Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
lamusardine.com/recherche?s=mimercredi 30 novembre 2022
mardi 29 novembre 2022
Ours maso.
Il aime quand je le traite un peu durement !
lundi 28 novembre 2022
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchsamedi 26 novembre 2022
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchvendredi 25 novembre 2022
épuisé...
Réveille-toi, Nounours, j'ai encore envie, moi...
jeudi 24 novembre 2022
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchmercredi 23 novembre 2022
Maid in Japan - 14 Au pilori.
Les
invités qui savent qui je suis me retiennent, ou plus exactement,
ils me louent. Je suppose qu'ils voient des photos et des vidéos sur
le site du « Palais des 1000 Délices », qu'on appelle entre nous
« Le Palais des 1000 Sévices » ! Peut-être suis-je aussi
sur « International Porn » ou un autre site porno...
En
cette fin d'après-midi, c'est un couple qui m'a retenue. On m'a
montré une photo pour que sois capable de les identifier et que je
puisse aller à leur rencontre. Ils sont bien physiquement, ça me
changera. Des invités débarquent du bateau et montent l'escalier,
ensuite, ils doivent encore traverser le pont. Je ne vois pas de
couple arriver. Ah si, un couple que je reconnais plus ou moins, mais
ils sont suivis d'une esclave nue ou plutôt de leur chienne,
puisqu'elle est en laisse et qu'elle marche à quatre pattes. C'est
sa maîtresse qui tient la laisse. La chienne n'est plus jeune, je
dirais environ 7 ans d'âge de chienne, ce qui fait 49 ans pour une
femme. Elle a des piercings au bout des seins ainsi qu’au sexe, et
même des traces de fouet sur les jambes et les fesses. Que fait la
SPA ?!
Je
vais vite à leur rencontre dans un envol de robe légère qui
dévoile mon pubis "impubère". Je leur dis :
—
Bienvenue, Madame, Monsieur. Je m'appelle Boy-ra et je suis à votre
service.
C'est la
femme qui répond :
—
Bonjour Boy-ra, on t'a retenue ainsi que la salle du Dragon
Écarlate.
—
Certainement, si vous voulez bien me suivre.
L'homme
intervient, il a un léger accent :
—
Tu peux nous parler en français.
—
Avec plaisir, Monsieur.
Ici,
quand on n'a pas affaire à des Japonais, tout se fait en
anglais.
Deuxième
envol de robe, qui dévoile mes fesses qui ne sont vraiment pas
impubères, elles ressemblent à des fesses de Black particulièrement
bien pourvue à ce niveau-là !
L'homme
a une trentaine d'années, la femme un peu plus, je pense. Ils sont
séduisants tous les deux.
On
arrive dans la salle où un Dragon Écarlate décore un des murs. Il
y a un divan, une table, des chaises et... un pilori. Oh putain !
Pourvu que ce ne soit pas pour moi. Je jette un regard apeuré au
couple, l'homme le remarque et me dit :
—
Notre chienne n'est pas obéissante, elle refuse parfois de se
laisser monter par qui on veut, nous sommes obligés de lui donner
une leçon.
Ça
doit être rare à mon avis, parce qu'elle a l'air rudement bien
dressée, la petite chienne ! La femme poursuit :
—
Elle va passer la soirée et la nuit immobilisée dans ce pilori.
Qu'est-ce que tu en penses, Boy-ra ?
Aïe !
Que répondre ? Je vais dans son sens :
—
Je pense que ses maîtres ont tous les droits et qu'il faut
régulièrement corriger les chiens et les esclaves
—
Bien... Je m'appelle Sophie, mon compagnon se nomme Marc, mais pour
toi ce sera Maître et Maîtresse.
—
Oui, Maîtresse. Vous êtes un très beau couple, je suis ravie
d'être à votre service.
—
Notre chienne c'est Coralie. Viens me déshabiller.
—
Oui Maîtresse.
