Je fais le renne à la demande du Père Noël... Je me demande bien ce qu’il va faire....
***
Mes livres coûtent 2,99 € et ils sont très, très chauds... idéal pour l’hiver.
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Ah non, je n’ai jamais de contraventions... même au Mexique.
***
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
Souvenir du 25 décembre : « Merci Père Noël. »
(Le Père Noël n’a rien à voir avec le religion, c’est même un sacré coquin!)
***
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J'aime les brunes qui ne sont pas épilées...
Mes livres coûtent 2,99 € et ils sont très, très chauds... C'est l'idéal pour l’hiver.
Ma chatte et moi, on vous souhaite un très joyeux Noël.
Je vous souhaite un très bon réveillon et un joyeux Noël 👄mia
Tout à coup, il fait beau et chaud en Belgique, du coup je me suis baignée 😃😃😃
***
Le dernier épisode de Lizy avec un dessin inédit est ici :
https://mia-michael-et-bruce-morgan.blogspot.com/
On est entourées d'une bande de singes lubriques qui se masturbent à toute vitesse. "Flaaac", c'est à nouveau le bruit mou du sperme qui atterrit sur nos joues.
D'autres "Flaaac" tombent sur nos seins, nos hanches...
Quand
ils ont tous fait leur petite affaire, le chef dit :
—
Les... hips... les amis, maintenant... on va ne... nettoyer ces
salopes.
Ils nous
pissent dessus. On reçoit leurs sales pisses chaudes depuis la tête
jusqu'aux pieds. Ils crient, s'encouragent, rient... Quand les hommes
ont fini de pisser, c'est au tour des filles de venir s'accroupir
au-dessus du plat pour nous pisser dessus...
Quand
ils ont tous vidé leurs vessies, le chef gueule :
—
Première servante !
Ayako
s'approche et répond :
—
Oui Monsieur ?
—
Reprends tes filles !
—
Certainement, Monsieur.
Elle
écarte un peu les bras en disant :
—
Vos oreilles !
On
est toutes les deux bien dressées. On va se pencher de façon
à ce qu'elle ait nos oreilles à portée de ses doigts. Elle pince
nos lobes qui glissent un peu et on la suit courbées en deux, en
gémissant. Dès qu'on est dans le couloir, elle nous lâche en
disant :
— Allez
vous laver... ensuite venez à la cuisine.
—
Oui Mademoiselle Ayako.
Je
prends la fille par la main et dès qu'on s'est éloigné, je lui
demande :
— Tu
es nouvelle ?
—
Oui. Quels salauds ces mecs et même ces filles !
—
Tant qu'on n'est pas punies....
—
Ça arrive souvent ?
—
Ryoko est dure et certains clients sont très difficiles).
Quelques-uns nous font fouetter parce que ça les excite.
—
Tu crois qu'on devra retourner chez ces gens ?
—
Non, ils doivent tout nettoyer, mais il y aura les clients du
soir.
On arrive à
la salle de douche. On se lave soigneusement l'une l'autre. On se
nettoie de tout ce qu'ils ont déversé sur nous ! On s'embrasse,
aussi.... Elle me plait... et je crois que c'est réciproque. On fait
toutes les deux pipi, mais sous la douche, pas sur le visage de deux
filles ! Quand on est propres et réconfortées par nos baisers, on
va à la cuisine. Je toque, puis on entre et on se plie en deux...
Ryoko nous dit :
—
Allez mettre une robe pour accueillir les invités...
On
va s'habiller, enfin, si on peut dire que ces petites robes qui
s'envolent sont des vêtements. Ensuite on va attendre devant le
château. Nous sommes les premières, on en profite pour parler un
peu. Je lui raconte qu'à un moment, on a toutes été transformées
en Malaises, ensuite on est redevenues normales, sauf les
fesses.
Elle me
répond :
— Moi
aussi, on a un peu augmenté mes fesses. Le Prince veut des
Occidentales avec de jolis culs... Dis...
Notre
conversation s'arrête là, car une servante est arrivé (arrivée)
sans qu'on s'en aperçoive et elle nous dit :
—
Alors, on discute ?
Je
me plie aussitôt en deux et réponds :
—
Je lui expliquais ce qu'il fallait dire aux invités, Mademoiselle.
—
Tu mens... Tu veux que Maître Seiba s'occupe de toi, demain matin
?
— Non, pardon
! Oui, j'ai menti parce que j'avais peur que...
—
Toutes les deux en position !
