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La
fille me dit :
—
DĂ©cris-moi.
—
Vous... euh... décrire ?
—
Oui, tu comprends le mot ?
—
Si, si... Vous ĂȘtes grande et mince, blanche de peau... Vos cheveux
sont noirs, vos yeux aussi... et... ils font peur.
Elle
rit. J'ajoute :
—
Vous avez des dents blanches... et un petit nez droit... Vos seins
sont légÚrement en poires et ils ont l'air trÚs fermes. Les bouts
sont roses. Vous avez la taille trĂšs mince, des jambes fines mais
des cuisses musclées.
Elle
se retourne. Je continue :
—
Votre taille mince qui fait encore ressortir la rondeur de vos fesses
et...
Deux
Japonaises entrent dans le vestiaire. TrÚs sûre d'elle, la fille
leur dit :
— On
fait un film publicitaire pour les bains.
Elle
siffle et le drone qui nous a filmées retourne dans son sac, c'est
surprenant ! Elle met ce sac dans un casier qui ferme Ă clef, puis
elle me dit :
—
En résumé, je suis plutÎt belle ?
—
Oh oui, vous ĂȘtes ravissante !
Elle
rit de nouveau et répond :
—
Je sais ce que valent les compliments d'une fille qui a un koĂŻ sur
le cul, mais c'est agréable à entendre et c'est vrai... Viens.
Elle
ouvre la porte sur laquelle il est Ă©crit « Femmes seulement ». On
se retrouve au-dessus d'un bassin semblable Ă celui des hommes. Il y
a une vingtaine de femmes et tout le monde nous regarde, mais pas
pour nous chasser, parce qu'on est ... sexy. Je suis un peu gĂȘnĂ©e
parce que j'ai vraiment les fesses rouges. Avant que j'entre dans
l'eau jusqu'Ă la taille, une femme l’a remarquĂ© et me demande
:
— Tu as reçu
une fessée ?
La
fille répond en japonais :
—
Elle a fait un caprice, j'ai dĂ» la fesser.
Les
Japonaises trouvent ça trĂšs amusant, surtout qu'on doit avoir Ă
peu prĂšs le mĂȘme Ăąge. Elles nous prennent sĂ»rement pour un
couple. On s'assied dans le bassin, avec de l'eau jusqu'au cou.
La
jeune femme est immobile. Elle est belle, c'est vrai, mais elle n'a
vraiment pas l'air commode. Moi, j'aimais bien Latissa, celle-ci me
fait peur. Je me sens à nouveau complÚtement déprimé...
Soi-disant que je devais faire de la télé... Résultat, je reçois
des claques sur les fesses deux fois par jour !! J'en ai marre...
je... je me mets Ă pleurer ! LĂ , elle bouge... Non, elle aboie
:
— Quoi ?
—
On ne me dit jamais rien et... et vous me faites peur... sniiif... et
on me donne des fessées... si c'est ça la télé !
Elle
pousse un gros soupir et elle me dit :
—
Bon, je m'appelle Yoake, c'est la traduction de mon prénom en
japonais. Tu te plains d'une fessée dont on ne voit plus de traces
au bout de quelques heures ! Tu es vraiment une gamine pleurnicharde.
Tu vas effectivement recevoir des fessées, mais c'est bon pour ta
circulation. Et arrĂȘte de pleurnicher, sinon tu risques de sentir ce
qu'est, une vraie fessée. Compris ?
—
Oui Mademoiselle.
Quelle
garce ! La porte du vestiaire s'ouvre et une jeune femme apparaĂźt.
C'est une jolie blonde enroulĂ©e dans sa serviette. Elle demande Ă
Yoake :
— Je
pourrais aller dans le bassin, Mademoiselle ?
Nouveau
soupir de Yoake qui lui répond :
—
Tu as terminé ton travail ?
—
Oui, j'ai terminé et c'est vraiment...
Yoake
la coupe :
— Pas
besoin de détails, Nouria. Tu peux venir et n'oublies pas de saluer
poliment.
—
Merci Mademoiselle.
Elle
enlĂšve la serviette qu'elle a autour d'elle et descend l'escalier.
Elle est bien faite et je remarque tout de suite qu'elle a un
piercing dans le téton gauche. Arrivée dans le basin, elle
s'incline pour saluer les femmes qui lui rendent son salut. C'est
trĂšs mondain, ce bassin. Elle vient prĂšs de moi et m'embrasse en
disant :
— Je
fais partie de l'équipe. J'ai travaillé sur tes vidéos. Tu es trÚs
photogénique.
—
Merci, vous ĂȘtes trĂšs jolie aussi et vous avez l'air vraiment
sympa.
