samedi 4 mars 2023

Maid in Japan - 20 Caméra cachée.

Le lendemain matin, je suis réveillée par une voix d'homme :
— Qu'est-ce que tu fais là, toi ?
Ouch ! C'est Monsieur Frank, qui me regarde. Je réponds :
— C'est Monsieur Westraub qui m'a dit de venir dans votre chambre, Monsieur, et il me fait peur...
Il rit, avant de me faire remarquer :
— Tu as fait connaissance avec sa sandale ?
— Ouiiiii Monsieur.
— Il est spécial... mais aussi très efficace. Il est à la tête de plusieurs chaînes de télévision et il est très fort sur le Net.
Il s'adresse à la jolie Black :
— Tu as bien fait de la laisser dormir ici... On va partir avec elle.
— Je pars avec vous, Monsieur ?
— Oui... Tu vas faire de la télé et tu seras au service de Mademoiselle Latissa. Ça te convient, Lati ?
La Black s'étire et bâille. De profil, elle a un nez très court et sa belle bouche dépasse le bout de son nez... Et puis, elle a un corps superbe. Elle répond :
— Mouais... Elle a un beau cul et puis elle a l'air de filer droit. Tu as la gaule, Frank ?
— Comme tous les matins, ma belle.
— Bon... Viens me lécher, petite servante.
Je vais vite sur le lit et je pose ma bouche sur son sexe, tandis que Frank se met à genoux derrière moi. La journée commence fort ! Il caresse ma fente avec son sexe. Latissa me plaît, c'est vrai, mais elle aurait pris une douche, ce serait encore mieux. Je la lèche, tandis que Frank fait comme chez lui : il entre et va et vient en moi. Il me baise à grands coups de reins. En même temps, je lèche soigneusement la chatte de ma nouvelle maîtresse.

 


 

Il n'y a pas de sandale ici, c'est déjà ça... Je m'habitue à son odeur et à son goût un peu fort. Elle a baisé hier soir et elle aurait besoin d'un petit débarbouillage. Je sens qu'elle apprécie ma langue et elle dit même :
— Elle fait ça bien... Elle me léchera tous les matins, plus besoin de me laver la chatte.
Ça fait rire Frank... Bien sûr, je suis victime de mon tempérament, le nez dans une chatte, un sexe d’homme dans la mienne, je jouis... Ouch ! C'est fort... Je suis bien dressée, je continue à lécher la chatte de Latissa qui me dit :
— Une servante qui jouit avant ses maîtres et sans demander l'autorisation, c'est normal, ça ?
Ouch ! Elle est fâchée ? Non, heureusement, elle caresse ma tête de son pied nu. Frank grogne un peu derrière moi, il accélère le rythme... Oui, mais... j'en peux rien, je jouis à nouveau. J'essaie que ça ne se voie pas, mais Frank doit sentir les spasmes de mon vagin autour de son sexe, car il dit :
— Elle jouit à nouveau, la petite cochonne... et moi aussi... aaahhhhhh, ouiiiiii...
Ça ne m'empêche pas de continuer à lécher Latissa. Frank lui dit :
— Tu as gagné Lati, comme toujours... Laisse-toi aller.
Elle me dit :
— Mets deux doigts dans mon vagin et lèche plus vite... Allez, travaille ! Tu veux que j'aille chercher la sandale ?
Ça, c'est magique, je la baise avec les doigts tout en la léchant à toute allure ! Enfin, elle jouit et mouille bien mon visage. Ouf !
Bon, ça, c'est fait. Frank est dans la salle de bain, Latissa le rejoint. J'entends le bruit de la douche.... Quand ils en sortent, Frank me dit :
— À ton tour
Je vais à la toilette, puis je me lave. Quand je reviens dans la chambre, ils sont habillés. Latissa me dit :
— Mets ces vêtements.
Il s'agit d'une jupe noire, d'un chemisier blanc et de chaussures noires. Ce n'est pas un uniforme, mais ça fait quand même très "bonne". Ils vont saluer le Prince, les Thaïs et Mitsuko. Ils mangent à sa table. Frank me montre une petite table, je vais vite m'y installer. Mr W n'est pas encore descendu, merci Seigneur.
Il y a un panier avec des croissants et puis du beurre et de la confiture. Une servante vient m'apporter du café. Ça fait plaisir d'être servie. Quand Frank et Latissa ont déjeuné, ils saluent à nouveau le Prince, puis ils me font signe de les suivre. On va dans le jardin vers la voiture. C'est le chauffeur de Mitsuko qui est au volant. Il descend pour leur ouvrir les portières. Quand ils sont assis, je vais à côté du chauffeur. Et mes bagages ? Ah oui, c'est vrai : je n'en ai pas, car je n'ai rien...
Mitsuko et Mya-Tao auraient pu me dire au revoir, soi-disant qu'on va former un groupe... Ce sont des conneries, tout ça. Ah non ! Elles sortent toutes les deux de la maison et se dirigent vers nous. Elle ouvre de la portière et elle me dit :
— Sors.
Je descends de voiture, elle s'éloigne un peu, puis elle me demande :
— Tu pars sans me dire au revoir ?
— Mais je n'ai pas osé, je...
Je me mets à pleurer... Elle me prend dans ses bras ! C'est la première fois qu'elle a un geste un peu attentionné. Elle me dit :
— La télé, c'est pour te faire connaître. Mya-Tao et moi, on va en faire aussi et dans un mois, on chante ensemble.
Je prends sa main et je l'embrasse. Elle rit car j'ai mouillé sa main et elle me dit :
— Allez, file et fait ce que Frank te dit.
— Oui, au revoir Mademoiselles et au revoir Mademoiselle Mya-Tao.
— Bonne chance. On sera bientôt les nouvelles "idols".
Je remonte en voiture, je me sens un tout petit peu mieux. Le chauffeur démarre. Frank et Latissa discutent... On roule un moment et Frank me demande :
— Tu n'as pas envie d'aller passer quelques jours chez Monsieur W ?
— Oh non, Monsieur...
— Alors un bon conseil, n'essaie pas de t'évader. On te retrouverait rapidement et tu n'aimerais pas la punition.
— Je n'essaierai pas, Monsieur.
On roule, le mont Fuji est à notre droite et je vois un panneau sur lequel il est écrit :
      
