Je vous fais une place ?
mardi 31 janvier 2023
lundi 30 janvier 2023
dimanche 29 janvier 2023
un beau jardin...
Vous regardez aussi le jardin ?
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samedi 28 janvier 2023
vendredi 27 janvier 2023
En famille...
Ce genre de photo ne va pas beaucoup vous plaire, mais je suis avec ma sœur et elle a insisté...
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jeudi 26 janvier 2023
Maid in Japan 18 Scanner
On se relève tous les deux et je lui demande :
— Vous me donnerez aussi une bonne note ?
Il rit et répond :
— Je ne sais pas ! Demande le mieux.
Oh ! Je réponds :
— J'ai adoré vous sucer, Maître. S'il vous plaît, accordez une bonne note à votre servante.
Il me prend contre lui pour m'embrasser sur la bouche, malgré ce que je viens de faire. Je deviens toute molle et m'offre entièrement à lui.... Je n'aurais jamais imaginé rencontrer un homme qui me plaît, ici. Quand nos bouches se séparent, il me dit :
— Tu auras une bonne note, disons un 7.
Mon visage change. Il rit, le vieux jardinier me dit :
— Il te taquine, tu as deux 10.
— C'est super gentil... Je pourrai revenir ?
Le vieux répond :
— Pour moi ou pour Jiro ?
— Pour les deux, Monsieur.
Ils rient tous les deux... Jiro me rassure :
— Tu suces très bien et puis on s'amuse avec toi. Fais ce que te dit Mademoiselle Mitsuko et tu auras des avantages. Rentre maintenant.
— Oui, merci beaucoup...
Je veux que Jiro m'aide à m'évader. Je marche dans le sentier, vers la maison. Je sens que ma culotte est un peu mouillée. Je repense à cette scène. D'une façon ou d'une autre, je suis certaine que les gens de la maison ont tout vu. Et puis je me dis autre chose : si Mitsuko m'a vu lécher Jiro, elle va le vouloir aussi. Il faut que je sois cool, inodore, incolore.
J'arrive à la maison et j'ai été suffisamment "éduquée" au château pour savoir ce que je dois faire. Je toque doucement à la porte de la grande pièce, j'entre et je me mets "aux ordres" à côté de la porte. Mitsuko et Mya-Tao discutent. Kouba fait la sieste ou alors il est décédé, je ne sais pas. J'écoute ce que les filles se disent :
— .... des poupées grandeur nature, c'est une super idée...
— Oh, tu sais, ça existe déjà, mais depuis peu de temps. Ils parlent de gynoïdes, mais c'est la même chose, ils pourront acheter une "idol", moi, une garde du corps, toi ou une servante comme Cécile... Cécile, viens ici !
Ouch ! Je rêvais ! Je vais aussitôt me mettre à genoux, assise sur les talons devant elle, en disant :
— Oui Mademoiselle ?
— Ta note ?
— Dix, Mademoiselle.
Pas de commentaires ! Par contre, si j'avais eu une mauvaise note, je suis sûre qu’elle m’aurait punie. Elle pose ses pieds nus sur mes cuisses et continue sa discussion.
— Demain, photos et scanner. On commencera par elle, au cas où il y aurait un problème.
J'en ai marre de ne pas savoir ! Bon, je serai sans doute punie, tant pis, je prends le risque. Je dis :
— Mademoiselle, je voudrais vous poser une question.
Les deux filles se regardent et Mitsuko me répond :
— Ma parole, tu as mangé du lion, toi !
— Pourquoi ne puis-je pas être une servante seulement sur scène ?
— Tu veux changer de rôle avec Mya-Tao, sports de combat, tirs ?
— .... Non, Mademoiselle.
— Voilà. Tu es une servante et tu vas jouer ce rôle. Et puis, ce sera cool que tu serves les gens du show bizness qui vont venir. Je trouve que l'uniforme de servante te va si bien... Tu es humble, tu pleurniches et puis, tu as peur de tout... Tu veux t'évader mais tu as peur qu'il y ait un piège. On va faire un test : il n'y a pas de piège, si tu veux t'évader, vas-y... VAS-Y !!!
Je... je sais que ce n'est pas vrai ! Elle veut me piéger et je me sens si mal prise que je finis par pleurer. Mitsuko rit et dit :
— Tu vois bien que tu n’es qu’une petite servante.