Sous-entendu,
c'est pas comme cette garce de Yoake. Ăvidemment, ça ne lui plaĂźt
pas qu'on parle, mĂȘme tout bas. Elle nous dit :
—
HĂ©, les pipelettes !! Vous voyez ce gros rocher, lĂ -bas ?
Allez-y. Ah, Nouria ! Que tu racontes ta vie, je m'en fous, mais ne
parle pas du tournage.
—
Oui, Mademoiselle.
Nous,
on ne demande pas mieux que d'ĂȘtre loin d'elle. On va prĂšs du gros
rocher. Et, oui, on fait les pipelettes. Je raconte tout : Paris, le
job de baby-sitter au Japon, la ferme, le chĂąteau. Elle s'appelle
donc Nouria, mais elle est Française et elle a beaucoup voyagé trÚs
jeune, surtout en Amérique du Sud... et puis, elle a eu un problÚme,
dont elle ne parle pas. Ensuite, elle s'est retrouvée à la ferme
puis au chùteau. Comme je me plains beaucoup de la façon dont on
est traitées, elle me répond :
—J'ai
connu pire...
Je
fais la mĂȘme chose. Je ne veux plus qu'on touche Ă mes fesses. S’il
faut ramper pour ça, pas de problÚmes, ça ne fait pas mal. Yoake
s'adresse Ă Nouria :
—
Il y avait trois erreurs, je les ai indiquées. Je ne te punirais pas
cette fois-ci, mais fais plus attention la prochaine fois.
—
Oui Mademoiselle, ça n'arrivera plus.
On
doit dire « MaĂźtresse » quand on lui embrasse les pieds et ensuite
« Mademoiselle », c'est pas trĂšs compliquĂ©.
Yoake
se déshabille, elle a une taille trÚs mince et des belles
fesses.... Elle se couche sur un lit et ouvre sa tablette. Elle doit
sans doute ĂȘtre sur Skype, ou un autre opĂ©rateur, et elle parle
chaleureusement Ă quelqu'un dans une langue qui n'existe pas...
Enfin, que je ne connais pas. Sans doute une langue slave... Elle
rit... Nouria et moi, on ne bouge pas et on n'ose pas parler, ça va
de soi. Quand elle a fini, elle nous annonce :
—
On va manger.
Cool,
j'ai faim. On passe d'abord au bar et elle se dirige vers trois
hommes installĂ©s autour d'une table. DĂšs qu’ils l’ont vue, tout
le monde se lĂšve. Est-ce qu'ils vont lui embrasser les pieds ?
Non. N'empĂȘche, c'est elle le chef !
Ă suivre.
Un grand merci Ă Bruce Morgan pour le super dessin.
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Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 3
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Fait chaud chez vous...
On dit, qu'il n'y a pas de sot mĂ©tier, mais il y en a quand mĂȘme de plus pĂ©nibles que d'autres.
Ma chatte voudrait savoir siffler mais ce n'est pas Ă©vident avec les lĂšvres humides
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B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_shareIl y a un nouveau bar oĂč vous pouvez boire et tirer un coup en
mĂȘme temps !
Il y a un nouvel épisode avec un dessin inédit de Bruce Morgan, sur notre blog gratuit.
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 2
Une fille, quatre fesses, c'est de la magie.
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https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_shareJ'ai trouvé un petit boulot pour arrondir mes fins de mois.
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On tourne tous la tĂȘte vers lui : c'est un policier ! Mon baiseur dĂ©bande et sort de moi, mine de rien. Le policier poursuit :
—
D'abord, il est interdit d'avoir des relations sexuelles dans les
bassins, c'est tout à fait antihygiénique... Ensuite, toi...
Il
me montre du doigt :
—
Tu parles japonais ?
—
Ben, oui...
—
Alors tu as lu "réservé aux hommes" ?
—
Mes patrons m'ont dit de venir ici. C'est ce que j'ai fait. Si vous
alliez plutĂŽt vous occuper de la circulation Ă Tokyo, c'est le
bordel, lĂ -bas !
Les
hommes, toujours courageux, s'Ă©loignent de moi, genre "on ne
connaĂźt pas cette personne." Quelle bande de bĂątards ! Le
policier crie :
—
Sale gamine insolente ! Si je dois venir te chercher, tu passeras
la nuit en cellule !
Un
des hommes me dit :
—
Tu ferais mieux d'y aller.
Je
les regarde... Personne pour me défendre. Je sors du bassin et
remonte l'escalier. DĂšs que je suis proche de lui, le policier –
qui est grand et costaud – me prend sous son bras, comme on prenait
les gamines au siÚcle passé pour les fesser. Moi, je suis une
femme, mais je me retrouve sous son bras les fesses en l'air, la tĂȘte
en bas. Sa large main atterrit sur mes fesses mouillées avec un
bruit de pétard... mouillé. Je pousse des cris tandis que les
claques pleuvent sur mes fesses. Dans le bassin, les hommes rient et
l'encouragent ! J'ai dit bĂątards ? J'avais raison. HonnĂȘtement,
je dois reconnaĂźtre que ses gifles claquent bien sur mes fesses,
mais qu'il ne frappe pas trop fort. AprĂšs quelques dizaines de
claques, il me remet sur mes pieds et il me traĂźne derriĂšre lui en
me tirant par l'oreille.
