Le
lendemain matin, je suis réveillée par une voix d'homme :
—
Qu'est-ce que tu fais là, toi ?
Ouch !
C'est Monsieur Frank, qui me regarde. Je réponds :
—
C'est Monsieur Westraub qui m'a dit de venir dans votre chambre,
Monsieur, et il me fait peur...
Il
rit, avant de me faire remarquer :
—
Tu as fait connaissance avec sa sandale ?
—
Ouiiiii Monsieur.
—
Il est spécial... mais aussi très efficace. Il est à la tête de
plusieurs chaînes de télévision et il est très fort sur le
Net.
Il s'adresse
à la jolie Black :
—
Tu as bien fait de la laisser dormir ici... On va partir avec elle.
—
Je pars avec vous, Monsieur ?
—
Oui... Tu vas faire de la télé et tu seras au service de
Mademoiselle Latissa. Ça te convient, Lati ?
La
Black s'étire et bâille. De profil, elle a un nez très court et sa
belle bouche dépasse le bout de son nez... Et puis, elle a un corps
superbe. Elle répond :
—
Mouais... Elle a un beau cul et puis elle a l'air de filer droit. Tu
as la gaule, Frank ?
—
Comme tous les matins, ma belle.
—
Bon... Viens me lécher, petite servante.
Je
vais vite sur le lit et je pose ma bouche sur son sexe, tandis que
Frank se met à genoux derrière moi. La journée commence fort !
Il caresse ma fente avec son sexe. Latissa me plaît, c'est vrai,
mais elle aurait pris une douche, ce serait encore mieux. Je la
lèche, tandis que Frank fait comme chez lui : il entre et va et
vient en moi. Il me baise à grands coups de reins. En même temps,
je lèche soigneusement la chatte de ma nouvelle maîtresse.
Il
n'y a pas de sandale ici, c'est déjà ça... Je m'habitue à son
odeur et à son goût un peu fort. Elle a baisé hier soir et elle
aurait besoin d'un petit débarbouillage. Je sens qu'elle apprécie
ma langue et elle dit même :
—
Elle fait ça bien... Elle me léchera tous les matins, plus besoin
de me laver la chatte.
Ça
fait rire Frank... Bien sûr, je suis victime de mon tempérament, le
nez dans une chatte, un sexe d’homme dans la mienne, je jouis...
Ouch ! C'est fort... Je suis bien dressée, je continue à lécher
la chatte de Latissa qui me dit :
—
Une servante qui jouit avant ses maîtres et sans demander
l'autorisation, c'est normal, ça ?
Ouch !
Elle est fâchée ? Non, heureusement, elle caresse ma tête de son
pied nu. Frank grogne un peu derrière moi, il accélère le
rythme... Oui, mais... j'en peux rien, je jouis à nouveau. J'essaie
que ça ne se voie pas, mais Frank doit sentir les spasmes de mon
vagin autour de son sexe, car il dit :
—
Elle jouit à nouveau, la petite cochonne... et moi aussi...
aaahhhhhh, ouiiiiii...
Ça
ne m'empêche pas de continuer à lécher Latissa. Frank lui dit :
—
Tu as gagné Lati, comme toujours... Laisse-toi aller.
Elle
me dit :
— Mets
deux doigts dans mon vagin et lèche plus vite... Allez, travaille !
Tu veux que j'aille chercher la sandale ?
Ça,
c'est magique, je la baise avec les doigts tout en la léchant à
toute allure ! Enfin, elle jouit et mouille bien mon visage.
Ouf !
Bon, ça,
c'est fait. Frank est dans la salle de bain, Latissa le rejoint.
J'entends le bruit de la douche.... Quand ils en sortent, Frank me
dit :
— À ton
tour
Je vais à la
toilette, puis je me lave. Quand je reviens dans la chambre, ils sont
habillés. Latissa me dit :
—
Mets ces vêtements.
Il
s'agit d'une jupe noire, d'un chemisier blanc et de chaussures
noires. Ce n'est pas un uniforme, mais ça fait quand même très
"bonne". Ils vont saluer le Prince, les Thaïs et Mitsuko.
Ils mangent à sa table. Frank me montre une petite table, je vais
vite m'y installer. Mr W n'est pas encore descendu, merci
Seigneur.
