Mr
W. s'adresse à Yoake :
—
J'espère que tu punis les filles.
—
Oui, ce matin, elles ont passé un bon moment nues et à genoux sur
la terrasse, les bras dans la nuque. Genre Guantanamo.
—
Parfait, j'adore... Je me souviens quand mon cher papa punissait mes
sœurs et ma mère.... Moi, je poussais sur leurs épaules et...
Ce
psychopathe essuie une larme en disant ça, puis il lui demande :
—
Tu te fais au moins lécher la chatte ou le trou du cul ?
—
Non, vous me connaissez, Mr W... Vous savez que je n'aime pas le
sexe, sauf avec vous.
Nouveau
rire de dingue, puis :
—
Qu'est-ce que tu veux, sœur Yoake ?
—
Continuer les tournages avec les deux filles. Si la première a les
fesses rouges, l'autre joue la même scène avec des fesses fraîches.
Je voudrais aussi tourner une séquence sur le mont Fuji avant
d'aller à Tokyo.
—
Accordé... J'ai vu ton travail et ça me plait. Tu as carte
blanche.
— Merci
beaucoup Mr W. Je vous embrasse.
Il
raccroche. Elle pousse un gros soupir... puis elle dit à Nouria :
—
Voilà, ça c'est fait ! Tu as compris Nouria ? Tu ne t'occupes
plus de la technique, tu tourneras les vidéos.
—
Oui, Mademoiselle.
Elle
se tourne vers Irving et lui demande :
—
Un jour de repérage et un jour d'installation, ça te semble
suffisant ?
—
Oui... mais, il faudrait trois hommes en plus.
—
Parfait, je demande au Prince. Il ne faut pas que les filles
gambadent dans vos jambes, elles vont rester ici.
Elle
se tourne vers nous :
—
Vous allez rester deux ou trois jours ici. Allez vous présenter à
Madame Ishida.
Je
lui demande :
—
Elle se trouve où, Mademoi...
Nouria
me coupe :
— On
y va Mademoiselle, bon séjour à vous et à l'équipe.
On
salue et on sort. Dans le couloir, elle me dit :
—
Tu dois toujours obéir, sans demander d'explications. Tu commences à
la connaître, non ?
—
Oui, pardon.
On
demande à la fille de la réception et elle nous indique le bureau
de Madame Ischida.
On
arrive devant une petite pièce, dont le porte est ouverte. Madame
Ischida est une grosse femme d'une quarantaine d'années. Les chefs
sont souvent gros au Japon. On la salue et Nouria lui dit :
—
C'est Mademoiselle Yoake qui nous envoie.
—
C'est vous qui venez du château ?
—
Oui Madame.
—
Montrez-moi votre marque.
On
se tourne et on baisse nos jeans pour montrer le poisson sur nos
fesses. Elle nous dit :
—
Vous êtes ici pour deux jours et je dois vous occuper... Alors, vous
savez nettoyer, servir à table et plaire sexuellement... c'est
ça ?
On répond
:
— Oui
Madame....
Elle
réfléchit un instant avant de nous dire :
—
Vous allez travailler au bassin VIP. D'abord pour nettoyer et ensuite
vous vous occuperez des clients. Suivez-moi.
On
prend plusieurs couloirs et on finit par arriver dans un grand
vestiaire. Il y a même un bar, des tables et des chaises. Deux
filles sont assises sur les genoux de deux hommes âgés et deux
autres sucent des hommes plus jeunes. Assise à une table, une fille
boit un thé tout en lisant un magazine. Quand elle voit arriver
Madame Ischida, elle se lève et se plie en deux pour la saluer. Elle
lui dit :
—
J'attendais que des filles soient libres pour les faire
nettoyer...
La
fille n'a pas l'air à l'aise. C'est une jolie Japonaise d'une
vingtaine d'années, nue comme les autres filles. Elles sont tatouées
et on sait ce que ça signifie. Madame Ischida s'assied et lui dit
:
— On attend
des filles supplémentaires pour la fin de la semaine, mais il faut
que tout soit impeccablement nettoyé, ici et dehors.
—
Ce sera ma priorité, Madame. Je ne vous ai jamais déçue, mais ce
matin, c'est vrai que j'aurai dû commencer à nettoyer moi-même.
—
Une prochaine fois, fais-le Hayaka... Bien... alors je voudrais que
tu fasses travailler ces deux filles pendant un ou deux jours. Elles
nettoieront, puis elles seront à la disposition des clients en fin
d'après-midi. Ce sont des filles du Prince Koïzumi. Tu peux les
punir, mais ne laisse pas de marques visibles car elles vont tourner
avec Mademoiselle Yoake.
La
fille a un grand sourire et je remarque que ses incisives et ses
canines sont très pointues, comme les dents de Yoake. Elle me fait
peur !
— Je
m'en occuperai, Madame.
—
Tu peux les mettre dans ton lit si tu veux, mais pas de
fouet.
Nouveau
sourire de louve et profond salut de la fille qui reconduit Madame
Ischida jusqu'à la porte. Elle revient vers nous en disant :
—
Avoir des esclaves occidentales, mon rêve ! Déshabillez-vous !
On
enlève nos vêtements. Elle nous examine, comme si elle allait nous
acheter.
