Le
lendemain matin, une servante vient aboyer dans notre chambre :
—
Debout ! Allez faire vos besoins. Je veux vous voir dans quinze
minutes dans la cuisine, nues !
On
murmure :
— Oui
Mademoiselle.
Après
s’être soulagées, on va vite s'apprêter et on descend déjeuner.
Jill nous dit :
—
Il faut s'incliner quand on croise une servante.
Ça
me fait mal aux seins, mais je le fais. Les servantes sont ravies,
bien sûr. On va déjeuner, debout dans un coin de la cuisine.
Pourquoi tous ces changements ? C'est n'importe quoi. Itoe vient
nous chercher pour nous conduire dans une des pièces du château.
Madame Haroe est là, ainsi que... 12 hommes. Il ne s'agit pas de
jeunes jardiniers ou de gardes comme Thanos, mais d'hommes beaucoup
plus âgés. Le plus jeune doit être un septuagénaire et ils sont
tous vraiment laids ! Ils nous regardent en souriant de toutes
leurs dents ou de leurs mâchoires pour la plupart. Madame Haroe
explique :
— On
a demandé à des hommes dans la force de l'âge de servir de
cobayes.
Ah non,
ce ne sont pas des hommes dans la force de l'âge ! Ce n'est pas
que j'ai un problème avec les hommes âgés, mais ceux-ci, ce sont
des clochards certainement ramassés dans les bas-fonds de Tokyo.
Madame Haroe poursuit :
—
Satisfaire des jeunes, c'est facile, mais vous aurez souvent des
clients plus âgés. Première étape, déshabillez-vous, ensuite
déshabillez ces Messieurs. Exécution !
On
enlève notre petite robe, ça, c'est facile : elles ne demandent
qu'à s'envoler. Oh ! Madame Haroe se déshabille aussi. C'est une
belle femme plantureuse. On commence à les déshabiller. Elle ajoute
pour eux :
—
Vous aurez des vêtements propres pour repartir.
Il
y a encore d'autres bonnes nouvelles ! Madame Haroe nous explique
:
— Celle qui ne
fera pas le maximum testera un nouveau genre de punition, pas très
agréable. Je n'étais pas pour...
Grand
sourire qui dément ses paroles ! Elle poursuit :
—
J'étais contre parce qu'une punition qui dure plusieurs heures, je
trouve ça très dur. Alors, pour éviter ça, donnez-vous à fond
Mesdemoiselles.
Je
veux rentrer chez mes parents ! Ces clochards sont tombés dans les
marais de l'éternelle puanteur ! Comme aucune de nous n'a envie de
tester les nouvelles punitions, on déshabille toutes notre clochard.
Quand ils sont nus, on a sous les yeux une superbe collection de
cicatrices, varices, furoncles, tatouages faits sans doute en prison.
Madame Haroe dit :
—
Maintenant, sucez les bites de ces Messieurs.
Parfois, quand un pansement "colle" sur une blessure, la seule solution, c’est l'arracher d'un coup sec. C'est ce que je fais ! Les autres filles, aussi. En fait, on a été bien dressées. On a toutes en bouche un sexe aussi appétissant qu'un mulot mort depuis trois jours. C'est ce qu'elle voulait. Quand on les a sucés pendant plusieurs minutes, elle nous dit :
— Bien, maintenant tous au hammam. Prenez ces Messieurs par la main.
Oh merci Seigneur ! C'est comme du miel qui coule dans nos oreilles... Non, ça ne doit pas être agréable. On a toutes un grand sourire. On prend chacune un vieillard par la main. Espérons que la température ne soit pas trop élevée, sinon ils vont décéder !
Des ouvriers travaillent sans arrêt dans le château et on ignorait toutes qu'il y avait un sauna. Je vais être gentille : mon "client" m'a prise par la taille en plaquant une main sur mes fesses. Il dit une phrase que je ne comprends pas, ça doit être de l'argot de clochard. Madame Haroe lui dit :
— Parle-lui avec des mots simples comme à une enfant de quatre ans, ces Occidentales sont toutes demeurées.
Il y a surtout qu'on ne parle pas l'argot des clochards japonais ! Le vieux me dit :
— Tu as les plus belles fesses du monde.
Ça, c'est gentil. Je réponds :
— Merci, Monsieur, je suis ravie qu'elles vous plaisent.
Lui aussi a l'air ravi. Échange de propos très vieille France... Mais, vite qu'on arrive au sauna, l'odeur devient vraiment pénible.
On y est : c'est une grande pièce. Il fait chaud mais c'est supportable et il y a une forte odeur de plantes aromatiques qui couvrent les remugles du marais ! Il y a des bancs rembourrés pour s'asseoir chacune avec son clochard. On flirte. Une servante vient apporter un plateau avec deux bouteilles de saké et des verres. Elle nous dit :
— Servez ces messieurs.
Grrr ! Ce sont des servantes et nous... oui, enfin on râle qu'elles aient à nouveau l'ascendant sur nous. On murmure :
— Oui... m'selle.
Pas satisfaite, la servante insiste :
— Comment ?
— Oui, Mademoiselle.