熱水泉 c'est-à-dire "sources chaudes". Je me retourne vers le couple et Latissa me dit :
— Oui, c'est là qu'on va faire ta première camera cachée.
— Oh, c'est super Mademoiselle ! Je pourrai me baigner ?
— Bien sûr.
L'hôtel n'a qu'un étage et il est tout en longueur, pour se fondre dans le paysage. Le chauffeur descend les bagages du coffre et on entre. D'abord Latissa et Frank, puis moi avec deux grosses valises. La réceptionniste le reconnaît et appelle un des directeurs. Ils se saluent et discutent de l'émission. Ensuite, un employé leur montre la chambre au premier étage. La terrasse surplombe les sources chaudes et les bassins parsemés de gros rochers et de plantes... Un groupe de Japonais se trouve dans l'eau, presque immobile, on dirait qu'ils méditent.
Je suis un peu déboussolée par tout ce qui vient de se passer, je vais vraiment jouer dans une émission de télé ?
Dans la chambre il y a un grand lit pour eux et un petit pour moi, c'est mieux qu'un divan ou un matelas sur le sol. Le soir, je fais un nouveau bond dans l'échelle sociale, car je mange au restaurant avec eux... Frank commande pour moi, mais ça, c'est un détail. Ils parlent du tournage de demain. Je suis fatiguée, j'écoute distraitement. Je sais bien que je suis concernée, enfin, je pense, mais tant pis, on verra.... Tout est tellement bizarre. Je m'attends à voir arriver Alice courant derrière un gros lapin avec une montre...
***
Le lendemain matin, je suis réveillée par Latissa, qui me dit :
— Cécile, viens me lécher.
— Oui Mademoiselle.
Je me glisse entre ses jambes et je fais sa petite toilette, tandis qu’elle discute avec Frank. Elle jouit rapidement, ce matin :
Je passe à la salle de bains, mais je n'ai pas le temps de me doucher, que Frank me dit :
— Rapplique, on va déjeuner.
Je termine vite de me laver les dents avec une brosse fournie par l'hôtel... Je m'habille rapidement.
Ici le petit déjeuner est typiquement japonais : riz, soupe miso, légumes marinés et du poisson séché. C'est bon, mais je préférerais des croissants et des pains au chocolat. Je réussis quand même à avoir du café. Quand on a fini, Frank m’annonce :
— Aujourd'hui, tu tournes. Ce ne sera pas follement original, mais c'est surtout pour voir ce que tu donnes à l'image et comment tu te comportes. Tu vas aller dans un des bassins réservés aux hommes et tu improvises.
Il se tourne vers Latissa qui poursuit :
— Tu es une servante et ta maîtresse t'a autorisée à prendre un bain. Mais pas avec elle, bien sûr. Donc tu as décidé d'aller chez les hommes...
Et... ? J'attends la suite, mais on dirait qu'il n'y en a pas.
J'aurais une dizaine de questions à lui poser, mais... on verra. C'est Frank qui reprend la parole :
— Va au vestiaire des femmes, déshabille-toi. Tu mettras une serviette autour de toi, ensuite tu sors par la porte sur laquelle il est marqué "réservé aux hommes". Arrivée sur la terrasse, tu enlèves la serviette, tu la laisses là et tu descends lentement. Vas-y !
Je me lève et je les salue. Il ajoute :
— Encore une chose. Le jeu consiste pour toi à comprendre ce qu'on veut et à improviser. En fait, tu as l'air conne, mais je ne pense pas que tu le sois.
Improviser ? Je le regarde les yeux ronds, la bouche entr'ouverte et là, il me décoche la dernière flèche :
— Si tu te plantes, Mr W sera ravi de te revoir.
Après ce coup bas, il se rassoit. Bon... je suis à la lettre ce qu'ils m'ont dit. Je me retrouve bientôt nue sur la terrasse de bois. Je regarde le grand bassin dans lequel se trouve une vingtaine d'hommes de 18 à 78 ans. À part deux Occidentaux, ce sont tous des Japonais. L'un deux m'aperçoit et dit :
— Une apparition, les gars.
Ils regardent tous, un autre homme me dit :
— Viens vite nous rejoindre, petite, tu vas prendre froid.
Je descends lentement l'escalier en ondulant un peu des hanches. Genre Marilyn, vous voyez ?


