Ils
se mettent tous à se masturber. Heureusement que je me balade dans
les vignes de Bouddha, parce que dix fonctionnaires saouls qui
s'astiquent le rouleau de printemps en même temps au-dessus de
vous... ça fait peur !
—
Plaaaf !
Une
grosse giclée de sperme vient de tomber mollement sur ma bouche et
mon nez ! C'est le chef qui vient de jouir sur mon visage !
Les autres le félicitent, je ne vois vraiment pas de quoi. Comme il a donné le feu vert, aussitôt, d’autres saccades de sperme m'arrivent sur tout le corps. En prévision de cette soirée de Bukkake, ils ont dû arrêter tous rapports sexuels depuis des mois, parce qu'ils me balancent des décilitres de foutres, de la tête aux pieds ! Le dernier a visé mon sein gauche.
Maintenant
saké, puis douche ! Vite, s'il vous plaît ! Non ! Le chef
demande :
— Des
amateurs pour la baiser ?
—
Moi, moi, moi !
Ils
se sont shootés avec des aphrodisiaques pour rebander aussi vite à
leur âge ! Ici, je voudrais faire une petite parenthèse : j'écris
ce livre à la demande de mon Maître. Dieu sait ce qu'il en fera,
mais s'il le publie, j'imagine très bien une lectrice pinçant les
ailes de son nez délicat en lisant ce qui va suivre. Normal, mais...
je mets quiconque au défi de décrire d'une façon détaillée un
« Bukkake » sans déraper... dans le sperme, bien sûr.
J'imagine tout ça couchée dans la petite piscine, c'est la faute au
saké.
Un des
hommes se couche sur moi en se tenant aux bords de la piscine, pour
ne pas glisser. Je lève les jambes pour qu'il puisse enfoncer son
sexe dans ma chatte. Ses collègues l'encouragent. Il prend son
temps, change de rythme, caresses mes seins, embrasse ma bouche
collante. Il glisse ses mains sous moi et empoigne mes fesses. Je
suis sensible quand on m'attrape par les fesses... Enfin, je le sais
depuis mon arrivée ici. Je me dis : "Mais où ça va, tout
ça ?" Je ferme les yeux, je me laisse aller... et puis :
—
Oooh, ouiiiii... je jouiiiiis.
Hé
oui, mon nouveau nom est Hi No Naka (en feu). Grâce au saké, je
m'en fous de tout ce qu'on va me dire. Il jouit en moi... Allez, le
plus vicieux du groupe m'a baisée dans le sperme de ses collègues,
c'est fini ? Non ! À tour de rôle, ils vont tous me passer
dessus. Ma chatte déborde et j'ai l'impression que du sperme va me
sortir par les narines. Le dernier, qui est à nouveau le chef, me
dit :
— Mets-toi
à quatre pattes, Boy-ra.
Il
vient à genoux derrière moi et enfonce son petit sexe dans ma
chatte. Alors là, je ne sens absolument rien. Lui non plus, sans
doute, car il sort son petit engin et me l'enfonce dans le cul ! Je
ne le sens pas beaucoup plus, mais lui, il aime et ça le fait jouir
rapidement. Non, moi je ne jouis pas... mais je dois bien avouer que
j'ai pris trois fois mon pied pendant ce Bukkake.
Le
chef sort de la piscine. Je m'apprête à faire pareil, mais il me
dit :
— Couchée,
Boy-ra ! Sur le dos.
Ils
viennent tous se mettre autour de moi. Ils ne vont quand même pas
recommencer à me jouir dessus ?! Le chef me dit :
—
Ferme les yeux et ouvre la bouche. Et avale, sinon "Hall of
pain" !
Non,
pas ça ! Je ferme les yeux et ils me pissent dessus !! Je reçois
une douche chaude et malodorante. Si vous pensez "C'est
dégoûtant !" je suis 100 % d'accord avec vous. J'avale...
Vivement que leurs vessies soient vides.
Le
chef me dit :
—
C'est fini, on va aller se laver.
Oh
la bonne idée ! Il ajoute :
—
Mais avant ça, on va boire à la santé de Boy-ra.
Deuxième
bonne idée. Une servante a dû apporter deux autres bouteilles de
Saké, pendant que j'étais sous un tsunami de liquides divers. Je me
relève en me tenant aussi au bord, car la piscine est devenue super
glissante, et moi aussi. Tous les hommes ont un appareil photo en
main. Ils vont certainement faire des superbes clichés de moi toute
dégoulinante.
Cette
fois-ci, je reçois un verre entier... On lève tous notre verre. Ils
lancent :
—
Kampaï ! Kampaï ! (santé)
Mmmmh...
Ça fait du bien. Après avoir bu, on se dirige tous vers les
douches. On se lave et plusieurs d'entre eux viennent me savonner.
Ils ne sont pas si teigneux que ça, ces fonctionnaires. Il faut dire
que je suis bien éméchée... et eux aussi.
Une
fois propres, on retourne dans la pièce. Deux servantes terminent de
tout ranger et de nettoyer. Bien fait ! Ce dont elles s'occupent,
on ne doit pas le faire. On se rhabille, eux en costume, moi dans ma
robe si légère que les battements d'ailes d'un papillon la fait
s'envoler.
On
s'embrasse. Le chef me dit :
—
On va te donner cinq étoiles, Boy-ra.
—
Merci beaucoup Monsieur, et merci pour le saké.
Cinq
étoiles, comme un hôtel ou un restaurant, je ne savais pas qu'on
était cotées. Ils s'en vont, mais ce sera pour mieux revenir, dès
qu'ils auront les couilles bien pleines... C'est eux qui le disent.
Je pars à la recherche de Madame Haroe. En voyant une servante, je
m'incline devant elle avant de lui demander :
—
Pourriez-vous me dire où se trouve Madame Haroe ? S'il vous plaît,
Mademoiselle.