Elle s'en va. On rêve de boire un peu de saké d'autant qu'on a un sale goût en bouche. Oh putain ! Mon clochard a fait cul sec. Je le ressers aussitôt, tout en lui faisant les yeux suppliants. Il me donne le fond de son verre. Mmmhh, c'est bon... Je pense qu'on arrive toutes à boire un peu de saké. Les vieux nous pelotent effrontément, ils nous prennent pour des putes ou quoi ? Ou alors... c'est ce qu'on est. Madame Haroe revient dans le sauna, toujours aussi nue. Elle demande :
— Est-ce que tout le monde est satisfait de la fille avec qui il est ?
Oui, heureusement ! Le saké les a rendus joyeux, ils répondent tous qu'on est très bien, qu'on est des super petites putes. Madame Haroe dit :
— Parfait... maintenant, suivez-moi, on va prendre une douche.
Mais pourquoi on n'a pas commencé par là, bordel !! Il y a une grande salle de douche. On lave notre clochard et ils nous lavent, sauf que nous, on est propres. Je lave soigneusement la bite du mien. On a dû lui donner un fortifiant, parce que même lui est étonné de bander aussi rapidement...
Après la douche, il y a une soufflerie qui nous sèche. Ensuite, on va dans une grande pièce avec des divans. On se couche. Mon clochard me dit à nouveau un truc incompréhensible. Madame Haroe traduit :
— Suce-le et ensuite, il veut t'enculer.
OK, je l'ai bien lavé, quel plaisir de sucer une bite propre... Dès qu'il me dit un truc, je me mets à genoux sur un divan et je tends mes fesses.
Il
montre le sol du doigt. D'accord, je me mets comme il veut. C'est ce
qu'il voulait. Il s'enfonce en moi en poussant des petits cris.
Voilà, c'est tout...
Non,
ce n'est pas tout. Il m'encule et en même temps, il me caresse la
chatte... Hé oui, il est vieux, moche et sale mais... je m'appelle
Boy-ra. Donc, après plusieurs minutes de va-et-vient dans mon cul et
de pelotage de chatte, je jouis !
Je
jouis le plus silencieusement possible, mais c'est à croire que
Madame Haroe me surveillait, car elle crie :
—
Et qui a joui ?? Boy-ra, comme hier ! Qu'est-ce qui est plus
chaud qu'une chaudière ?
Une
fille répond :
—
Le feu, Madame.
Rires
des hommes, mais aussi de mes amies. Je deviens aussi rouge qu'une
pivoine. Elle poursuit :
—
C'est vrai. On devrait changer son nom en Hi No Naka (en feu).
Je
m'en fous, c'est même plus beau que Boy-ra. On a fini ?
Apparemment oui, puisque Madame Haroe nous dit :
—
Dites gentiment au revoir à votre partenaire... et toi, Boy-ra, n'en
profite pas pour jouir de nouveau.
Rire
général. Sachant que je suis honteuse et humiliée, Juana me glisse
à l'oreille :
—
Prends-le bien, tout le monde parle de toi...
Aah ?
On embrasse notre clochard. Ils ont l'air ravis de l'aventure. On
leur a fait du bien, c'est peut-être bon pour notre Karma. Madame
Haroe nous dit :
—
Dans l'ensemble, vous avez fait ce qu'il fallait. Je ne punirai
personne...
Ouf !!
Elle poursuit :
—
... mais nous allons quand même passer par le "hall of pain",
pour que vous voyiez ce qui attend la fille qui ne me donnera pas
satisfaction.
Le
"hall of pain", c'est simplement l'entrée du château. Il
y a six piloris qui se font face. Six filles y sont attachées. Leurs
têtes et leurs mains sortent de trois trous dans une planche fixée
verticalement. Les filles sont penchées en avant, le visage à
hauteur de la bite d'un homme. De l'autre côté, leurs chevilles
sont attachées aux montants et leurs fesses se trouvent à
hauteur... de la même bite. Elles ont bien sûr été fouettées, on
voit les marques sur leurs fesses et leurs cuisses. Elles ont du
sperme sur le visage et le cul, et elles ont les yeux bandés. Un
garde se fait sucer tandis qu'un des cuistots encule une autre fille.
Les hommes s'arrêtent, mais Madame Haroe leur dit :
—
Faites comme si on n’était pas là.
Elle
poursuit à notre attention :
—
Ce sont des esclaves qui n'ont pas donné satisfaction, mais il y a
aussi une servante... C’est laquelle d’entre vous ?
Une
fille avec du sperme sur le visage répond :
—
Moi, Madame.
—
Comment tu trouves ?
—
Très pénible, Madame
—
J'imagine... Tu es là pour combien de temps ?
—
Dix heures, Madame.
Putain !
C'est long. Madame Haroe poursuit :
—
Alors, les filles, il ne faut pas qu'un de vos clients se plaigne,
sinon vous allez vous retrouver ici, bouchées de part en part.
Elle
rit, nous pas.
***
À
15 heures, on est toutes à l'entrée du château pour accueillir les
nouveaux arrivants.