DĂšs
qu'on se retrouve dans le vestiaire, il me lĂąche. Je suis lĂ , toute
bĂȘte et toute nue, les fesses en feu et douloureuses. Je me frotte
l'oreille qu'il a pincée. Frank et Latissa arrivent... Il me dit :
—
C'Ă©tait bien.
Latissa
ajoute :
— On
remet ça, cet aprÚs-midi.
Quoi ?!!
Je réponds :
—
Avec une fessée ?
—
Une fessée, ça ? Tu te fous de nous ? Cet aprÚs-midi, on ne
verra plus rien. Sois dans le vestiaire Ă 14 h 45. Si tu as faim ou
soif, fais-le mettre sur la note.
Je
la regarde, attendant l'ordre suivant... Il n'y en a pas. Bon, je me
rhabille et je sors de la piĂšce. Elle a beau dire, je sens bien mes
fesses ! Si c'était les siennes, je dirais aussi : tu appelles ça
une fessée ? Je vais au bar, il y a déjà pas mal de gens qui
prennent l'apéritif. J'ai envie de boire quelque chose de fort. On
dit "A Rome, fais comme les Romains", alors, je commande un
saké. Le barman répond :
—
Non pas d'alcool pour toi. Tu veux une limonade ?
—
Vous ne servez pas d'alcool ?
—
Si, mais pas Ă toi.
Les
hommes qui boivent un verre au bar me regardent en souriant. Un
Japonais me dit :
—
T'as pas l'Ăąge, petite.
—
J'ai 19 ans...
—
Il faut avoir 21 ans.
Ils
rient tous... Bon, ils se foutent de moi. Je vais m'asseoir Ă une
petite table et quand la serveuse me demande ce que je veux. Je
réponds :
— Je
voudrais une grande glace avec de la chantilly et du chocolat.
—
Non, pas de glaces pour toi. Tu veux une limonade ?
Ils
se foutent de moi !! Il y a des caméras ? Une jolie blonde, qui
est assise Ă une table avec un jeune homme, me dit :
—
Viens t'asseoir avec nous.
Je
vais vers elle, ils vont me faire une autre blague ? Elle
m’explique :
—
Nous travaillons pour Monsieur Frank. Il ne veut pas que tu boives de
l'alcool avant le tournage.
—
Ah, c’est ça.
Je
m'assois prÚs d'elle en grimaçant un peu à cause de la fessée
soi-disant "petite". La fille est sympa, je m'accroche Ă
elle comme une moule Ă son rocher... Non, ce n'est pas joli, plutĂŽt
comme un liseron Ă un buisson de jasmin. Elle me dit :
—
Je m'appelle Jill et lui, c'est Mark. On va faire tous tes
tournages.
—
Vous avez vu la vidéo dans le bassin ?
—
Bien sĂ»r, puisqu’on s'occupe de la technique. Tu donnes trĂšs bien
Ă l'image et ton cul est super.
Je
rougis bĂȘtement et rĂ©ponds :
—
Merci, c'est gentil. On ne me dit jamais rien, je ne sais mĂȘme pas
oĂč aller.
Jill
est jolie et elle a l'air... Ă©nergique. Elle m’annonce :
—
Tu ne dois tourner une autre scĂšne qu'Ă 3 heures.
—
Oui, c'est ce qu'on m'a dit. Vous croyez qu'ils se foutaient de
moi, pour la glace ?
—
Je pense bien. Tout le monde sait que tu es, disons... une servante.
De toute façon, mange plutÎt une glace aprÚs le tournage. Tu veux
un sandwich ?
—
Oh oui, volontiers !
Elle
commande des sandwichs et des biĂšres, mĂȘme pour moi. On mange, ils
sont sympas.... J'essaie de parler des scĂšnes qu'on va tourner, mais
Mark, le garçon, me dit :
—
Mr Frank veut que tu aies la surprise, c'est plus naturel.
Ă
2 h 50, Jill m'accompagne dans le vestiaire. Je me déshabille. En
regardant mes fesses, elle dit :
—
Plus de traces, tant mieux, sinon on aurait dĂ» les maquiller. Elles
ont juste bonne mine.
—
Vous ĂȘtes maquilleuse aussi ?
—
Maquilleuse, habilleuse, technicienne...
—
Vous connaissez Mr W ?
