vendredi 9 décembre 2022

Maid in Japan - 15 Une assiette sale.

 Le lendemain je me lave et je remets la même robe. Je vais dans la salle à manger et j'embrasse discrètement les filles de notre groupe qui n'ont pas dormi avec des invités. Une servante fonce sur moi pour me dire :

— Toi, tu ne manges pas. Tu peux boire du café, c'est tout.
Mais, pourquoi ?? J'ai faim, moi. Inutile de poser la question. Je réponds :
— Oui, Mademoiselle.
J'ai léché cette servante et je l'ai fait jouir. Elle pourrait avoir la reconnaissance du mollusque ! Le petit déjeuner terminé, on doit attendre, dans un petit salon, les demandes des invités qui veulent une fille dans leurs chambres. Ayako qui est la chef des servantes me dit :
— Toi, à la cuisine.
Toujours pas d'explication. Des servantes et des gardes sont dans la cuisine. Je salue tout le monde. Ayako me dit :
— Enlève ta robe et mets-toi à quatre pattes sur la table, le front sur les mains.
Pourquoi ??? J'obéis. Qu'est ce qu'ils vont me faire ? Si un garde veut me baiser, il lui suffit de m'attraper, de me trousser et de m'enfiler. Ayako enfonce son doigt dans mon derrière avec un corps gras ! Eh, oh ! Ensuite, elle enfonce quelque chose dans mon anus.
— Aïïïe !
— Tais-toi !
Ils trafiquent quelque chose derrière moi et je sens un liquide m'inonder. Elles m'administrent un lavement, mais j'en ai pas besoin ! Peut-être est-ce la demande d'un client qui veut sodomiser une fille lavée de partout. Au début, c'est juste un peu désagréable et puis progressivement ça devient douloureux. Je crie :
— Aïe ! Ça fait mal Mademoiselle Ayako !
Je commence à avoir des crampes ! Pourquoi, ils me font ça ? Les crampes me tordent le ventre !

 


 

