jeudi 26 janvier 2023

Maid in Japan 18 Scanner

 On se relève tous les deux et je lui demande :

— Vous me donnerez aussi une bonne note ?
Il rit et répond :
— Je ne sais pas ! Demande le mieux.
Oh ! Je réponds :
— J'ai adoré vous sucer, Maître. S'il vous plaît, accordez une bonne note à votre servante.
Il me prend contre lui pour m'embrasser sur la bouche, malgré ce que je viens de faire. Je deviens toute molle et m'offre entièrement à lui.... Je n'aurais jamais imaginé rencontrer un homme qui me plaît, ici. Quand nos bouches se séparent, il me dit :
— Tu auras une bonne note, disons un 7.
Mon visage change. Il rit, le vieux jardinier me dit :
— Il te taquine, tu as deux 10.
— C'est super gentil... Je pourrai revenir ?
Le vieux répond :
— Pour moi ou pour Jiro ?
— Pour les deux, Monsieur.
Ils rient tous les deux... Jiro me rassure :
— Tu suces très bien et puis on s'amuse avec toi. Fais ce que te dit Mademoiselle Mitsuko et tu auras des avantages. Rentre maintenant.
— Oui, merci beaucoup...
Je veux que Jiro m'aide à m'évader. Je marche dans le sentier, vers la maison. Je sens que ma culotte est un peu mouillée. Je repense à cette scène. D'une façon ou d'une autre, je suis certaine que les gens de la maison ont tout vu. Et puis je me dis autre chose : si Mitsuko m'a vu lécher Jiro, elle va le vouloir aussi. Il faut que je sois cool, inodore, incolore.
J'arrive à la maison et j'ai été suffisamment "éduquée" au château pour savoir ce que je dois faire. Je toque doucement à la porte de la grande pièce, j'entre et je me mets "aux ordres" à côté de la porte. Mitsuko et Mya-Tao discutent. Kouba fait la sieste ou alors il est décédé, je ne sais pas. J'écoute ce que les filles se disent :
— .... des poupées grandeur nature, c'est une super idée...
— Oh, tu sais, ça existe déjà, mais depuis peu de temps. Ils parlent de gynoïdes, mais c'est la même chose, ils pourront acheter une "idol", moi, une garde du corps, toi ou une servante comme Cécile... Cécile, viens ici !
Ouch ! Je rêvais ! Je vais aussitôt me mettre à genoux, assise sur les talons devant elle, en disant :
— Oui Mademoiselle ?
— Ta note ?
— Dix, Mademoiselle.
Pas de commentaires ! Par contre, si j'avais eu une mauvaise note, je suis sûre qu’elle m’aurait punie. Elle pose ses pieds nus sur mes cuisses et continue sa discussion.
— Demain, photos et scanner. On commencera par elle, au cas où il y aurait un problème.
J'en ai marre de ne pas savoir ! Bon, je serai sans doute punie, tant pis, je prends le risque. Je dis :
— Mademoiselle, je voudrais vous poser une question.
Les deux filles se regardent et Mitsuko me répond :
— Ma parole, tu as mangé du lion, toi !
— Pourquoi ne puis-je pas être une servante seulement sur scène ?
— Tu veux changer de rôle avec Mya-Tao, sports de combat, tirs ?
— .... Non, Mademoiselle.