— Oui... sniiif... Mademoiselle... snnniiiiffff...
— Va pleurer ailleurs. Tiens, va demander à Fuyumi si elle n'a pas quelque chose à te faire faire. Ah ! oui, rappelle-moi ce que tu es.
— Une servante, Mademoiselle.
Je me lève, m'incline et je me dirige vers la porte, quand elle ajoute :
— Tu as eu raison de ne pas essayer de t'évader. C'est impossible !
Rires des deux filles. Je vais à la cuisine... La gouvernante Fuyumi est assise devant la table de cuisine. Elle lit une revue en buvant une bière. Je m'incline en disant :
— Je viens me mettre à votre service, Madame Fuyumi.
Elle continue à lire un moment, puis elle lève la tête pour dire :
— Assieds-toi par terre.
Quand je suis assise, elle pose ses pieds nus sur mes cuisses, exactement comme sa maîtresse tout à l'heure. Elle me dit :
— Masse-moi les jambes et les pieds.
Je fais ça pendant une bonne demi-heure... Fuyumi somnole tandis que je masse la plante de ses pieds... On toque, ce sont les trois servantes, qui entrent. L'une d'elles demande :
— On peut commencer à préparer le repas, Madame ?
— Oui, allez-y.
L'ambiance est vraiment détendue, ici. Au château, une servante n'aurait jamais osé parler d'une façon aussi familière.
Quand Fuyumi s'est assez relaxée, j'aide les filles à préparer le repas, après m'être lavé les mains. Le soir, je sers le repas avec une autre servante. Mitsuko et Mya-Tao mangent avec trois hommes et deux femmes. Personne ne fait attention à moi.
***
Le lendemain, je dois nettoyer avec les autres servantes. Il faut que tout soit impeccable, sinon il y aura des punitions. Je sers le repas de midi et, quand elle a fini de manger, Mya-Tao me dit :
— Suis-moi.
On va dans une des pièces du premier étage. Elle dit à l'homme qui se trouve là :
— Voilà la fille à scanner, Monsieur.
— Bien. Déshabille-toi, petite.
Mais je ne suis pas malade ! Je pose très délicatement la main sur le bras de Mya-Tao. Traduction : "Je voudrais vous parler". Elle me regarde en disant :
— Quoi ?
— Je ne suis pas malade, Mademoiselle.
— Je sais, on va faire une poupée à ton image
— Comme lorsqu'on a été transformées en Malaise ?
Elle hésite... puis se décide :
— C'était expérimental, ils l'ont interdit maintenant. Non, des poupées dans une matière qui ressemble à la chair et à la peau. On va faire une poupée qu'on peut baiser et qui aura ton odeur.
L'homme dit :
— Déshabille-toi et entre dans le scanner.
Mya-Tao s'en va tandis que je me déshabille. Quand je suis nue, je vais m'allonger dans le cylindre. L'homme tape sur un clavier et le cylindre tourne autour de moi... Il crie chaque fois que je bouge un peu. Ça dure une petite demi-heure... Quand la machine s'arrête, il me dit :
— Je vais mesurer la profondeur de ton vagin, lève-toi et pose les mains sur cette chaise.
La profondeur de mon vagin, mon cul, oui ! Il veut juste me baiser. Normal, j'ai un trop beau cul. Il se met derrière moi et me caresse en disant :
— Tu as un putain de beau derrière, petite salope.
— Merci Monsieur.
Il caresse ma fente avec son gland, puis s'enfonce en moi... Il baise pas mal...bien, même. Je me cambre pour qu'il puisse vérifier la profondeur de mon vagin. Pour appeler un chat un chat, je suis toujours une boy-ra (chaudière) et quand sa bite gonfle en moi et qu'il jouit, je jouis aussi... Oui, c'est mécanique. Il se retire et il me colle un kleenex sur la chatte en disant :
— Super cul et super tempérament. Tu feras un malheur auprès des fans et ta poupée aussi. Regarde.
Il ouvre un deuxième cylindre et je suis à l'intérieur... Les yeux fermés et sans cheveux ni poils. Je lui dis :
— Vous êtes un magicien, Monsieur.
