en toi.
— Promis ?
— Promis. Tu veux une bière,
d'abord ?
Un regard de Tex et une
esclave m'apporte une bière fraîche. Ça fait du bien, je la vide en deux fois.
Un des gardes vient se coucher sur le lit, Tex me prend sous les genoux comme
si j'avais 3 ans et qu'il veuille me faire pisser. Il m'assied délicatement sur
la bite de son copain. Il est nettement moins bien monté que Tex, je le sens à
peine. Le suivant vient s'agenouiller derrière moi et il s'enfonce dans mon
cul. Ouch ! Là, je le sens... Le troisième vient se mettre à genoux au-dessus
de celui qui est couché, il lui caresse le visage avec ses couilles, mais ce
sont des copains, alors, ça va. Je sais ce qu'il veut, évidemment : que je le
suce...
Heureusement, il me reste le nez sinon j'aurais été complètement bouchée. On se synchronise bien : quand il y en a un qui sort de ma chatte, l'autre entre dans mon cul. Je veux jouir avec Tex, pas avec eux, alors je suce bien la bite qui est dans ma bouche et je contracte mon vagin et mon cul... Ça marche, celui qui est dans mon cul jouit le premier, suivi de près par son copain qui est dans ma chatte et enfin le troisième jouit dans ma bouche. C'est vrai qu'il y a une satisfaction à faire jouir rapidement les autres.
Tex dit :
— Les filles, nettoyez-moi
cette jeune fille. Puceron, tu t'occupes de la chatte !
Les esclaves ont des noms
marrants. Puceron est une belle brune, elle me dit :
— Si vous voulez bien vous
accroupir au-dessus de ma bouche, Maîtresse.
Elle se couche par terre et je
m'accroupis au-dessus de son visage, la chatte au-dessus de sa bouche. Je
pousse et des bulles de sécrétions et de sperme mêlés font les délices de
Puceron. Ou pas, mais on s'en fout, c'est une esclave.
Quand je me suis vidée en elle, elle met sa bouche sous mon anus et je pousse aussi. De l'air lui arrive en pleine figure, puis du sperme. Bon appétit, Puceron !
Voilà, je suis quasi propre et
je me couche sur le dos. Tex vient sur moi. Je lève les jambes et croise mes
chevilles sur ses reins. Tandis qu'il m'embrasse, il me pénètre. Voilà ce que
je voulais. Qu'il me baise comme si j'étais une jeune mariée... ou une épouse
amoureuse ou une jeune indigène sous son missionnaire. Pas que je souhaite que
Tex m'épouse. Physiquement, il me convient, mais un garde, non merci. Je veux
un mari riche, puissant, avec des propriétés pleines de pucerons, je veux dire
d'esclaves... Tex baise bien et depuis que tout le monde est vacciné contre les
MST, j'adore sentir un homme jouir en moi. Je vais aussi le taquiner et, tandis qu'il me baise à grands coups de reins,
je crie :
— Puceron, viens lécher son
cul.
— Oui Maîtresse.
J'écarte bien les fesses de Tex qui me regarde en souriant. Il me dit :
— Même avec la langue de
Puceron dans le cul, tu vas jouir avant moi...
— Jamais de la vie.
— On parie ?
Merde, je ne veux pas parier
avec lui. Surtout qu'il fait des mouvements tournants avec son sexe et ma
chatte adore ça... Je réponds :
— Suite à un voeu, je ne
parie... plus.
— Dégonflée.
— Je na suis pas... ooohh...
Il donne un bon coup de reins
et se retourne sur le dos, moi toujours fichée sur sa bite. Il me colle à lui
c'est à son tour d'écarter mes fesses en disant :
— Lèche son cul, Puceron.
Quel traître ! J'ai
l'impression que la langue de puceron investit complètement mon derrière. La
langue de cet insecte est magique... Évidemment, je gémis et je jouis comme
n'importe quelle écolière (de 18 ans) devant le show de son chanteur préféré.
Dès que je jouis, il ouvre en grand les vannes et m'inonde. Son jet puissant
arrose le fond de mon vagin. Je reste sur lui, jusqu'à ce qu'il me dise :
— Tu veux que Puceron te
nettoie ?
