Elle s'approche de nous et la chef lui dit :
— Tu es Abigaïl ?
Celle-ci hésite... puis répond :
— On m'a dit d’agir comme je l'ai fait, vous savez, la Voix.
La chef répond :
— Tu mens ! Mais pas de problèmes, on va te faire ce que tu as infligé à deux d'entre nous. Les filles, attrapez-la.
Elle se met à courir, mais on la rattrape rapidement pour la ramener dans la grange. La chef dit :
— Tu as craché sur le visage d'une fille. Cécile, viens lui faire la même chose !
Je vais en face d'elle et je lui crache au visage. D'accord, c'est mesquin. La chef lui dit :
— Maintenant, quelques coups de badine comme ceux que tu as donnés à une des filles.
La fille se débat, mais on la maintient au sol. L'Australienne a cassé une branche d'un arbuste et elle lui applique cinq coups sur les fesses. Comme ça doit être la première fois qu'elle est frappée, elle pousse de véritables hurlements. On la laisse se relever. Debout, elle se frotte les fesses en gémissant. En entendant ses hurlements, toute la famille Adams rapplique pour voir ce qui se passe. Keiko dit :
— Quoi ?
En pleurant, Abigaïl va se mettre à genoux devant elle, puis elle lui sort une longue tirade en... japonais. Putain ! Cette fille parle couramment le japonais. Keiko lui fait signe de se relever et toute la famille parle avec elle... toujours en japonais. Ils ont tous l'air d'accord, Abigaïl traduit pour nous :
— Je deviens première servante et vous devez toutes m'obéir !
Oh, non pas ça ! Elle ajoute :
— D'abord, j'ai un compte à régler avec deux d'entre vous. La fille qui m'a craché dessus. Couchée ici, sur le dos !
Un des jeunes prend sa badine et je m’allonge immédiatement devant Abigaïl. Elle s'accroupit au-dessus de mon visage et pisse ! J'en ai plein le visage, ça me rentre même dans le nez et ça pue. C'est à croire que cette garce ne se nourrit que d'asperges !! Quand elle a fini, elle frotte sa chatte sur mon visage. La famille est ravie du spectacle. Certains des hommes ont déjà sorti leur sexe de leur kimono. Abigaïl dit :
— Maintenant, je veux voir la fille qui m'a frappée, couchée devant moi.
Tout le monde craint les représailles de la Voix, de la famille et même d'Abigaïl. La fille obéit et Abigaïl nous dit :
— Relevez ses jambes. Je veux voir ses plantes de pieds.
Deux filles lui relèvent les jambes. Abigaïl poursuit :
— Les pieds l'un contre l'autre et tenez ses chevilles.
Quand c'est fait, Abigaïl leur donne cinq méchants coups de badine. La fille crie à chaque coup. Ses plantes de pieds sont marquées de lignes rouges. Elle lui dit :
— Tu penseras à moi à chaque pas.
Elle traduit en japonais pour la famille à qui ça plaît beaucoup...
Ensuite c'est la partouze du soir. Keiko choisit Abigaïl, bien sûr. Moi, je suis prise par le père et sa fille. Je dois me mettre à genoux entre les jambes du père, assis sur une botte de foin. J'ai le visage tout contre son sexe. Sa fille le chevauche, les fesses tournées vers moi. Le père donne des ordres en japonais. Abigaïl sort sa langue de la chatte de Keiko, pour traduire :
— Tu dois tout lécher depuis ses couilles jusqu'au trou du cul de sa fille. Si ce n'est pas bien fait, tu seras fouettée sur la plante des pieds, car ils trouvent tous ça, très amusant.
Oui, mais moi, pas du tout ! Je lèche avec "enthousiasme", poussée par la peur d'être punie. Les fesses de la fille dansent sur mon visage, mais je lèche vite et bien. J'ai connu pire, il y a peu de temps.
Après quelques minutes, il parle à nouveau en japonais. Là, je comprends et je me recule pour permettre à la fille de se retourner pour s'asseoir de nouveau sur la bite de son père, mais en me faisant face. Je recommence mon léchage "enthousiaste", depuis les couilles du père jusqu'au clito de la fille.
Je suis ses mouvements du mieux que je peux et ça marche parce qu'elle pousse des petits cris, tandis que son père lui répond par des grognements. La fille jouit d'abord, enfin, je crois. Le père la suit quelques minutes plus tard. Son géniteur me donne un ordre. Je comprends car je sais ce qu'il veut.
