mercredi 23 novembre 2022

Maid in Japan - 14 Au pilori.

 

Les invités qui savent qui je suis me retiennent, ou plus exactement, ils me louent. Je suppose qu'ils voient des photos et des vidéos sur le site du « Palais des 1000 Délices », qu'on appelle entre nous « Le Palais des 1000 Sévices » ! Peut-être suis-je aussi sur « International Porn » ou un autre site porno...
En cette fin d'après-midi, c'est un couple qui m'a retenue. On m'a montré une photo pour que sois capable de les identifier et que je puisse aller à leur rencontre. Ils sont bien physiquement, ça me changera. Des invités débarquent du bateau et montent l'escalier, ensuite, ils doivent encore traverser le pont. Je ne vois pas de couple arriver. Ah si, un couple que je reconnais plus ou moins, mais ils sont suivis d'une esclave nue ou plutôt de leur chienne, puisqu'elle est en laisse et qu'elle marche à quatre pattes. C'est sa maîtresse qui tient la laisse. La chienne n'est plus jeune, je dirais environ 7 ans d'âge de chienne, ce qui fait 49 ans pour une femme. Elle a des piercings au bout des seins ainsi qu’au sexe, et même des traces de fouet sur les jambes et les fesses. Que fait la SPA ?!

 


 

Je vais vite à leur rencontre dans un envol de robe légère qui dévoile mon pubis "impubère". Je leur dis :
— Bienvenue, Madame, Monsieur. Je m'appelle Boy-ra et je suis à votre service.
C'est la femme qui répond :
— Bonjour Boy-ra, on t'a retenue ainsi que la salle du Dragon Écarlate.
— Certainement, si vous voulez bien me suivre.
L'homme intervient, il a un léger accent :
— Tu peux nous parler en français.  
— Avec plaisir, Monsieur.
Ici, quand on n'a pas affaire à des Japonais, tout se fait en anglais.
Deuxième envol de robe, qui dévoile mes fesses qui ne sont vraiment pas impubères, elles ressemblent à des fesses de Black particulièrement bien pourvue à ce niveau-là !
L'homme a une trentaine d'années, la femme un peu plus, je pense. Ils sont séduisants tous les deux.
On arrive dans la salle où un Dragon Écarlate décore un des murs. Il y a un divan, une table, des chaises et... un pilori. Oh putain ! Pourvu que ce ne soit pas pour moi. Je jette un regard apeuré au couple, l'homme le remarque et me dit :
— Notre chienne n'est pas obéissante, elle refuse parfois de se laisser monter par qui on veut, nous sommes obligés de lui donner une leçon.
Ça doit être rare à mon avis, parce qu'elle a l'air rudement bien dressée, la petite chienne ! La femme poursuit :
— Elle va passer la soirée et la nuit immobilisée dans ce pilori. Qu'est-ce que tu en penses, Boy-ra ?
Aïe ! Que répondre ? Je vais dans son sens :
— Je pense que ses maîtres ont tous les droits et qu'il faut régulièrement corriger les chiens et les esclaves
— Bien... Je m'appelle Sophie, mon compagnon se nomme Marc, mais pour toi ce sera Maître et Maîtresse.
—  Oui, Maîtresse.  Vous êtes un très beau couple, je suis ravie d'être à votre service.
— Notre chienne c'est Coralie. Viens me déshabiller.
— Oui Maîtresse.
Un haussement d'épaules et ma robe s'envole... J'exagère à peine. Le couple se déshabille aussi et s'installe sur le divan, l'un à côté de l'autre. Sophie me dit :
— Va la placer dans le pilori.
— Oui Maîtresse.
Ce pilori est de profil par rapport au canapé, de façon à voir le visage de celle qui est devant, d'un côté, et ses fesses de l'autre.
Je n'aime pas faire ça, mais impossible de dire non ! Je soulève la partie supérieure de l’engin. Coralie met aussitôt ses poignets et son cou dans les demi-cercles. Après avoir redescendu la partie supérieure, je la bloque : elle est prisonnière ! Ensuite, j'attache ses chevilles aux pieds du bâti. Cette position est à la fois révélatrice et très inconfortable. Je vais près du couple qui se caresse sur le divan. Marc me dit :
— On attend Atu, le garde. Installe-toi entre nous.
Je suis contente de m'éloigner de ce pilori qui me donne la chair de poule... On se caresse un peu mais visiblement, ils ont autre chose en tête. Quelqu'un toque, c'est le garde. Marc lui dit :
— À toi l'honneur Atu.
Je le connais, c'est un grand mec pas commode. Il se déshabille et va brandir son sexe sous le nez de Coralie. En bonne chienne, soumise malgré ce que disent ses maîtres, elle le lèche aussitôt. Dès que le sexe d’Atu est dressé, il l'enfonce dans sa bouche. Il lui baise carrément la bouche, c'est obscène ! Mais qu'est-ce qui ne l'est pas ici ? Ensuite il se retire, va de l'autre côté et s’enfonce dans la vulve de la petite chienne qui pousse un cri, puis des gémissements. Et pas de plaisir, je vous assure.