— Non... Je veux garder ton
sperme en moi.
Il m'embrasse... Ça devient
tendre entre nous... mais c'est un garde et moi une future star...
A suivre.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0
…
J'en parle dans tous mes livres. Ils sont ici :
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Changement de décor et soleil... et ma chatte peut respirer librement.
***
Des livres qui vous feront beaucoup de bien :
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C'est pénible ces allergies : dès que je mets une culotte, ma chatte éternue...
C'est gênant en public.
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
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Ooops ! C'est pas mon mari, c'est mon... (à vous de compléter.)
***
Lisez mes livres, vous passerez de super moments.
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C'est quoi cette position ?
Sandra lui dit :
— Je suis un peu surprise de
te voir jouer les nounous.
— C'est un service que je
rends à Monsieur Sam et il me paye en conséquence.
Voilà, grâce à moi, elle se
fait des couilles en or ! Oui, quand il s'agit de Summer, on peut parler de couilles.
Sandra lui dit :
— Avec moi, elle a été sage...
— Je lui ai fait la leçon,
sinon, on pourrait croire qu'elle a 6 ans. Je dois tout lui dire, comme à un
enfant : apprends ton texte, lave-toi les dents, change de tee-shirt, va faire
pipi, on part...
Sandra rigole. Non, pire, elle
prend des notes dans un petit cahier. Summer ajoute en me regardant :
— Arrête de bouder, sinon je
te donne une fessée et tu ne pourras pas t'asseoir pendant trois jours.
Les deux filles me regardent,
je fais un grand sourire forcé. Sandra lui dit :
— Qu'est-ce qu'elle fait
bien ?
— Elle fait bien la salope.
Elle se fait baiser par n'importe qui, elle séduit, elle lèche bien... Tu veux
l'essayer ?
Non, mais elle dépasse les
bornes, là ! Je vais lui dire... rien, bien sûr. Sandra répond :
— Pas ce soir... mais je
viendrai volontiers pour te présenter mes nouvelles esclaves : des sœurs
jumelles. On fera une compétition, "qui lèche le mieux". Ce qui est
troublant, c'est qu'elles sont cathos et...
Je dois demander quelque
chose à Sandra :
— Des vraies sœurs ?
Mais c'est Summer qui répond :
— Tu coupes la parole aux
gens ?
— Mais... euh...
— Mets-toi à genoux, embrasse
les chevilles de Sandra, ensuite excuse-toi.
Je partirais bien, mais il y a
l'ascenseur. Non, pas que ça. Summer est tellement... décidée... que ça
m'excite. Et puis : on joue !! On joue Maîtresse et esclave. Summer est payée
pour être à mon service... Alors... euh... je me mets à genoux et j'embrasse la
cheville de Sandra, puis je me mets à genoux devant... non, contre elle, parce
qu'elle a écarté les jambes et je lui dis :
— Pardon de vous avoir
interrompue...
— Oh, putain, j'adore la façon
dont tu l'as dressée, Summer... J'accepte ta proposition... Enlève ma culotte,
petite....
Elle se soulève de son siège
pour que je puisse la lui enlever, puis elle met un pied sur la table. Ensuite,
elle pousse ma tête avec son pied et j'atterris contre sa chatte mouillée. Je
le fais parce que j'aime lécher une chatte., sinon je partirais, si j'avais pas
envie de le faire... Oui, même seule en ascenseur : il m'a l'air solide après
tout. Bon, je lèche sa chatte trempée, elle sent la fille excitée qui a pris sa
douche la veille, un peu fort mais pas trop... Je la lèche soigneusement, je
mélange ses sécrétions à ma salive... Elle gémit et son bassin vient au-devant
de ma langue. J'ai jamais léché une fille aussi réceptive... Elle est peut-être
la fille de "Speedy Gonzales" ? Bon, ça m'arrange, le bout de ma
langue tourne autour de son clito et ça y est, elle jouit en serrant mon visage
entre ses cuisses.... Mais lâchez-moi, Madame ! Elle doit faire de
l'équitation, la garce, ses cuisses me serrent comme un étau... Ouf, ça y est,
progressivement, elle desserre son étreinte. Je reprends mon souffle, elle,
aussi. Puis elle se redresse, prend mon visage entre ses mains... Non, pas
serrer ! Non, elle m'embrasse sur la bouche, puis elle dit :
— Tu es une formidable
lécheuse, petite...
