Le
Prince qui s’exprime par l'intermédiaire de ses deux Thaïs,
c'était déjà bizarre, mais nettement moins que cette fille qui
fait parler son ours. Ils sont tous cinglés ?
Mya-Tao me
donne un coup de coude et compte :
— Trois, deux,
un...
Ensemble, on chante :
— Foreeeeveeer.....
Quand
on a fini, la fille ne dit rien. Elle remonte dans l'hélicoptère en
faisant voler sa robe courte sur une culotte blanche d'écolière.
Elle brandit son ours qui nous dit :
— Montez.
Dans cet
hélicoptère, il y a un siège pour le pilote et une petite
banquette derrière pour deux passagers. Mya-Tao s'assied à côté
de la fille et de son ours. Elle me dit :
— Mets-toi à genoux
entre mes jambes, le visage vers moi.
Pourquoi je devrais faire
ça ? La fille et son ours me regardent pour voir ce que je vais
faire... Je me glisse entre les jambes de Mya-Tao. L'hélicoptère
décolle.
La fille lui demande :
— Elle obéit toujours
aussi bien ?
— Oui, Mademoiselle, elle a peur des
confrontations. Et puis, je suis beaucoup plus coriace qu'elle.
Je
suis coincée entre les cuisses de cette salope coriace, je sens même
l'odeur de sa chatte. C'est vrai, je crains les confrontations.
Mya-Tao lui demande :
— Vous êtes une Tokyo Idol,
Mademoiselle ?
— Oui, je suis Mitsuko et on va monter un
numéro à trois.
L'ours prend la parole :
— Toi, tu
seras la garde du corps et la petite qui a pratiquement le nez dans
ta chatte, elle sera...? Dis-le, petite.
— La servante,
Monsieur Kouba ?
Il rit. J'ajoute :
— Pourquoi moi,
je...
L'ours me coupe la parole :
— Chuuut ! Les
servantes doivent se taire, tu peux juste répondre aux
questions.
Ouais, je connais la chanson ! Et là, j'entends
Mitsuko dire avec une voix tout à fait normale :
— Je me
repose.
Tout est bizarre... et ce n'est pas fini. Mitsuko
s'endort, tandis que Mya-Tao écarte les cuisses en me prenant par la
nuque et elle me colle contre sa chatte. Cette fille ose vraiment
tout, mais elle a raison : je ne peux qu'obéir à une fille coriace.
Elle me donne une petite claque sur la tête et je colle ma bouche à
sa chatte, puis je la lèche... longtemps. Elle manifeste très peu,
cette fille a beaucoup de self-control ! Il faut bien 20 minutes
avant qu'elle ne se raidisse un peu et jouisse. Je veux m'éloigner
mais elle me prend par la nuque et je suis obligée de rester collée
à sa chatte. J'entends Monsieur Kouba dire :
— Elle lèche
bien ?
— Oui, pour ça, elle est bonne.
Cette bête
conversation s'arrête parce que le pilote dit :
— On va
atterrir, Mademoiselle.
— Bien. Petit voyage agréable,
John.
— Merci Mademoiselle.
On atterrit et je peux enfin
m'extraire des cuisses et de la chatte de Mya-Tao. On descend et....
Ooooh ! Je me retrouve pratiquement nez à nez avec le mont Fuji !
Je
n'ai rien vu pendant le voyage et je me demande si la chatte de
Mya-Tao ne serait pas hallucinogène... Non : le mont Fuji et son
sommet enneigé sont bien là et à notre droite, il y a une grande
pagode à trois étages. Mitsuko saute au cou d'un Japonais costaud
et l'embrasse sur la bouche ! Ils parlent tandis qu'il lui caresse
les fesses.
Le pilote est descendu et il me tend deux grosses
valises. Pfff... Pour me donner du courage, je regarde le mont Fuji,
puis la beauté de la pagode, les plantes, les fleurs.... On se
dirige vers la maison, d'abord Mitsuko, son amoureux et Kouba, puis
Mya-Tao et enfin les valises et moi.
Devant l'entrée de la
maison, le personnel attend la maîtresse. Il y a bien une dizaine de
personnes. Je remarque une Japonaise d'une trentaine d'années, que
je verrais bien en cuisinière, un vieux jardinier et son apprenti,
trois servantes Malaises et puis quelques hommes et quelques femmes.
Ils sont tous pliés en deux. La femme que je pense être la
gouvernante se redresse la première et demande :
—
Mademoiselle a fait bon voyage ?
— Oui, merci Hiroyi. Nous
mangerons ici, ce soir.
J'ai vu juste en ce qui la concerne.
