lundi 9 janvier 2023

Maid in Japan -17 - Le Mont Fuji

 

Le Prince qui s’exprime par l'intermédiaire de ses deux Thaïs, c'était déjà bizarre, mais nettement moins que cette fille qui fait parler son ours. Ils sont tous cinglés ?
Mya-Tao me donne un coup de coude et compte :
— Trois, deux, un...
Ensemble, on chante :
— Foreeeeveeer.....
Quand on a fini, la fille ne dit rien. Elle remonte dans l'hélicoptère en faisant voler sa robe courte sur une culotte blanche d'écolière. Elle brandit son ours qui nous dit :
— Montez.
Dans cet hélicoptère, il y a un siège pour le pilote et une petite banquette derrière pour deux passagers. Mya-Tao s'assied à côté de la fille et de son ours. Elle me dit :
— Mets-toi à genoux entre mes jambes, le visage vers moi.
Pourquoi je devrais faire ça ? La fille et son ours me regardent pour voir ce que je vais faire... Je me glisse entre les jambes de Mya-Tao. L'hélicoptère décolle.
La fille lui demande :
— Elle obéit toujours aussi bien ?
— Oui, Mademoiselle, elle a peur des confrontations. Et puis, je suis beaucoup plus coriace qu'elle.
Je suis coincée entre les cuisses de cette salope coriace, je sens même l'odeur de sa chatte. C'est vrai, je crains les confrontations. Mya-Tao lui demande :
— Vous êtes une Tokyo Idol, Mademoiselle ?
— Oui, je suis Mitsuko et on va monter un numéro à trois.
L'ours prend la parole :
— Toi, tu seras la garde du corps et la petite qui a pratiquement le nez dans ta chatte, elle sera...? Dis-le, petite.
— La servante, Monsieur Kouba ?
Il rit. J'ajoute :
— Pourquoi moi, je...
L'ours me coupe la parole :
— Chuuut ! Les servantes doivent se taire, tu peux juste répondre aux questions.
Ouais, je connais la chanson ! Et là, j'entends Mitsuko dire avec une voix tout à fait normale :
— Je me repose.
Tout est bizarre... et ce n'est pas fini. Mitsuko s'endort, tandis que Mya-Tao écarte les cuisses en me prenant par la nuque et elle me colle contre sa chatte. Cette fille ose vraiment tout, mais elle a raison : je ne peux qu'obéir à une fille coriace. Elle me donne une petite claque sur la tête et je colle ma bouche à sa chatte, puis je la lèche... longtemps. Elle manifeste très peu, cette fille a beaucoup de self-control ! Il faut bien 20 minutes avant qu'elle ne se raidisse un peu et jouisse. Je veux m'éloigner mais elle me prend par la nuque et je suis obligée de rester collée à sa chatte. J'entends Monsieur Kouba dire :
— Elle lèche bien ?
— Oui, pour ça, elle est bonne.
Cette bête conversation s'arrête parce que le pilote dit :
— On va atterrir, Mademoiselle.
— Bien. Petit voyage agréable, John.
— Merci Mademoiselle.
On atterrit et je peux enfin m'extraire des cuisses et de la chatte de Mya-Tao. On descend et.... Ooooh ! Je me retrouve pratiquement nez à nez avec le mont Fuji !

 

 