Je
me mets aussitôt "en position" : d'abord à genoux,
ensuite les deux mains posées l'une sur l'autre sur le sol et le
front sur les mains. De cette façon, les jupes s'envolent et nos
derrières sont bien exposés. La fille fait la même chose. On
attend le premier coup de fouet en tremblant, mais au lieu de ça, on
entend la servante dire :
—
Pardon, Messieurs, je m'apprêtais à punir ces esclaves qui parlent
sans autorisation.
Une
voix d'homme répond :
—
Je t'en prie, c'est amusant.
Ce
serait encore plus amusant si on fouettait le cul de babouin de ce
sale type ! Au lieu de ça :
—
Aïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
Aussitôt,
la fille crie, puis dit la même chose :
—
Aïïeee ! Un, merci Mademoiselle.
Cinq
fois, les trois lanières claquent sur nos fesses, qui doivent être
couvertes de marques rouges. Un homme me désigne en disant :
—
On peut prendre la fille qui s'appelle Boy-ra ?
—
Certainement Monsieur et n'hésitez pas à la punir si c'est
nécessaire ou pour vous amuser. Elles sont là pour ça.
Sale
garce ! Ils sont quatre. Ils examinent les filles qui sont là et un
des hommes dit :
—
Celle-là, aussi.
Il
ne désigne pas ma compagne, mais Mya-Tao, la jolie Birmane pas
sympa. On se retrouve chacune entre deux hommes ou plutôt
entre deux mille-pattes. Des tas de mains nous caressent les seins et
les fesses. Et ce ne sont pas les robes qui vont nous protéger. Ils
ont retenu une petite salle à manger. On y va et ils s'installent
autour d'une table sur laquelle il y a déjà des bouteilles de saké
et quatre verres. Ils sont contents de se retrouver entre amis
golfeurs ou collègues de bureau, à boire des coups ensemble et à
caresser des jolis culs.... Mya-Tao repère le chef ou celui qui est
le mâle dominant et elle va s'incliner devant lui en disant :
—
Comment peut-on vous faire plaisir, Maître ?
Etre
appelé Maître, ils adorent. Il répond :
—
Qu’est-ce que tu nous proposes ?
Vous
voyez que c'est le dominant, il répond à sa question par une
question.
— Nous
pourrions vous sucer à deux, pour commencer.
Il
regarde ses copains, ils sont d'accord. C'est certainement la
première fois que deux jolies filles vont les sucer à deux.
Elle dit à l'homme :
—
Si vous pouviez vous reculer un peu.
Il
se met à un mètre de la table. Elle enlève sa robe en me disant
:
— Tu dors ?
—
Non... euh... je...
Elle
dit aux invités :
—
Elle a un beau cul, mais elle n'est pas futée.
Elle
est vraiment garce ! J'enlève la petite robe. Nues, on se met à
genoux de chaque côté des jambes de l'homme. Il a déjà sorti son
sexe. Comment se lavent les hommes pour que leurs bites aient
toujours une odeur de marché aux poissons ??? Mystère ! Elle
m'embrasse sur la bouche au-dessus du sexe, puis elle tire sur la
peau pour dégager le gland et elle me le met dans la bouche. A
l'étage au-dessus, ils sont tous venus voir. Ils aiment nous voir
lécher la même glace. Ah si c'était une vraie glace dans un
cornet. Non, c'est un gros gland de golfeur japonais qu'on lèche. Je
sens qu'il ne veut pas qu'on le fasse jouir. Il dit à Mya-Tao :
—
Passez au suivant
—
Oui, Maître.
Le
suivant est plus âgé et sa bite n'est pas plus appétissante. Elle
m'oblige à le sucer la première. Je pourrais me rebeller, mais elle
est trop... décidée. Autour de la table, les golfeurs boivent,
plaisantent et rient. On passe aux deux suivants... Quand la bite du
dernier est propre, un des hommes nous dit :
—
Et maintenant, que proposez-vous, les filles ?
C'est
bien sûr Mya-Tao qui répond :
—
On pourrait s'asseoir sur vos bites et vous chevaucher.
Ils
se regardent et l'un d'eux nous dit :
—
Bonne idée.
Elle
s'incline, les mains jointes, en disant :
—
On pourrait avoir une gorgée de saké, s'il vous plait ?
Difficile
de refuser, quand c'est demandé aussi humblement. Ils nous laissent
boire un peu de saké. Putain ! Ça fait du bien et ça
désinfecte la bouche.