Il y a
un panier avec des croissants et puis du beurre et de la confiture.
Une servante vient m'apporter du café. Ça fait plaisir d'être
servie. Quand Frank et Latissa ont déjeuné, ils saluent à nouveau
le Prince, puis ils me font signe de les suivre. On va dans le jardin
vers la voiture. C'est le chauffeur de Mitsuko qui est au volant. Il
descend pour leur ouvrir les portières. Quand ils sont assis, je
vais à côté du chauffeur. Et mes bagages ? Ah oui, c'est vrai :
je n'en ai pas, car je n'ai rien...
Mitsuko
et Mya-Tao auraient pu me dire au revoir, soi-disant qu'on va former
un groupe... Ce sont des conneries, tout ça. Ah non ! Elles
sortent toutes les deux de la maison et se dirigent vers nous. Elle
ouvre de la portière et elle me dit :
—
Sors.
Je descends
de voiture, elle s'éloigne un peu, puis elle me demande :
—
Tu pars sans me dire au revoir ?
—
Mais je n'ai pas osé, je...
Je
me mets à pleurer... Elle me prend dans ses bras ! C'est la
première fois qu'elle a un geste un peu attentionné. Elle me dit
:
— La télé,
c'est pour te faire connaître. Mya-Tao et moi, on va en faire aussi
et dans un mois, on chante ensemble.
Je
prends sa main et je l'embrasse. Elle rit car j'ai mouillé sa main
et elle me dit :
—
Allez, file et fait ce que Frank te dit.
—
Oui, au revoir Mademoiselles et au revoir Mademoiselle Mya-Tao.
—
Bonne chance. On sera bientôt les nouvelles "idols".
Je
remonte en voiture, je me sens un tout petit peu mieux. Le chauffeur
démarre. Frank et Latissa discutent... On roule un moment et Frank
me demande :
—
Tu n'as pas envie d'aller passer quelques jours chez Monsieur W ?
—
Oh non, Monsieur...
—
Alors un bon conseil, n'essaie pas de t'évader. On te retrouverait
rapidement et tu n'aimerais pas la punition.
—
Je n'essaierai pas, Monsieur.
On
roule, le mont Fuji est à notre droite et je vois un panneau sur
lequel il est écrit :
熱水泉
c'est-à-dire
"sources chaudes". Je me retourne vers le couple et Latissa
me dit :
— Oui,
c'est là qu'on va faire ta première camera cachée.
—
Oh, c'est super Mademoiselle ! Je pourrai me baigner ?
—
Bien sûr.
L'hôtel
n'a qu'un étage et il est tout en longueur, pour se fondre dans le
paysage. Le chauffeur descend les bagages du coffre et on entre.
D'abord Latissa et Frank, puis moi avec deux grosses valises. La
réceptionniste le reconnaît et appelle un des directeurs. Ils se
saluent et discutent de l'émission. Ensuite, un employé leur montre
la chambre au premier étage. La terrasse surplombe les sources
chaudes et les bassins parsemés de gros rochers et de plantes... Un
groupe de Japonais se trouve dans l'eau, presque immobile, on dirait
qu'ils méditent.
Je
suis un peu déboussolée par tout ce qui vient de se passer, je vais
vraiment jouer dans une émission de télé ?
Dans
la chambre il y a un grand lit pour eux et un petit pour moi, c'est
mieux qu'un divan ou un matelas sur le sol. Le soir, je fais un
nouveau bond dans l'échelle sociale, car je mange au restaurant avec
eux... Frank commande pour moi, mais ça, c'est un détail. Ils
parlent du tournage de demain. Je suis fatiguée, j'écoute
distraitement. Je sais bien que je suis concernée, enfin, je pense,
mais tant pis, on verra.... Tout est tellement bizarre. Je m'attends
à voir arriver Alice courant derrière un gros lapin avec une
montre...
***
Le
lendemain matin, je suis réveillée par Latissa, qui me dit :
—
Cécile, viens me lécher.
—
Oui Mademoiselle.
Je
me glisse entre ses jambes et je fais sa petite toilette, tandis
qu’elle discute avec Frank. Elle jouit rapidement, ce matin :
Je
passe à la salle de bains, mais je n'ai pas le temps de me doucher,
que Frank me dit :
—
Rapplique, on va déjeuner.
