On doit toutes se mettre à quatre pattes, côte à côte sur deux rangées, nos fesses se faisant face. C'est spécial et inquiétant. Qu'est-ce qu'elle va nous faire ? Madame Stone, Nouzha et les deux étudiants se promènent entre nous, en envoyant des coups de fouet sur un cul puis sur un autre... négligemment. Madame Stone continue son discours qui se résume à « vous aurez la vie dure tant que vous n'aurez pas trouvé les fossiles ». Je pousse un cri, puis une autre fille crie... et ça dure, jusqu'à ce qu'elles se lassent de ce jeu cruel.
Madame
Stone nous dit :
—
On va faire quatre équipes. Nouzha, choisis sept filles.
Elle
nous désigne, Radia et moi, puis cinq autres filles. Les trois
étudiants choisissent aussi. Toutes les filles reçoivent un
pantalon, un sac à dos avec de l'eau et de quoi manger. Pour
communiquer, on a le cadran sur notre bracelet. Ça ne me dérange
pas d'être nue mais là, je suis contente d'avoir un pantalon, même
rouge, à cause des buissons et des épines. Nouzha nous dit :
—
Le terrain qui appartient à Mademoiselle Summer est délimité par
un fil de plastique rouge. Si vous dépassez cette limite, vous aurez
une décharge électrique dans votre collier. Vous devrez faire
demi-tour pour que ça s'arrête.
Elle
indique aussi où chaque équipe doit fouiller. On a même le plan
sur l'écran du bracelet. On part en équipe de deux.
On
a vu des documentaires sur les fossiles qui ont été trouvés et sur
la couleur des ossements. On cherche vraiment. On trouve des pierres
qui ont un peu la forme des fossiles, des outils indiens et même
deux pointes de flèches. On s'assied juste pour manger. Le reste du
temps, on cherche. Le soir, quand la lumière décline, notre
bracelet nous dit "rentrez". Ouf ! C'est pas de refus.
Au
camp, on mange bien : de la viande, des légumes, des fruits. Ils
veulent qu'on soit en forme ! Ensuite on a droit à des nouveaux
documentaires et à neuf heures du soir, Nouzha dit :
—
Au lit !
À neuf
heures ?! On regagne les tentes. Bien sûr, on est fatiguées, mais
neuf heures, c'est tôt. Les lits sont des matelas posés sur une
grande toile. Radia et moi, on partage le même matelas, deux autres
filles font la même chose. On s'embrasse, puis une chose en
entraînant une autre, on se lèche malgré la fatigue, on jouit,
avant de s'endormir enlacées...
***
Le
lendemain matin, on va déjeuner, stressées à l'idée du fouet.
Quand on a mangé, on ne doit pas se mettre à quatre pattes,
heureusement, mais debout sur deux rangées. Nouzha nous sermonne :
—
Plusieurs filles se sont caressées ou se sont léchées. Comme vous
devez mettre toute votre énergie à trouver ces fossiles,
Mademoiselle Summer a décidé de vous équiper de ce petit
gadget.
Elle nous
montre... une ceinture de chasteté ! Bien sûr, ce n'est plus
comme au temps des croisades, mais c'est quand même du métal et du
plastique.
Nouzha
commence par sa sœur, puis moi, puis les autres. Elle l'ajuste bien,
vérifie que les petites ouvertures sont bien devant le méat
urinaire et l'anus. Ma chatte est en prison : au secours !! Les
autres chefs équipent leurs filles. Quand on a toutes ce gadget qui
colle à nos parties intimes, on entend "clic" et Nouzha
nous dit :
—
Voilà, vous êtes bouclées ! Seule mademoiselle Summer pourra
vous libérer... Vous vous rendez compte que ce n'est que le début
des mesures pour que vous vous donniez à 200 %. Les autres façons
de vous stimuler seront beaucoup moins amusantes, croyez-moi....
Elle
réfléchit et ajoute :
—
En chasse, sauf Radia et Ash, vous venez avec moi.
