On est entourées d'une bande de singes lubriques qui se masturbent à toute vitesse. "Flaaac", c'est à nouveau le bruit mou du sperme qui atterrit sur nos joues.
D'autres "Flaaac" tombent sur nos seins, nos hanches...
Quand
ils ont tous fait leur petite affaire, le chef dit :
—
Les... hips... les amis, maintenant... on va ne... nettoyer ces
salopes.
Ils nous
pissent dessus. On reçoit leurs sales pisses chaudes depuis la tête
jusqu'aux pieds. Ils crient, s'encouragent, rient... Quand les hommes
ont fini de pisser, c'est au tour des filles de venir s'accroupir
au-dessus du plat pour nous pisser dessus...
Quand
ils ont tous vidé leurs vessies, le chef gueule :
—
Première servante !
Ayako
s'approche et répond :
—
Oui Monsieur ?
—
Reprends tes filles !
—
Certainement, Monsieur.
Elle
écarte un peu les bras en disant :
—
Vos oreilles !
On
est toutes les deux bien dressées. On va se pencher de façon
à ce qu'elle ait nos oreilles à portée de ses doigts. Elle pince
nos lobes qui glissent un peu et on la suit courbées en deux, en
gémissant. Dès qu'on est dans le couloir, elle nous lâche en
disant :
— Allez
vous laver... ensuite venez à la cuisine.
—
Oui Mademoiselle Ayako.
Je
prends la fille par la main et dès qu'on s'est éloigné, je lui
demande :
— Tu
es nouvelle ?
—
Oui. Quels salauds ces mecs et même ces filles !
—
Tant qu'on n'est pas punies....
—
Ça arrive souvent ?
—
Ryoko est dure et certains clients sont très difficiles).
Quelques-uns nous font fouetter parce que ça les excite.
—
Tu crois qu'on devra retourner chez ces gens ?
—
Non, ils doivent tout nettoyer, mais il y aura les clients du
soir.
On arrive à
la salle de douche. On se lave soigneusement l'une l'autre. On se
nettoie de tout ce qu'ils ont déversé sur nous ! On s'embrasse,
aussi.... Elle me plait... et je crois que c'est réciproque. On fait
toutes les deux pipi, mais sous la douche, pas sur le visage de deux
filles ! Quand on est propres et réconfortées par nos baisers, on
va à la cuisine. Je toque, puis on entre et on se plie en deux...
Ryoko nous dit :
—
Allez mettre une robe pour accueillir les invités...
On
va s'habiller, enfin, si on peut dire que ces petites robes qui
s'envolent sont des vêtements. Ensuite on va attendre devant le
château. Nous sommes les premières, on en profite pour parler un
peu. Je lui raconte qu'à un moment, on a toutes été transformées
en Malaises, ensuite on est redevenues normales, sauf les
fesses.
Elle me
répond :
— Moi
aussi, on a un peu augmenté mes fesses. Le Prince veut des
Occidentales avec de jolis culs... Dis...
Notre
conversation s'arrête là, car une servante est arrivé (arrivée)
sans qu'on s'en aperçoive et elle nous dit :
—
Alors, on discute ?
Je
me plie aussitôt en deux et réponds :
—
Je lui expliquais ce qu'il fallait dire aux invités, Mademoiselle.
—
Tu mens... Tu veux que Maître Seiba s'occupe de toi, demain matin
?
— Non, pardon
! Oui, j'ai menti parce que j'avais peur que...
—
Toutes les deux en position !
Je
me mets aussitôt "en position" : d'abord à genoux,
ensuite les deux mains posées l'une sur l'autre sur le sol et le
front sur les mains. De cette façon, les jupes s'envolent et nos
derrières sont bien exposés. La fille fait la même chose. On
attend le premier coup de fouet en tremblant, mais au lieu de ça, on
entend la servante dire :
—
Pardon, Messieurs, je m'apprêtais à punir ces esclaves qui parlent
sans autorisation.
Une
voix d'homme répond :
—
Je t'en prie, c'est amusant.
Ce
serait encore plus amusant si on fouettait le cul de babouin de ce
sale type ! Au lieu de ça :
—
Aïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
Aussitôt,
la fille crie, puis dit la même chose :
—
Aïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
Cinq
fois, les trois lanières claquent sur nos fesses, qui doivent être
couvertes de marques rouges. Un homme me désigne en disant :
—
On peut prendre la fille qui s'appelle Boy-ra ?
—
Certainement Monsieur et n'hésitez pas à la punir si c'est
nécessaire ou pour vous amuser. Elles sont là pour ça.
Sale
garce ! Ils sont quatre. Ils examinent les filles qui sont là et un
des hommes dit :
—
Celle-là, aussi.
