mercredi 21 décembre 2022

Maid in Japan - 16 Mya Tao

On est entourées d'une bande de singes lubriques qui se masturbent à toute vitesse. "Flaaac", c'est à nouveau le bruit mou du sperme qui atterrit sur nos joues.

 


D'autres  "Flaaac" tombent sur nos seins, nos hanches...

Quand ils ont tous fait leur petite affaire, le chef dit :
— Les... hips... les amis, maintenant... on va ne... nettoyer ces salopes.
Ils nous pissent dessus. On reçoit leurs sales pisses chaudes depuis la tête jusqu'aux pieds. Ils crient, s'encouragent, rient... Quand les hommes ont fini de pisser, c'est au tour des filles de venir s'accroupir au-dessus du plat pour nous pisser dessus...
Quand ils ont tous vidé leurs vessies, le chef gueule :
— Première servante !
Ayako s'approche et répond :
— Oui Monsieur ?
— Reprends tes filles !
— Certainement, Monsieur.
Elle écarte un peu les bras en disant :
— Vos oreilles !
On est toutes les deux bien dressées.  On va se pencher de façon à ce qu'elle ait nos oreilles à portée de ses doigts. Elle pince nos lobes qui glissent un peu et on la suit courbées en deux, en gémissant. Dès qu'on est dans le couloir, elle nous lâche en disant :
— Allez vous laver... ensuite venez à la cuisine.
— Oui Mademoiselle Ayako.
Je prends la fille par la main et dès qu'on s'est éloigné, je lui demande :
— Tu es nouvelle ?
— Oui. Quels salauds ces mecs et même ces filles !
— Tant qu'on n'est pas punies....
— Ça arrive souvent ?
— Ryoko est dure et certains clients sont très difficiles). Quelques-uns nous font fouetter parce que ça les excite.
— Tu crois qu'on devra retourner chez ces gens ?
— Non, ils doivent tout nettoyer, mais il y aura les clients du soir.
On arrive à la salle de douche. On se lave soigneusement l'une l'autre. On se nettoie de tout ce qu'ils ont déversé sur nous ! On s'embrasse, aussi.... Elle me plait... et je crois que c'est réciproque. On fait toutes les deux pipi, mais sous la douche, pas sur le visage de deux filles ! Quand on est propres et réconfortées par nos baisers, on va à la cuisine. Je toque, puis on entre et on se plie en deux... Ryoko nous dit :
— Allez mettre une robe pour accueillir les invités...
On va s'habiller, enfin, si on peut dire que ces petites robes qui s'envolent sont des vêtements. Ensuite on va attendre devant le château. Nous sommes les premières, on en profite pour parler un peu. Je lui raconte qu'à un moment, on a toutes été transformées en Malaises, ensuite on est redevenues normales, sauf les fesses.
Elle me répond :
— Moi aussi, on a un peu augmenté mes fesses. Le Prince veut des Occidentales avec de jolis culs... Dis...
Notre conversation s'arrête là, car une servante est arrivé (arrivée) sans qu'on s'en aperçoive et elle nous dit :
— Alors, on discute ?
Je me plie aussitôt en deux et réponds :
— Je lui expliquais ce qu'il fallait dire aux invités, Mademoiselle.
— Tu mens... Tu veux que Maître Seiba s'occupe de toi, demain matin ?
— Non, pardon ! Oui, j'ai menti parce que j'avais peur que...
— Toutes les deux en position !
Je me mets aussitôt "en position" : d'abord à genoux, ensuite les deux mains posées l'une sur l'autre sur le sol et le front sur les mains. De cette façon, les jupes s'envolent et nos derrières sont bien exposés. La fille fait la même chose. On attend le premier coup de fouet en tremblant, mais au lieu de ça, on entend la servante dire :
— Pardon, Messieurs, je m'apprêtais à punir ces esclaves qui parlent sans autorisation.
Une voix d'homme répond :
— Je t'en prie, c'est amusant.
Ce serait encore plus amusant si on fouettait le cul de babouin de ce sale type ! Au lieu de ça :
— Aïïeee ! Un, merci Mademoiselle.   
Aussitôt, la fille crie, puis dit la même chose :  
— Aïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
Cinq fois, les trois lanières claquent sur nos fesses, qui doivent être couvertes de marques rouges. Un homme me désigne en disant :
— On peut prendre la fille qui s'appelle Boy-ra ?
— Certainement Monsieur et n'hésitez pas à la punir si c'est nécessaire ou pour vous amuser. Elles sont là pour ça.
Sale garce ! Ils sont quatre. Ils examinent les filles qui sont là et un des hommes dit :