On
monte toutes les deux sur la bite dressée d'un homme. Le saké
aidant, on est en forme pour un peu de trot sur bite. Les hommes
embrassent nos seins qui vont et viennent sous leurs nez. On les a
déjà bien chauffés en les suçant et après quelques minutes, ils
jouissent en nous. On descend de cheval et on pioche dans une boite
de Kleenex de quoi, plus ou moins, se rafraîchir la chatte. On
attaque les deux derniers.... Ils jouissent tout aussi rapidement....
Cool.
On a encore
droit à un verre de saké chacune. Mya-Sato parle encore un peu avec
eux. Elle leur demande de nous donner une bonne cote. Ils sont
contents, ils le feront. On les reconduit jusqu'au pont pour qu'ils
reprennent la bateau. Ensuite on va prendre une douche. Mya-Tao me
dit :
—
Lave-moi.
J'obéis.
***
Le
lendemain en fin d'après-midi, on est toutes devant le pont. Il ne
reste plus beaucoup de filles de notre groupe du départ. Plusieurs
filles sont parties, tandis que des nouvelles arrivent tous les
jours. On voit arriver un groupe d'hommes qui doivent enterrer la vie
de garçon de l'un d'eux. Ils sont déjà bien entamés quand ils
arrivent... Ils nous examinent en plaisantant. Ils tâtent un sein,
une fesse. Ils choisissent Mya-Tao, puis regardent les autres filles.
Elle me dit :
—
Montre tes fesses !
Non
mais, de quoi elle se mêle ? J'ai envie d'être avec une autre
fille. Je reçois quelques claques sur les fesses. Un homme dit :
—
Elle a un beau cul, on la prend.
Tandis
qu'on se dirige vers une salle à manger, je lui murmure :
—
Pourquoi m'as-tu dit de montrer...
—
Tu dois me vouvoyer, si tu ne veux pas être punie ! Compris ?
—
Oui, Mademoiselle.
Oui,
je fais ce qu'elle dit. On arrive dans une salle à manger. On mange
et on boit un peu, on flirte et on baise beaucoup. La routine, quoi.
A la fin du repas, un des hommes nous dit :
—
Chantez...
Ils
nous prennent pour des geishas parce qu'on couche comme elles, mais
on n'a pas appris à jouer d'un instrument de musique ou à
chanter.
Je
réponds :
—
Pardon, Maître, mais on n'est pas des geishas, on n'a pas...
—
CHANTEZ ! Ou on vous fait fouetter !
Inutile
de discuter avec un sale type bourré, Mya-Tao me dit :
—
Tu connais "Forever to you" ?
—
Oui.
C'est une
chanson qu'on entend partout au Japon. Elle me dit :
—
A 3... 1 - 2 - 3
—
Foreveeeeerrr....
J'ai
une voix très aiguë et je chante juste. Coïncidence, Mya-Tao a la
même voix très aiguë. On dirait deux gamines prépubères qui
chantent cette chanson d'amour.
Les
hommes arrêtent de rire et de déconner pour nous écouter. A la fin
de la chanson, ils nous applaudissent. Ils ont aimé et ils sont
contents, c'est le principal. Je dois dire qu'on formait un
très beau duo. On boit encore un peu avec eux, on baise aussi... La
soirée se termine, on les reconduit à l'embarcadère. Ensuite,
Mya-Tao disparaît. Tant mieux.
***
Le
lendemain au petit déjeuner, Thaï 2 dit :
—
Mya-Tao, Cécile, ici.
Oh
! Elle m'appelle par mon vrai prénom. On va aussitôt s'incliner
devant sa table, elle nous dit :
—
Chantez !
Encore
!?! Bon... On se regarde, elle compte 1 - 2 - 3 et :
—
Foreveeeerrrrr....
Tout
le monde nous écoute... Nos voix aiguës sont belles dans cette
grande salle à manger. Quand on a fini notre chanson, on s'incline.
On est applaudies, c'est surprenant. Thaï 2 fait un petit geste de
la main que j'interprète comme "retournez à votre table".
Quand on a déjeuné, on rejoint des clients dans leurs chambres.
A
2 h de l'après-midi, une servante vient me dire :
—
Va sur le terrain d'atterrissage.
Inutile
de demander pourquoi.
Je
quitte le château et je croise des gardes et des servantes, personne
ne me demande où je vais... Vers la liberté ? Je vais
attendre sur le bord de la piste d'atterrissage. Dix minutes plus
tard, Mya-Tao arrive. Encore elle !! Et elle me dit :
—
Tu ne me salues pas ?
Elle
est tellement sûre d'elle.... que je m'incline en disant :
—
Si, Mademoiselle.