Il
ne désigne pas ma compagne, mais Mya-Tao, la jolie Birmane pas
sympa. On se retrouve chacune entre deux hommes ou plutôt
entre deux mille-pattes. Des tas de mains nous caressent les seins et
les fesses. Et ce ne sont pas les robes qui vont nous protéger. Ils
ont retenu une petite salle à manger. On y va et ils s'installent
autour d'une table sur laquelle il y a déjà des bouteilles de saké
et quatre verres. Ils sont contents de se retrouver entre amis
golfeurs ou collègues de bureau, à boire des coups ensemble et à
caresser des jolis culs.... Mya-Tao repère le chef ou celui qui est
le mâle dominant et elle va s'incliner devant lui en disant :
—
Comment peut-on vous faire plaisir, Maître ?
Etre
appelé Maître, ils adorent. Il répond :
—
Qu’est-ce que tu nous proposes ?
Vous
voyez que c'est le dominant, il répond à sa question par une
question.
— Nous
pourrions vous sucer à deux, pour commencer.
Il
regarde ses copains, ils sont d'accord. C'est certainement la
première fois que deux jolies filles vont les sucer à deux.
Elle dit à l'homme :
—
Si vous pouviez vous reculer un peu.
Il
se met à un mètre de la table. Elle enlève sa robe en me disant
:
— Tu dors ?
—
Non... euh... je...
Elle
dit aux invités :
—
Elle a un beau cul, mais elle n'est pas futée.
Elle
est vraiment garce ! J'enlève la petite robe. Nues, on se met à
genoux de chaque côté des jambes de l'homme. Il a déjà sorti son
sexe. Comment se lavent les hommes pour que leurs bites aient
toujours une odeur de marché aux poissons ??? Mystère ! Elle
m'embrasse sur la bouche au-dessus du sexe, puis elle tire sur la
peau pour dégager le gland et elle me le met dans la bouche. A
l'étage au-dessus, ils sont tous venus voir. Ils aiment nous voir
lécher la même glace. Ah si c'était une vraie glace dans un
cornet. Non, c'est un gros gland de golfeur japonais qu'on lèche. Je
sens qu'il ne veut pas qu'on le fasse jouir. Il dit à Mya-Tao :
—
Passez au suivant
—
Oui, Maître.
Le
suivant est plus âgé et sa bite n'est pas plus appétissante. Elle
m'oblige à le sucer la première. Je pourrais me rebeller, mais elle
est trop... décidée. Autour de la table, les golfeurs boivent,
plaisantent et rient. On passe aux deux suivants... Quand la bite du
dernier est propre, un des hommes nous dit :
—
Et maintenant, que proposez-vous, les filles ?
C'est
bien sûr Mya-Tao qui répond :
—
On pourrait s'asseoir sur vos bites et vous chevaucher.
Ils
se regardent et l'un d'eux nous dit :
—
Bonne idée.
Elle
s'incline, les mains jointes, en disant :
—
On pourrait avoir une gorgée de saké, s'il vous plait ?
Difficile
de refuser, quand c'est demandé aussi humblement. Ils nous laissent
boire un peu de saké. Putain ! Ça fait du bien et ça
désinfecte la bouche.
On
monte toutes les deux sur la bite dressée d'un homme. Le saké
aidant, on est en forme pour un peu de trot sur bite. Les hommes
embrassent nos seins qui vont et viennent sous leurs nez. On les a
déjà bien chauffés en les suçant et après quelques minutes, ils
jouissent en nous. On descend de cheval et on pioche dans une boite
de Kleenex de quoi, plus ou moins, se rafraîchir la chatte. On
attaque les deux derniers.... Ils jouissent tout aussi rapidement....
Cool.
On a encore
droit à un verre de saké chacune. Mya-Sato parle encore un peu avec
eux. Elle leur demande de nous donner une bonne cote. Ils sont
contents, ils le feront. On les reconduit jusqu'au pont pour qu'ils
reprennent la bateau. Ensuite on va prendre une douche. Mya-Tao me
dit :
—
Lave-moi.
J'obéis.
***
Le
lendemain en fin d'après-midi, on est toutes devant le pont. Il ne
reste plus beaucoup de filles de notre groupe du départ. Plusieurs
filles sont parties, tandis que des nouvelles arrivent tous les
jours. On voit arriver un groupe d'hommes qui doivent enterrer la vie
de garçon de l'un d'eux. Ils sont déjà bien entamés quand ils
arrivent... Ils nous examinent en plaisantant. Ils tâtent un sein,
une fesse. Ils choisissent Mya-Tao, puis regardent les autres filles.
Elle me dit :
—
Montre tes fesses !
Non
mais, de quoi elle se mêle ? J'ai envie d'être avec une autre
fille. Je reçois quelques claques sur les fesses. Un homme dit :
—
Elle a un beau cul, on la prend.