— Celle-là, aussi.
Il ne désigne pas ma compagne, mais Mya-Tao, la jolie Birmane pas sympa. On  se retrouve chacune entre deux hommes ou plutôt entre deux mille-pattes. Des tas de mains nous caressent les seins et les fesses. Et ce ne sont pas les robes qui vont nous protéger. Ils ont retenu une petite salle à manger. On y va et ils s'installent autour d'une table sur laquelle il y a déjà des bouteilles de saké et quatre verres. Ils sont contents de se retrouver entre amis golfeurs ou collègues de bureau, à boire des coups ensemble et à caresser des jolis culs.... Mya-Tao repère le chef ou celui qui est le mâle dominant et elle va s'incliner devant lui en disant :
— Comment peut-on vous faire plaisir, Maître ?
Etre appelé Maître, ils adorent. Il répond :
— Qu’est-ce que tu nous proposes ?
Vous voyez que c'est le dominant, il répond à sa question par une question.
— Nous pourrions vous sucer à deux, pour commencer.
Il regarde ses copains, ils sont d'accord. C'est certainement la première fois  que deux jolies filles vont les sucer à deux. Elle dit à l'homme :
— Si vous pouviez vous reculer un peu.
Il se met à un mètre de la table. Elle enlève sa robe en me disant :
— Tu dors ?
— Non... euh... je...
Elle dit aux invités :
— Elle a un beau cul, mais elle n'est pas futée.
Elle est vraiment garce ! J'enlève la petite robe. Nues, on se met à genoux de chaque côté des jambes de l'homme. Il a déjà sorti son sexe. Comment se lavent les hommes pour que leurs bites aient toujours une odeur de marché aux poissons ??? Mystère ! Elle m'embrasse sur la bouche au-dessus du sexe, puis elle tire sur la peau pour dégager le gland et elle me le met dans la bouche. A l'étage au-dessus, ils sont tous venus voir. Ils aiment nous voir lécher la même glace. Ah si c'était une vraie glace dans un cornet. Non, c'est un gros gland de golfeur japonais qu'on lèche. Je sens qu'il ne veut pas qu'on le fasse jouir. Il dit à Mya-Tao :
— Passez au suivant
— Oui, Maître.
Le suivant est plus âgé et sa bite n'est pas plus appétissante. Elle m'oblige à le sucer la première. Je pourrais me rebeller, mais elle est trop... décidée. Autour de la table, les golfeurs boivent, plaisantent et rient. On passe aux deux suivants... Quand la bite du dernier est propre, un des hommes nous dit :
— Et maintenant, que proposez-vous, les filles ?
C'est bien sûr Mya-Tao qui répond :
— On pourrait s'asseoir sur vos bites et vous chevaucher.
Ils se regardent et l'un d'eux nous dit :
— Bonne idée.
Elle s'incline, les mains jointes, en disant :
— On pourrait avoir une gorgée de saké, s'il vous plait ?
Difficile de refuser, quand c'est demandé aussi humblement. Ils nous laissent boire un peu de saké. Putain !  Ça fait du bien et ça désinfecte la bouche.
On monte toutes les deux sur la bite dressée d'un homme. Le saké aidant, on est en forme pour un peu de trot sur bite. Les hommes embrassent nos seins qui vont et viennent sous leurs nez. On les a déjà bien chauffés en les suçant et après quelques minutes, ils jouissent en nous. On descend de cheval et on pioche dans une boite de Kleenex de quoi, plus ou moins, se rafraîchir la chatte. On attaque les deux derniers.... Ils jouissent tout aussi rapidement.... Cool.
On a encore droit à un verre de saké chacune. Mya-Sato parle encore un peu avec eux. Elle leur demande de nous donner une bonne cote. Ils sont contents, ils le feront. On les reconduit jusqu'au pont pour qu'ils reprennent la bateau. Ensuite on va prendre une douche. Mya-Tao me dit :
— Lave-moi.
J'obéis.
***
Le lendemain en fin d'après-midi, on est toutes devant le pont. Il ne reste plus beaucoup de filles de notre groupe du départ. Plusieurs filles sont parties, tandis que des nouvelles arrivent tous les jours. On voit arriver un groupe d'hommes qui doivent enterrer la vie de garçon de l'un d'eux. Ils sont déjà bien entamés quand ils arrivent... Ils nous examinent en plaisantant. Ils tâtent un sein, une fesse. Ils choisissent Mya-Tao, puis regardent les autres filles. Elle me dit :
— Montre tes fesses !
Non mais, de quoi elle se mêle ? J'ai envie d'être avec une autre fille. Je reçois quelques claques sur les fesses. Un homme dit :