—
Quelle est la formule ? Ah oui, une fille qui a un koĂŻ sur la
fesse ne doit pas ĂȘtre trop curieuse.
—
Pardon...
Je mets
une serviette autour de moi et je pousse Ă nouveau la porte sur
laquelle il est écrit "réservé aux hommes". Arrivée sur
la plateforme en bois, j'enlĂšve la serviette et je descends
l'escalier, lentement. Les hommes me remarquent, mais contrairement Ă
ce matin, ils n'ont pas l'air emballés. Un jeune homme avec une
criniĂšre de cheveux noirs et des faux cils me dit :
—
C'est réservé aux hommes ici, va t'en vite.
Ce
sont des gays ! Il y a mĂȘme le policier de ce matin, pas en
uniforme mais nu. Je rĂ©pĂšte la mĂȘme chose que ce matin :
—
Mes patrons ne veulent pas que je me baigne avec eux. Ils m'ont dit
de venir ici.
Un
costaud avec des tatouages vient vers moi. Au Japon, les tatouages
sont trĂšs mal vus et rĂ©servĂ©s aux yakuzas et peut-ĂȘtre Ă
certains gays. Il me dit :
—
On ne veut pas de toi ici, déguerpis !
Je
prends mon air de gamine butée et réponds :
—
Z'avez qu'Ă pas me regarder !
Un
joli Japonais blond dit :
—
Si cette femelle reste ici, je m'en vais.
Quelques-uns
rĂ©pondent : « Moi aussi ». Le costaud aux tatouages me regarde.
Normalement, je filerais Ă toute allure, mais lĂ , je m'assois dans
le bassin en demandant :
—
Vous ne me voyez plus, c'est bon comme ça, non ?
Je
sais ce qui va arriver, je serre déjà les fesses d'appréhension.
Le costaud aux tatouages fonce sur moi, il me sort de l'eau et
s'assoit sur le bord du bassin. Je crie... et je me retrouve en
travers de ses cuisses. Et bien sûr, sa main mouillée claque mes
fesses mouillées. Aïe !!
Il
me fesse en me grondant :
—
Sale gamine....
—
AĂŻe !
— Tu
vas obéir !
—
AĂŻe... ouiiiii !
—
On ne veut pas de femmes, ici
—
AĂŻe... pardon...
AprĂšs
une dizaine de claques, il me remet dans l'eau... J’en sors Ă
toute vitesse sous les cris et les sifflets... J'entre dans le
vestiaire, Jill n'est pas lĂ . Ă sa place, il y a une jolie
brune qui me dit :
—
C'Ă©tait pas mal.
Ils
sont combien dans l'équipe ? Ou alors ça change tout le
temps. Je frotte mes fesses d'une main et je réponds :
—
Merci Mademoiselle. Il a frappé fort.
Elle
hausse les Ă©paules. J'ajoute :
—
Vous travaillez aussi pour Monsieur Frank ?
—
Je m'occupe de la production.
—
Et... euh... Mademoiselle Jill ?
—
C'est pas tes affaires. Je vais tester ces fameux bassins. Viens avec
moi.
— C'est que
j'ai les fesses toutes rouges.
—
Discute ce que je dis encore une fois et tu auras vraiment les fesses
Ă©carlates.
—
Pardon...
Elle
rigole et se déshabille. J'oublie un peu mes fesses pour la
regarder. Elle est musclée avec de beaux seins fermes et des fesses
bombées. Elle me demande :
—
Je te plais ?
—
Oui, Mademoiselle, vous ĂȘtes trĂšs belle.
Elle
siffle et un petit appareil sort de son sac et se déplie. Oh !
C'est un petit drone qu'elle dirige au moyen de son téléphone.
Il
s'arrĂȘte Ă un mĂštre de nous Ă la hauteur de nos visages.
A
suivre
Un
grand merci Ă Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
les 2 "Samia,
fille du voyage." Ils sont ici :
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Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 2
Bonjour facteur, un p’tit coup ?
- Merci, je viens d’en boire un.
Je voulais dire « tirer un p’tit coup ».
- Alors lĂ , c’est pas d’refus, ma p’tite dame.
***
Il y a un nouvel épisode avec un dessin inédit de Bruce Morgan,
sur notre blog gratuit.
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Ăa c’est le coup de sonnette du facteur, faut que j’y aille.
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L’hypnotiseur rĂ©compense avec un « su-sucre » la spectatrice qui se prend pour une chienne. *** Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 2 https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Il faut se laver partout, partout n'est ce pas Mia ? - Oui, Madame.
AprĂšs pipi, la douche...
- Eh, le photographe ! L’intimitĂ© tu connais ?
Tout le monde a droit au sexe, comme ça se fait déjà dans plusieurs pays. Suite...