Je me couche sur le dos et sa fille vient s'accroupir au-dessus de ma bouche grande ouverte. Elle pousse et m'envoie le sperme de son père mélangé à ses sécrétions. J'avale la semence d'un homme qui sort de la chatte de sa fille... Je suis sûr que dans les pires films pornos, on ne voit pas ce genre perversion ! Quand elle a bien poussé pour tout faire sortir, elle se frotte sur mon visage, comme Abigaïl a fait après m'avoir pissé dessus. Elle reste assise sur mon visage. Heureusement qu'elle est menue, une grosse m'étoufferait !
La dégoûtante partouze se termine. La famille discute avec Keiko, elle leur dit des choses qui les font rire ! Keiko va embrasser Abigaïl sur la bouche avant de partir, suivie par la famille. Ils laissent deux lampes au pétrole.
Abigaïl désigne trois filles et dit :
— Allez chercher les casseroles à la cuisine...
Les filles suivent la famille et reviennent avec des casseroles. Abigaïl est assise par terre sur un sac, son dos est appuyé contre un ballot de paille. Elle dit :
— Mettez les casseroles ici, vous mangerez après moi. Toi, va me chercher de l'eau.
La fille désignée court chercher de l'eau au puits. Abigaïl mange tandis qu'on salive autour d'elle. Ah ! Ils l'ont bien choisie, la première servante. Après avoir fini, elle dit :
— Celle qui désire manger doit le demander.
J'ai trop faim et je n'ai plus aucune fierté. Je vais me mettre à genoux devant elle en disant :
— Voulez-vous me donner la permission de manger, Mademoiselle ? S'il vous plaît...
— Embrasse mon pied.
J'embrasse aussitôt ses orteils nus dans les sandales. Elle dit :
— Tu peux manger.
Toutes les filles font comme moi... On mange en regrettant les soirées sans elle, quand on pouvait parler entre nous. Quand on a fini, elle nous dit :
— Pour boire, pisser ou chier, vous devez me demander la permission.
Pas pour respirer ? Chouette ! On dit toutes :
— Oui Mademoiselle.
On se couche l'une contre l'autre, comme les autres jours, et on parle un peu, tout bas. Heureusement, elle s'endort vite. Nous aussi.
***
Le lendemain matin, on est réveillées par le coq. Il faut dire qu'on doit se coucher très tôt. Abigaïl ne perd pas de temps pour nous tourmenter. Elle dit :
— Le matin, vous viendrez l'une après l'autre vous mettre à genoux devant moi et vous embrasserez mon pied en disant : « Je m'appelle unetelle et je suis à votre service, Maîtresse ».
Elle est vraiment dingue, cette fille. Toutes, on fait et dit ce qu'elle veut et quand on a les lèvres sur son pied, elle pose l'autre pied sur nos nuques et pousse un peu, jusqu'à ce qu'on gémisse. Alors seulement, elle dit :
— Suivante.
Quand on a toutes récité le petit compliment et qu'elle nous a coincées chacune entre ses pieds, elle dit :
— Toi, va chercher les seaux.
La fille désignée le lui amène aussitôt. Nous, on va dans un coin un peu discret, pour nous soulager. Abigaïl, non. Elle fait ça au milieu de tout le monde avec autant de pudeur qu'une guenon en chaleur. Ensuite, on doit lui demander l'autorisation d'utiliser le seau, toujours au milieu de nous toutes. Quand tout le monde est passé, elle désigne trois filles en disant :
— Allez vous mettre à genoux devant la cuisine.
Les trois filles y vont. Abigaïl me demande :
— C'est sur toi que j'ai pissé ?
— Oui, Mademoiselle.
— Tu sens meilleur que les autres. Va me chercher de l'eau.
Sale garce ! Je vais vite en chercher au puits, mais je n'ose pas cracher dedans, on ne sait jamais que la Voix m'observe. Les filles reviennent avec les casseroles. Keiko les suit et va embrasser Abigaïl. Elle parle un peu, puis Keiko lui donne le kimono qu'elle avait sur le bras. Abigaïl la remercie et l'embrasse. Mais pourquoi elle et pas la chef qu'on a désignée ?? Keiko retourne dans la ferme et nous mangeons, plus exactement Abigaïl mange, puis elle nous dit :
— Vous pouvez finir mes restes !
Ah, elle sait y faire.
Ensuite on va au cours et on doit mettre les tuniques avec un trou pour la tête, Abigaïl reste en kimono et elle parle en japonais avec le moine.