 

J'arrive dans l'eau... mmhhhh, elle est chaude, c'est agréable. Contrairement à ce que pourrait laisser croire mon ancien nom de Boy-ra (chaudière), mes fesses ne font pas de vapeur en entrant dans l'eau. Les hommes m'entourent. Je leur explique :

— Mes patrons m'ont dit de venir ici, car ils ne veulent pas que leur servante soit dans le même bassin qu'eux.
Les hommes sont ravis, ils ne pensent plus à méditer, ils ne font plus "oommm" mais "mmmm" tout court ! Un jeune homme m'embrasse tandis que des mains vont de mes seins à mes fesses. Un costaud dit :
— Il y en aura pour tout le monde. Je commence, faites une file derrière moi et n'enculez pas celui qui vous précède.
Tout le monde rit, y compris moi, pour une fois. Il me dit :
— Agrippe-toi au muret et offre-moi tes fesses.
Il sait parler aux filles, le gars. Dès que je suis en position, il s'enfonce dans ma chatte. Aïe ! C'est pas que je sois redevenue pucelle, c'est que ça ne glisse pas bien dans l'eau ! Tout en me baisant, il dit :
— Cinq minutes chacun, les gars...
Tout ça doit l'exciter parce qu'il n'arrive pas aux cinq minutes. Il est aussitôt remplacé par un autre. Là, ça glisse mieux, malgré l'eau. Ensuite, comment dire, ils me baisent tous, sauf deux qui restent fidèles à leurs femmes et deux gays. Pas la peine de le cacher, je jouis deux ou trois fois. Disons trois fois. Quand la bite du dernier fouille mon vagin, on entend :
— Arrêtez ça immédiatement !

A suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 

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