Oui,
bon.... Je devrais... lui dire que... rien, car un
hélicoptère arrive et atterrit.
Une
porte s'ouvre et une gamine saute sur le sol. Elle a l'air d'avoir 14
ans. Elle est habillée, coiffée et maquillée comme une Tokyo Idol,
ces groupes de gamines qui chantent et ont des fans chez les jeunes
et surtout chez les hommes plus âgés. Elle a une coiffure très
élaborée avec des couettes, les yeux très maquillés, une petite
bouche rouge. Elle est vêtue d'une robe très courte et décolletée,
mais avec des manches bouffantes. Aux pieds, elle a des chaussures
plates et ses bas noirs s'arrêtant (s’arrêtent) à mi-cuisse,
c’est-à-dire à une dizaine de centimètres du bas de la robe. Un
mélange de petite fille et de vamp.
Ah
oui, elle tient un ours en peluche dans une main. Entre filles, on a
l'habitude de s'examiner rapidement, j'ai noté tout ça en
quelques secondes. On s'incline à 45 °. Elle nous dit :
—
C'est vous qui chantez ?
Oh
! Elle a une voix encore plus aiguë que les nôtres ! On se redresse
et Mya-Tao répond :
—
Oui Mademoiselle.
Elle
regarde l'ours qu'elle a en main et lui demande :
—
Qu'est-ce que tu en penses, Kumasan (Monsieur Ours) ?
—
Elles sont mignonnes, mais moins que toi, ma chérie.
C'est
elle qui fait la voix de l'ours. On la regarde avec des grands yeux.
Elle dit :
—
Kumasan vous a fait un compliment, vous ne lui répondez pas
?
Mya-Tao répond
aussitôt :
—
Merci Kumasan, vous êtes très gentil et très beau.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Nos
7 livres illustrés sont ici
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Oh, j’ai crû voir un rominet... suite :
Aïe !!
Oh ! J’ai crû voir un rominet... je veux dire un poisson-chat 😄
Danse du ventre et plus à domicile.
Il y a un nouvel épisode de Lizy sur mon blog gratuit avec un super dessin inédit de Bruce Morgan :
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J’aime avoir le nez dans une belle fourrure.
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Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
Ici, il gèle. Et dire qu'en juillet il y avait ce temps là !
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Avec le temps qu’il fait chez nous, une douche, même tiède, on n’en a pas envie.
Souvenir de vacances dans les Caraïbes (on fait semblant, hein...)
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Comment avoir des jambes et des fesses bien musclées.
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Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
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Une rareté en Belgique : non, pas mes fesses, mais une fleur de bananier.
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Qu’est ce que tu as, ses pieds ne sont pas lavés ?
- Oui, mais y a pire : ils sont froids !
***
Dessin de Bruce Morgan pour « Mia sans dessous » tome 1
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Le lendemain je me lave et je remets la même robe. Je vais dans la salle à manger et j'embrasse discrètement les filles de notre groupe qui n'ont pas dormi avec des invités. Une servante fonce sur moi pour me dire :
— Toi, tu ne manges pas. Tu peux boire du
café, c'est tout.
Mais, pourquoi ?? J'ai faim, moi. Inutile de
poser la question. Je réponds :
— Oui, Mademoiselle.
J'ai
léché cette servante et je l'ai fait jouir. Elle pourrait avoir la
reconnaissance du mollusque ! Le petit déjeuner terminé, on doit
attendre, dans un petit salon, les demandes des invités qui veulent
une fille dans leurs chambres. Ayako qui est la chef des servantes me
dit :
— Toi, à la cuisine.
Toujours pas d'explication.
Des servantes et des gardes sont dans la cuisine. Je salue tout le
monde. Ayako me dit :
— Enlève ta robe et mets-toi à quatre
pattes sur la table, le front sur les mains.
Pourquoi ???
J'obéis. Qu'est ce qu'ils vont me faire ? Si un garde veut me
baiser, il lui suffit de m'attraper, de me trousser et de m'enfiler.
Ayako enfonce son doigt dans mon derrière avec un corps gras ! Eh,
oh ! Ensuite, elle enfonce quelque chose dans mon anus.
—
Aïïïe !
— Tais-toi !
Ils trafiquent quelque chose
derrière moi et je sens un liquide m'inonder. Elles m'administrent
un lavement, mais j'en ai pas besoin ! Peut-être est-ce la demande
d'un client qui veut sodomiser une fille lavée de partout. Au début,
c'est juste un peu désagréable et puis progressivement ça devient
douloureux. Je crie :
— Aïe ! Ça fait mal Mademoiselle
Ayako !