J'ai une étrange impression, comme si ces gens étaient tous de
comédiens. Ils sont typique de leurs rôles : le jardinier barbu et
en sabots, la femme de trente ans avec un tablier de cuisinière,
l'homme à tout faire en salopette.... les trois servantes sont
jolies et elles ont vraiment l'air de... servantes. Ce sont tous des
personnages typiques, comme s'ils jouaient une pièce de théâtre.
Il faut dire que je suis fatiguée.
Mitsuko me désigne à une
des servantes en disant :
— Cette fille est une servante.
Qu'elle monte les valises dans ma chambre, ensuite tu lui donneras un
uniforme.
La fille se plie en deux avant de me dire :
—
Suis-moi.
Cette garce m'a fait venir pour chanter ou comme
servante ? On entre dans la maison. Je n'ai pas le temps de
regarder les meubles et les objets d'art, je suis la fille jusqu'à
l'escalier de service. On monte au premier étage et je dépose les
valises. Ouf ! Ensuite on va au troisième étage et on entre dans
une petite chambre. Il y a juste trois matelas par terre et quelques
vêtements. La fille me donne un uniforme en disant :
— Il a
été porté, mais il n'y en a pas de propre.
Je me déshabille
et je mets l'uniforme. Ce n'est pas une tenue de servante comme en
portent les gamines branchées de Tokyo pour se déguiser, mais un
uniforme tout ce qu'il y a de classique : robe noire, parements
blancs, tablier, culotte blanche et les servantes sont pieds nus. On
redescend. Mitsuko est dans le grand salon dont la baie vitrée
s'ouvre sur le mont Fuji. Cette propriété est-elle au Prince ?
Sans doute.
Mitsuko a sa voix normale et elle discute avec
Mya-Tao. Elles sont toutes les deux assises dans un canapé. La
servante me murmure :
— Mets-toi à côté de la porte dans la
position de la servante "aux ordres", Mademoiselle te fera
signe si elle veut te parler.
Je me mets debout la tête
baissée, les mains croisées sur le pubis. Mitsuko me demande :
—
Tu es fatiguée ?
Aussitôt, je m'avance un peu, ma faute
ayant été de m'appuyer contre le mur. Je réponds :
—
Pardon, Mademoiselle.
Garce !!! J'attends... longtemps... J'ai
mal aux jambes et j'ai soif. Enfin, j'entends :
— Viens
ici.
Qui, moi ? Mitsuko me regarde. Je vais aussitôt
m'incliner. Elle me dit :
— La première leçon, c'était :
une servante ne s'appuie pas. La seconde : quand je suis assise, si
tu restes debout, je dois lever la tête et c'est un effort. Or ton
rôle est de m'éviter tout ce qui me serait un peu pénible. Non ?
—
Si Mademoiselle.
Je me mets aussitôt à genoux devant elle, les
fesses posées sur les talons, les mains posées sur les cuisses avec
les paumes en l'air. Elle me dit :
— Je n'aime pas ce nom,
Boy-ra.
Je la regarde, ne sachant pas si je dois répondre. Elle
continue :
— On va chanter à trois et faire des shows pour
tes fans. Quel est ton nom vrai prénom ?
— Cécile,
Mademoiselle.
— C'est pas mal... Je te rends ton nom.
—
Merci Mademoiselle.
Kouban me dit :
— Montre ton cul.
Il
est vicieux ce petit ours. Je me tourne, relève ma jupe, baisse ma
culotte et exhibe mes fesses. Kouban siffle et dit :
— Des
poupées avec ce cul, ça va faire un malheur, ma chérie.
Mitsuko
lui répond :
— Je pense aussi.
Elle se tourne vers
Mya-Tao et lui dit
— On a mis au point ton rôle. Qu'est-ce
qu'elle sait faire, Cécile, à part montrer ses fesses ?
—
Elle obéit au doigt et à l'œil et elle lèche bien,
Mademoiselle.
— On va vérifier... Cécile, trouve le
jardinier, suce-le et demande-lui de te donner une note de 1 à 10.
—
Oui Mademoiselle.
Je me lève, m'incline... et je m'en vais,
tandis qu'elles gloussent. Je vais dans le jardin, puisque c’est
pour trouver un jardinier. C'est le moment de m'enfuir loin... très
loin... J'accélère le pas et puis... Je connais le Prince, il a dû
prévoir les évasions. S'évader comme ça, c'est impossible ! On
m'observe, j'en suis certaine. Je retourne vers la maison et je vois
un jeune Japonais faire une retouche de peinture. Je lui demande :
—
Pardon Monsieur, pourriez-vous me dire où je pourrai trouver le
jardinier ?
Il me regarde des pieds à la tête, puis répond
:
— J'ai vu qu'il travaillait près de l'entrée du domaine.
Tu dois suivre cette allée.
— Merci beaucoup... Dites, je ne
risque pas de dépasser les limites de la propriété ? J'ai peur
qu'on puisse me le reprocher.