Un
haussement d'épaules et ma robe s'envole... J'exagère à peine. Le
couple se déshabille aussi et s'installe sur le divan, l'un à côté
de l'autre. Sophie me dit :
—
Va la placer dans le pilori.
—
Oui Maîtresse.
Ce
pilori est de profil par rapport au canapé, de façon à voir le
visage de celle qui est devant, d'un côté, et ses fesses de
l'autre.
Je n'aime
pas faire ça, mais impossible de dire non ! Je soulève la partie
supérieure de l’engin. Coralie met aussitôt ses poignets et son
cou dans les demi-cercles. Après avoir redescendu la partie
supérieure, je la bloque : elle est prisonnière ! Ensuite,
j'attache ses chevilles aux pieds du bâti. Cette position est à la
fois révélatrice et très inconfortable. Je vais près du couple
qui se caresse sur le divan. Marc me dit :
—
On attend Atu, le garde. Installe-toi entre nous.
Je
suis contente de m'éloigner de ce pilori qui me donne la chair de
poule... On se caresse un peu mais visiblement, ils ont autre chose
en tête. Quelqu'un toque, c'est le garde. Marc lui dit :
—
À toi l'honneur Atu.
Je
le connais, c'est un grand mec pas commode. Il se déshabille et va
brandir son sexe sous le nez de Coralie. En bonne chienne, soumise
malgré ce que disent ses maîtres, elle le lèche aussitôt. Dès
que le sexe d’Atu est dressé, il l'enfonce dans sa bouche. Il lui
baise carrément la bouche, c'est obscène ! Mais qu'est-ce qui ne
l'est pas ici ? Ensuite il se retire, va de l'autre côté et
s’enfonce dans la vulve de la petite chienne qui pousse un cri,
puis des gémissements. Et pas de plaisir, je vous assure.
Il jouit en elle, puis repasse côté visage pour nettoyer sa bite dans la bouche de Coralie. Voilà...
Il
revient vers nous en remettant sa bite qui dodeline dans son
pantalon. Marc ouvre une jolie boîte en laque qui est à côté de
lui. Il en sort plusieurs billets – des dollars, je pense – en
disant :
—
Envoie-moi des hommes, ils recevront 50 $ chacun et toi 10 $ de plus
par personne.
Oh
putain ! C'est beaucoup. Qu'est-ce qu'il est généreux !! Je
tendrais bien la main pour recevoir quelques billets... Oui, mais
qu'est ce que j'en ferais ? N'empêche, il est généreux. Atu
répond :
—
C'est très généreux, Monsieur.
Ah !
Qu'est-ce que je disais ! Il poursuit :
—
Dites, pour le moment, il y a des journaliers qui cueillent les
fruits. Ils viennent de Birmanie. Vous voulez qu'ils participent ?
—
Super idée.
—
Mais ils ne sont pas spécialement propres Ils ont travaillé toute
la journée dans les champs...
C'est
Sophie qui répond :
—
Parfait. La petite chienne nettoiera leurs bites.
Ils
rient tous les trois, moi pas. Atu leur annonce :
—
J'envoie les gardes deux par deux, ensuite les journaliers.
—
Parfait.
Deux
gardes arrivent, ils saluent le couple, puis "bouchent" la
petite chienne des deux côtés. Avec une bite dans la bouche, elle
gémit moins. Tant mieux, c'était agaçant. Sophie me dit :
—
Lèche-moi...
Je
me glisse aussitôt entre ses cuisses. Elle les écarte bien, en
mettant une jambe sur Marc. Je commence à la lécher. Oh !
Qu'est-ce qu'elle mouille ! Ça lui plaît vraiment de tourmenter
sa petite chienne.
Le
fait de lécher me fait rater le spectacle, les gardes continuent
d'arriver deux par deux, ils baisent et ils sont payés, suivants...
Au bout d'un moment, Sophie me dit :
—
Arrête. Lèche Marc.