Ça le fait rire. J'ai besoin d'amis, d'alliés.... Il vérifie soigneusement si tout concorde. Je lui demande :
— Vous allez en faire plusieurs ?
— C'est pas tes affaires. Remets ton uniforme pour te photographier en servante.
Quand je suis rhabillée, on va dans la cuisine. Fuyumi est à sa place habituelle, assise à la grande table, occupée à lire un magazine people en buvant une bière. Le technicien du scanner a pris un appareil photo et il me dit :
— Récure le sol.
Du doigt, Fuyumi me montre du matériel de nettoyage dans un coin. Je remplis un seau avec de l'eau et du savon et à quatre pattes, je récure le sol avec une brosse dure. Franchement, ça va intéresser qui, ce genre de photo ? Les suivantes ont toutes un rapport avec le métier de bonniche : j'épluche des légumes, je fais la vaisselle, je nettoie les carreaux. Quand c'est fait, le technicien demande à Fuyumi :
— Qu'est-ce qu'elles font de plus, les bonnes ?
Elle boit un coup et répond :
— Les lits, la lessive, nettoyer les chiottes...
— Pas assez glamour.
Fuyumi réfléchit puis ajoute :
— Elles me massent les pieds...
— Ah oui bonne idée. Masse-lui les pieds, petite.
Pfff... C'est pas ce que fait une bonne, mais comme je suis prudente, je me mets à genoux. Elle pivote sur son siège en disant :
— Commence par les embrasser.
Ses pieds nus sont posés sur le sol, je me baisse pour les embrasser, tandis que l'autre prend des photos. Ensuite, je m'assieds. Elle pose ses pieds sur mes cuisses, et je les masse en passant fermement les pouces sur ses voûtes plantaires. Nouvelles photos, puis le technicien dit :
— J'ai ce qu'il faut. Merci.
Fuyumi répond :
— Avec plaisir, Monsieur.
J'arrête de la masser, mais j'ai aussitôt droit à un sec :
— Je t'ai dit d'arrêter ?
— Pardon Madame.
Je continue le massage... tandis qu'elle me dit :
— Tu sais qu'on punit les servantes, ici aussi.
— Pardon Madame, je pensais que...
Elle relève sa jupe et écarte les cuisses. Contrairement à nous, elle n'a pas de culotte. Elle me lance :
— Lèche !
— Oui Madame.
Fuyumi est une belle femme qui doit avoir une trentaine d'années, mais elle n'est pas plus propre que les clients du château. Son odeur est forte et il y a une ligne blanchâtre de sécrétions entre les grandes lèvres et les cuisses, mais je veux lui plaire. Je lèche son clito, tout en enfonçant deux doigts dans son vagin. Je suce ses grandes lèvres, tout en la baisant avec mes doigts.
Elle me caresse la tête, preuve que mes gestes sont appréciés.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai éperdument besoin d'alliés... Pour m'évader ou simplement pour ne pas être punie. Elle se tortille sur sa chaise, tandis que je suce son clito. Pas trop fort, juste ce qu'il faut. Et bientôt, elle se cambre et jouit sur mon visage... Je lèche encore un peu, jusqu'à ce qu'elle me dise :
— C'était pas mal.
— Merci Madame.
Je me redresse et elle me fait remarquer :
— Tu sens ma chatte.
Ah oui, ça ne m'étonne pas. Des servantes toquent et entrent. Toutes les trois s'inclinent. Fuyumi me dit :
— Lave-toi les mains...
Et le visage ? Je ne dis rien pour pas la vexer.
L'après-midi, grand nettoyage du salon et de la salle à manger. Fuyumi vérifie tout et file même quelques coups de baguette en bambou sur nos fesses. La reconnaissance de la chatte comblée, elle ne connaît pas !
Oh ! Mitsuko vient vérifier si tout est impeccable. Fuyumi lui dit :
— Les servantes ont transpiré, voulez-vous qu'elles prennent une douche et changent d'uniforme ?
— Ce n'est pas nécessaire. Les bonnes servantes sentent toujours la transpiration.
Si on pouvait prendre une douche tous les matins et changer plus souvent d'uniforme, ça n'arriverait pas !