Enfin, le jet s'arrête, la servante enlève la canule mais aussitôt, elle m'enfonce un énorme truc dans le derrière.
— Aaaaaaïïïeeee !!!!
— Tu n'arrêtes pas de crier ! Tu veux un peu de fouet pour t'appendre à te taire ?
— Nnnnooonnnn Mademoiselle...
Elle me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Mets-toi debout !
Je me lève péniblement, mon ventre est énorme et j'ai des crampes. Je crie :
— Je dois aller aux toilettes !!
— Quand on te le dira !
Un des gardes dit :
— Ça m'excite de la voir avec ce gros ventre. Viens me sucer, Boy-ra.
Oh non, pas me mettre à genoux ! Une servante avance la main vers un fouet qui se trouve sur la table. En gémissant, je m'agenouille. Ouch ! On dirait que je suis enceinte de quintuplés qui me shootent dans le ventre pour sortir. Le garde a sorti son sexe, je le suce en gémissant ! Je vais m'évanouir en le suçant ! Ça doit vraiment l'exciter, car il ne faut que quelques minutes  pour qu'il jouisse. J'avale tout et il dit :
— Elle m'a bien sucé, laisse-la y aller Ayako.
Elle répond :
— D'accord, mais à quatre pattes.
Je me mets péniblement par terre et je courre, enfin, façon de parler, j’avance en gémissant jusqu'aux toilettes. Mon gros ventre ballotte sous moi. Je m'assieds. Oh merde ! j'ai un "butt plug". Je pousse en le tenant et je m'éclate presque l'anus quand il sort. Ensuite, j'expulse des litres. Quand c'est fini, je me lave un peu et je retourne à la cuisine. Ayako me dit :
— Deuxième lavement.
Je me mets à pleurer, mais bien, genre sangloter. Elle me dit :
— Sans laxatif... Allez, en position !
Je dois encore subir trois lavements, mais sans "butt plug" et moins de volume d'eau aussi. Au troisième, une servante vient voir ce que j'expulse. Elle dit :
— C'est de l'eau claire. C'est bon, on va te préparer.
Je n'ose toujours pas demander pourquoi...
On retourne dans la cuisine. Là, je dois m'étendre dans un long  plat en plastique qui fait ma taille. J'ai compris, enfin ! Ils vont me mettre de la nourriture sur le corps et des gens vont la manger... Une femme entre dans la pièce, elle est vêtue d'un joli kimono et elle est soigneusement coiffée et maquillée. Les servantes la saluent. La femme leur dit :
— Vous pouvez la préparer.
Ayako replie mes jambes, comme on fait pour langer un bébé. Elle lubrifie mon vagin. La femme lui donne un curieux instrument qui a la forme d'un oeuf assez gros, mais avec une partie qui forme un vase recourbé. Elle enfonce l'oeuf dans mon vagin, là, il n'y a pas de problème. La partie vase sort de moi, l'ouverture vers le haut. La femme me dit :
— Je pratique l'art de l'Ikebana. On va te transformer en bouquet. Tu écartes un peu les jambes et tu ne bouges pas, c'est tout.
Elle met deux jolies fleurs orange dans mon vase, suivies de feuillage délicat et de deux branches. Elle regarde, ajoute une fleur, une petite branche... Elle regarde encore, change l'ordre. Je n'ose pas relever la tête pour bien regarder, mais je vois quand même de l'art surgir de ma chatte, c'est... spécial.
Je me dis... Pourquoi suis-je tombée sur cette sorte de maffia dont je suis prisonnière, j'aurais pu être baby-sitter chez des gens raffinés, artistes. Je... m'arrête de penser, parce que la fille a fini son bouquet. Les servantes la félicitent et elle s'en va. Ayako me dit :
— Après l'Ikebana tu vas découvrir l'art du Nyotaimori. Ne bouge pas du tout.
Les filles me recouvrent de sushis, de fruits et de légumes... Je dois un peu desserrer les bras et des petites bananes émergent de mes aisselles. C'est... surréaliste. J'ai des sushis sur les seins et il en descend jusqu'à mon nombril. Elles y mettent un lychee.
Je ne vois plus ce qu'elles font, parce qu'elles déposent des rondelles de concombre sur mes paupières. Je dois tenir des fruits ou des légumes dans les mains et elles glissent même des aliments entre mes orteils.
Ayako va appeler des gardes et ils prennent le grand plat dans lequel je suis. Sans aucune secousse, ils le soulèvent et me conduisent dans une salle à manger. Là, ils me déposent sur une table et j'entends des gens dire en japonais :
— Très joli !
— Bravo. À table les amis.
J'entends aussi des voix de femmes. Je suis dans le noir tandis que des baguettes me chatouillent du cou jusqu'aux pieds. Surtout ne pas bouger ! J'imagine le scandale si je me levais en disant "Je dois pisser". J'ai soif, j'ai chaud et je transpire... La fumée des cigarettes me chatouille également le nez.
C'est long... J'ai envie de bouger, pourvu que je n'attrape pas une crampe ! Je veux rentrer chez moi ! Je pense à des choses sympas, mon évasion, un amoureux... Oh ! On enlève les rondelles de concombres que j'ai sur les paupières. J'ouvre les yeux de quelques millimètres pour voir qui me mange.

 


 