Je
passe à côté, c'est très différent, lécher une femme ou un
homme ! Oui, vous êtes au courant, je m'en doute. Chez une femme,
tout est secret, humide, caché... Un homme, sa bite vous bondit au
nez et ses couilles sur la bouche. J'aime les deux, même si j'ai une
préférence. Le bout du sexe de Marc est également mouillé... Je
crois que la situation lui plaît beaucoup. Son sexe est imposant,
sûr de lui, dominateur : le sexe d'un homme riche. J'embrasse ses
couilles, puis je lèche la hampe de son membre. Il aime et me
caresse la tête comme si j'étais une deuxième petite chienne. Je
dégage le gland en tirant sur la peau. Même là, il a une légère
odeur de savon, c'est agréable ! Pendant que je le suce, il
embrasse Sophie sur la bouche, les seins...
Évidemment,
on ne peut pas sucer une bite et voir le spectacle en même temps. Je
l'entends... la petite chienne pousse toujours des gémissements et
des petits cris, quand elle n'a pas la bouche pleine. Elle est très
bruyante, cette petite bête. Ni Marc ni sa compagne n'ont envie de
jouir, normal, ils veulent profiter le spectacle jusqu'au bout.
Je
suis à nouveau entre eux d'eux et je regarde un jeune homme enculer
la petite chienne... il doit avoir une bite énorme, à entendre ses
gémissements.
Atu,
le garde qui touche 10 $ sur chaque participant, annonce :
—
C'était le dernier, je fais venir les journaliers.
Marc
répond :
— Oui,
on a hâte de les voir.
Puis
à moi :
—
Sers-nous à boire.
Je
remplis leurs verres. Un petit groupe entre dans la pièce. Ils ont
des vêtements sales et ils ne sont pas appétissants. Il y a une
douzaine d'hommes et une seule femme, mais celle-là est très
jolie ! Qu'est-ce qu'elle vient faire ici ? Atu répond à la
question que je n'ai pas posée :
—
Cette jeune fille parle leur langue.
Elle
salue à l'indienne, les mains jointes entre les seins, et dit :
—
Je m'appelle Mya Tao et je suis à votre service.
Sophie
répond :
— Tu
es très jolie, Mya Tao.
C'est
vrai. Elle a une peau ambrée, des grands yeux noirs, un petit nez,
des lèvres pulpeuses... Elle pourrait être une star à Bollywood !
Elle répond :
—
Merci, Maîtresse. Les hommes peuvent-ils commencer ?
—
Oui.
Les
journaliers ont de 18 à 78 ans, ils ont tous cueilli des fruits sous
le soleil toute la journée, ainsi que les jours précédents.
Comme
à son habitude, Marc a sorti une liasse de billets pour en donner
aux hommes. Sophie lui demande :
—
Si on donnait à ces hommes une jeune fille plus appétissante ?
—
Très bonne idée.
Je
crie :
— Oh
non ! Maîtresse !
—
Oh, si Boy-ra ! Avec ou sans fouet ?
—
Sans, Maîtresse
—
Alors, tu vas remplacer la petite chienne qui a le poil tout collé.
Mya Tao, tu veux bien la détacher et la remplacer par celle-ci ?
—
Certainement, Maîtresse.
Elle
me fait signe de venir et dit sèchement :
—
Aide-moi !
Très
jolie, mais pas sympa, la fille. On lève la partie supérieure du
pilori, la petite chienne se redresse en gémissant, comme à son
habitude. Elle se frotte le cou, puis les reins. On détache ses
chevilles et elle va vers ses maîtres en tremblant un peu sur ses
pattes. Sophie lui dit :
—
Va vite te laver, tu es dégoûtante.
Assez
brutalement, Mya Tao m'emprisonne dans le pilori. Elle me donne
quelques claques sur les fesses en disant :
—
Quel cul elle a, cette esclave !
Je
l'aime pas du tout, cette fille. Elle rejoint le couple sur le divan
et je suppose qu'elle se déshabille.