Tandis
qu'on se dirige vers une salle à manger, je lui murmure :
—
Pourquoi m'as-tu dit de montrer...
—
Tu dois me vouvoyer, si tu ne veux pas être punie ! Compris ?
—
Oui, Mademoiselle.
Oui,
je fais ce qu'elle dit. On arrive dans une salle à manger. On mange
et on boit un peu, on flirte et on baise beaucoup. La routine, quoi.
A la fin du repas, un des hommes nous dit :
—
Chantez...
Ils
nous prennent pour des geishas parce qu'on couche comme elles, mais
on n'a pas appris à jouer d'un instrument de musique ou à
chanter.
Je
réponds :
—
Pardon, Maître, mais on n'est pas des geishas, on n'a pas...
—
CHANTEZ ! Ou on vous fait fouetter !
Inutile
de discuter avec un sale type bourré, Mya-Tao me dit :
—
Tu connais "Forever to you" ?
—
Oui.
C'est une
chanson qu'on entend partout au Japon. Elle me dit :
—
A 3... 1 - 2 - 3
—
Foreveeeeerrr....
J'ai
une voix très aiguë et je chante juste. Coïncidence, Mya-Tao a la
même voix très aiguë. On dirait deux gamines prépubères qui
chantent cette chanson d'amour.
Les
hommes arrêtent de rire et de déconner pour nous écouter. A la fin
de la chanson, ils nous applaudissent. Ils ont aimé et ils sont
contents, c'est le principal. Je dois dire qu'on formait un
très beau duo. On boit encore un peu avec eux, on baise aussi... La
soirée se termine, on les reconduit à l'embarcadère. Ensuite,
Mya-Tao disparaît. Tant mieux.
***
Le
lendemain au petit déjeuner, Thaï 2 dit :
—
Mya-Tao, Cécile, ici.
Oh
! Elle m'appelle par mon vrai prénom. On va aussitôt s'incliner
devant sa table, elle nous dit :
—
Chantez !
Encore
!?! Bon... On se regarde, elle compte 1 - 2 - 3 et :
—
Foreveeeerrrrr....
Tout
le monde nous écoute... Nos voix aiguës sont belles dans cette
grande salle à manger. Quand on a fini notre chanson, on s'incline.
On est applaudies, c'est surprenant. Thaï 2 fait un petit geste de
la main que j'interprète comme "retournez à votre table".
Quand on a déjeuné, on rejoint des clients dans leurs chambres.
A
2 h de l'après-midi, une servante vient me dire :
—
Va sur le terrain d'atterrissage.
Inutile
de demander pourquoi.
Je
quitte le château et je croise des gardes et des servantes, personne
ne me demande où je vais... Vers la liberté ? Je vais
attendre sur le bord de la piste d'atterrissage. Dix minutes plus
tard, Mya-Tao arrive. Encore elle !! Et elle me dit :
—
Tu ne me salues pas ?
Elle
est tellement sûre d'elle.... que je m'incline en disant :
—
Si, Mademoiselle.
Oui,
bon.... Je devrais... lui dire que... rien, car un
hélicoptère arrive et atterrit.
Une
porte s'ouvre et une gamine saute sur le sol. Elle a l'air d'avoir 14
ans. Elle est habillée, coiffée et maquillée comme une Tokyo Idol,
ces groupes de gamines qui chantent et ont des fans chez les jeunes
et surtout chez les hommes plus âgés. Elle a une coiffure très
élaborée avec des couettes, les yeux très maquillés, une petite
bouche rouge. Elle est vêtue d'une robe très courte et décolletée,
mais avec des manches bouffantes. Aux pieds, elle a des chaussures
plates et ses bas noirs s'arrêtant (s’arrêtent) à mi-cuisse,
c’est-à-dire à une dizaine de centimètres du bas de la robe. Un
mélange de petite fille et de vamp.
Ah
oui, elle tient un ours en peluche dans une main. Entre filles, on a
l'habitude de s'examiner rapidement, j'ai noté tout ça en
quelques secondes. On s'incline à 45 °. Elle nous dit :
—
C'est vous qui chantez ?
Oh
! Elle a une voix encore plus aiguë que les nôtres ! On se redresse
et Mya-Tao répond :
—
Oui Mademoiselle.
Elle
regarde l'ours qu'elle a en main et lui demande :
—
Qu'est-ce que tu en penses, Kumasan (Monsieur Ours) ?
—
Elles sont mignonnes, mais moins que toi, ma chérie.
C'est
elle qui fait la voix de l'ours. On la regarde avec des grands yeux.
Elle dit :
—
Kumasan vous a fait un compliment, vous ne lui répondez pas
?
Mya-Tao répond
aussitôt :
—
Merci Kumasan, vous êtes très gentil et très beau.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
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