Le lendemain je me lave et je remets la même robe. Je vais dans la salle à manger et j'embrasse discrètement les filles de notre groupe qui n'ont pas dormi avec des invités. Une servante fonce sur moi pour me dire :
— Toi, tu ne manges pas. Tu peux boire du
café, c'est tout.
Mais, pourquoi ?? J'ai faim, moi. Inutile de
poser la question. Je réponds :
— Oui, Mademoiselle.
J'ai
léché cette servante et je l'ai fait jouir. Elle pourrait avoir la
reconnaissance du mollusque ! Le petit déjeuner terminé, on doit
attendre, dans un petit salon, les demandes des invités qui veulent
une fille dans leurs chambres. Ayako qui est la chef des servantes me
dit :
— Toi, à la cuisine.
Toujours pas d'explication.
Des servantes et des gardes sont dans la cuisine. Je salue tout le
monde. Ayako me dit :
— Enlève ta robe et mets-toi à quatre
pattes sur la table, le front sur les mains.
Pourquoi ???
J'obéis. Qu'est ce qu'ils vont me faire ? Si un garde veut me
baiser, il lui suffit de m'attraper, de me trousser et de m'enfiler.
Ayako enfonce son doigt dans mon derrière avec un corps gras ! Eh,
oh ! Ensuite, elle enfonce quelque chose dans mon anus.
—
Aïïïe !
— Tais-toi !
Ils trafiquent quelque chose
derrière moi et je sens un liquide m'inonder. Elles m'administrent
un lavement, mais j'en ai pas besoin ! Peut-être est-ce la demande
d'un client qui veut sodomiser une fille lavée de partout. Au début,
c'est juste un peu désagréable et puis progressivement ça devient
douloureux. Je crie :
— Aïe ! Ça fait mal Mademoiselle
Ayako !
Je commence à avoir des crampes ! Pourquoi, ils me
font ça ? Les crampes me tordent le ventre !
Enfin,
le jet s'arrête, la servante enlève la canule mais aussitôt, elle
m'enfonce un énorme truc dans le derrière.
— Aaaaaaïïïeeee
!!!!
— Tu n'arrêtes pas de crier ! Tu veux un peu de fouet
pour t'appendre à te taire ?
— Nnnnooonnnn
Mademoiselle...
Elle me donne une bonne claque sur les fesses en
disant :
— Mets-toi debout !
Je me lève péniblement,
mon ventre est énorme et j'ai des crampes. Je crie :
— Je
dois aller aux toilettes !!
— Quand on te le dira !
Un
des gardes dit :
— Ça m'excite de la voir avec ce gros
ventre. Viens me sucer, Boy-ra.
Oh non, pas me mettre à
genoux ! Une servante avance la main vers un fouet qui se trouve
sur la table. En gémissant, je m'agenouille. Ouch ! On dirait que
je suis enceinte de quintuplés qui me shootent dans le ventre pour
sortir. Le garde a sorti son sexe, je le suce en gémissant ! Je
vais m'évanouir en le suçant ! Ça doit vraiment l'exciter, car
il ne faut que quelques minutes pour qu'il jouisse. J'avale
tout et il dit :
— Elle m'a bien sucé, laisse-la y aller
Ayako.
Elle répond :
— D'accord, mais à quatre
pattes.
Je me mets péniblement par terre et je courre, enfin,
façon de parler, j’avance en gémissant jusqu'aux toilettes. Mon
gros ventre ballotte sous moi. Je m'assieds. Oh merde ! j'ai un
"butt plug". Je pousse en le tenant et je m'éclate presque
l'anus quand il sort. Ensuite, j'expulse des litres. Quand c'est
fini, je me lave un peu et je retourne à la cuisine. Ayako me dit
:
— Deuxième lavement.
Je me mets à pleurer, mais bien,
genre sangloter. Elle me dit :
— Sans laxatif... Allez, en
position !
Je dois encore subir trois lavements, mais sans
"butt plug" et moins de volume d'eau aussi. Au troisième,
une servante vient voir ce que j'expulse. Elle dit :
— C'est
de l'eau claire. C'est bon, on va te préparer.
Je n'ose
toujours pas demander pourquoi...
On retourne dans la cuisine.
Là, je dois m'étendre dans un long plat en plastique qui fait
ma taille. J'ai compris, enfin ! Ils vont me mettre de la
nourriture sur le corps et des gens vont la manger... Une femme entre
dans la pièce, elle est vêtue d'un joli kimono et elle est
soigneusement coiffée et maquillée. Les servantes la saluent. La
femme leur dit :
— Vous pouvez la préparer.