La
douzaine de journaliers se déshabillent aussi et je me retrouve
aussitôt avec une bite enfoncée dans le cul ! Je crie comme la
première petite chienne venue, jusqu'à ce qu'un autre me mette son
sexe dans la bouche. Faut pas que je panique ! Ils sont douze, ce
n'est pas le bout du monde pour Boy-ra. Pour dédramatiser la
situation, j'imagine... Un jour, ces lignes seront publiées et je
dirai au lecteur « être baisée par une douzaine d'hommes, ce
n'est pas si dur, demandez à votre femme ce qu'elle en pense quand
il y a une réunion à son bureau, le vendredi soir ». Ça me
détend, imaginer ce genre de conneries.
—
Aïïïee !
Un
homme vient de m'enfoncer une bite vraiment grosse dans le cul ! Les
Journaliers sont ravis, ils gagnent de l'argent et ils peuvent baiser
une jolie fille avec un super cul... Ils parlent, rient et me donnent
des claques les fesses, avant de me prendre par tous les trous !
Certains sont doués, ils me serrent les fesses jusque ce qu'il faut
en me baisant. Et, oui, à cause des drogues qu'ils nous donnent ici,
je jouis deux fois. Quand ils se sont tous vidés en moi, le garde
Atu vient me libérer de ma prison, tandis que Sophie me dit :
—
Va prendre une douche, tu pues.
Oh !
C'est curieux... Je sors de la pièce et je vais d'abord dans les
toilettes faire pipi et expulser tous les liquides qui sont en moi.
Le sperme que j'ai avalé, je le digérerai.
J'ai
les pattes qui tremblent comme la petite chienne. Cette position au
pilori est vraiment pénible, alors que je n'y suis resté qu'une
heure au lieu de dix, quand c'est une punition ! Je prends une
douche et je me lave soigneusement. Je reste un bon moment sous l'eau
tiède et je me nettoie à fond...
Quand
je retourne dans la pièce, Marc, Sophie et leur petite chienne ont
disparu. Par contre, Mya Tao parle avec les Thaïs. Mais qu'est-ce
qu'elles font ici ? Je m'incline à 45 °. L'une d'elles, disons
Thaï 1, me lance :
—
Va attendre les invités !
—
Oui Mademoiselle.
Je
veux juste retrouver ma vie d'avant, avec mes parents, reprendre mes
études...
À
suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
"Samia, fille du voyage."
Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Toujours l'ours...
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
mardi 22 novembre 2022
lundi 21 novembre 2022
L'ours...
Ah si, l'ours est toujours là, mais en dessous 😃
dimanche 20 novembre 2022
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
samedi 19 novembre 2022
Guerrière.
Le repos de la guerrière.
vendredi 18 novembre 2022
Bruce
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchjeudi 17 novembre 2022
Ourson.
Je lui ai bien dit de se retirer à temps : j’ai pas envie d’avoir un ourson !
mercredi 16 novembre 2022
mardi 15 novembre 2022
Chacun son tour.
C'est mon tour...
lundi 14 novembre 2022
dimanche 13 novembre 2022
Un inédit de Bruce
Il y a un nouvel épisode de Lizy sur mon blog gratuit
avec un super dessin inédit de Bruce Morgan :
…https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.comsamedi 12 novembre 2022
Maid in Japan - 13 - Bukkake.
Ils
se mettent tous à se masturber. Heureusement que je me balade dans
les vignes de Bouddha, parce que dix fonctionnaires saouls qui
s'astiquent le rouleau de printemps en même temps au-dessus de
vous... ça fait peur !
—
Plaaaf !
Une
grosse giclée de sperme vient de tomber mollement sur ma bouche et
mon nez ! C'est le chef qui vient de jouir sur mon visage !