— Elle a un beau cul,  on la prend.
Tandis qu'on se dirige vers une salle à manger, je lui murmure :
— Pourquoi m'as-tu dit de montrer...
— Tu dois me vouvoyer, si tu ne veux pas être punie ! Compris ?
— Oui, Mademoiselle.
Oui, je fais ce qu'elle dit. On arrive dans une salle à manger. On mange et on boit un peu, on flirte et on baise beaucoup. La routine, quoi. A la fin du repas, un des hommes nous dit :
— Chantez...
Ils nous prennent pour des geishas parce qu'on couche comme elles, mais on n'a pas appris à jouer d'un instrument de musique ou à chanter.
Je réponds :
— Pardon, Maître, mais on n'est pas des geishas, on n'a pas...
— CHANTEZ ! Ou on vous fait fouetter !
Inutile de discuter avec un sale type bourré, Mya-Tao me dit :
— Tu connais "Forever to you" ?
— Oui.
C'est une chanson qu'on entend partout au Japon. Elle me dit :
— A 3... 1 - 2 - 3
— Foreveeeeerrr....
J'ai une voix très aiguë et je chante juste. Coïncidence, Mya-Tao a la même voix très aiguë. On dirait deux gamines prépubères qui chantent cette chanson d'amour.
Les hommes arrêtent de rire et de déconner pour nous écouter. A la fin de la chanson, ils nous applaudissent. Ils ont aimé et ils sont contents, c'est le principal.  Je dois dire qu'on formait un très beau duo. On boit encore un peu avec eux, on baise aussi... La soirée se termine, on les reconduit à l'embarcadère. Ensuite, Mya-Tao disparaît. Tant mieux.
***
Le lendemain au petit déjeuner, Thaï 2 dit :
— Mya-Tao, Cécile,  ici.
Oh ! Elle m'appelle par mon vrai prénom. On va aussitôt s'incliner devant sa table, elle nous dit :
— Chantez !
Encore !?! Bon... On se regarde, elle compte 1 - 2 - 3 et :
— Foreveeeerrrrr....
Tout le monde nous écoute... Nos voix aiguës sont belles dans cette grande salle à manger. Quand on a fini notre chanson, on s'incline. On est applaudies, c'est surprenant. Thaï 2 fait un petit geste de la main que j'interprète comme "retournez à votre table". Quand on a déjeuné, on rejoint des clients dans leurs chambres.
A 2 h de l'après-midi, une servante vient me dire :
— Va sur le terrain d'atterrissage.
Inutile de demander pourquoi.
Je quitte le château et je croise des gardes et des servantes, personne ne me  demande où je vais... Vers la liberté ? Je vais attendre sur le bord de la piste d'atterrissage. Dix minutes plus tard, Mya-Tao arrive. Encore elle !! Et elle me dit :
— Tu ne me salues pas ?
Elle est tellement sûre d'elle.... que je m'incline en disant :
— Si, Mademoiselle.
Oui, bon.... Je devrais... lui dire que... rien,  car un  hélicoptère arrive et atterrit.
Une porte s'ouvre et une gamine saute sur le sol. Elle a l'air d'avoir 14 ans. Elle est habillée, coiffée et maquillée comme une Tokyo Idol, ces groupes de gamines qui chantent et ont des fans chez les jeunes et surtout chez les hommes plus âgés. Elle a une coiffure très élaborée avec des couettes, les yeux très maquillés, une petite bouche rouge. Elle est vêtue d'une robe très courte et décolletée, mais avec des manches bouffantes. Aux pieds, elle a des chaussures plates et ses bas noirs s'arrêtant (s’arrêtent) à mi-cuisse, c’est-à-dire à une dizaine de centimètres du bas de la robe. Un mélange de petite fille et de vamp.

 


 

Ah oui, elle tient un ours en peluche dans une main. Entre filles, on a l'habitude de s'examiner rapidement, j'ai noté tout ça en  quelques secondes. On s'incline à 45 °. Elle nous dit :
— C'est vous qui chantez ?
Oh ! Elle a une voix encore plus aiguë que les nôtres ! On se redresse et Mya-Tao répond :
— Oui Mademoiselle.
Elle regarde l'ours qu'elle a en main et lui demande :
— Qu'est-ce que tu en penses, Kumasan (Monsieur Ours) ?
— Elles sont mignonnes, mais moins que toi, ma chérie.
C'est elle qui fait la voix de l'ours. On la regarde avec des grands yeux. Elle dit :
— Kumasan vous a fait un compliment, vous ne lui répondez pas ?
Mya-Tao répond aussitôt :
— Merci Kumasan, vous êtes très gentil et très beau.

À suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.

Nos 7 livres illustrés sont ici : 
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