— Ah... euh... merci...
— Tu me plais, je vais te
pousser.
Pousser où ça ? Summer lui dit
:
— On doit y aller. La petite doit
encore apprendre son texte pour demain.
On prend l'ascenseur à trois,
moi collée à Summer qui explique :
— Ashley a peur parce qu'il
paraît que l'ascenseur s'est déjà écrasé deux ou trois fois.
Ça les fait rire... Je m'en
fous, on n'en peut rien si on a le vertige.
On quitte Sandra, qui
m'embrasse avec fougue, peut-être parce que je suis parfumée à sa chatte. Par
contre, en rentrant, Summer me dit :
— Lave-toi le visage, tu pues
plus qu'un congrès de gouines.
Oui, ça, c'est Summer tout en
délicatesse. Elle ajoute :
— N'empêche que tu lui as plu,
elle va te pousser.
Qu'elle me pousse !
***
Ce matin, Lee a une autre
fournisseuse, une fille... comment dire ? Genre hard-rockeuse : jeans et
tee-shirt déchirés, cheveux rasés sur un côté, baskets trouvés dans une
poubelle. Si elle s'assied sur son visage après avoir pissé, il va prendre un
méga-pied !
Aujourd'hui, on tourne une
scène très importante. La reine décide de punir ses esclaves. Pas moi, donc,
mais mon personnage. Elle estime que les esclaves sont moins attentives depuis
un moment ou alors ça l'amuse de les fouetter. Des esclaves punies
régulièrement sont beaucoup plus attentives à obéir servilement à n'import quel
ordre, aussi humiliant soit-il. Les esclaves fouettées n'ont pas de fierté.
Pour cette scène, Lee et
Madame Wolf ont vu grand. Un garde arrive avec une camionnette bourrée
d'esclaves. C'est d'ailleurs indiqué en grand sur la camionnette. Il y a une
esclave enchaînée, sous la mention "Slave Paradise". Il y a d'autres
indictions : "Vente d'esclaves tous les jours à partir de 11 h." À
l'arrière de la camionnette, il est indiqué "Transport d'esclaves".
Je connais le garde, on a
mangé avec lui à Venice. Surpris de me voir en reine d'Égypte, il ose à peine
me caresser les fesses en m'embrassant. Il me fait beaucoup de compliments. Je
l'aime bien, lui.
Il m'apprend le maniement du
fouet. Ce n'est pas évident, il faut un petit mouvement du poignet à la fin,
pour que le fouet ait le maximum de vitesse quand il atteint la cible. Je
m'exerce sur... des pastèques. C'est marrant. Enfin, pas pour les pastèques,
mais ce sont des pastèques esclaves ! J'apprends vite et Lee qui a assisté à la
scène me dit :
— Tu vas t'exercer sur les
deux esclaves du studio.
On ne les utilise pas pour la
scène, car elles sont colorées. Pour le film, il faut des fesses bien blanches
pour qu'on voie les marques rouges. De plus, ces filles ont certainement besoin
d'être punies régulièrement. Lee leur dit de se mettre à 4 pattes et je
m'exerce, le fouet siffle et claque sur les fesses tandis que les esclaves
piaillent. Je vise de mieux en mieux et je suis grisée par les cris plus
intenses quand je fais le mouvement correctement. J'arrêterais bien pour
ménager leurs derrières, mais il "faut" que je m'exerce. Quand je
m'arrête, les fesses des filles sont couvertes de jolies marques rouges. Le
fouet se termine par une partie de cuir large, le but est que ça fasse mal,
mais sans blesser. Attirés par les cris des filles, beaucoup de gens sont venus
admirer le spectacle. On m'applaudit... Il paraît que je suis une bonne
fouetteuse. On va passer à la scène. Pour ça, on va dans un joli jardin qui a
servi pour un péplum.