Les autres le félicitent, je ne vois vraiment pas de quoi. Comme il a donné le feu vert, aussitôt, d’autres saccades de sperme m'arrivent sur tout le corps. En prévision de cette soirée de Bukkake, ils ont dû arrêter tous rapports sexuels depuis des mois, parce qu'ils me balancent des décilitres de foutres, de la tête aux pieds ! Le dernier a visé mon sein gauche.
Maintenant
saké, puis douche ! Vite, s'il vous plaît ! Non ! Le chef
demande :
— Des
amateurs pour la baiser ?
—
Moi, moi, moi !
Ils
se sont shootés avec des aphrodisiaques pour rebander aussi vite à
leur âge ! Ici, je voudrais faire une petite parenthèse : j'écris
ce livre à la demande de mon Maître. Dieu sait ce qu'il en fera,
mais s'il le publie, j'imagine très bien une lectrice pinçant les
ailes de son nez délicat en lisant ce qui va suivre. Normal, mais...
je mets quiconque au défi de décrire d'une façon détaillée un
« Bukkake » sans déraper... dans le sperme, bien sûr.
J'imagine tout ça couchée dans la petite piscine, c'est la faute au
saké.
Un des
hommes se couche sur moi en se tenant aux bords de la piscine, pour
ne pas glisser. Je lève les jambes pour qu'il puisse enfoncer son
sexe dans ma chatte. Ses collègues l'encouragent. Il prend son
temps, change de rythme, caresses mes seins, embrasse ma bouche
collante. Il glisse ses mains sous moi et empoigne mes fesses. Je
suis sensible quand on m'attrape par les fesses... Enfin, je le sais
depuis mon arrivée ici. Je me dis : "Mais où ça va, tout
ça ?" Je ferme les yeux, je me laisse aller... et puis :
—
Oooh, ouiiiii... je jouiiiiis.
Hé
oui, mon nouveau nom est Hi No Naka (en feu). Grâce au saké, je
m'en fous de tout ce qu'on va me dire. Il jouit en moi... Allez, le
plus vicieux du groupe m'a baisée dans le sperme de ses collègues,
c'est fini ? Non ! À tour de rôle, ils vont tous me passer
dessus. Ma chatte déborde et j'ai l'impression que du sperme va me
sortir par les narines. Le dernier, qui est à nouveau le chef, me
dit :
— Mets-toi
à quatre pattes, Boy-ra.
Il
vient à genoux derrière moi et enfonce son petit sexe dans ma
chatte. Alors là, je ne sens absolument rien. Lui non plus, sans
doute, car il sort son petit engin et me l'enfonce dans le cul ! Je
ne le sens pas beaucoup plus, mais lui, il aime et ça le fait jouir
rapidement. Non, moi je ne jouis pas... mais je dois bien avouer que
j'ai pris trois fois mon pied pendant ce Bukkake.
Le
chef sort de la piscine. Je m'apprête à faire pareil, mais il me
dit :
— Couchée,
Boy-ra ! Sur le dos.
Ils
viennent tous se mettre autour de moi. Ils ne vont quand même pas
recommencer à me jouir dessus ?! Le chef me dit :
—
Ferme les yeux et ouvre la bouche. Et avale, sinon "Hall of
pain" !
Non,
pas ça ! Je ferme les yeux et ils me pissent dessus !! Je reçois
une douche chaude et malodorante. Si vous pensez "C'est
dégoûtant !" je suis 100 % d'accord avec vous. J'avale...
Vivement que leurs vessies soient vides.
Le
chef me dit :
—
C'est fini, on va aller se laver.
Oh
la bonne idée ! Il ajoute :
—
Mais avant ça, on va boire à la santé de Boy-ra.
Deuxième
bonne idée. Une servante a dû apporter deux autres bouteilles de
Saké, pendant que j'étais sous un tsunami de liquides divers. Je me
relève en me tenant aussi au bord, car la piscine est devenue super
glissante, et moi aussi. Tous les hommes ont un appareil photo en
main. Ils vont certainement faire des superbes clichés de moi toute
dégoulinante.
