J'y vais aussitôt. Je lui dis :
— Merci c'est gentil. Je suis nouvelle et je ne connais rien....
— Je sais ce que c'est, et je sais qui tu es.
C'est une jolie brune avec un petit nez et de magnifiques yeux bleu foncé. C'est super de pouvoir parler à table. On discute de choses et d'autres, les autres filles discutent avec nous. Je leur demande :
— Vous êtes toutes libres ?
Il y a un silence, puis Nadia me répond :
— Bien sûr, on est libres... comme toi.
Là, elle regarde le bracelet à mon poignet. Les autres filles ont le même. Ah, d'accord ! L'histoire des filles libres est effectivement bidon, c'est juste pour intéresser les clients et les faire payer plus cher....
Je ne vais pas décrire la vie quotidienne dans un bordel de LA en 2028... Les clients sont des gens riches, ils sont propres et méprisants. À la fin de la première semaine, j'ai gagné pas mal d'argent... Enfin, je veux dire ma Maîtresse a gagné pas mal d'argent.
Je suis dans le grand salon, habillée d'un tailleur noir, hauts talons, collier de perles, lunettes noires non correctrices sur le nez. Je suis déguisée en Première Dame. Madame, celle qui dirige le bordel, arrive avec un homme d'une cinquantaine d'années, blond dégarni avec une drôle de tête, des yeux globuleux, une bouche molle et humide entr'ouverte. Ouch ! Il est aussi attirant qu'une bête morte depuis trois jours sur le bord d'une route ! Madame lui dit :
— Voici Ashley Stirland, l'ex Première Dame.
Elle se tourne vers moi en disant :
— Je te présente Jack Spinhof, héritier de la société des gisements de pétrole du Pacifique nord.
Du coup, il semble un peu moins dégoûtant. Comme quoi, je suis vraiment une pute ! Il me tend la main. Je la serre en disant :
— Heureuse de vous rencontrer Monsieur.
— Moi aussi...
Il me met une main sur les fesses et les pince en gloussant. Il est vachement familier, le pétrolier ! Quand il a fini de glousser comme un puceau devant son premier film porno, il me dit :
— Il paraît que tu fais super bien les pipes et que tu lèches bien les couilles aussi, hiiiiiii ! Et le trou du cul, hiiiiiiiiii !
Ah, d'accord... il est toujours au stade pipi-caca ! Avant que je puisse répondre, Madame me dit :
— Monsieur Spinhof est un client très important. S'il n'est pas entièrement satisfait, tu seras punie.
Voilà cette conne qui révèle que je suis une esclave alors qu'on doit se faire passer pour des femmes libres... Et puis, elle ne peut pas me punir. Enfin, je pense. Elle ajoute :
— Monsieur Spinhof sait que vous êtes toutes des esclaves.
Là, on a de nouveau droit à son rire idiot :
— Hiiiiiiiiiiii... je veux sentir la langue de la Première Dame s'agiter dans mon trou du cul, hiiiiiiiiiii !
!
Attention, tu vas tout lâcher dans ton pantalon... idiot congénital !!! Ce n'est pas ce que je lui dis. En vraie esclave qui a peur du fouet, je réponds :
— Je serai très honorée de lécher votre trou du cul, Monsieur.
— Hiiiiiiiiiii !
Ça va être péniblissime !! On va dans la plus belle chambre. Je commence à me déshabiller, mais il me dit aussitôt :
— Pas d'initiative ! Tu attends que je te donne un ordre, sinon voilà ce qui t'arrivera. Présente tes fesses !
Dès que je tourne mon derrière vers lui, il m'envoie une formidable claque !
— Aïïïeee ! Pardon, Monsieur....
Je suis habillée, mais je l'ai bien sentie, sa claque ! Il a de la force le bredin ! Il me dit :
— Si tu es sage et obéissante, tu seras récompensée, hiiiiiiiiiiiii !
Il sort un portefeuille de sa poche et prend plusieurs billets, en disant :
— Ça, c'est ton pourboire.
— Merci beaucoup Monsieur... vous êtes très généreux.
— Je sais... Tu en auras d'autres, si tu sage... Mais si tu désobéis, qu'est-ce ce qui se passera ?
— Je recevrai une fessée, Monsieur.