Les esclaves sont déjà en
position. Je marche entre les rangées en parlant avec Jules César. Il me dit :
— Ma chère Cléopâtre, venez à
Rome avec moi, vous deviendrez la reine du monde.
Cléopâtre envoie deux coups de
fouet sur les fesses d'une blonde, faite pour être fouettée. Comme elle crie un
peu fort, elle reçoit deux autres coups de fouet. Je réponds à César :
— Seigneur, c'est mon rêve de
vous accompagner à Rome... et de devenir Impératrice.
Il y a un petit silence, ce
qui agace Cléopâtre. Elle envoie plusieurs coups de fouet sur les fesses d'une
rousse qui est à sa droite, puis d'une brune à gauche.
Les tomes 1 à 5 de "Mia
sans dessous" sont ici :
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Dessin de Bruce Morgan pour "Mia sans dessous" tome 3. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
Ma chatte aussi a besoin de respirer.
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Aah... enfin une photo convenable... enfin, presque 😇
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
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Suite de samedi. Il s'agit d'une reconstitution pour un Parc d'Attractions très spécial. Ce sont des épisodes de "Mia sans dessous".
http://www.lamusardine.com/P32760-samia-fille-du-voyage-morgan-bruce-michael-mia.html
Il s'agit d'une recostitution pour un Parc d'Attractions très spécial. Ce sont des épisodes de "Mia sans dessous".
On prend le sentier qui serpente entre des arbustes et des fleurs, pour arriver dans la clairière où Monsieur Sam mange avec deux Chinois. Je leur dis :
— Bonjour Monsieur Sam,
bonjour Messieurs.
Les Chinois ouvrent des grands
yeux en me voyant, ce qui est un exploit pour un Chinois. Ils ont l'air de
beaucoup apprécier mon anatomie. Monsieur Sam me dit :
— Tu n'embrasses plus...
— Si si..
Je l'embrasse sur la bouche,
puis j'embrasse les deux Chinois, très surpris. J'ai pris une enveloppe et j'en
sors deux photos et deux dessins faits par Johnny à Atlanta, en disant :
— Je voudrais le faire venir
pour faire des photos et me dessiner.
Il répond :
— C'est pas mal du tout et
puis tu as beaucoup de crédit pour le moment. D'accord, on lui trouvera quelque
chose.
— Merci Monsieur, c'est très
gentil... Une dernière petite chose, si on a besoin de figurantes, j'ai
rencontré deux jolies filles, une métisse et une hispanique.
Il prend le papier avec les
numéros de téléphone en disant :
— D'accord, j'ai vu la scène
où tu pisses sur une esclave, c'était très joli... Continue comme ça. Tu saais
que tu peux compter sur moi. Bon, tes cinq minutes sont passées.
— Merci Monsieur Sam.
Un des Chinois dit quelque
chose... en chinois. Monsieur Sam me dit :
— Ah Ashley, avant de partir,
danse pour mes amis chinois.
— À poil, M'sieur ?
— De préférence...
J'enlève mes voiles et je
danse... comme sur une table pour des clients... Mieux, je vais près d'eux, je
prends leurs mains et je les colle sur mes seins et mes fesses...
Je crois que les Chinois n'ont pas
compris que j'étais une future star de cinéma, car ils sortent des billets de
leurs portefeuilles et ils me collent des billets de 100 $ entre les fesses.
Ils sont bourrés de savoir-vivre, ces Chinetoques... Pour les remercier, je
m'assois sur leurs genoux, au risque de mouiller leurs pantalons... Oui... ça
m'excite quand on me met des billets entre les fesses. Sam me dit :
— Merci ma belle, tu peux y
aller maintenant.
Je remets mes voiles. Les
Chinois me disent au revoir en agitant leurs bras à toute allure. J'envoie des
baisers. Ils sont mignons... et surtout généreux. Il y a beaucoup de Chinois
autour de Monsieur Sam et aussi au "Slave Paradise". Je l'imagine
bien exporter des esclaves en Chine. Je repars avec Kim à travers la forêt
vierge. Elle me dit :
— Vous êtes trop belle quand
vous dansez, Mademoiselle.
— Merci, tu es gentille.
Je l'aime bien, mon
assistante. On reprend l'ascenseur de la peur. Je me colle à elle. Le vide sous
mes pieds, je ne m'y habituerai jamais.