Cette
fois-ci, je reçois un verre entier... On lève tous notre verre. Ils
lancent :
—
Kampaï ! Kampaï ! (santé)
Mmmmh...
Ça fait du bien. Après avoir bu, on se dirige tous vers les
douches. On se lave et plusieurs d'entre eux viennent me savonner.
Ils ne sont pas si teigneux que ça, ces fonctionnaires. Il faut dire
que je suis bien éméchée... et eux aussi.
Une
fois propres, on retourne dans la pièce. Deux servantes terminent de
tout ranger et de nettoyer. Bien fait ! Ce dont elles s'occupent,
on ne doit pas le faire. On se rhabille, eux en costume, moi dans ma
robe si légère que les battements d'ailes d'un papillon la fait
s'envoler.
On
s'embrasse. Le chef me dit :
—
On va te donner cinq étoiles, Boy-ra.
—
Merci beaucoup Monsieur, et merci pour le saké.
Cinq
étoiles, comme un hôtel ou un restaurant, je ne savais pas qu'on
était cotées. Ils s'en vont, mais ce sera pour mieux revenir, dès
qu'ils auront les couilles bien pleines... C'est eux qui le disent.
Je pars à la recherche de Madame Haroe. En voyant une servante, je
m'incline devant elle avant de lui demander :
—
Pourriez-vous me dire où se trouve Madame Haroe ? S'il vous plaît,
Mademoiselle.
Oui,
je suis très polie avec les servantes. Elle répond :
—
Cuisine.
— Merci
Mademoiselle.
Erreur,
Madame Haroe n'est pas à la cuisine. Je m'incline devant les
servantes, en faisant attention de ne pas me casser la figure à
cause du saké et je leur dis :
—
Je devrais voir Madame Haroé, Mesdemoiselles.
Une
toute jeune servante japonaise me répond :
—
Elle n'est pas là. Qu'est-ce que tu lui veux ?
—
Je pourrais aller faire un tour dans le jardin, s'il vous plaît...
Je
vois bien qu'elles vont jouer avec moi, mais je n'ai pas le choix.
J'ajoute :
—
J'ai été obligée de satisfaire dix invités, ce n'était pas
facile et...
Elle
me coupe :
— Et
tu as bu beaucoup de saké et pris ton pied trois fois.
—
C'est vrai, Mademoiselle, mais...
—
Tu vas le demander très, très humblement à chacune de nous.
Ensuite, on décidera si on te permet d'aller te balader ou si ce
sera dix heures de pilori pour dessaouler !
Garces !!
Elles n'ont sûrement pas le droit... mais je n'ose pas prendre le
risque qu'elle m'accuse d'insolence ou de quelque chose dans ce
genre-là. Je lui dis :
—
Mademoiselle, voudriez-vous avoir la bonté de....
—
Demande-le plus humblement.
Je
me mets à genoux devant elle et je me baisse complètement pour
embrasser ses chevilles et ses orteils dans ses sandales. Elle dit
aux autres servantes :
—
Elle fait ça bien, Boy-ra. J'ai envie qu'elle me lèche...
—
Vas-y Mae, tu sais bien qu'elles doivent nous obéir.
Elle
me demande :
—
Tu as entendu ? Je suis sûre que tu as envie de me lécher.
—
J'en serais ravie, Mademoiselle Mae.
C'est
vrai : marre des bites et puis cette fille est jolie. Elle a l'air
tellement sûre d'elle pour une fille aussi jeune. Les autres
servantes trouvent amusante sa façon de me traiter. Le Prince et les
Thaïs ont trouvé malin de nous obliger à obéir aux servantes...
Elle me dit :
—
Enlève ta robe pour qu'elle reste propre, puis déshabille-moi !
Ma
robe, c'est vite fait. Ensuite je descends son pantalon jusqu'à ses
chevilles et elle l'enlève complètement. Je suis en face de sa
chatte, en fait à peine un renflement à la base de son pubis, aussi
lisse qu'une assiette de porcelaine. Je l'embrasse.