Qu'est
ce qu'on a fait ?? On la suit dans sa tente. Elle enlève son jean
et son tee-shirt et nous dit :
—
Vous avez quelques minutes pour me faire jouir.... Radia la chatte,
Ash les seins...
Et
ça, c'est pas perdre du temps et de l'énergie ? Radia connaît
bien sa sœur. Elle se glisse entre ses cuisses et sa bouche vient se
coller à chatte de Nouzha. Celle-ci a replié son bras au-dessus de
sa tête, j'embrasse le buisson de poils de son aisselle, puis je me
jette sur ses seins comme un bébé Gomez affamé... J'ai
l'impression que Radia lèche sa sœur par plaisir. Après cinq
minutes, elle nous dit :
—
Changez maintenant !
Radia
vient vite lui sucer les seins tandis que je me glisse entre ses
cuisses. Oh ! c'est la mousson, là. Je suce son clito, puis fais
virevolter ma langue autour de lui. Elle me caresse le dos de son
pied nu.... Nouzha parle comme si on était attablé à une terrasse
et pas comme si deux esclaves la léchaient. Elle nous dit :
—
Je vais vous donner un petit plan, où vous aurez le plus de chance
de trouver les fossiles. Si vous les découvrez, vous serez
récompensées et moi aussi... Ooooh, toi, petite cochonne, tu lèches
aussi bien que ma sœur.... Aaaaaah....
Ah !
Quand même... Bientôt, elle jouit. Je la lèche encore un peu,
jusqu'au moment où elle dit :
—
OK, bougez.
On se
relève. Nouzha est belle et ça m'a plu de la lécher...
Heureusement que la ceinture de chasteté est en acier et plastique,
ça ne rouille pas. Mais je ne peux quand même pas imaginer qu'on va
rester longtemps comme ça.
***
Les
chattes en cage, ça va durer trois semaines ! Une éternité. Le
régime répressif s'intensifie : fouet, menaces, privation de
nourriture et puis obligation de manger de grandes quantités. Il y a
pire que le fouet : 30 minutes à genoux, les bras levés et bien
droits !
Ce
matin, on part vers la montagne, Radia et moi. On va examiner le flan
d'une colline où personne n'a fouillé. On sort des débris divers
d'une argile verte, mais rien qui ressemble à un os. Et puis
soudain, on entend :
—
Vous cherchez quoi, les filles ?
On
fait un bond et on se retourne. Il y a un Indien dans l'ombre de la
végétation. On ne l'avait absolument pas entendu venir. Il est vêtu
d'un jean et d'un tee-shirt, mais c'est bien un Indien. Je réponds
:
— Vous nous
avez fait peur, on ne vous avait pas entendu. Vous venez du
village ?
—
Non, je ne suis pas un Navajo, mais un Hopi.
Je
ne sais pas si on peut lui dire ce qu'on cherche. Je regarde Radia,
genre "On lui dit ?"... Et puis merde, s'il y a une
minuscule chance qu'il puisse nous renseigner... Je réponds :
—
Des ossements, des fossiles.
—
Des fossiles de dinosaures ?
—
Oui !
— Comme
ça ?
Il sort de
sa poche une dent, identique à celles des dinos qu'on cherche. Oh
putain, c'est ça ! J'en mouille ma ceinture de chasteté ! Je
lui demande :
—
Ouiii ! Vous pouvez nous montrer où vous l'avez trouvée ?
—
Vous voyez, j'ai un problème. Ma femme m'a quitté pour un Texan et
je respecte les filles et les femmes de ma tribu.
Je
lui dis :
— Si
on peut vous aider...
—
Oui, j'aimerais jouer avec deux petites Blanches, même si les fesses
de l'une d'elles doivent être un peu colorées.
Là,
il parle de Radia. Je réponds :
—
Si on fait ce que vous voulez, vous nous montrez ?
Avant
qu'il réponde, je tiens à lui montrer nos... appâts. Je relève
mon tee-shirt et lui montre mes seins, je les caresse... Il regarde
Radia, qui fait la même chose. Là, il est convaincu. Il lève la
main paume tournée vers nous :
—
On joue, puis je vous montrerai.