Vous serez sans doute d'accord avec moi pour dire que, pour nous, les Japonais se ressemblent tous. Ils doivent sans doute dire la même chose au sujet des Occidentaux. J'aperçois des hommes pas jeunes et des jolies filles très jeunes, logique. Je vois aussi sur l'avant-bras d'un homme, qui a relevé les manches de sa chemise, un tatouage de dragon. Ça, c'est signé le milieu ! Message bien reçu, il s'agira de ramper encore mieux qu'à l'habitude, sinon je risque des problèmes !
Ils mangent, tandis que je deviens de plus en plus nue. Ils boivent pas mal aussi, rient, flirtent... Il ne me reste plus grand-chose sur le corps, quand une fille dit d'une voix aiguë :
— Maintenant, j'ai envie de manger un dessert, daddy.
— Si tu veux ma mignonne.
Je reçois une claque sur la cuisse et un homme me dit :
— Tu dors ?
— Non, Monsieur.
— Laisse la place pour le plat suivant, lève-toi.
Les servantes m'ont dit de ne pas bouger, mais si un invité tatoué me donne un ordre, j'obéis. J'ouvre grands les yeux, c'est bien ce que j'avais aperçu : des Japonais plutôt patibulaires avec de très jolies jeunes femmes. Je sors du plat, descends de la table et je m'incline à 45 ° en disant :
— Je suis très honorée d'avoir été votre plat.
Quelques rires. Ouf ! Un homme me demande :
— C'est toi Boy-ra ?
— Oui Monsieur, à votre service.
— Montre tes fesses.
Je me retourne et me cambre un peu. Un homme dit :
— Ça c'est un cul, hein les filles ?
Les filles s'écrient : "trop grosses" et "un cul de Négresse, oui !"
Quelles connes ! Il est trop beau mon cul et puis les Blacks ont les plus beaux culs du monde !!
La nourriture qui me reste sur le corps dégouline le long de mes jambes. De plus, je dois les écarter à cause de ce bouquet dans mon vagin. Je dis à l'homme qui semble être le chef :
— Je peux retirer le vase et les fleurs Monsieur, s'il vous plaît ?
— Oui.
Je l'enlève après m'être retournée. Un des hommes demande :
— Qui veut baiser Boy-ra ?
Une fille répond :
— Qui veut baiser une assiette sale ?
Rires. Le chef me dit :
— Va prendre une douche Boy-ra et reviens rapidement.
Je m'incline à 45° avant de quitter la pièce. Je passe d'abord aux toilettes, puis je vais prendre une douche... Ça fait du bien. J'ai faim, je n'ai rien mangé depuis hier soir.
En y réfléchissant, je n'ai vu qu'un type tatoué, je pense que les autres doivent être des hommes d'affaires.
Je ne traîne pas trop, je connais ces clients, ils ne sont pas patients.
Je retourne dans la petite salle à manger. Je toque, entre et m'incline à nouveau. Oh ! Il y a une fille  couverte de desserts au milieu de la table. C'est une brune que je ne connais pas. Sur son corps, il y a des desserts, surtout occidentaux. Toutes sortes de petits gâteaux sont disposés sur elle. Beaucoup sont au chocolat, j'adore ça. Je vais près de la fille qui m'a traitée d'assiette sale pour lui demander :
— J'ai faim Mademoiselle, je peux manger, s'il vous plaît ?
Elle regarde le gros homme qui est le chef, comme je pensais. Il hoche la tête. Elle me dit :
— Vas-y, petite.
Une des filles est assise sur les genoux d'un homme, sa place est libre. Je m'incline et je m'assieds prudemment en regardant si personne ne râle. Ça va les hommes discutent ou flirtent.
Je regarde le plat, c'est-à-dire la brune nue couverte des desserts. C'est très amusant, surtout quand on n'est pas couché à sa place. Elle a des biscuits ronds sur les paupières. Je prends un petit gâteau au chocolat qui est en dessous de ses seins et je le dévore. Le chocolat, c'est trop bon. Les gens picorent, moi je dévore. Après les gâteaux, je trempe des langues de chat dans la glace à la framboise qui est occupé de fondre sur sa chatte. J'ajoute un peu de crème fraîche, mmmmhhh ! C'est bon. Là, je me rends compte que tout le monde me regarde. Je dis :
— Je... j'ai demandé si je pouvais...
Une fille répond :
— On regarde le fauve dévorer.
— Pardon, je...
Le chef me dit :
— Mange directement sur elle, sans les mains.
Je les amuse et ils veulent du spectacle. Je mange la glace à la framboise carrément sur sa chatte et je poursuis même entre ses cuisses. Ils rient... cool... J'embrasse la fille sur la bouche, je passe d'une paire de lèvres à l'autre. Je n'ai plus trop faim, mais puisque ça les amuse, je lèche ses pieds recouverts de chantilly. Un homme me dit :
— Faites 69.
Les autres approuvent, bonne idée. Ils sont bourrés, donc partants pour n'importe quelle connerie. Je m'accroupis sur le visage de la fille aux desserts, on ne lui a rien mis dans les oreilles et elle a bien compris, sa langue vient frétiller dans la région de mon clitoris. Je relève ses cuisses et je lèche sa chatte aussi. Sa chatte sent bon la fille et la glace à la framboise, j'aime les deux. Je continuerais bien à la lécher et à me faire lécher, mais un homme dit :
— Je vais a... arroser ces petites salopes.
Ils sont tous partants. Oh merde ! Ils vont remettre ça avec un buk... kake. Tous les hommes viennent autour de nous. L'un d'eux dit :
— Faut les foutre par terre, c'est trop difficile de les atteindre sur la table.
C'est toi qu'on devrait foutre par la fenêtre, connard ! Je reçois une bonne claque sur les fesses, tandis qu'on me dit :
— Debout !
D'accord, je remets ma langue dans ma bouche, la fille aussi et on se décolle. On se met toutes les deux sur nos pieds. J'aide la fille qui est ankylosée d'être restée si longtemps immobile. Elle a des restes d'aliments sur le corps, moi aussi. Je remarque le koï de la marque au fer rouge sur sa fesse. Le chef nous dit :
— Toutes les deux, couchées face à face.
On s'allonge dans le plat qui est assez étroit, collées l'une à l'autre. La fille me murmure :
— Qu'est-ce qu'ils vont nous faire ??
— Jouir sur nous.


À suivre

Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

  

Bruce Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage."


Ils sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search

 
   



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