— Voilà. Tu es une servante et tu vas jouer ce rôle. Et puis, ce sera cool que tu serves les gens du show bizness qui vont venir. Je trouve que l'uniforme de servante te va si bien... Tu es humble, tu pleurniches et puis, tu as peur de tout... Tu veux t'évader mais tu as peur qu'il y ait un piège. On va faire un test : il n'y a pas de piège, si tu veux t'évader, vas-y... VAS-Y !!!
Je... je sais que ce n'est pas vrai ! Elle veut me piéger et je me sens si mal prise que je finis par pleurer. Mitsuko rit et dit :
— Tu vois bien que tu n’es qu’une petite servante.
— Oui... sniiif... Mademoiselle... snnniiiiffff...
— Va pleurer ailleurs. Tiens, va demander à Fuyumi si elle n'a pas quelque chose à te faire faire. Ah ! oui, rappelle-moi ce que tu es.
— Une servante, Mademoiselle.
Je me lève, m'incline et je me dirige vers la porte, quand elle ajoute :
— Tu as eu raison de ne pas essayer de t'évader. C'est impossible !
Rires des deux filles. Je vais à la cuisine... La gouvernante Fuyumi est assise devant la table de cuisine. Elle lit une revue en buvant une bière. Je m'incline en disant :
— Je viens me mettre à votre service, Madame Fuyumi.
Elle continue à lire un moment, puis elle lève la tête pour dire :
— Assieds-toi par terre.
Quand je suis assise, elle pose ses pieds nus sur mes cuisses, exactement comme sa maîtresse tout à l'heure. Elle me dit :
— Masse-moi les jambes et les pieds.
Je fais ça pendant une bonne demi-heure... Fuyumi somnole tandis que je masse la plante de ses pieds... On toque, ce sont les trois servantes, qui entrent. L'une d'elles demande :
— On peut commencer à préparer le repas, Madame ?
— Oui, allez-y.
L'ambiance est vraiment détendue, ici. Au château, une servante n'aurait jamais osé parler d'une façon aussi familière.
Quand Fuyumi s'est assez relaxée, j'aide les filles à préparer le repas, après m'être lavé les mains. Le soir, je sers le repas avec une autre servante. Mitsuko et Mya-Tao mangent avec trois hommes et deux femmes. Personne ne fait attention à moi.
***
Le lendemain, je dois nettoyer avec les autres servantes. Il faut que tout soit impeccable, sinon il y aura des punitions. Je sers le repas de midi et, quand elle a fini de manger, Mya-Tao me dit :
— Suis-moi.
On va dans une des pièces du premier étage. Elle dit à l'homme qui se trouve là :
— Voilà la fille à scanner, Monsieur.
— Bien. Déshabille-toi, petite.
Mais je ne suis pas malade ! Je pose très délicatement la main sur le bras de Mya-Tao. Traduction : "Je voudrais vous parler". Elle me regarde en disant :
— Quoi ?
— Je ne suis pas malade, Mademoiselle.
— Je sais, on va faire une poupée à ton image
— Comme lorsqu'on a été transformées en Malaise ?
Elle hésite... puis se décide :
— C'était expérimental, ils l'ont interdit maintenant. Non, des poupées dans une matière qui ressemble à la chair et à la peau. On va faire une poupée qu'on peut baiser et qui aura ton odeur.
L'homme dit :
— Déshabille-toi et entre dans le scanner.
 