À 7 heures du soir, tout le personnel est sur le perron pour accueillir les visiteurs. Après avoir attendu un moment, on entend le bruit des pales d'un hélicoptère. Mitsuko et des gardes vont les accueillir. Le Prince arrive, il est toujours aussi élégant dans un costume noir, chemise blanche ouverte. Il est entouré de ses Thaïs fétiches et suivi d'un gros homme, un Occidental avec une sale gueule, c'est le mot qui convient ! On se plie en deux à tour de rôle, à leurs passages. Ils vont dans la grande pièce de réception.
Là, je me vois assise dans un divan... La poupée a mes cheveux, mes yeux et le même uniforme. Thaï 1 me dit :
— Va t'asseoir à côté d'elle.
J'y vais aussitôt et je prends la même position. Le Prince, murmure :
— Beau travail.
À suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
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mercredi 25 janvier 2023
un dessert...
« ... et voici votre dessert, Monsieur. »
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Il y a un nouvel épisode avec un dessin inédit de Bruce Morgan,
sur notre blog gratuit.
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mardi 24 janvier 2023
lundi 23 janvier 2023
Fleur...
Toujours la serre et toujours moi, mais cette fois-ci, j’ai une fleur indiscrète entre les fesses 😄
dimanche 22 janvier 2023
samedi 21 janvier 2023
Jardinage et exhibition...
Mélanger jardinage et exhibition, c'est pas facile, mais j'y arrive😄
vendredi 20 janvier 2023
jeudi 19 janvier 2023
Jardinière...
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En été, je jardine à poils chez des voisins... et c'est bien payé.
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mercredi 18 janvier 2023
En cage...
Tu veux un sucre ?
mardi 17 janvier 2023
Nichons, suite...
J'aime qu'on me "pelote" les seins, même si c'est moi qui le fait. 😍
lundi 16 janvier 2023
Le dentiste
J’ai peur du dentiste 😳
dimanche 15 janvier 2023
Est-ce le froid ?
Je ne sais plus si j'avais froid ou si j'étais excitée 😀
samedi 14 janvier 2023
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1. On passe bientôt à Mia 2. Tous mes livres illustrés par Bruce Morgan sont ici :
vendredi 13 janvier 2023
Un dessin inédit de Bruce.
Enfin une photo presque convenable 😄
jeudi 12 janvier 2023
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1. On passe bientôt à Mia 2. Ils sont ici :https://lamusardine.com/13285-michael-mia
mercredi 11 janvier 2023
une chatte...
Alanguie, comme une chatte au soleil...
mardi 10 janvier 2023
lundi 9 janvier 2023
Maid in Japan -17 - Le Mont Fuji
Le
Prince qui s’exprime par l'intermédiaire de ses deux Thaïs,
c'était déjà bizarre, mais nettement moins que cette fille qui
fait parler son ours. Ils sont tous cinglés ?
Mya-Tao me
donne un coup de coude et compte :
— Trois, deux,
un...
Ensemble, on chante :
— Foreeeeveeer.....
Quand
on a fini, la fille ne dit rien. Elle remonte dans l'hélicoptère en
faisant voler sa robe courte sur une culotte blanche d'écolière.
Elle brandit son ours qui nous dit :
— Montez.
Dans cet
hélicoptère, il y a un siège pour le pilote et une petite
banquette derrière pour deux passagers. Mya-Tao s'assied à côté
de la fille et de son ours. Elle me dit :
— Mets-toi à genoux
entre mes jambes, le visage vers moi.
Pourquoi je devrais faire
ça ? La fille et son ours me regardent pour voir ce que je vais
faire... Je me glisse entre les jambes de Mya-Tao. L'hélicoptère
décolle.
La fille lui demande :
— Elle obéit toujours
aussi bien ?
— Oui, Mademoiselle, elle a peur des
confrontations. Et puis, je suis beaucoup plus coriace qu'elle.
Je
suis coincée entre les cuisses de cette salope coriace, je sens même
l'odeur de sa chatte. C'est vrai, je crains les confrontations.
Mya-Tao lui demande :
— Vous êtes une Tokyo Idol,
Mademoiselle ?
— Oui, je suis Mitsuko et on va monter un
numéro à trois.
L'ours prend la parole :
— Toi, tu
seras la garde du corps et la petite qui a pratiquement le nez dans
ta chatte, elle sera...? Dis-le, petite.