On suit de mieux en mieux le cours, bientôt on saura se débrouiller pour les choses simples. La leçon s'arrête plus tôt que d'habitude. On mange après Abigaïl et ses restes. Keiko vient lui parler et ça ne doit pas être des choses agréables, car on voit son visage changer. Elle nous dit :
— On va dans la cour.
Les jeunes reviennent des prés avec la vache la plus âgée, suivie par quatre veaux. Ils ramènent aussi deux poulains qu'ils tiennent par une lanière. On part tous vers le château. Abigaïl parle avec sa grande amie, Keiko, mais elle a toujours l'air aussi catastrophée. Pourquoi ???
Notre petite troupe arrive devant le pont qui surplombe la rivière. Les portes du château sont grandes ouvertes. On y entre tous. Il y a une série de dix fauteuils bien alignés et derrière, des chaises. Ça ne sent pas bon ça. Une fille se permet de demander à Abigaïl :
— Mademoiselle, qu'est-ce qu'on va nous faire ?
Elle regarde Keiko, qui lui fait "oui" de la tête. Elle répond :
— Nous allons avoir le grand honneur d'être marquées aux armes du Prince.
Ça veut dire quoi ça ? Keiko dit :
— Fer rouge sur cul.
On se regarde toutes. Marquées ? Mais c'est horrible et surtout définitif ! Quelle horreur ! Instinctivement, on se serre les unes contre les autres pour se rassurer. Je remarque trois constructions de bois qui servent certainement à maintenir les bêtes quand elles sont marquées, mais il y a aussi trois bancs, sans doute pour nous !! Donc ce serait vrai !
On voit arriver une dizaine de servantes en kimono rouge et Abigaïl va les rejoindre. Puis viennent des geishas, celles qu'on a portées. Toutes les filles ont l'air aussi terrifiées que nous. Elles sont suivies de deux très jolies Occidentales en robe de soie, les yeux rouges de larmes. On forme une colonne par ordre d'importance, je suppose. D'abord les deux Occidentales, puis les geishas, les servantes, les animaux et nous. On est vraiment considérés comme valant moins que des bêtes !
La seule chose qui me console un tout petit peu, c'est que la douleur du fer rouge sur la peau sera la même pour toutes.
Sortant de l'écurie, des hommes apportent des braseros remplis de braises portées au rouge. Des tiges de fer avec une poignée y sont enfoncées.
Arrivent des gens qui ne seront pas marqués au fer rouge, eux ! D'abord des hommes habillés de beaux habits avec des broderies de dragons. Il doit y avoir dix Japonais et trois Occidentaux. Ils s'installent dans les fauteuils. Des femmes habillées de très belles robes brodées de fleurs les suivent, puis vont s'asseoir sur les chaises. Au centre de la rangée de fauteuils, un gros Japonais lève le bras droit. Aussitôt, deux gardes empoignent les deux belles Occidentales. Elles se débattent, crient, pleurent... Oh ! Qu'elles n'ont pas envie que leurs belles fesses toutes blanches soient marquées à jamais d'une inscription infamante ! Je préfère penser à ça plutôt qu'à mes fesses et à ce qui les attend...
Plusieurs gardes couchent les deux filles sur un banc. Ils relèvent complètement leurs robes. Leurs fesses sont effectivement belles et très pâles. Ils bouclent la sangle autour de la taille, puis les bras et les jambes en extension aux pieds des bancs. Elles continuent à crier et à supplier.
Les forgerons regardent le gros Japonais. Il se lève et dit :
— Pour avoir menti, vous allez être marquées comme un animal ou une servante.
Les supplications recommencent. Les deux hommes retirent une tige de fer du brasero. De loin, je vois juste que l'inscription n'est pas très grande. Tous les deux crachent dessus et ça grésille. Ensuite ils appliquent le fer rouge au centre de la fesse gauche des filles pendant deux ou trois secondes. Les filles se raidissent dans leurs liens, puis on entend un magnifique double hurlement ! Oui, je sais, ce sera bientôt mon tour. Ils mettent un linge sur la marque et terminent en donnant une bonne claque sur le tissu pour le faire adhérer. Le double cri repart. Des gardes détachent les filles, elles gémissent et pleurent. Ils coincent le bas de leurs robes dans leurs ceintures pour que leurs derrières continuent d’être exposés et les conduisent dans un coin de la cour.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessin.
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