— Oui, hiiiiiiiiiii !
Il baisse son pantalon, sort ses bas morceaux de son caleçon, la bête sur le bord de la route est morte depuis au moins 6 jours. Il me demande :
— Comment tu la trouves ?
— Magnifique, Monsieur, c'est un grand honneur de...
— Embrasse, hiiiiiiiiii !
OK... j'embrasse la bête. Faut pas que je dégueule. Non, je suis une pute consciencieuse et une vraie trouillarde. Je couvre de baisers torrides son ventre de buveurs de bière, car il est maigre avec un gros ventre. Puis les poils blond-gris de son pubis, ses couilles, le membre blafard et son gland recouvert du prépuce, heureusement. Oui, lectrice imaginaire, j'arrête la description, pour passer à son hiiiiiiiiiiiii ordre suivant :
— Suce !
Je tire sur la peau. Non, ne dis rien Ashley, et je mets le gland en bouche. Ma tête va et vient sur son sexe. Il n'arrête pas de glousser, ça donne des hiiiiiiii, hooooooo, huuuuu sur différents tons. Il est complètement barjo !!! Il me dit :
— Maintenant, tu vas me le lécher, le trou du CUL !
Il se retourne et me présente son cul blafard. J'écarte ses fesses avec les mains. No comments, si ce n'est que je préférerais lécher le cul d'un phacochère diarrhéique !
— ASHLEY !!!
Ça, c'est ma voix intérieure. Oui, d'accord, j'arrête. Quand c'est fait, il me dit :
— Tu vas te déshabiller et me... présenter tes... appâts, hiiiiiiiiii !
J'enlève ma veste et mon chemisier, puis, en caressant mes seins, je lui dis :
— Voici les nichons de Cléopâtre.
— Hiiiiiiiiii !
Ensuite j'enlève ma jupe et ma culotte et je lui présente mes fesses en me cambrant. Je lui dis encore :
— Voici mes fesses qui espèrent vous plaire.
— Hiiiiiiiiiiii !
OK, c'est n'importe quoi mais ça lui plaît. Il me dit :
— Je vois la marque de ma main sur ton cul, hiiiiiiiiiiii....
Je me retourne pour lui montrer ma chatte en disant :
— J'aimerais sentir votre beau sexe en moi, Monsieur.
— Hiiiiiiii ! couche-toi sur le dos.
Merde ! J'espérais qu'il me prenne en levrette ! Il se couche sur moi et je l'aide à enfoncer son sexe dans ma chatte. Dès qu’il y est arrivé, je me dis « ce dingue ne doit pas savoir baiser ». Je le prends de vitesse en faisant semblant de jouir avec force cris et gémissements. Effectivement, quelques minutes plus tard, il jouit en moi. Bèrke !!! Il se retire en demandant :
— C'était bon ?
— Oh oui, merci Monsieur.
— Hiiiiiiiiiii !
Il s'en va... Bon vent, dingo. Je vais vite sous la douche et ma chatte recrache le sperme qu'il a mis en moi, comme si c'était du poison.
Je me rhabille avant d'aller au bureau. La maîtresse des lieux me demande :
— Il était content ?
— Oui, Madame, il m'a même donné un pourboire de 500 $.
— C'est bien, donne-le-moi, je le garde pour Summer.
Eh ! C'est à moi !... ou pas.
Je fais encore quelques clients... Normaux, ceux-là.
***
Le dingue revient le lendemain. On va dans une chambre et on baise... Lecteurs et lectrices imaginaires, vous allez me dire, "quoi, c'est tout ?" Oui et non... Bon, je le suce... bien obligée, je suis une pute... Il me regarde intensément tandis que j'ai sa bite en bouche. Quand il jouit, j'avale... Oui, je suis même une esclave pute. Il revient trois jours de suite... et à la fin, il me dit :
— Je sais que tu appartiens à une dénommée Summer. Je veux la rencontrer et lui faire une proposition... J'envisage de t'épouser.
Là, je suis sur le cul. Qu'il veuille m'acheter, je comprends. Les esclaves, ça se vend, ça s'achète, ça s'échange, ça se perd au jeu. Je réponds :
— Je suis très honorée, Monsieur, je vais lui demander de vous rencontrer.
— Fais-le rapidement.
— Merci c'est gentil. Je suis nouvelle et je ne connais rien....
— Je sais ce que c'est, et je sais qui tu es.
C'est une jolie brune avec un petit nez et de magnifiques yeux bleu foncé. C'est super de pouvoir parler à table. On discute de choses et d'autres, les autres filles discutent avec nous. Je leur demande :
— Vous êtes toutes libres ?
Il y a un silence, puis Nadia me répond :
— Bien sûr, on est libres... comme toi.
Là, elle regarde le bracelet à mon poignet. Les autres filles ont le même. Ah, d'accord ! L'histoire des filles libres est effectivement bidon, c'est juste pour intéresser les clients et les faire payer plus cher....
Je ne vais pas décrire la vie quotidienne dans un bordel de LA en 2028... Les clients sont des gens riches, ils sont propres et méprisants. À la fin de la première semaine, j'ai gagné pas mal d'argent... Enfin, je veux dire ma Maîtresse a gagné pas mal d'argent.
Je suis dans le grand salon, habillée d'un tailleur noir, hauts talons, collier de perles, lunettes noires non correctrices sur le nez. Je suis déguisée en Première Dame. Madame, celle qui dirige le bordel, arrive avec un homme d'une cinquantaine d'années, blond dégarni avec une drôle de tête, des yeux globuleux, une bouche molle et humide entr'ouverte. Ouch ! Il est aussi attirant qu'une bête morte depuis trois jours sur le bord d'une route ! Madame lui dit :
— Voici Ashley Stirland, l'ex Première Dame.
Elle se tourne vers moi en disant :
— Je te présente Jack Spinhof, héritier de la société des gisements de pétrole du Pacifique nord.
Du coup, il semble un peu moins dégoûtant. Comme quoi, je suis vraiment une pute ! Il me tend la main. Je la serre en disant :
— Heureuse de vous rencontrer Monsieur.
— Moi aussi...
Il me met une main sur les fesses et les pince en gloussant. Il est vachement familier, le pétrolier ! Quand il a fini de glousser comme un puceau devant son premier film porno, il me dit :
— Il paraît que tu fais super bien les pipes et que tu lèches bien les couilles aussi, hiiiiiii ! Et le trou du cul, hiiiiiiiiii !
Ah, d'accord... il est toujours au stade pipi-caca ! Avant que je puisse répondre, Madame me dit :
— Monsieur Spinhof est un client très important. S'il n'est pas entièrement satisfait, tu seras punie.
Voilà cette conne qui révèle que je suis une esclave alors qu'on doit se faire passer pour des femmes libres... Et puis, elle ne peut pas me punir. Enfin, je pense. Elle ajoute :
— Monsieur Spinhof sait que vous êtes toutes des esclaves.
Là, on a de nouveau droit à son rire idiot :
— Hiiiiiiiiiiii... je veux sentir la langue de la Première Dame s'agiter dans mon trou du cul, hiiiiiiiiiii !
!
Attention, tu vas tout lâcher dans ton pantalon... idiot congénital !!! Ce n'est pas ce que je lui dis. En vraie esclave qui a peur du fouet, je réponds :
— Je serai très honorée de lécher votre trou du cul, Monsieur.
— Hiiiiiiiiiii !
Ça va être péniblissime !! On va dans la plus belle chambre. Je commence à me déshabiller, mais il me dit aussitôt :
— Pas d'initiative ! Tu attends que je te donne un ordre, sinon voilà ce qui t'arrivera. Présente tes fesses !
Dès que je tourne mon derrière vers lui, il m'envoie une formidable claque !
— Aïïïeee ! Pardon, Monsieur....
Je suis habillée, mais je l'ai bien sentie, sa claque ! Il a de la force le bredin ! Il me dit :
— Si tu es sage et obéissante, tu seras récompensée, hiiiiiiiiiiiii !
Il sort un portefeuille de sa poche et prend plusieurs billets, en disant :
— Ça, c'est ton pourboire.
— Merci beaucoup Monsieur... vous êtes très généreux.
— Je sais... Tu en auras d'autres, si tu sage... Mais si tu désobéis, qu'est-ce ce qui se passera ?
— Je recevrai une fessée, Monsieur.
— Oui, hiiiiiiiiiii !
Il baisse son pantalon, sort ses bas morceaux de son caleçon, la bête sur le bord de la route est morte depuis au moins 6 jours. Il me demande :
— Comment tu la trouves ?
— Magnifique, Monsieur, c'est un grand honneur de...
— Embrasse, hiiiiiiiiii !
OK... j'embrasse la bête. Faut pas que je dégueule. Non, je suis une pute consciencieuse et une vraie trouillarde. Je couvre de baisers torrides son ventre de buveurs de bière, car il est maigre avec un gros ventre. Puis les poils blond-gris de son pubis, ses couilles, le membre blafard et son gland recouvert du prépuce, heureusement. Oui, lectrice imaginaire, j'arrête la description, pour passer à son hiiiiiiiiiiiii ordre suivant :
— Suce !
Je tire sur la peau. Non, ne dis rien Ashley, et je mets le gland en bouche. Ma tête va et vient sur son sexe. Il n'arrête pas de glousser, ça donne des hiiiiiiii, hooooooo, huuuuu sur différents tons. Il est complètement barjo !!! Il me dit :
— Maintenant, tu vas me le lécher, le trou du CUL !
Il se retourne et me présente son cul blafard. J'écarte ses fesses avec les mains. No comments, si ce n'est que je préférerais lécher le cul d'un phacochère diarrhéique !
— ASHLEY !!!
Ça, c'est ma voix intérieure. Oui, d'accord, j'arrête. Quand c'est fait, il me dit :
— Tu vas te déshabiller et me... présenter tes... appâts, hiiiiiiiiii !
J'enlève ma veste et mon chemisier, puis, en caressant mes seins, je lui dis :
— Voici les nichons de Cléopâtre.
— Hiiiiiiiiii !
Ensuite j'enlève ma jupe et ma culotte et je lui présente mes fesses en me cambrant. Je lui dis encore :
— Voici mes fesses qui espèrent vous plaire.
— Hiiiiiiiiiiii !
OK, c'est n'importe quoi mais ça lui plaît. Il me dit :
— Je vois la marque de ma main sur ton cul, hiiiiiiiiiiii....
Je me retourne pour lui montrer ma chatte en disant :
— J'aimerais sentir votre beau sexe en moi, Monsieur.
— Hiiiiiiii ! couche-toi sur le dos.
Merde ! J'espérais qu'il me prenne en levrette ! Il se couche sur moi et je l'aide à enfoncer son sexe dans ma chatte. Dès qu’il y est arrivé, je me dis « ce dingue ne doit pas savoir baiser ». Je le prends de vitesse en faisant semblant de jouir avec force cris et gémissements. Effectivement, quelques minutes plus tard, il jouit en moi. Bèrke !!! Il se retire en demandant :
— C'était bon ?
— Oh oui, merci Monsieur.
— Hiiiiiiiiiii !
Il s'en va... Bon vent, dingo. Je vais vite sous la douche et ma chatte recrache le sperme qu'il a mis en moi, comme si c'était du poison.
Je me rhabille avant d'aller au bureau. La maîtresse des lieux me demande :
— Il était content ?
— Oui, Madame, il m'a même donné un pourboire de 500 $.
— C'est bien, donne-le-moi, je le garde pour Summer.
Eh ! C'est à moi !... ou pas.
Je fais encore quelques clients... Normaux, ceux-là.
***
Le dingue revient le lendemain. On va dans une chambre et on baise... Lecteurs et lectrices imaginaires, vous allez me dire, "quoi, c'est tout ?" Oui et non... Bon, je le suce... bien obligée, je suis une pute... Il me regarde intensément tandis que j'ai sa bite en bouche. Quand il jouit, j'avale... Oui, je suis même une esclave pute. Il revient trois jours de suite... et à la fin, il me dit :
— Je sais que tu appartiens à une dénommée Summer. Je veux la rencontrer et lui faire une proposition... J'envisage de t'épouser.
Là, je suis sur le cul. Qu'il veuille m'acheter, je comprends. Les esclaves, ça se vend, ça s'achète, ça s'échange, ça se perd au jeu. Je réponds :
— Je suis très honorée, Monsieur, je vais lui demander de vous rencontrer.
— Fais-le rapidement.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
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