Elle
tâte nos seins nos fesses. Un homme lui dit :
—
Je retiens ces deux filles pour 17 heures.
—
Elles seront à vous, Monsieur Hiro. Bien... vous deux,
suivez-moi.
Elle
nous montre un placard où se trouve du matériel de nettoyage. Seau
savon, brosse, serpillières, savon. Bien sûr, il n'y a pas brosse
avec un long manche et pas de raclette, non plus. Il faudra se mettre
à genoux ou à quatre pattes pour nettoyer. Elle prend deux
robes-tabliers qui se boutonnent devant dans un panier de linge sale
en disant :
—
Mettez ça !
Les
uniformes sentent la sueur et les produits de nettoyage, mais on
n'est pas à ça près. Elle nous dit :
—
Commencez par les w.c. et les douches. Et que ce soit impeccable !
Il
y a deux w.c. pour les hommes et deux pour les femmes. Ils ne sont
pas aussi sales qu'on pouvait le craindre, mais il y a quand même
des mecs qui ont réussi à pisser à côté. On remplit des seaux,
on met du savon et... on récure avec les brosses, on rince, on
sèche... On nettoie, quoi. Après les w.c. on passe aux douches : il
y en a quatre... On nettoie... mes genoux me font mal, ça me
rappelle des mauvais souvenirs de la ferme et du château.... Deux
heures plus tard, tout étincelle... quasiment. On va dans le grand
vestiaire, sales et mouillées. De nouveaux clients sont là, des
hommes et des femmes, tous japonais. Les filles qui travaillent
trouvent très amusant de voir deux Occidentales faire le travail
qu'elles doivent sans doute faire à tour de rôle. Hayaka, la chef
est assise sur les cuisses d'un gros Japonais. Elle dit bien fort :
—
Regardez mes nouvelles servantes, elles sont Françaises. Ceux qui
veulent peuvent vérifier avec moi si elles ont bien travaillé.
Ils
le veulent tous, filles et clients. C'est pas du jeu, leur but est de
trouver quelque chose qu'on a oublié. Ils furètent partout.
Bientôt, une fille crie :
—
Venez voir ça, Mademoiselle !
Tout
le monde va voir. Dans un coin de la douche, il y a une trace, sans
doute de savon. Nouria étant plus près d'elle, Hayaka lui demande
:
— C'est quoi
ça ?
— Je
crois que c'est une trace... de savon... Mademoiselle.
—
Lèche !
Hayaka
répète nettement plus fort :
—
LÈCHE !
Nouria
ne discute pas et elle lèche le résidu de savon en faisant la
grimace, jusqu'à ce que le sol étincelle. Tout le monde recommence
à fouiner. Entre un banc et le mur, un client trouve un préservatif
utilisé. Il le donne à Hayaka qui me dit :
—
À genoux devant moi et ouvre la bouche.
J'obéis
et à l'aide de deux doigts, Hayaka presse le préservatif d'un bout
à l'autre en faisant tomber du sperme dans ma bouche.
Elle
dit :
— Le
prochain que vous aurez oublié, je vous le ferai avaler.
On
a compris ! Nouria et moi, on continue à nettoyer, encore plus
soigneusement. Si on pouvait, on attraperait les bactéries une par
une.
Les clients
et les filles ont trouvé nos punitions très amusantes. J'ai même
peur qu'un client ne cache un préservatif quelque part. Ils
s'amusent tous à jeter des choses par terre, style mégots, bouts de
papier. Ils crachent même par terre. Qu'ils brûlent un jour en
enfer !
On nettoie
sans arrêt, à l’exception de dix minutes pour manger un bol de
riz et pour boire. Un peu avant 16 h Hayaka nous dit :
—
Allez prendre une douche... Lavez-vous convenablement et vite !
C'est
la fin du nettoyage, pour aujourd'hui. Enfin, c'est ce qu'on
espère... On va "vite" prendre une douche et on revient,
les cheveux humides. Un gros Japonais nous a retenues. Il nous montre
ses cuisses épaisses, on s'assied sur elles en se faisant face. Il
nous dit :
— Je
m'appelle Noguchi. J'ai trouvé cruel de se moquer de vous et de
jeter des choses par terre. Alors, pour compenser, on va aller dans
le bassin, ensuite nous irons manger et boire quelque chose.
Je
réponds :
—
Merci beaucoup, Monsieur, vous êtes un ange !
Il
rit, puis il nous demande :
—
Vous aimez le kasutera ?
—
On adore, Monsieur.
Je
ne sais pas ce que c'est mais Nouria a l'air de le savoir.
Monsieur
Noguchi appelle une des filles qui vient aussitôt se plier en deux
devant lui. Il lui dit :
—
Prépare-nous une table sur la petite terrasse pour trois personnes.
On prendra du saké et beaucoup de kasuteras.
—
Certainement, Monsieur.
—
On va faire un tour dans le bassin en attendant que la collation soit
prête.
Il se lève
et nous remet sur nos pieds. Non seulement il est très gros mais
aussi très grand. Il nous prend par la taille. On a l'air de deux
gamines entourant le père Noël, puisqu'il va nous faire des cadeaux
: des cakes et du saké. On entre dans le bassin, tout le monde le
salue respectueusement. Un peu comme s'il était le patron du
Japon.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre
nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y
a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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