***
L'après-midi, tout se passe
bien... Je connais mon texte, je joue bien... Quand on a fini, Monsieur Lee me
dit :
— Demain, on a ajouté une
scène qui va te plaire : la reine s'ennuie et pour se distraire, elle fouette
des esclaves.
— Sérieux ?
— Oui... Dis, demain matin...
est-ce que...
Je comprends ce qu'il veut.
Vous voyez que je suis moins conne que j'ai en ai l'air. Je réponds :
— Je vous apporterai à boire.
Il me fait un grand sourire.
Ce soir, Summer a du travail et j'ai rendez-vous avec le Texan à Venice. J'en
mouille d'avance... Au moment où je m'apprête à appeler un taxi, j'ai un
message de Summer : "Attends-moi, j'arrive".
Pas de chance, je ne vois pas
son message, enfin, c'est ce que je lui dirai. Je prends mon téléphone pour
appeler un taxi et Summer arrive. Elle descend de voiture, accompagnée d'une
jolie brune d'une trentaine d'années. Elle me dit :
— Tu as eu mon message ?
— ...Euh oui... mais j'ai
rendez-vous, désolée.
— Tu le remets. Sandra Mae va
t'interviewer et faire quelques photos.
— Je suis désolée, mais ce
soir, ce ne sera pas possible, je ne peux pas le remettre. J'ai vu Monsieur Sam
ce midi et il sait que...
Elle me prend par une oreille.
Je crie :
— Aïe ! Tu me fais mal....
Elle est grande et je suis
petite, alors, elle me tire vers le haut jusqu'à ce que je sois sur la pointe
des pieds. Mon visage est à
— Tu mens et tu discutes...
— Tu me fais maaaaal. S'il te
plaaaaît... lâche mon oreille... Je ferai ce que tu veux... aïïïe !
Elle me lâche et je frotte mon
oreille qui doit être toute rouge. La fille nous dit :
— J'ai fait une photo, ça ne
te dérange pas Summer ?
— Non, pas du tout.
Moi, ça me dérange... mais
j'ai une oreille rouge, ça me suffit ! Je lui dis :
— S'il te plaît Summer, je
voudrais juste prévenir...
— Qui ?
— Mais... euh... Ted.
— Je vais l'appeler. Toi, tu
vas dans le studio avec Sandra. Je vous rejoins plus tard.
Elle s'en va. Sandra me dit :
— Viens, on va près de la
fontaine.
Je ne connais même pas la
fontaine. En chemin, elle me dit :
— Tu sais, Summer sait bien
que tu n'as pas parlé de ce rendez-vous avec Monsieur Sam. Tu ne dois pas
mentir, surtout pas à elle et encore moins à Monsieur Sam.
Je deviens toute rouge et...
je ne sais pas quoi lui répondre. Elle ajoute :
— Ne te mets pas à bouder, je
dis ça pour toi.
— Non... je ne boude pas...
mais je lui ai menti, car elle est vraiment très autoritaire et...
Et... je ne continue pas, car
derrière un hangar studio, on arrive dans un joli jardin. Il y a une fontaine
vraiment hyper réaliste. Au-dessus d'un bassin, une plantureuse sirène presse
ses seins et envoie des jets d'eau. On a vraiment l'impression que c'est une
vraie femme. Sandra sort un appareil photo en disant :
— On va profiter de cette
belle lumière pour faire quelques photos.
— Il y a une photo qui
pourrait être marrante.
J'enlève ma robe, mes sandales
et je vais dans le bassin aussi nue que la sirène... mais, moi, je n'ai pas de
queue ! Je me mets en dessous du jet qui sort de son sein et je bois. Sandra me
dit :
— Bravo, super idée.
Ensuite, je fais le même geste
que la sirène : je presse mes seins de façon à ce qu'un jet d'eau tombe sur le
bout d'un de mes seins.
Il fait chaud même en ce début
de soirée, alors je joue un peu dans l'eau. Ravie, Sandra me dit :
— Tu as vraiment beaucoup de
charisme.