  

Mya-Tao s'en va tandis que je me déshabille. Quand je suis nue, je vais m'allonger dans le cylindre. L'homme tape sur un clavier et le cylindre tourne autour de moi... Il crie chaque fois que je bouge un peu. Ça dure une petite demi-heure... Quand la machine s'arrête, il me dit :
— Je vais mesurer la profondeur de ton vagin, lève-toi et pose les mains sur cette chaise.
La profondeur de mon vagin, mon cul, oui ! Il veut juste me baiser. Normal, j'ai un trop beau cul. Il se met derrière moi et me caresse en disant :
— Tu as un putain de beau derrière, petite salope.
— Merci Monsieur.
Il caresse ma fente avec son gland, puis s'enfonce en moi... Il baise pas mal...bien, même. Je me cambre pour qu'il puisse vérifier la profondeur de mon vagin. Pour appeler un chat un chat, je suis toujours une boy-ra (chaudière) et quand sa bite gonfle en moi et qu'il jouit, je jouis aussi... Oui, c'est mécanique. Il se retire et il me colle un kleenex sur la chatte en disant :
— Super cul et super tempérament. Tu feras un malheur auprès des fans et ta poupée aussi. Regarde.
Il ouvre un deuxième cylindre et je suis à l'intérieur... Les yeux fermés et sans cheveux ni poils. Je lui dis :
— Vous êtes un magicien, Monsieur.
Ça le fait rire. J'ai besoin d'amis, d'alliés.... Il vérifie soigneusement si tout concorde. Je lui demande :
— Vous allez en faire plusieurs ?
— C'est pas tes affaires. Remets ton uniforme pour te photographier en servante.
Quand je suis rhabillée, on va dans la cuisine. Fuyumi est à sa place habituelle, assise à la grande table, occupée à lire un magazine people en buvant une bière. Le technicien du scanner a pris un appareil photo et il me dit :
— Récure le sol.
Du doigt, Fuyumi me montre du matériel de nettoyage dans un coin. Je remplis un seau avec de l'eau et du savon et à quatre pattes, je récure le sol avec une brosse dure. Franchement, ça va intéresser qui, ce genre de photo ? Les suivantes ont toutes un rapport avec le métier de bonniche : j'épluche des légumes, je fais la vaisselle, je nettoie les carreaux. Quand c'est fait, le technicien demande à Fuyumi :
— Qu'est-ce qu'elles font de plus, les bonnes ?
Elle boit un coup et répond :
— Les lits, la lessive, nettoyer les chiottes...
— Pas assez glamour.
Fuyumi réfléchit puis ajoute :
— Elles me massent les pieds...
— Ah oui bonne idée. Masse-lui les pieds, petite.
Pfff... C'est pas ce que fait une bonne, mais comme je suis prudente, je me mets à genoux. Elle pivote sur son siège en disant :
— Commence par les embrasser.
Ses pieds nus sont posés sur le sol, je me baisse pour les embrasser, tandis que l'autre prend des photos. Ensuite, je m'assieds. Elle pose ses pieds sur mes cuisses, et je les masse en passant fermement les pouces sur ses voûtes plantaires. Nouvelles photos, puis le technicien dit :
— J'ai ce qu'il faut. Merci.
Fuyumi répond :
— Avec plaisir, Monsieur.
J'arrête de la masser, mais j'ai aussitôt droit à un sec :
— Je t'ai dit d'arrêter ?
— Pardon Madame.
Je continue le massage... tandis qu'elle me dit :
— Tu sais qu'on punit les servantes, ici aussi.
— Pardon Madame, je pensais que...
Elle relève sa jupe et écarte les cuisses. Contrairement à nous, elle n'a pas de culotte. Elle me lance :
— Lèche !
— Oui Madame.
 Fuyumi est une belle femme qui doit avoir une trentaine d'années, mais elle n'est pas plus propre que les clients du château. Son odeur est forte et il y a une ligne blanchâtre de sécrétions entre les grandes lèvres et les cuisses, mais je veux lui plaire. Je lèche son clito, tout en enfonçant deux doigts dans son vagin. Je suce ses grandes lèvres, tout en la baisant avec mes doigts.



Elle me caresse la tête, preuve que mes gestes sont appréciés.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai éperdument besoin d'alliés... Pour m'évader ou simplement pour ne pas être punie. Elle se tortille sur sa chaise, tandis que je suce son clito. Pas trop fort, juste ce qu'il faut. Et bientôt, elle se cambre et jouit sur mon visage... Je lèche encore un peu, jusqu'à ce qu'elle me dise :
— C'était pas mal.
— Merci Madame.
Je me redresse et elle me fait remarquer :
— Tu sens ma chatte.
Ah oui, ça ne m'étonne pas. Des servantes toquent et entrent. Toutes les trois s'inclinent. Fuyumi me dit :
— Lave-toi les mains...
Et le visage ? Je ne dis rien pour pas la vexer.
L'après-midi, grand nettoyage du salon et de la salle à manger. Fuyumi vérifie tout et file même quelques coups de baguette en bambou sur nos fesses. La reconnaissance de la chatte comblée, elle ne connaît pas !
Oh ! Mitsuko vient vérifier si tout est impeccable. Fuyumi lui dit :
— Les servantes ont transpiré, voulez-vous qu'elles prennent une douche et changent d'uniforme ?
— Ce n'est pas nécessaire. Les bonnes servantes sentent toujours la transpiration.
Si on pouvait prendre une douche tous les matins et changer plus souvent d'uniforme, ça n'arriverait pas !
À 7 heures du soir, tout le personnel est sur le perron pour accueillir les visiteurs. Après avoir attendu un moment, on entend le bruit des pales d'un hélicoptère. Mitsuko et des gardes vont les accueillir. Le Prince arrive, il est toujours aussi élégant dans un costume noir, chemise blanche ouverte. Il est entouré de ses Thaïs fétiches et suivi d'un gros homme, un Occidental avec une sale gueule, c'est le mot qui convient ! On se plie en deux à tour de rôle, à leurs passages. Ils vont dans la grande pièce de réception.
Là, je me vois assise dans un divan... La poupée a mes cheveux, mes yeux et le même uniforme. Thaï 1 me dit :
— Va t'asseoir à côté d'elle.
J'y vais aussitôt et je prends la même position. Le Prince, murmure :
— Beau travail.

À suivre

 Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search

  

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