— La servante,
Monsieur Kouba ?
Il rit. J'ajoute :
— Pourquoi moi,
je...
L'ours me coupe la parole :
— Chuuut ! Les
servantes doivent se taire, tu peux juste répondre aux
questions.
Ouais, je connais la chanson ! Et là, j'entends
Mitsuko dire avec une voix tout à fait normale :
— Je me
repose.
Tout est bizarre... et ce n'est pas fini. Mitsuko
s'endort, tandis que Mya-Tao écarte les cuisses en me prenant par la
nuque et elle me colle contre sa chatte. Cette fille ose vraiment
tout, mais elle a raison : je ne peux qu'obéir à une fille coriace.
Elle me donne une petite claque sur la tête et je colle ma bouche à
sa chatte, puis je la lèche... longtemps. Elle manifeste très peu,
cette fille a beaucoup de self-control ! Il faut bien 20 minutes
avant qu'elle ne se raidisse un peu et jouisse. Je veux m'éloigner
mais elle me prend par la nuque et je suis obligée de rester collée
à sa chatte. J'entends Monsieur Kouba dire :
— Elle lèche
bien ?
— Oui, pour ça, elle est bonne.
Cette bête
conversation s'arrête parce que le pilote dit :
— On va
atterrir, Mademoiselle.
— Bien. Petit voyage agréable,
John.
— Merci Mademoiselle.
On atterrit et je peux enfin
m'extraire des cuisses et de la chatte de Mya-Tao. On descend et....
Ooooh ! Je me retrouve pratiquement nez à nez avec le mont Fuji !
Je
n'ai rien vu pendant le voyage et je me demande si la chatte de
Mya-Tao ne serait pas hallucinogène... Non : le mont Fuji et son
sommet enneigé sont bien là et à notre droite, il y a une grande
pagode à trois étages. Mitsuko saute au cou d'un Japonais costaud
et l'embrasse sur la bouche ! Ils parlent tandis qu'il lui caresse
les fesses.
Le pilote est descendu et il me tend deux grosses
valises. Pfff... Pour me donner du courage, je regarde le mont Fuji,
puis la beauté de la pagode, les plantes, les fleurs.... On se
dirige vers la maison, d'abord Mitsuko, son amoureux et Kouba, puis
Mya-Tao et enfin les valises et moi.
Devant l'entrée de la
maison, le personnel attend la maîtresse. Il y a bien une dizaine de
personnes. Je remarque une Japonaise d'une trentaine d'années, que
je verrais bien en cuisinière, un vieux jardinier et son apprenti,
trois servantes Malaises et puis quelques hommes et quelques femmes.
Ils sont tous pliés en deux. La femme que je pense être la
gouvernante se redresse la première et demande :
—
Mademoiselle a fait bon voyage ?
— Oui, merci Hiroyi. Nous
mangerons ici, ce soir.
J'ai vu juste en ce qui la concerne.
J'ai une étrange impression, comme si ces gens étaient tous de
comédiens. Ils sont typique de leurs rôles : le jardinier barbu et
en sabots, la femme de trente ans avec un tablier de cuisinière,
l'homme à tout faire en salopette.... les trois servantes sont
jolies et elles ont vraiment l'air de... servantes. Ce sont tous des
personnages typiques, comme s'ils jouaient une pièce de théâtre.
Il faut dire que je suis fatiguée.
Mitsuko me désigne à une
des servantes en disant :
— Cette fille est une servante.
Qu'elle monte les valises dans ma chambre, ensuite tu lui donneras un
uniforme.
La fille se plie en deux avant de me dire :
—
Suis-moi.
Cette garce m'a fait venir pour chanter ou comme
servante ? On entre dans la maison. Je n'ai pas le temps de
regarder les meubles et les objets d'art, je suis la fille jusqu'à
l'escalier de service. On monte au premier étage et je dépose les
valises. Ouf ! Ensuite on va au troisième étage et on entre dans
une petite chambre. Il y a juste trois matelas par terre et quelques
vêtements. La fille me donne un uniforme en disant :
— Il a
été porté, mais il n'y en a pas de propre.