Il me regarde et répond :
—
Non, tu tomberas sur une clôture, si tu vas trop loin.
En même
temps, il a un "imperceptible" mouvement de la tête. Ça
et le regard, j'ai compris. Je m'incline et lui dis :
— Merci
beaucoup, Monsieur.
Message bien reçu !! J'aurai des
occasions, je le sais. Je marche dans le sentier qui se trouve entre
deux rangées de très grands bambous. Je finis par trouver le
jardinier aperçu tout à l'heure. C'est un petit homme joufflu d'une
bonne soixantaine d'années avec des cheveux longs et une barbe
pointue et blanche. Il est avec un jeune apprenti, occupés tous les
deux à planter des bulbes. Je m'incline devant lui. Oui, c'est la
folie ici, les saluts. Je lui demande :
— Je peux vous parler,
Monsieur ?
— Bien sûr petite, qu'est-ce que tu veux ?
—
Je vous prie de m'excuser, mais je dois vous faire une fellation.
Je
suis sûr qu'il n'était pas au courant, parce qu'il me regarde un
moment, très surpris, puis il éclate de rire et son apprenti
également. Quand ils sont calmés, il me dit :
— C'est
Mademoiselle Mitsuko qui t'envoie ?
— Oui, je dois vous
faire une fellation et vous devrez me donner une note de 1 à 10.
Il
regarde son apprenti et lui dit :
— Qu'est-ce que tu en
penses, Jiro ? C'est tentant, hein ?
— Oh oui maître, je
ne dirais pas non...
— Bon, alors si tu veux une bonne note,
tu devras nous faire une fellation à tous les deux. Mais d'abord, tu
vas me faire une chose que ma femme refuse. Une feuille de rose, tu
vois ce que c'est ?
— Oui Monsieur... Marché conclu.
On
s'incline encore un petit coup tous les deux, puis il enlève son
pantalon de kimono et il se met à quatre pattes. Si je n'ai pas une
bonne note, je suis sûre à 100 % de me faire fouetter ! Je me
mets à quatre pattes derrière lui et j'empoigne ses fesses à deux
mains pour les écarter. C'est pas tentant du tout, lécher le trou
du cul d'un vieux jardinier. Alors, pour dédramatiser, je fais ce
que je fais toujours : jouer. Je me parle, genre "Lieutenant !
Objectif Lune ! Alunissage immédiat, dans le cratère
ci-dessous !" "Oui mon Commandant" et je fonce, la
langue en avant dans son trou du cul. Il gémit de plaisir.
"Alunissage réussi, mon Commandant". "Parfait, faites
un sondage." J'ai besoin de penser à ce genre de conneries,
pendant que je lèche son anus. Il me dit :
— Oh ! Petite,
tu as une langue magique.
C'est gentil... Je continue jusqu'à
ce qu'il me dise :
— Suce-moi maintenant.
Il s'assied par
terre, je me mets à quatre pattes et je le suce. Il me caresse la
tête en disant :
— Tu es une artiste.
S'il le dit... Une
artiste, mais aussi une servante et même une esclave dont le cul
s'orne d'un koï, hélas. Je le suce jusqu'à ce qu'il jouisse dans
ma bouche. J'avale tout... Ils ont l'air tous les deux surpris. C'est
curieux qu'ils ne puissent pas baiser les bonnes, elles sont sûrement
obligées d'avaler comme moi. Ou alors, tout est nouveau ici, comme
au château. On se relève, le jardinier dit à son apprenti :
—
À toi, Jiro, tu vas avoir un avant-goût du paradis.
Il est
partant, le jeune homme, pour le paradis. Il enlève son pantalon et
se met à quatre pattes. Oh ! C'est très différent : il a un
super cul d'homme bien musclé et pour un Japonais, il a des poils
qui moutonnent dans la raie des fesses. Je me mets à quatre pattes
derrière lui et... son odeur est agréable ! C'est une odeur
musquée et virile, mais d'un homme qui s'est lavé le matin même.
J'écarte ses fesses et j'embrasse son anus, puis je descends jusqu'à ses couilles gonflées. Je veux m'évader avec lui, son cul et ses couilles.
J'embrasse, je lèche, je le viole avec ma langue...
Je sens les muscles de ses fesses frémir sous mes mains. Le
jardinier m’interrompt :
— Suce-le, petite, on a du
travail.
Il s'assied et j'embrasse le sommet de sa bite bien
mouillée d'excitation, puis je le suce comme un veau affamé
sucerait le pis de sa mère qui aurait passé l'après-midi aux
soldes ! Très vite, je sens qu'il va jouir et j'aspire en moi son
sperme, son cœur... euh... c'est une image, je m'emballe un peu.
À
suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super
dessins.
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
"Samia, fille du voyage." Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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