  


Il jouit en elle, puis repasse côté visage pour nettoyer sa bite dans la bouche de Coralie. Voilà...

Il revient vers nous en remettant sa bite qui dodeline dans son pantalon. Marc ouvre une jolie boîte en laque qui est à côté de lui. Il en sort plusieurs billets – des dollars, je pense – en disant :
— Envoie-moi des hommes, ils recevront 50 $ chacun et toi 10 $ de plus par personne.
Oh putain ! C'est beaucoup. Qu'est-ce qu'il est généreux !! Je tendrais bien la main pour recevoir quelques billets... Oui, mais qu'est ce que j'en ferais ? N'empêche, il est généreux. Atu répond :
— C'est très généreux, Monsieur.
Ah ! Qu'est-ce que je disais ! Il poursuit :
— Dites, pour le moment, il y a des journaliers qui cueillent les fruits. Ils viennent de Birmanie. Vous voulez qu'ils participent ?
— Super idée.
— Mais ils ne sont pas spécialement propres Ils ont travaillé toute la journée dans les champs...
C'est Sophie qui répond :
— Parfait. La petite chienne nettoiera leurs bites.
Ils rient tous les trois, moi pas. Atu leur annonce :
— J'envoie les gardes deux par deux, ensuite les journaliers.
— Parfait.
Deux gardes arrivent, ils saluent le couple, puis "bouchent" la petite chienne des deux côtés. Avec une bite dans la bouche, elle gémit moins. Tant mieux, c'était agaçant. Sophie me dit :
— Lèche-moi...
Je me glisse aussitôt entre ses cuisses. Elle les écarte bien, en mettant une jambe sur Marc. Je commence à la lécher. Oh ! Qu'est-ce qu'elle mouille ! Ça lui plaît vraiment de tourmenter sa petite chienne.
Le fait de lécher me fait rater le spectacle, les gardes continuent d'arriver deux par deux, ils baisent et ils sont payés, suivants... Au bout d'un moment, Sophie me dit :
— Arrête. Lèche Marc.
Je passe à côté, c'est très différent, lécher une femme ou un homme ! Oui, vous êtes au courant, je m'en doute. Chez une femme, tout est secret, humide, caché... Un homme, sa bite vous bondit au nez et ses couilles sur la bouche. J'aime les deux, même si j'ai une préférence. Le bout du sexe de Marc est également mouillé... Je crois que la situation lui plaît beaucoup. Son sexe est imposant, sûr de lui, dominateur : le sexe d'un homme riche. J'embrasse ses couilles, puis je lèche la hampe de son membre. Il aime et me caresse la tête comme si j'étais une deuxième petite chienne. Je dégage le gland en tirant sur la peau. Même là, il a une légère odeur de savon, c'est agréable ! Pendant que je le suce, il embrasse Sophie sur la bouche, les seins...
Évidemment, on ne peut pas sucer une bite et voir le spectacle en même temps. Je l'entends... la petite chienne pousse toujours des gémissements et des petits cris, quand elle n'a pas la bouche pleine. Elle est très bruyante, cette petite bête. Ni Marc ni sa compagne n'ont envie de jouir, normal, ils veulent profiter le spectacle jusqu'au bout.
Je suis à nouveau entre eux d'eux et je regarde un jeune homme enculer la petite chienne... il doit avoir une bite énorme, à entendre ses gémissements.
Atu, le garde qui touche 10 $ sur chaque participant, annonce :
— C'était le dernier, je fais venir les journaliers.
Marc répond :
— Oui, on a hâte de les voir.
Puis à moi :
— Sers-nous à boire.
Je remplis leurs verres. Un petit groupe entre dans la pièce. Ils ont des vêtements sales et ils ne sont pas appétissants. Il y a une douzaine d'hommes et une seule femme, mais celle-là est très jolie ! Qu'est-ce qu'elle vient faire ici ? Atu répond à la question que je n'ai pas posée :
— Cette jeune fille parle leur langue.
Elle salue à l'indienne, les mains jointes entre les seins, et dit :
— Je m'appelle Mya Tao et je suis à votre service.
Sophie répond :
— Tu es très jolie, Mya Tao.