Je
n'avais jamais fait ça avant de venir ici... D'ailleurs, je n'avais
jamais joui aussi vite non plus. Ce n'est pas normal, ils doivent
nous donner des excitants en douce ! Mae s'est assise sur une
chaise, jambes écartées. Elle me donne une claque sur la nuque en
disant :
— Ne
laisse pas refroidir.
Je
fonce dessus, langue la première. Sa vulve est comme un coquillage
rose, lisse et mouillé. Je le couvre de baisers... et ça me plaît !
Je lèche longuement son sexe... Ma langue tourne presque
amoureusement autour de son clitoris... Son bassin a un léger
mouvement de va-et-vient et elle me caresse la tête. Ça y est, elle
se raidit et son coquillage rose me mouille le bas du visage. C'est
troublant, faire jouir une fille. Oui, les excitants...
La
servante qui est assise à côté de Mae me dit :
—
À mon tour, Boy-ra.
Mae
c'était agréable, mais je n'ai vraiment pas envie de continuer.
N'ayant pas le choix, je me déplace sur les genoux jusqu'à la
suivante. Elle a déjà retiré son pantalon de kimono. Elle a aussi
reculé sa chaise pour pouvoir poser un pied sur la table. Je suis
face à un gros coquillage d'un rose écœurant, sans doute échoué
sur la plage depuis quelques jours. Il n'est vraiment plus très
frais. Je veux Mae ! Je le goûte du bout des lèvres, jusqu'à ce
que la servante me rappelle à l'ordre :
—
Tu te décides ?
Je
sais qu'elles peuvent nous punir... Tandis que je la lèche, ses
collègues discutent entre elles Je comprends que les filles ont vu
des images du Bukkake. Je me doutais bien que tout était filmé,
mais là, j'en ai la confirmation. La servante que je lèche me
caresse la tête avant de coller ma figure contre son coquillage, qui
me balance un peu d'eau de mer pas fraîche au visage. Voilà...
c'est tout ! Non, bien sûr.
J'envoie
les trois suivantes au septième ciel à coups de langue. Dix hommes,
cinq femmes, ça fait beaucoup. Je me relève, je m'incline à 45 °
et je leur demande :
—
Je pourrais aller faire un tour dans le parc ? S'il vous plaît.
Les
servantes se regardent... Pour finir, c'est Mae qui me répond :
—
D'accord, mais n'oublie pas d'être à l'heure dans la salle à
manger.
—
Certainement, merci à vous toutes
Je
salue à nouveau et je sors de la cuisine. J'ai bien mémorisé le
petit chemin secret qui me conduit dans le jardin... Je me balade
parmi les fleurs en réfléchissant... Il faut absolument que
j'arrive à m'évader. D'abord trouver des alliées....
Je
somnole un peu sur un banc en rêvant de liberté.
Le
soir, on est six dans la salle à manger, les autres sont dans une
pièce avec des clients. Non, pardon, avec des invités. On discute
tout bas entre nous, mais en restant prudentes. Ici aussi, les murs
ont des oreilles.
À
suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce
Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et
"Samia, fille du voyage."
Ils
sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
vendredi 11 novembre 2022
J'aime le miel...
Mais qu’est ce que tu fais à cet ours, Mia ?
- Ben, il m’a apporté un pot de miel ; alors je le remercie.
***
Mes livres coûtent 2,99 € et ils vous feront passer de super moments.
https://amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
jeudi 10 novembre 2022
oops !
Dans la vraie vie, j'aime ouvrir aux corps de métiers nue sous une serviette... Oops ! La voilà qui glisse....
mercredi 9 novembre 2022
Tétée...
Mon nounours est encore très jeune : là il tète mon sein.
mardi 8 novembre 2022
lundi 7 novembre 2022
Bruce
Il y a un nouvel épisode de Lizy sur mon blog gratuit avec un super dessin inédit de Bruce Morgan :