Je n'ai rien vu pendant le voyage et je me demande si la chatte de Mya-Tao ne serait pas hallucinogène... Non : le mont Fuji et son sommet enneigé sont bien là et à notre droite, il y a une grande pagode à trois étages. Mitsuko saute au cou d'un Japonais costaud et l'embrasse sur la bouche ! Ils parlent tandis qu'il lui caresse les fesses.
Le pilote est descendu et il me tend deux grosses valises. Pfff... Pour me donner du courage, je regarde le mont Fuji, puis la beauté de la pagode, les plantes, les fleurs.... On se dirige vers la maison, d'abord Mitsuko, son amoureux et Kouba, puis Mya-Tao et enfin les valises et moi.
Devant l'entrée de la maison, le personnel attend la maîtresse. Il y a bien une dizaine de personnes. Je remarque une Japonaise d'une trentaine d'années, que je verrais bien en cuisinière, un vieux jardinier et son apprenti, trois servantes Malaises et puis quelques hommes et quelques femmes. Ils sont tous pliés en deux. La femme que je pense être la gouvernante se redresse la première et demande :
— Mademoiselle a fait bon voyage ?
— Oui, merci Hiroyi. Nous mangerons ici, ce soir.
J'ai vu juste en ce qui la concerne. J'ai une étrange impression, comme si ces gens étaient tous de comédiens. Ils sont typique de leurs rôles : le jardinier barbu et en sabots, la femme de trente ans avec un tablier de cuisinière, l'homme à tout faire en salopette.... les trois servantes sont jolies et elles ont vraiment l'air de... servantes. Ce sont tous des personnages typiques, comme s'ils jouaient une pièce de théâtre. Il faut dire que je suis fatiguée.
Mitsuko me désigne à une des servantes en disant :
— Cette fille est une servante. Qu'elle monte les valises dans ma chambre, ensuite tu lui donneras un uniforme.
La fille se plie en deux avant de me dire :
— Suis-moi.
Cette garce m'a fait venir pour chanter ou comme servante ? On entre dans la maison. Je n'ai pas le temps de regarder les meubles et les objets d'art, je suis la fille jusqu'à l'escalier de service. On monte au premier étage et je dépose les valises. Ouf ! Ensuite on va au troisième étage et on entre dans une petite chambre. Il y a juste trois matelas par terre et quelques vêtements. La fille me donne un uniforme en disant :
— Il a été porté, mais il n'y en a pas de propre.
Je me déshabille et je mets l'uniforme. Ce n'est pas une tenue de servante comme en portent les gamines branchées de Tokyo pour se déguiser, mais un uniforme tout ce qu'il y a de classique : robe noire, parements blancs, tablier, culotte blanche et les servantes sont pieds nus. On redescend. Mitsuko est dans le grand salon dont la baie vitrée s'ouvre sur le mont Fuji. Cette propriété est-elle au Prince ? Sans doute.
Mitsuko a sa voix normale et elle discute avec Mya-Tao. Elles sont toutes les deux assises dans un canapé. La servante me murmure :
— Mets-toi à côté de la porte dans la position de la servante "aux ordres", Mademoiselle te fera signe si elle veut te parler.
Je me mets debout la tête baissée, les mains croisées sur le pubis. Mitsuko me demande :
— Tu es fatiguée ?
Aussitôt, je m'avance un peu, ma faute ayant été de m'appuyer contre le mur. Je réponds :
— Pardon, Mademoiselle.
Garce !!! J'attends... longtemps... J'ai mal aux jambes et j'ai soif. Enfin, j'entends :
— Viens ici.
Qui, moi ? Mitsuko me regarde. Je vais aussitôt m'incliner. Elle me dit :
— La première leçon, c'était : une servante ne s'appuie pas. La seconde : quand je suis assise, si tu restes debout, je dois lever la tête et c'est un effort. Or ton rôle est de m'éviter tout ce qui me serait un peu pénible. Non ?
— Si Mademoiselle.
Je me mets aussitôt à genoux devant elle, les fesses posées sur les talons, les mains posées sur les cuisses avec les paumes en l'air. Elle me dit :
— Je n'aime pas ce nom, Boy-ra.
Je la regarde, ne sachant pas si je dois répondre. Elle continue :
— On va chanter à trois et faire des shows pour tes fans. Quel est ton nom vrai prénom ?
— Cécile, Mademoiselle.
— C'est pas mal... Je te rends ton nom.
— Merci Mademoiselle.
Kouban me dit :
— Montre ton cul.
Il est vicieux ce petit ours. Je me tourne, relève ma jupe, baisse ma culotte et exhibe mes fesses. Kouban siffle et dit :
— Des poupées avec ce cul, ça va faire un malheur, ma chérie.
Mitsuko lui répond :
— Je pense aussi.
Elle se tourne vers Mya-Tao et lui dit
— On a mis au point ton rôle. Qu'est-ce qu'elle sait faire, Cécile, à part montrer ses fesses ?
— Elle obéit au doigt et à l'œil et elle lèche bien, Mademoiselle.
— On va vérifier... Cécile, trouve le jardinier, suce-le et demande-lui de te donner une note de 1 à 10.
— Oui Mademoiselle.
Je me lève, m'incline... et je m'en vais, tandis qu'elles gloussent. Je vais dans le jardin, puisque c’est pour trouver un jardinier. C'est le moment de m'enfuir loin... très loin... J'accélère le pas et puis... Je connais le Prince, il a dû prévoir les évasions. S'évader comme ça, c'est impossible ! On m'observe, j'en suis certaine. Je retourne vers la maison et je vois un jeune Japonais faire une retouche de peinture. Je lui demande :