C'est vrai. Elle a une peau ambrée, des grands yeux noirs, un petit nez, des lèvres pulpeuses... Elle pourrait être une star à Bollywood ! Elle répond :
— Merci, Maîtresse. Les hommes peuvent-ils commencer ?
— Oui.
Les journaliers ont de 18 à 78 ans, ils ont tous cueilli des fruits sous le soleil toute la journée, ainsi que les jours précédents.
Comme à son habitude, Marc a sorti une liasse de billets pour en donner aux hommes. Sophie lui demande :
— Si on donnait à ces hommes une jeune fille plus appétissante ?
— Très bonne idée.
Je crie :
— Oh non ! Maîtresse !
— Oh, si Boy-ra ! Avec ou sans fouet ?
— Sans, Maîtresse
— Alors, tu vas remplacer la petite chienne qui a le poil tout collé. Mya Tao, tu veux bien la détacher et la remplacer par celle-ci ?
— Certainement, Maîtresse.
Elle me fait signe de venir et dit sèchement :
— Aide-moi !
Très jolie, mais pas sympa, la fille. On lève la partie supérieure du pilori, la petite chienne se redresse en gémissant, comme à son habitude. Elle se frotte le cou, puis les reins. On détache ses chevilles et elle va vers ses maîtres en tremblant un peu sur ses pattes. Sophie lui dit :
— Va vite te laver, tu es dégoûtante.
Assez brutalement, Mya Tao m'emprisonne dans le pilori. Elle me donne quelques claques sur les fesses en disant :
— Quel cul elle a, cette esclave !
Je l'aime pas du tout, cette fille. Elle rejoint le couple sur le divan et je suppose qu'elle se déshabille.
La douzaine de journaliers se déshabillent aussi et je me retrouve aussitôt avec une bite enfoncée dans le cul ! Je crie comme la première petite chienne venue, jusqu'à ce qu'un autre me mette son sexe dans la bouche. Faut pas que je panique ! Ils sont douze, ce n'est pas le bout du monde pour Boy-ra. Pour dédramatiser la situation, j'imagine... Un jour, ces lignes seront publiées et je dirai au lecteur « être baisée par une douzaine d'hommes, ce n'est pas si dur, demandez à votre femme ce qu'elle en pense quand il y a une réunion à son bureau, le vendredi soir ». Ça me détend, imaginer ce genre de conneries.
— Aïïïee !
Un homme vient de m'enfoncer une bite vraiment grosse dans le cul ! Les Journaliers sont ravis, ils gagnent de l'argent et ils peuvent baiser une jolie fille avec un super cul... Ils parlent, rient et me donnent des claques les fesses, avant de me prendre par tous les trous ! Certains sont doués, ils me serrent les fesses jusque ce qu'il faut en me baisant. Et, oui, à cause des drogues qu'ils nous donnent ici, je jouis deux fois. Quand ils se sont tous vidés en moi, le garde Atu vient me libérer de ma prison, tandis que Sophie me dit :
— Va prendre une douche, tu pues.
Oh ! C'est curieux... Je sors de la pièce et je vais d'abord dans les toilettes faire pipi et expulser tous les liquides qui sont en moi. Le sperme que j'ai avalé, je le digérerai.
J'ai les pattes qui tremblent comme la petite chienne. Cette position au pilori est vraiment pénible, alors que je n'y suis resté qu'une heure au lieu de dix, quand c'est une punition ! Je prends une douche et je me lave soigneusement. Je reste un bon moment sous l'eau tiède et je me nettoie à fond...
Quand je retourne dans la pièce, Marc, Sophie et leur petite chienne ont disparu. Par contre, Mya Tao parle avec les Thaïs. Mais qu'est-ce qu'elles font ici ? Je m'incline à 45 °. L'une d'elles, disons Thaï 1, me lance :
— Va attendre les invités !
— Oui Mademoiselle.
Je veux juste retrouver ma vie d'avant, avec mes parents, reprendre mes études...

À suivre


Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.

  
 
Bruce Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage."
Ils sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
 


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