Je
baisse mon pantalon et je lui dis :
—
On nous a mis ça afin qu'on garde toute notre énergie pour chercher
les fossiles, mais je vais demander qu'on nous libère.
Je
compose le numéro de Summer sur mon bracelet. Elle répond tout de
suite :
—
Quoi ?
—
Summer, c'est très important. On est ici avec un Indien Hopi, je
crois que c'est un... charman...
—
Un shaman, sotte !
—
Oui, c'est ça. Il sait où se trouve le gisement, il nous a montré
une dent, c'est exactement la même que sur les photos. Si on est...
euh... gentille avec lui... il nous montre le gisement. J'y crois
vraiment, je...
Et
là, on entend "clic" et nos deux ceintures s'ouvrent. On
les enlève. Libres... enfin ! Nos chattes respirent à pleins
poumons... C'est une image ! L'Indien enlève son jean et son
tee-shirt. Son visage est marqué, mais il est mince et musclé.
Je
me colle à lui et je fais signe à Radia de faire la même chose
dans son dos. Il est coincé entre quatre seins. Il me caresse les
fesses et je sens son sexe contre mon ventre. Il m'embrasse... Je lui
dis :
— Si vous
voulez bien vous coucher.
Il
s'allonge et je dis à Radia :
—
Suce-le.
C'est
super d'avoir une équipière obéissante. Elle s'assied à côté de
lui et prends son sexe en main, puis elle dégage le gland et le met
en bouche. C'est ce que je voulais : que Radia le nettoie avec sa
langue, avant de participer moi-même. Je m'assieds de l'autre côté
et on le lèche à deux comme deux gamines... de 18 ans, qui
partagent un cornet avec une grosse boule de glace.
Il
est assez stoïque, oui, c'est un cha... shaman ! Il apprécie
notre façon de lécher sa bite et il nous caresse. Là, on entend un
bruit de moteur : une jeep arrive à toute allure. Sumer m'a
localisée grâce à mon bracelet. Elle monte la petite pente et
arrive où nous sommes. Elle parle en navajo à l'Indien qui lui
répond dans la même langue. Ensuite elle nous dit :
—
Bougez-vous.
Elle
se déshabille et, une fois nue, elle se met au-dessus de I'Indien,
un pied de chaque côté de ses hanches, puis elle s'assied
complètement sur son sexe. Je ne sais pas si elle est excitée à
l'idée du gisement ou si c'est nos salives qui ont bien lubrifié le
sexe de l'Indien... Les deux sans doute. Ses belles fesses vont et
viennent sur le sexe du mâle. Elle se penche sur lui, colle ses
seins sur son torse et l'embrasse sur la bouche. L'Indien lui
empoigne les fesses... Je sais que Summer parvient bien à contracter
son vagin, je l'ai déjà vu envoyer un homme au 7e ciel à toute
vitesse. Cependant, cet Hopi est un dur à cuire. Il lui dit quelque
chose en navajo et Summer nous traduit :
—
Une fille lui lèche les couilles, l'autre s'assied sur son
visage.
Je désigne
les couilles de l'Indien à Radia et elle rampe aussitôt pour les
lécher. J'adore avoir une esclave. Moi, je vais m'asseoir sur le
visage, son nez entre mes fesses et sa bouche contre ma chatte. Ça
fait trois semaines qu'on a pas joui et l'ensemble que nous formons
est tellement excitant... Summer s'est redressée pour me faire de la
place et je caresse ses seins tout en l'embrassant. C'est trop bon...
d'autant que je pense à Radia occupée de lécher des couilles
tandis que les fesses de Summer la heurtent à chaque coup de reins.
Pauvre !! Je rigole, j'adore l'idée... Trop ! Je jouis sous la
langue de l'Indien. Summer lui parle de nouveau en navajo. J'imagine
qu'elle lui dit :
—
Attention mon frère, "biche odorante" va t'envoyer au 7ème
ciel.
À
suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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