Ayako replie
mes jambes, comme on fait pour langer un bébé. Elle lubrifie mon
vagin. La femme lui donne un curieux instrument qui a la forme d'un
oeuf assez gros, mais avec une partie qui forme un vase recourbé.
Elle enfonce l'oeuf dans mon vagin, là, il n'y a pas de problème.
La partie vase sort de moi, l'ouverture vers le haut. La femme me dit
:
— Je pratique l'art de l'Ikebana. On va te transformer en
bouquet. Tu écartes un peu les jambes et tu ne bouges pas, c'est
tout.
Elle met deux jolies fleurs orange dans mon vase, suivies
de feuillage délicat et de deux branches. Elle regarde, ajoute une
fleur, une petite branche... Elle regarde encore, change l'ordre. Je
n'ose pas relever la tête pour bien regarder, mais je vois quand
même de l'art surgir de ma chatte, c'est... spécial.
Je me
dis... Pourquoi suis-je tombée sur cette sorte de maffia dont je
suis prisonnière, j'aurais pu être baby-sitter chez des gens
raffinés, artistes. Je... m'arrête de penser, parce que la fille a
fini son bouquet. Les servantes la félicitent et elle s'en va. Ayako
me dit :
— Après l'Ikebana tu vas découvrir l'art du
Nyotaimori. Ne bouge pas du tout.
Les filles me recouvrent de
sushis, de fruits et de légumes... Je dois un peu desserrer les bras
et des petites bananes émergent de mes aisselles. C'est...
surréaliste. J'ai des sushis sur les seins et il en descend jusqu'à
mon nombril. Elles y mettent un lychee.
Je ne vois plus ce
qu'elles font, parce qu'elles déposent des rondelles de concombre
sur mes paupières. Je dois tenir des fruits ou des légumes dans les
mains et elles glissent même des aliments entre mes orteils.
Ayako
va appeler des gardes et ils prennent le grand plat dans lequel je
suis. Sans aucune secousse, ils le soulèvent et me conduisent dans
une salle à manger. Là, ils me déposent sur une table et j'entends
des gens dire en japonais :
— Très joli !
— Bravo. À
table les amis.
J'entends aussi des voix de femmes. Je suis dans
le noir tandis que des baguettes me chatouillent du cou jusqu'aux
pieds. Surtout ne pas bouger ! J'imagine le scandale si je me
levais en disant "Je dois pisser". J'ai soif, j'ai chaud et
je transpire... La fumée des cigarettes me chatouille également le
nez.
C'est long... J'ai envie de bouger, pourvu que je n'attrape
pas une crampe ! Je veux rentrer chez moi ! Je pense à des
choses sympas, mon évasion, un amoureux... Oh ! On enlève les
rondelles de concombres que j'ai sur les paupières. J'ouvre les yeux
de quelques millimètres pour voir qui me mange.
Vous
serez sans doute d'accord avec moi pour dire que, pour nous, les
Japonais se ressemblent tous. Ils doivent sans doute dire la même
chose au sujet des Occidentaux. J'aperçois des hommes pas jeunes et
des jolies filles très jeunes, logique. Je vois aussi sur
l'avant-bras d'un homme, qui a relevé les manches de sa chemise, un
tatouage de dragon. Ça, c'est signé le milieu ! Message bien
reçu, il s'agira de ramper encore mieux qu'à l'habitude, sinon je
risque des problèmes !
Ils mangent, tandis que je deviens de
plus en plus nue. Ils boivent pas mal aussi, rient, flirtent... Il ne
me reste plus grand-chose sur le corps, quand une fille dit d'une
voix aiguë :
— Maintenant, j'ai envie de manger un dessert,
daddy.
— Si tu veux ma mignonne.
Je reçois une claque
sur la cuisse et un homme me dit :
— Tu dors ?
— Non,
Monsieur.
— Laisse la place pour le plat suivant,
lève-toi.
Les servantes m'ont dit de ne pas bouger, mais si un
invité tatoué me donne un ordre, j'obéis. J'ouvre grands les yeux,
c'est bien ce que j'avais aperçu : des Japonais plutôt patibulaires
avec de très jolies jeunes femmes. Je sors du plat, descends de la
table et je m'incline à 45 ° en disant :
— Je suis très
honorée d'avoir été votre plat.
Quelques rires. Ouf ! Un
homme me demande :
— C'est toi Boy-ra ?
— Oui Monsieur,
à votre service.
— Montre tes fesses.
Je me retourne et
me cambre un peu. Un homme dit :
— Ça c'est un cul, hein les
filles ?
Les filles s'écrient : "trop grosses" et "un
cul de Négresse, oui !"
Quelles connes ! Il est trop
beau mon cul et puis les Blacks ont les plus beaux culs du monde
!!