Je me déshabille
et je mets l'uniforme. Ce n'est pas une tenue de servante comme en
portent les gamines branchées de Tokyo pour se déguiser, mais un
uniforme tout ce qu'il y a de classique : robe noire, parements
blancs, tablier, culotte blanche et les servantes sont pieds nus. On
redescend. Mitsuko est dans le grand salon dont la baie vitrée
s'ouvre sur le mont Fuji. Cette propriété est-elle au Prince ?
Sans doute.
Mitsuko a sa voix normale et elle discute avec
Mya-Tao. Elles sont toutes les deux assises dans un canapé. La
servante me murmure :
— Mets-toi à côté de la porte dans la
position de la servante "aux ordres", Mademoiselle te fera
signe si elle veut te parler.
Je me mets debout la tête
baissée, les mains croisées sur le pubis. Mitsuko me demande :
—
Tu es fatiguée ?
Aussitôt, je m'avance un peu, ma faute
ayant été de m'appuyer contre le mur. Je réponds :
—
Pardon, Mademoiselle.
Garce !!! J'attends... longtemps... J'ai
mal aux jambes et j'ai soif. Enfin, j'entends :
— Viens
ici.
Qui, moi ? Mitsuko me regarde. Je vais aussitôt
m'incliner. Elle me dit :
— La première leçon, c'était :
une servante ne s'appuie pas. La seconde : quand je suis assise, si
tu restes debout, je dois lever la tête et c'est un effort. Or ton
rôle est de m'éviter tout ce qui me serait un peu pénible. Non ?
—
Si Mademoiselle.
Je me mets aussitôt à genoux devant elle, les
fesses posées sur les talons, les mains posées sur les cuisses avec
les paumes en l'air. Elle me dit :
— Je n'aime pas ce nom,
Boy-ra.
Je la regarde, ne sachant pas si je dois répondre. Elle
continue :
— On va chanter à trois et faire des shows pour
tes fans. Quel est ton nom vrai prénom ?
— Cécile,
Mademoiselle.
— C'est pas mal... Je te rends ton nom.
—
Merci Mademoiselle.
Kouban me dit :
— Montre ton cul.
Il
est vicieux ce petit ours. Je me tourne, relève ma jupe, baisse ma
culotte et exhibe mes fesses. Kouban siffle et dit :
— Des
poupées avec ce cul, ça va faire un malheur, ma chérie.
Mitsuko
lui répond :
— Je pense aussi.
Elle se tourne vers
Mya-Tao et lui dit
— On a mis au point ton rôle. Qu'est-ce
qu'elle sait faire, Cécile, à part montrer ses fesses ?
—
Elle obéit au doigt et à l'œil et elle lèche bien,
Mademoiselle.
— On va vérifier... Cécile, trouve le
jardinier, suce-le et demande-lui de te donner une note de 1 à 10.
—
Oui Mademoiselle.
Je me lève, m'incline... et je m'en vais,
tandis qu'elles gloussent. Je vais dans le jardin, puisque c’est
pour trouver un jardinier. C'est le moment de m'enfuir loin... très
loin... J'accélère le pas et puis... Je connais le Prince, il a dû
prévoir les évasions. S'évader comme ça, c'est impossible ! On
m'observe, j'en suis certaine. Je retourne vers la maison et je vois
un jeune Japonais faire une retouche de peinture. Je lui demande :
—
Pardon Monsieur, pourriez-vous me dire où je pourrai trouver le
jardinier ?
Il me regarde des pieds à la tête, puis répond
:
— J'ai vu qu'il travaillait près de l'entrée du domaine.
Tu dois suivre cette allée.
— Merci beaucoup... Dites, je ne
risque pas de dépasser les limites de la propriété ? J'ai peur
qu'on puisse me le reprocher.
Il me regarde et répond :
—
Non, tu tomberas sur une clôture, si tu vas trop loin.
En même
temps, il a un "imperceptible" mouvement de la tête. Ça
et le regard, j'ai compris. Je m'incline et lui dis :
— Merci
beaucoup, Monsieur.
Message bien reçu !! J'aurai des
occasions, je le sais. Je marche dans le sentier qui se trouve entre
deux rangées de très grands bambous. Je finis par trouver le
jardinier aperçu tout à l'heure. C'est un petit homme joufflu d'une
bonne soixantaine d'années avec des cheveux longs et une barbe
pointue et blanche. Il est avec un jeune apprenti, occupés tous les
deux à planter des bulbes. Je m'incline devant lui. Oui, c'est la
folie ici, les saluts. Je lui demande :
— Je peux vous parler,
Monsieur ?