Quand
ils arrivent près de nous, un courant d'air venant d'une soufflerie
dans le sol se met en marche et nos jupes s'envolent, dévoilant nos
appâts. Ils aiment. On doit leur dire toutes ensemble « Bienvenue
au Palais des 1 000 délices, chers visiteurs, nous ferons tout
pour vous satisfaire... »
Surtout
pour ne pas se retrouver immobilisées dans cette saloperie de
pilori. Les clients disent un nom et aussitôt, la fille désignée
doit se plier en deux et leur dire un truc du genre : « Je vous
remercie de m'avoir choisie, Messieurs. »
Un
groupe d'hommes qui ont l'air d'employés de bureau arrive. Celui qui
est devant dit :
—
Boy-ra...
Oh
putain ! Ils sont bien une dizaine. Je me plie en deux en disant
:
— Ravie d'être
votre hôtesse, Messieurs.
Ils
ont l'air de petits fonctionnaires teigneux, le genre à vous dire
"Manque le formulaire 66 HD ! De toute façon, il est 16 h,
c'est terminé pour aujourd'hui. Revenez demain !"
Ils
m'entourent... pas pour une question de formulaire, mais pour me
peloter et s'extasier sur mes fesses. J'ai l'impression d'être une
gazelle entourée d'une bande d'hyènes. Il y en a même un qui
m'enfonce son pouce dans le cul. Ça commence fort ! Une servante
vient leur dire :
—
Si voulez bien me suivre, le saké vous attend.
Ça,
c'est la formule magique. Aussitôt, on suit la servante jusque dans
une petite pièce où il y a une table et des chaises, quatre
bouteilles de saké et des verres. Il y a aussi une sorte de piscine
ou de cercueil en plastique ! C'est quoi ça ??
Les
hommes ont l'air ravis à l'idée de bientôt s'envoyer le saké et
mon cul ! Ils commencent malgré tout par le saké, deux hommes
remplissent les verres. Ils boivent. Je regarde celui qui doit être
le chef, en tout cas, c'est le plus gros. Il interprète correctement
mon regard suppliant en me disant :
—
Sois obéissante et tu boiras aussi.
—
Merci beaucoup, Monsieur.
Il
regarde les autres en disant :
—
Mes chers collègues, mettons-nous à l'aise.
Sur
ce, il enlève son pantalon et son caleçon. Les autres font la même
chose. Il me dit :
—
Tu vas filer sous la table et nous sucer jusqu'à ce qu'on te dise
« Stop ». À ce moment, tu t'arrêtes immédiatement. Commence
avec moi.
— Bien
Monsieur.
Je me
glisse sous la table et entre ses grosses cuisses. Je me retrouve
face à des couilles énormes et un petit sexe et non, il n'est pas
mignon ! Dommage qu'ils ne soient pas tombés dans la rivière en
arrivant, un bain leur aurait fait du bien. Pense aux piloris,
Cécile. Oui, Cécile est mon vrai prénom. Il sent fort la
transpiration... Je prends le petit sexe en main, tire sur la peau
pour découvrir le gland et le mets en bouche. Sur ma langue, il
grandit un peu, pas beaucoup...
Au-dessus
de moi, ils boivent, discutent, rient... Je caresse ses couilles et
fais passer son petit sexe d'un côté à l'autre de ma bouche. Ah !
Monsieur apprécie... et bientôt, il me dit :
—
Stop !
Je sors
de ma tanière. Quand je suis debout, il me donne un verre de saké à
moitié rempli. Je m'incline en disant :
—
Merci beaucoup, Monsieur.
Je
bois, les gars applaudissent, le chef dit :
—
Va sucer mon voisin.
Je
retourne dans mon terrier et je me glisse entre les maigres cuisses
du suivant. Il n'est pas chef, donc il n'est pas gros, mais lui, il a
une fameuse bite... Je le suce jusqu'à ce qu'il me dise aussi :
—
Stop !
Vite, je
retrouve l'air libre et quelques gorgées de saké. J'adore l'idée
de l'alcool qui me désinfecte la bouche. Suivant ! Une bite en
bouche, je les entends parler de plus en plus fort et rugir de rire.
Quand ils se lâchent, les Nippons font ça très bien. La ronde
continue : bite, saké, bite, saké... Je finis par voir deux bites !
Heureusement, j'arrive enfin au bout de la ronde des bites. Je me
relève, mais le chef – au lieu de me donner "mon" saké,
j'y ai droit ! – me dit :
—
Va te coucher dans cette petite piscine, sur le dos, on va te
doucher. Tu as assez bu de saké, il faut que tu apprécies le cadeau
qu'on va te faire.
Pour
le saké, il a raison, parce que bientôt, je ne vais plus sucer
droit ! Par contre, ce qu'il dit fait rire les autres, j'aime pas
trop ça. Quand je suis couchée, le chef vient se mettre au-dessus
de mon visage, un autre homme à l’aplomb de mes pieds et les huit
restants de chaque côté de moi. Le chef me dit :
—
Nous te faisons l'honneur de te faire découvrir une spécialité du
Japon : le "bukkake". Cela renforce les liens entre
collègues...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
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