Je ne sais pas bien ce que ça veut dire, mais ça doit être gentil... Je continue à faire le singe dans la fontaine. Je me mets même à cheval sur la sirène. Sandra dit :
— Je voudrais faire quelques
photos au sommet de l'immeuble. On pourra parler en buvant une bière
— Vous pouvez y aller ?
— Bien sûr...
Elle doit être une amie de
Monsieur Sam ou une petite cousine. Je tiens ma robe en main pour me sécher...
Elle me dit :
— Tu peux rester nue si tu
veux.
— Volontiers...
J'aime être nue... On arrive
devant le building. Je connais le garde qui est dehors, mais il s'adresse
d'abord à Sandra :
— Bonsoir Mademoiselle Sandra.
— Bonsoir Tom. On monte....
— Très bien, Mademoiselle.
Il ajoute :
— Et, bonsoir Mademoiselle
Ashley, le plus beau cul de Californie.
Je l'embrasse. Sandra est un
peu surprise. Je lui dis :
— On a mangé ensemble à
Venice.
Avant de monter dans mon
ennemi... Je lui dis :
— J'ai peur quand je vois le
vide sous mes pieds, je peux me mettre contre vous ?
— Oui, bien sûr.
Je me colle à elle et elle
absorbe ma peur... Oui, je suis bizarre. On arrive dans la petite forêt du
sommet de l'immeuble. Elle me dit :
— On va encore faire quelques
photos dans la lumière du soleil couchant... Tu peux remettre ta
robe, il fait un peu frais ici.
Je me rhabille. On fait des
photos, normale et puis style pin up...
C'est vite fait. Ensuite, on
va s'asseoir sur la petite terrasse. Sandra prend deux bières qu'on boit au
goulot comme des "red necks" de Georgie. On commence l'interview,
elle l'enregistre :
— Tu as été choisie pour
interpréter Cléopâtre, raconte-nous ton parcours pour arriver à ça...
—... Euh...
— Tu viens d'où ?
Je lui raconte. Quand j'ai
fini, elle me dit :
— Parfait... sauf deux ou
trois petites choses. On préfère que tu dises qu'à la mort de tes parents, dans
un accident de voiture, tu as été recueillie par un oncle et une tante, pauvres
mais honnêtes. À tes 18 ans, tu es partie à Atlanta. Un routier t'a prise en
stop et tu as trouvé un travail de serveuse au restaurant "Jonathn's
roof". C'est là que Johnny Heyssen t'a remarquée. Il est devenu ton agent
et t'a fait passer un casting pour Cléopâtre. Tu es d'accord ?
Je la regarde très étonnée.
Summer me dirait "ferme la bouche". Je réponds :
— ... Euh, oui... donc plus de
"House of Pussies", ni de Monsieur Sam ?
— Voilà... N'oublie pas...
— Non, non... Dites, je peux
avoir une autre bière ?
— Le frigo est là. Prends-en
une pour moi.
Je vais chercher les bières et
je les ouvre. On boit... au goulot... Et là, Summer arrive. Je me lève
bêtement... Elle prend ma place et dit à Sandra :
— Elle a tout compris ?
— Oui, j'ai l'impression.
Je veux me rasseoir, mais
Summer me dit :
— Reste debout, on va
partir... mais avant, apporte-moi une bière.
Je vais la chercher et je
reste debout devant elle. Les filles parlent de moi, comme si je n'étais pas
là. J'ai l'habitude...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan,
pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
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Tu es sur cette photo, Mia ?
Dessin de Bruce Morgan pour "Mia sans dessous". Il vend ses dessins originaux, signés et des dessins personnalisés de vous, votre femme, votre belle-mère. Tous renseignements : brucemorgan@hotmail.fr
Tu fais quoi dans cette position ?
- J'embrasse le facteur qui s'en va.
Lisez mes livres, ils vous enverront au 7ème ciel.
Ils sont ici :
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Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
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J'écris une super histoire : "Maid in Japan". Les premiers épisodes sont ici : www.miasansdessous.com
***
Merci à mon ami Frank pour me mettre dans un aussi beau décor.
Tu attends un client ?
- Méchante langue ! J'attends juste le facteur.
***
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Mia comme un paysage vallonnée...
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