Je
termine vite de me laver les dents avec une brosse fournie par
l'hôtel... Je m'habille rapidement.
Ici
le petit déjeuner est typiquement japonais : riz, soupe miso,
légumes marinés et du poisson séché. C'est bon, mais je
préférerais des croissants et des pains au chocolat. Je réussis
quand même à avoir du café. Quand on a fini, Frank m’annonce :
—
Aujourd'hui, tu tournes. Ce ne sera pas follement original, mais
c'est surtout pour voir ce que tu donnes à l'image et comment tu te
comportes. Tu vas aller dans un des bassins réservés aux hommes et
tu improvises.
Il
se tourne vers Latissa qui poursuit :
—
Tu es une servante et ta maîtresse t'a autorisée à prendre un
bain. Mais pas avec elle, bien sûr. Donc tu as décidé d'aller chez
les hommes...
Et... ?
J'attends la suite, mais on dirait qu'il n'y en a pas.
J'aurais
une dizaine de questions à lui poser, mais... on verra. C'est Frank
qui reprend la parole :
—
Va au vestiaire des femmes, déshabille-toi. Tu mettras une serviette
autour de toi, ensuite tu sors par la porte sur laquelle il est
marqué "réservé aux hommes". Arrivée sur la terrasse,
tu enlèves la serviette, tu la laisses là et tu descends lentement.
Vas-y !
Je me
lève et je les salue. Il ajoute :
—
Encore une chose. Le jeu consiste pour toi à comprendre ce qu'on
veut et à improviser. En fait, tu as l'air conne, mais je ne pense
pas que tu le sois.
Improviser ?
Je le regarde les yeux ronds, la bouche entr'ouverte et là, il me
décoche la dernière flèche :
—
Si tu te plantes, Mr W sera ravi de te revoir.
Après
ce coup bas, il se rassoit. Bon... je suis à la lettre ce qu'ils
m'ont dit. Je me retrouve bientôt nue sur la terrasse de bois. Je
regarde le grand bassin dans lequel se trouve une vingtaine d'hommes
de 18 à 78 ans. À part deux Occidentaux, ce sont tous des Japonais.
L'un deux m'aperçoit et dit :
—
Une apparition, les gars.
Ils
regardent tous, un autre homme me dit :
—
Viens vite nous rejoindre, petite, tu vas prendre froid.
Je
descends lentement l'escalier en ondulant un peu des hanches. Genre
Marilyn, vous voyez ?
J'arrive dans l'eau... mmhhhh, elle est chaude, c'est agréable. Contrairement à ce que pourrait laisser croire mon ancien nom de Boy-ra (chaudière), mes fesses ne font pas de vapeur en entrant dans l'eau. Les hommes m'entourent. Je leur explique :
—
Mes patrons m'ont dit de venir ici, car ils ne veulent pas que leur
servante soit dans le même bassin qu'eux.
Les
hommes sont ravis, ils ne pensent plus à méditer, ils ne font plus
"oommm" mais "mmmm" tout court ! Un jeune homme
m'embrasse tandis que des mains vont de mes seins à mes fesses. Un
costaud dit :
—
Il y en aura pour tout le monde. Je commence, faites une file
derrière moi et n'enculez pas celui qui vous précède.
Tout
le monde rit, y compris moi, pour une fois. Il me dit :
—
Agrippe-toi au muret et offre-moi tes fesses.
Il
sait parler aux filles, le gars. Dès que je suis en position, il
s'enfonce dans ma chatte. Aïe ! C'est pas que je sois redevenue
pucelle, c'est que ça ne glisse pas bien dans l'eau ! Tout en me
baisant, il dit :
—
Cinq minutes chacun, les gars...
Tout
ça doit l'exciter parce qu'il n'arrive pas aux cinq minutes. Il est
aussitôt remplacé par un autre. Là, ça glisse mieux, malgré
l'eau. Ensuite, comment dire, ils me baisent tous, sauf deux qui
restent fidèles à leurs femmes et deux gays. Pas la peine de le
cacher, je jouis deux ou trois fois. Disons trois fois. Quand la bite
du dernier fouille mon vagin, on entend :
—
Arrêtez ça immédiatement !
A
suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire