Je ne suis pas frileuse, mais j'ai la gorge fragile 😀
***
Mes livres coûtent 2,99 € et vous allez les adorer.
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
Je ne suis pas frileuse, mais j'ai la gorge fragile 😀
***
Mes livres coûtent 2,99 € et vous allez les adorer.
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
La
fille me dit :
—
Décris-moi.
—
Vous... euh... décrire ?
—
Oui, tu comprends le mot ?
—
Si, si... Vous êtes grande et mince, blanche de peau... Vos cheveux
sont noirs, vos yeux aussi... et... ils font peur.
Elle
rit. J'ajoute :
—
Vous avez des dents blanches... et un petit nez droit... Vos seins
sont légèrement en poires et ils ont l'air très fermes. Les bouts
sont roses. Vous avez la taille très mince, des jambes fines mais
des cuisses musclées.
Elle
se retourne. Je continue :
—
Votre taille mince qui fait encore ressortir la rondeur de vos fesses
et...
Deux
Japonaises entrent dans le vestiaire. Très sûre d'elle, la fille
leur dit :
— On
fait un film publicitaire pour les bains.
Elle
siffle et le drone qui nous a filmées retourne dans son sac, c'est
surprenant ! Elle met ce sac dans un casier qui ferme à clef, puis
elle me dit :
—
En résumé, je suis plutôt belle ?
—
Oh oui, vous êtes ravissante !
Elle
rit de nouveau et répond :
—
Je sais ce que valent les compliments d'une fille qui a un koï sur
le cul, mais c'est agréable à entendre et c'est vrai... Viens.
Elle
ouvre la porte sur laquelle il est écrit « Femmes seulement ». On
se retrouve au-dessus d'un bassin semblable à celui des hommes. Il y
a une vingtaine de femmes et tout le monde nous regarde, mais pas
pour nous chasser, parce qu'on est ... sexy. Je suis un peu gênée
parce que j'ai vraiment les fesses rouges. Avant que j'entre dans
l'eau jusqu'à la taille, une femme l’a remarqué et me demande
:
— Tu as reçu
une fessée ?
La
fille répond en japonais :
—
Elle a fait un caprice, j'ai dû la fesser.
Les
Japonaises trouvent ça très amusant, surtout qu'on doit avoir à
peu près le même âge. Elles nous prennent sûrement pour un
couple. On s'assied dans le bassin, avec de l'eau jusqu'au cou.
La
jeune femme est immobile. Elle est belle, c'est vrai, mais elle n'a
vraiment pas l'air commode. Moi, j'aimais bien Latissa, celle-ci me
fait peur. Je me sens à nouveau complètement déprimé...
Soi-disant que je devais faire de la télé... Résultat, je reçois
des claques sur les fesses deux fois par jour !! J'en ai marre...
je... je me mets à pleurer ! Là, elle bouge... Non, elle aboie
:
— Quoi ?
—
On ne me dit jamais rien et... et vous me faites peur... sniiif... et
on me donne des fessées... si c'est ça la télé !
Elle
pousse un gros soupir et elle me dit :
—
Bon, je m'appelle Yoake, c'est la traduction de mon prénom en
japonais. Tu te plains d'une fessée dont on ne voit plus de traces
au bout de quelques heures ! Tu es vraiment une gamine pleurnicharde.
Tu vas effectivement recevoir des fessées, mais c'est bon pour ta
circulation. Et arrête de pleurnicher, sinon tu risques de sentir ce
qu'est, une vraie fessée. Compris ?
—
Oui Mademoiselle.
Quelle
garce ! La porte du vestiaire s'ouvre et une jeune femme apparaît.
C'est une jolie blonde enroulée dans sa serviette. Elle demande à
Yoake :
— Je
pourrais aller dans le bassin, Mademoiselle ?
Nouveau
soupir de Yoake qui lui répond :
—
Tu as terminé ton travail ?
—
Oui, j'ai terminé et c'est vraiment...
Yoake
la coupe :
— Pas
besoin de détails, Nouria. Tu peux venir et n'oublies pas de saluer
poliment.
—
Merci Mademoiselle.
Elle
enlève la serviette qu'elle a autour d'elle et descend l'escalier.
Elle est bien faite et je remarque tout de suite qu'elle a un
piercing dans le téton gauche. Arrivée dans le basin, elle
s'incline pour saluer les femmes qui lui rendent son salut. C'est
très mondain, ce bassin. Elle vient près de moi et m'embrasse en
disant :
— Je
fais partie de l'équipe. J'ai travaillé sur tes vidéos. Tu es très
photogénique.
—
Merci, vous êtes très jolie aussi et vous avez l'air vraiment
sympa.
Sous-entendu,
c'est pas comme cette garce de Yoake. Évidemment, ça ne lui plaît
pas qu'on parle, même tout bas. Elle nous dit :
—
Hé, les pipelettes !! Vous voyez ce gros rocher, là-bas ?
Allez-y. Ah, Nouria ! Que tu racontes ta vie, je m'en fous, mais ne
parle pas du tournage.
—
Oui, Mademoiselle.
Nous,
on ne demande pas mieux que d'être loin d'elle. On va près du gros
rocher. Et, oui, on fait les pipelettes. Je raconte tout : Paris, le
job de baby-sitter au Japon, la ferme, le château. Elle s'appelle
donc Nouria, mais elle est Française et elle a beaucoup voyagé très
jeune, surtout en Amérique du Sud... et puis, elle a eu un problème,
dont elle ne parle pas. Ensuite, elle s'est retrouvée à la ferme
puis au château. Comme je me plains beaucoup de la façon dont on
est traitées, elle me répond :
—J'ai
connu pire...
Je
fais la même chose. Je ne veux plus qu'on touche à mes fesses. S’il
faut ramper pour ça, pas de problèmes, ça ne fait pas mal. Yoake
s'adresse à Nouria :
—
Il y avait trois erreurs, je les ai indiquées. Je ne te punirais pas
cette fois-ci, mais fais plus attention la prochaine fois.
—
Oui Mademoiselle, ça n'arrivera plus.
On
doit dire « Maîtresse » quand on lui embrasse les pieds et ensuite
« Mademoiselle », c'est pas très compliqué.
Yoake
se déshabille, elle a une taille très mince et des belles
fesses.... Elle se couche sur un lit et ouvre sa tablette. Elle doit
sans doute être sur Skype, ou un autre opérateur, et elle parle
chaleureusement à quelqu'un dans une langue qui n'existe pas...
Enfin, que je ne connais pas. Sans doute une langue slave... Elle
rit... Nouria et moi, on ne bouge pas et on n'ose pas parler, ça va
de soi. Quand elle a fini, elle nous annonce :
—
On va manger.
Cool,
j'ai faim. On passe d'abord au bar et elle se dirige vers trois
hommes installés autour d'une table. Dès qu’ils l’ont vue, tout
le monde se lève. Est-ce qu'ils vont lui embrasser les pieds ?
Non. N'empêche, c'est elle le chef !
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Lisez mes livres, pour me consoler...
***
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 3
https://www.lamusardine.com/sabine-fournier/881-mia-sans-dessous-3.html
Fait chaud chez vous...
On dit, qu'il n'y a pas de sot métier, mais il y en a quand même de plus pénibles que d'autres.
Ma chatte voudrait savoir siffler mais ce n'est pas évident avec les lèvres humides
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_shareIl y a un nouveau bar où vous pouvez boire et tirer un coup en
même temps !
Il y a un nouvel épisode avec un dessin inédit de Bruce Morgan, sur notre blog gratuit.
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 2
Une fille, quatre fesses, c'est de la magie.
Pour tout savoir de moi, lisez mes livres. Ils coûtent 2,99 € et vous allez adorer.
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_shareJ'ai trouvé un petit boulot pour arrondir mes fins de mois.
Pour tout savoir de moi, lisez mes livres. Ils coûtent 2,99 € et vous allez adorer.
On tourne tous la tête vers lui : c'est un policier ! Mon baiseur débande et sort de moi, mine de rien. Le policier poursuit :
—
D'abord, il est interdit d'avoir des relations sexuelles dans les
bassins, c'est tout à fait antihygiénique... Ensuite, toi...
Il
me montre du doigt :
—
Tu parles japonais ?
—
Ben, oui...
—
Alors tu as lu "réservé aux hommes" ?
—
Mes patrons m'ont dit de venir ici. C'est ce que j'ai fait. Si vous
alliez plutôt vous occuper de la circulation à Tokyo, c'est le
bordel, là-bas !
Les
hommes, toujours courageux, s'éloignent de moi, genre "on ne
connaît pas cette personne." Quelle bande de bâtards ! Le
policier crie :
—
Sale gamine insolente ! Si je dois venir te chercher, tu passeras
la nuit en cellule !
Un
des hommes me dit :
—
Tu ferais mieux d'y aller.
Je
les regarde... Personne pour me défendre. Je sors du bassin et
remonte l'escalier. Dès que je suis proche de lui, le policier –
qui est grand et costaud – me prend sous son bras, comme on prenait
les gamines au siècle passé pour les fesser. Moi, je suis une
femme, mais je me retrouve sous son bras les fesses en l'air, la tête
en bas. Sa large main atterrit sur mes fesses mouillées avec un
bruit de pétard... mouillé. Je pousse des cris tandis que les
claques pleuvent sur mes fesses. Dans le bassin, les hommes rient et
l'encouragent ! J'ai dit bâtards ? J'avais raison. Honnêtement,
je dois reconnaître que ses gifles claquent bien sur mes fesses,
mais qu'il ne frappe pas trop fort. Après quelques dizaines de
claques, il me remet sur mes pieds et il me traîne derrière lui en
me tirant par l'oreille.
Dès
qu'on se retrouve dans le vestiaire, il me lâche. Je suis là, toute
bête et toute nue, les fesses en feu et douloureuses. Je me frotte
l'oreille qu'il a pincée. Frank et Latissa arrivent... Il me dit :
—
C'était bien.
Latissa
ajoute :
— On
remet ça, cet après-midi.
Quoi ?!!
Je réponds :
—
Avec une fessée ?
—
Une fessée, ça ? Tu te fous de nous ? Cet après-midi, on ne
verra plus rien. Sois dans le vestiaire à 14 h 45. Si tu as faim ou
soif, fais-le mettre sur la note.
Je
la regarde, attendant l'ordre suivant... Il n'y en a pas. Bon, je me
rhabille et je sors de la pièce. Elle a beau dire, je sens bien mes
fesses ! Si c'était les siennes, je dirais aussi : tu appelles ça
une fessée ? Je vais au bar, il y a déjà pas mal de gens qui
prennent l'apéritif. J'ai envie de boire quelque chose de fort. On
dit "A Rome, fais comme les Romains", alors, je commande un
saké. Le barman répond :
—
Non pas d'alcool pour toi. Tu veux une limonade ?
—
Vous ne servez pas d'alcool ?
—
Si, mais pas à toi.
Les
hommes qui boivent un verre au bar me regardent en souriant. Un
Japonais me dit :
—
T'as pas l'âge, petite.
—
J'ai 19 ans...
—
Il faut avoir 21 ans.
Ils
rient tous... Bon, ils se foutent de moi. Je vais m'asseoir à une
petite table et quand la serveuse me demande ce que je veux. Je
réponds :
— Je
voudrais une grande glace avec de la chantilly et du chocolat.
—
Non, pas de glaces pour toi. Tu veux une limonade ?
Ils
se foutent de moi !! Il y a des caméras ? Une jolie blonde, qui
est assise à une table avec un jeune homme, me dit :
—
Viens t'asseoir avec nous.
Je
vais vers elle, ils vont me faire une autre blague ? Elle
m’explique :
—
Nous travaillons pour Monsieur Frank. Il ne veut pas que tu boives de
l'alcool avant le tournage.
—
Ah, c’est ça.
Je
m'assois près d'elle en grimaçant un peu à cause de la fessée
soi-disant "petite". La fille est sympa, je m'accroche à
elle comme une moule à son rocher... Non, ce n'est pas joli, plutôt
comme un liseron à un buisson de jasmin. Elle me dit :
—
Je m'appelle Jill et lui, c'est Mark. On va faire tous tes
tournages.
—
Vous avez vu la vidéo dans le bassin ?
—
Bien sûr, puisqu’on s'occupe de la technique. Tu donnes très bien
à l'image et ton cul est super.
Je
rougis bêtement et réponds :
—
Merci, c'est gentil. On ne me dit jamais rien, je ne sais même pas
où aller.
Jill
est jolie et elle a l'air... énergique. Elle m’annonce :
—
Tu ne dois tourner une autre scène qu'à 3 heures.
—
Oui, c'est ce qu'on m'a dit. Vous croyez qu'ils se foutaient de
moi, pour la glace ?
—
Je pense bien. Tout le monde sait que tu es, disons... une servante.
De toute façon, mange plutôt une glace après le tournage. Tu veux
un sandwich ?
—
Oh oui, volontiers !
Elle
commande des sandwichs et des bières, même pour moi. On mange, ils
sont sympas.... J'essaie de parler des scènes qu'on va tourner, mais
Mark, le garçon, me dit :
—
Mr Frank veut que tu aies la surprise, c'est plus naturel.
À
2 h 50, Jill m'accompagne dans le vestiaire. Je me déshabille. En
regardant mes fesses, elle dit :
—
Plus de traces, tant mieux, sinon on aurait dû les maquiller. Elles
ont juste bonne mine.
—
Vous êtes maquilleuse aussi ?
—
Maquilleuse, habilleuse, technicienne...
—
Vous connaissez Mr W ?
—
Quelle est la formule ? Ah oui, une fille qui a un koï sur la
fesse ne doit pas être trop curieuse.
—
Pardon...
Je mets
une serviette autour de moi et je pousse à nouveau la porte sur
laquelle il est écrit "réservé aux hommes". Arrivée sur
la plateforme en bois, j'enlève la serviette et je descends
l'escalier, lentement. Les hommes me remarquent, mais contrairement à
ce matin, ils n'ont pas l'air emballés. Un jeune homme avec une
crinière de cheveux noirs et des faux cils me dit :
—
C'est réservé aux hommes ici, va t'en vite.
Ce
sont des gays ! Il y a même le policier de ce matin, pas en
uniforme mais nu. Je répète la même chose que ce matin :
—
Mes patrons ne veulent pas que je me baigne avec eux. Ils m'ont dit
de venir ici.
Un
costaud avec des tatouages vient vers moi. Au Japon, les tatouages
sont très mal vus et réservés aux yakuzas et peut-être à
certains gays. Il me dit :
—
On ne veut pas de toi ici, déguerpis !
Je
prends mon air de gamine butée et réponds :
—
Z'avez qu'à pas me regarder !
Un
joli Japonais blond dit :
—
Si cette femelle reste ici, je m'en vais.
Quelques-uns
répondent : « Moi aussi ». Le costaud aux tatouages me regarde.
Normalement, je filerais à toute allure, mais là, je m'assois dans
le bassin en demandant :
—
Vous ne me voyez plus, c'est bon comme ça, non ?
Je
sais ce qui va arriver, je serre déjà les fesses d'appréhension.
Le costaud aux tatouages fonce sur moi, il me sort de l'eau et
s'assoit sur le bord du bassin. Je crie... et je me retrouve en
travers de ses cuisses. Et bien sûr, sa main mouillée claque mes
fesses mouillées. Aïe !!
Il
me fesse en me grondant :
—
Sale gamine....
—
Aïe !
— Tu
vas obéir !
—
Aïe... ouiiiii !
—
On ne veut pas de femmes, ici
—
Aïe... pardon...
Après
une dizaine de claques, il me remet dans l'eau... J’en sors à
toute vitesse sous les cris et les sifflets... J'entre dans le
vestiaire, Jill n'est pas là. À sa place, il y a une jolie
brune qui me dit :
—
C'était pas mal.
Ils
sont combien dans l'équipe ? Ou alors ça change tout le
temps. Je frotte mes fesses d'une main et je réponds :
—
Merci Mademoiselle. Il a frappé fort.
Elle
hausse les épaules. J'ajoute :
—
Vous travaillez aussi pour Monsieur Frank ?
—
Je m'occupe de la production.
—
Et... euh... Mademoiselle Jill ?
—
C'est pas tes affaires. Je vais tester ces fameux bassins. Viens avec
moi.
— C'est que
j'ai les fesses toutes rouges.
—
Discute ce que je dis encore une fois et tu auras vraiment les fesses
écarlates.
—
Pardon...
Elle
rigole et se déshabille. J'oublie un peu mes fesses pour la
regarder. Elle est musclée avec de beaux seins fermes et des fesses
bombées. Elle me demande :
—
Je te plais ?
—
Oui, Mademoiselle, vous êtes très belle.
Elle
siffle et un petit appareil sort de son sac et se déplie. Oh !
C'est un petit drone qu'elle dirige au moyen de son téléphone.
Il
s'arrête à un mètre de nous à la hauteur de nos visages.
A
suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
les 2 "Samia,
fille du voyage." Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 2
Bonjour facteur, un p’tit coup ?
- Merci, je viens d’en boire un.
Je voulais dire « tirer un p’tit coup ».
- Alors là, c’est pas d’refus, ma p’tite dame.
***
Il y a un nouvel épisode avec un dessin inédit de Bruce Morgan,
sur notre blog gratuit.
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com/
Ça c’est le coup de sonnette du facteur, faut que j’y aille.
***
Mes livres coûtent 2,99 € et ils vont vous réchauffer.
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
L’hypnotiseur récompense avec un « su-sucre » la spectatrice qui se prend pour une chienne. *** Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 2 https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Il faut se laver partout, partout n'est ce pas Mia ? - Oui, Madame.
Après pipi, la douche...
- Eh, le photographe ! L’intimité tu connais ?
Tout le monde a droit au sexe, comme ça se fait déjà dans plusieurs pays. Suite...