Oui,
je suis très polie avec les servantes. Elle répond :
—
Cuisine.
— Merci
Mademoiselle.
Erreur,
Madame Haroe n'est pas à la cuisine. Je m'incline devant les
servantes, en faisant attention de ne pas me casser la figure à
cause du saké et je leur dis :
—
Je devrais voir Madame Haroé, Mesdemoiselles.
Une
toute jeune servante japonaise me répond :
—
Elle n'est pas là. Qu'est-ce que tu lui veux ?
—
Je pourrais aller faire un tour dans le jardin, s'il vous plaît...
Je
vois bien qu'elles vont jouer avec moi, mais je n'ai pas le choix.
J'ajoute :
—
J'ai été obligée de satisfaire dix invités, ce n'était pas
facile et...
Elle
me coupe :
— Et
tu as bu beaucoup de saké et pris ton pied trois fois.
—
C'est vrai, Mademoiselle, mais...
—
Tu vas le demander très, très humblement à chacune de nous.
Ensuite, on décidera si on te permet d'aller te balader ou si ce
sera dix heures de pilori pour dessaouler !
Garces !!
Elles n'ont sûrement pas le droit... mais je n'ose pas prendre le
risque qu'elle m'accuse d'insolence ou de quelque chose dans ce
genre-là. Je lui dis :
—
Mademoiselle, voudriez-vous avoir la bonté de....
—
Demande-le plus humblement.
Je
me mets à genoux devant elle et je me baisse complètement pour
embrasser ses chevilles et ses orteils dans ses sandales. Elle dit
aux autres servantes :
—
Elle fait ça bien, Boy-ra. J'ai envie qu'elle me lèche...
—
Vas-y Mae, tu sais bien qu'elles doivent nous obéir.
Elle
me demande :
—
Tu as entendu ? Je suis sûre que tu as envie de me lécher.
—
J'en serais ravie, Mademoiselle Mae.
C'est
vrai : marre des bites et puis cette fille est jolie. Elle a l'air
tellement sûre d'elle pour une fille aussi jeune. Les autres
servantes trouvent amusante sa façon de me traiter. Le Prince et les
Thaïs ont trouvé malin de nous obliger à obéir aux servantes...
Elle me dit :
—
Enlève ta robe pour qu'elle reste propre, puis déshabille-moi !
Ma
robe, c'est vite fait. Ensuite je descends son pantalon jusqu'à ses
chevilles et elle l'enlève complètement. Je suis en face de sa
chatte, en fait à peine un renflement à la base de son pubis, aussi
lisse qu'une assiette de porcelaine. Je l'embrasse.
Je
n'avais jamais fait ça avant de venir ici... D'ailleurs, je n'avais
jamais joui aussi vite non plus. Ce n'est pas normal, ils doivent
nous donner des excitants en douce ! Mae s'est assise sur une
chaise, jambes écartées. Elle me donne une claque sur la nuque en
disant :
— Ne
laisse pas refroidir.
Je
fonce dessus, langue la première. Sa vulve est comme un coquillage
rose, lisse et mouillé. Je le couvre de baisers... et ça me plaît !
Je lèche longuement son sexe... Ma langue tourne presque
amoureusement autour de son clitoris... Son bassin a un léger
mouvement de va-et-vient et elle me caresse la tête. Ça y est, elle
se raidit et son coquillage rose me mouille le bas du visage. C'est
troublant, faire jouir une fille. Oui, les excitants...
La
servante qui est assise à côté de Mae me dit :
—
À mon tour, Boy-ra.
Mae
c'était agréable, mais je n'ai vraiment pas envie de continuer.
N'ayant pas le choix, je me déplace sur les genoux jusqu'à la
suivante. Elle a déjà retiré son pantalon de kimono. Elle a aussi
reculé sa chaise pour pouvoir poser un pied sur la table. Je suis
face à un gros coquillage d'un rose écœurant, sans doute échoué
sur la plage depuis quelques jours. Il n'est vraiment plus très
frais. Je veux Mae ! Je le goûte du bout des lèvres, jusqu'à ce
que la servante me rappelle à l'ordre :
—
Tu te décides ?
Je
sais qu'elles peuvent nous punir... Tandis que je la lèche, ses
collègues discutent entre elles Je comprends que les filles ont vu
des images du Bukkake. Je me doutais bien que tout était filmé,
mais là, j'en ai la confirmation. La servante que je lèche me
caresse la tête avant de coller ma figure contre son coquillage, qui
me balance un peu d'eau de mer pas fraîche au visage. Voilà...
c'est tout ! Non, bien sûr.
J'envoie
les trois suivantes au septième ciel à coups de langue. Dix hommes,
cinq femmes, ça fait beaucoup. Je me relève, je m'incline à 45 °
et je leur demande :
—
Je pourrais aller faire un tour dans le parc ? S'il vous plaît.
Les
servantes se regardent... Pour finir, c'est Mae qui me répond :
—
D'accord, mais n'oublie pas d'être à l'heure dans la salle à
manger.
—
Certainement, merci à vous toutes
Je
salue à nouveau et je sors de la cuisine. J'ai bien mémorisé le
petit chemin secret qui me conduit dans le jardin... Je me balade
parmi les fleurs en réfléchissant... Il faut absolument que
j'arrive à m'évader. D'abord trouver des alliées....
Je
somnole un peu sur un banc en rêvant de liberté.
Le
soir, on est six dans la salle à manger, les autres sont dans une
pièce avec des clients. Non, pardon, avec des invités. On discute
tout bas entre nous, mais en restant prudentes. Ici aussi, les murs
ont des oreilles.
À
suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
"Samia, fille du voyage."
Ils
sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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