La nourriture qui me reste sur le corps dégouline le long de
mes jambes. De plus, je dois les écarter à cause de ce bouquet dans
mon vagin. Je dis à l'homme qui semble être le chef :
— Je
peux retirer le vase et les fleurs Monsieur, s'il vous plaît ?
—
Oui.
Je l'enlève après m'être retournée. Un des hommes
demande :
— Qui veut baiser Boy-ra ?
Une fille répond
:
— Qui veut baiser une assiette sale ?
Rires. Le chef me
dit :
— Va prendre une douche Boy-ra et reviens rapidement.
Je
m'incline à 45° avant de quitter la pièce. Je passe d'abord aux
toilettes, puis je vais prendre une douche... Ça fait du bien. J'ai
faim, je n'ai rien mangé depuis hier soir.
En y réfléchissant,
je n'ai vu qu'un type tatoué, je pense que les autres doivent être
des hommes d'affaires.
Je ne traîne pas trop, je connais ces
clients, ils ne sont pas patients.
Je retourne dans la petite
salle à manger. Je toque, entre et m'incline à nouveau. Oh ! Il y
a une fille couverte de desserts au milieu de la table. C'est
une brune que je ne connais pas. Sur son corps, il y a des desserts,
surtout occidentaux. Toutes sortes de petits gâteaux sont disposés
sur elle. Beaucoup sont au chocolat, j'adore ça. Je vais près de la
fille qui m'a traitée d'assiette sale pour lui demander :
—
J'ai faim Mademoiselle, je peux manger, s'il vous plaît ?
Elle
regarde le gros homme qui est le chef, comme je pensais. Il hoche la
tête. Elle me dit :
— Vas-y, petite.
Une des filles est
assise sur les genoux d'un homme, sa place est libre. Je m'incline et
je m'assieds prudemment en regardant si personne ne râle. Ça va les
hommes discutent ou flirtent.
Je regarde le plat, c'est-à-dire
la brune nue couverte des desserts. C'est très amusant, surtout
quand on n'est pas couché à sa place. Elle a des biscuits ronds sur
les paupières. Je prends un petit gâteau au chocolat qui est en
dessous de ses seins et je le dévore. Le chocolat, c'est trop bon.
Les gens picorent, moi je dévore. Après les gâteaux, je trempe des
langues de chat dans la glace à la framboise qui est occupé de
fondre sur sa chatte. J'ajoute un peu de crème fraîche, mmmmhhh !
C'est bon. Là, je me rends compte que tout le monde me regarde. Je
dis :
— Je... j'ai demandé si je pouvais...
Une fille
répond :
— On regarde le fauve dévorer.
— Pardon,
je...
Le chef me dit :
— Mange directement sur elle, sans
les mains.
Je les amuse et ils veulent du spectacle. Je mange la
glace à la framboise carrément sur sa chatte et je poursuis même
entre ses cuisses. Ils rient... cool... J'embrasse la fille sur la
bouche, je passe d'une paire de lèvres à l'autre. Je n'ai plus trop
faim, mais puisque ça les amuse, je lèche ses pieds recouverts de
chantilly. Un homme me dit :
— Faites 69.
Les autres
approuvent, bonne idée. Ils sont bourrés, donc partants pour
n'importe quelle connerie. Je m'accroupis sur le visage de la fille
aux desserts, on ne lui a rien mis dans les oreilles et elle a bien
compris, sa langue vient frétiller dans la région de mon clitoris.
Je relève ses cuisses et je lèche sa chatte aussi. Sa chatte sent
bon la fille et la glace à la framboise, j'aime les deux. Je
continuerais bien à la lécher et à me faire lécher, mais un homme
dit :
— Je vais a... arroser ces petites salopes.
Ils
sont tous partants. Oh merde ! Ils vont remettre ça avec un buk...
kake. Tous les hommes viennent autour de nous. L'un d'eux dit :
—
Faut les foutre par terre, c'est trop difficile de les atteindre sur
la table.
C'est toi qu'on devrait foutre par la fenêtre,
connard ! Je reçois une bonne claque sur les fesses, tandis qu'on
me dit :
— Debout !
D'accord, je remets ma langue dans
ma bouche, la fille aussi et on se décolle. On se met toutes les
deux sur nos pieds. J'aide la fille qui est ankylosée d'être restée
si longtemps immobile. Elle a des restes d'aliments sur le corps, moi
aussi. Je remarque le koï de la marque au fer rouge sur sa fesse. Le
chef nous dit :
— Toutes les deux, couchées face à face.
On
s'allonge dans le plat qui est assez étroit, collées l'une à
l'autre. La fille me murmure :
— Qu'est-ce qu'ils vont nous
faire ??
— Jouir sur nous.
À suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage."
Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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