— Pardon Monsieur, pourriez-vous me dire où je pourrai trouver le jardinier ?
Il me regarde des pieds à la tête, puis répond :
— J'ai vu qu'il travaillait près de l'entrée du domaine. Tu dois suivre cette allée.
— Merci beaucoup... Dites, je ne risque pas de dépasser les limites de la propriété ? J'ai peur qu'on puisse me le reprocher.
Il me regarde et répond :
— Non, tu tomberas sur une clôture, si tu vas trop loin.
En même temps, il a un "imperceptible" mouvement de la tête. Ça et le regard, j'ai compris. Je m'incline et lui dis :
— Merci beaucoup, Monsieur.
Message bien reçu !! J'aurai des occasions, je le sais. Je marche dans le sentier qui se trouve entre deux rangées de très grands bambous. Je finis par trouver le jardinier aperçu tout à l'heure. C'est un petit homme joufflu d'une bonne soixantaine d'années avec des cheveux longs et une barbe pointue et blanche. Il est avec un jeune apprenti, occupés tous les deux à planter des bulbes. Je m'incline devant lui. Oui, c'est la folie ici, les saluts. Je lui demande :
— Je peux vous parler, Monsieur ?
— Bien sûr petite, qu'est-ce que tu veux ?
— Je vous prie de m'excuser, mais je dois vous faire une fellation.
Je suis sûr qu'il n'était pas au courant, parce qu'il me regarde un moment, très surpris, puis il éclate de rire et son apprenti également. Quand ils sont calmés, il me dit :
— C'est Mademoiselle Mitsuko qui t'envoie ?
— Oui, je dois vous faire une fellation et vous devrez me donner une note de 1 à 10.
Il regarde son apprenti et lui dit :
— Qu'est-ce que tu en penses, Jiro ? C'est tentant, hein ?
— Oh oui maître, je ne dirais pas non...
— Bon, alors si tu veux une bonne note, tu devras nous faire une fellation à tous les deux. Mais d'abord, tu vas me faire une chose que ma femme refuse. Une feuille de rose, tu vois ce que c'est ?
— Oui Monsieur... Marché conclu.
On s'incline encore un petit coup tous les deux, puis il enlève son pantalon de kimono et il se met à quatre pattes. Si je n'ai pas une bonne note, je suis sûre à 100 % de me faire fouetter ! Je me mets à quatre pattes derrière lui et j'empoigne ses fesses à deux mains pour les écarter. C'est pas tentant du tout, lécher le trou du cul d'un vieux jardinier. Alors, pour dédramatiser, je fais ce que je fais toujours : jouer. Je me parle, genre "Lieutenant ! Objectif Lune ! Alunissage immédiat, dans le cratère ci-dessous !" "Oui mon Commandant" et je fonce, la langue en avant dans son trou du cul. Il gémit de plaisir. "Alunissage réussi, mon Commandant". "Parfait, faites un sondage." J'ai besoin de penser à ce genre de conneries, pendant que je lèche son anus. Il me dit :
— Oh ! Petite, tu as une langue magique.
C'est gentil... Je continue jusqu'à ce qu'il me dise :
— Suce-moi maintenant.
Il s'assied par terre, je me mets à quatre pattes et je le suce. Il me caresse la tête en disant :
— Tu es une artiste.
S'il le dit... Une artiste, mais aussi une servante et même une esclave dont le cul s'orne d'un koï, hélas. Je le suce jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche. J'avale tout... Ils ont l'air tous les deux surpris. C'est curieux qu'ils ne puissent pas baiser les bonnes, elles sont sûrement obligées d'avaler comme moi. Ou alors, tout est nouveau ici, comme au château. On se relève, le jardinier dit à son apprenti :
— À toi, Jiro, tu vas avoir un avant-goût du paradis.
Il est partant, le jeune homme, pour le paradis. Il enlève son pantalon et se met à quatre pattes. Oh ! C'est très différent : il a un super cul d'homme bien musclé et pour un Japonais, il a des poils qui moutonnent dans la raie des fesses. Je me mets à quatre pattes derrière lui et... son odeur est agréable ! C'est une odeur musquée et virile, mais d'un homme qui s'est lavé le matin même.

 


J'écarte ses fesses et j'embrasse son anus, puis je descends jusqu'à ses couilles gonflées. Je veux m'évader avec lui, son cul et ses couilles.

J'embrasse, je lèche, je le viole avec ma langue... Je sens les muscles de ses fesses frémir sous mes mains. Le jardinier m’interrompt :
— Suce-le, petite, on a du travail.
Il s'assied et j'embrasse le sommet de sa bite bien mouillée d'excitation, puis je le suce comme un veau affamé sucerait le pis de sa mère qui aurait passé l'après-midi aux soldes ! Très vite, je sens qu'il va jouir et j'aspire en moi son sperme, son cœur... euh... c'est une image, je m'emballe un peu.
  
 

À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

Bruce Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage." Ils sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search


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