— Bien sûr petite, qu'est-ce que tu veux ?
—
Je vous prie de m'excuser, mais je dois vous faire une fellation.
Je
suis sûr qu'il n'était pas au courant, parce qu'il me regarde un
moment, très surpris, puis il éclate de rire et son apprenti
également. Quand ils sont calmés, il me dit :
— C'est
Mademoiselle Mitsuko qui t'envoie ?
— Oui, je dois vous
faire une fellation et vous devrez me donner une note de 1 à 10.
Il
regarde son apprenti et lui dit :
— Qu'est-ce que tu en
penses, Jiro ? C'est tentant, hein ?
— Oh oui maître, je
ne dirais pas non...
— Bon, alors si tu veux une bonne note,
tu devras nous faire une fellation à tous les deux. Mais d'abord, tu
vas me faire une chose que ma femme refuse. Une feuille de rose, tu
vois ce que c'est ?
— Oui Monsieur... Marché conclu.
On
s'incline encore un petit coup tous les deux, puis il enlève son
pantalon de kimono et il se met à quatre pattes. Si je n'ai pas une
bonne note, je suis sûre à 100 % de me faire fouetter ! Je me
mets à quatre pattes derrière lui et j'empoigne ses fesses à deux
mains pour les écarter. C'est pas tentant du tout, lécher le trou
du cul d'un vieux jardinier. Alors, pour dédramatiser, je fais ce
que je fais toujours : jouer. Je me parle, genre "Lieutenant !
Objectif Lune ! Alunissage immédiat, dans le cratère
ci-dessous !" "Oui mon Commandant" et je fonce, la
langue en avant dans son trou du cul. Il gémit de plaisir.
"Alunissage réussi, mon Commandant". "Parfait, faites
un sondage." J'ai besoin de penser à ce genre de conneries,
pendant que je lèche son anus. Il me dit :
— Oh ! Petite,
tu as une langue magique.
C'est gentil... Je continue jusqu'à
ce qu'il me dise :
— Suce-moi maintenant.
Il s'assied par
terre, je me mets à quatre pattes et je le suce. Il me caresse la
tête en disant :
— Tu es une artiste.
S'il le dit... Une
artiste, mais aussi une servante et même une esclave dont le cul
s'orne d'un koï, hélas. Je le suce jusqu'à ce qu'il jouisse dans
ma bouche. J'avale tout... Ils ont l'air tous les deux surpris. C'est
curieux qu'ils ne puissent pas baiser les bonnes, elles sont sûrement
obligées d'avaler comme moi. Ou alors, tout est nouveau ici, comme
au château. On se relève, le jardinier dit à son apprenti :
—
À toi, Jiro, tu vas avoir un avant-goût du paradis.
Il est
partant, le jeune homme, pour le paradis. Il enlève son pantalon et
se met à quatre pattes. Oh ! C'est très différent : il a un
super cul d'homme bien musclé et pour un Japonais, il a des poils
qui moutonnent dans la raie des fesses. Je me mets à quatre pattes
derrière lui et... son odeur est agréable ! C'est une odeur
musquée et virile, mais d'un homme qui s'est lavé le matin même.
J'écarte ses fesses et j'embrasse son anus, puis je descends jusqu'à ses couilles gonflées. Je veux m'évader avec lui, son cul et ses couilles.
J'embrasse, je lèche, je le viole avec ma langue...
Je sens les muscles de ses fesses frémir sous mes mains. Le
jardinier m’interrompt :
— Suce-le, petite, on a du
travail.
Il s'assied et j'embrasse le sommet de sa bite bien
mouillée d'excitation, puis je le suce comme un veau affamé
sucerait le pis de sa mère qui aurait passé l'après-midi aux
soldes ! Très vite, je sens qu'il va jouir et j'aspire en moi son
sperme, son cœur... euh... c'est une image, je m'emballe un peu.
À
suivre
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super
dessins.
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
"Samia, fille du voyage." Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Ah si elle parle...
Ma chatte vous conseille de lire mes livres à 2,99 €, vous allez adorer.