Je commence à avoir des crampes ! Pourquoi, ils me
font ça ? Les crampes me tordent le ventre !
Enfin,
le jet s'arrête, la servante enlève la canule mais aussitôt, elle
m'enfonce un énorme truc dans le derrière.
— Aaaaaaïïïeeee
!!!!
— Tu n'arrêtes pas de crier ! Tu veux un peu de fouet
pour t'appendre à te taire ?
— Nnnnooonnnn
Mademoiselle...
Elle me donne une bonne claque sur les fesses en
disant :
— Mets-toi debout !
Je me lève péniblement,
mon ventre est énorme et j'ai des crampes. Je crie :
— Je
dois aller aux toilettes !!
— Quand on te le dira !
Un
des gardes dit :
— Ça m'excite de la voir avec ce gros
ventre. Viens me sucer, Boy-ra.
Oh non, pas me mettre à
genoux ! Une servante avance la main vers un fouet qui se trouve
sur la table. En gémissant, je m'agenouille. Ouch ! On dirait que
je suis enceinte de quintuplés qui me shootent dans le ventre pour
sortir. Le garde a sorti son sexe, je le suce en gémissant ! Je
vais m'évanouir en le suçant ! Ça doit vraiment l'exciter, car
il ne faut que quelques minutes pour qu'il jouisse. J'avale
tout et il dit :
— Elle m'a bien sucé, laisse-la y aller
Ayako.
Elle répond :
— D'accord, mais à quatre
pattes.
Je me mets péniblement par terre et je courre, enfin,
façon de parler, j’avance en gémissant jusqu'aux toilettes. Mon
gros ventre ballotte sous moi. Je m'assieds. Oh merde ! j'ai un
"butt plug". Je pousse en le tenant et je m'éclate presque
l'anus quand il sort. Ensuite, j'expulse des litres. Quand c'est
fini, je me lave un peu et je retourne à la cuisine. Ayako me dit
:
— Deuxième lavement.
Je me mets à pleurer, mais bien,
genre sangloter. Elle me dit :
— Sans laxatif... Allez, en
position !
Je dois encore subir trois lavements, mais sans
"butt plug" et moins de volume d'eau aussi. Au troisième,
une servante vient voir ce que j'expulse. Elle dit :
— C'est
de l'eau claire. C'est bon, on va te préparer.
Je n'ose
toujours pas demander pourquoi...
On retourne dans la cuisine.
Là, je dois m'étendre dans un long plat en plastique qui fait
ma taille. J'ai compris, enfin ! Ils vont me mettre de la
nourriture sur le corps et des gens vont la manger... Une femme entre
dans la pièce, elle est vêtue d'un joli kimono et elle est
soigneusement coiffée et maquillée. Les servantes la saluent. La
femme leur dit :
— Vous pouvez la préparer.
Ayako replie
mes jambes, comme on fait pour langer un bébé. Elle lubrifie mon
vagin. La femme lui donne un curieux instrument qui a la forme d'un
oeuf assez gros, mais avec une partie qui forme un vase recourbé.
Elle enfonce l'oeuf dans mon vagin, là, il n'y a pas de problème.
La partie vase sort de moi, l'ouverture vers le haut. La femme me dit
:
— Je pratique l'art de l'Ikebana. On va te transformer en
bouquet. Tu écartes un peu les jambes et tu ne bouges pas, c'est
tout.
Elle met deux jolies fleurs orange dans mon vase, suivies
de feuillage délicat et de deux branches. Elle regarde, ajoute une
fleur, une petite branche... Elle regarde encore, change l'ordre. Je
n'ose pas relever la tête pour bien regarder, mais je vois quand
même de l'art surgir de ma chatte, c'est... spécial.
Je me
dis... Pourquoi suis-je tombée sur cette sorte de maffia dont je
suis prisonnière, j'aurais pu être baby-sitter chez des gens
raffinés, artistes. Je... m'arrête de penser, parce que la fille a
fini son bouquet. Les servantes la félicitent et elle s'en va. Ayako
me dit :
— Après l'Ikebana tu vas découvrir l'art du
Nyotaimori. Ne bouge pas du tout.
Les filles me recouvrent de
sushis, de fruits et de légumes... Je dois un peu desserrer les bras
et des petites bananes émergent de mes aisselles. C'est...
surréaliste. J'ai des sushis sur les seins et il en descend jusqu'à
mon nombril. Elles y mettent un lychee.
Je ne vois plus ce
qu'elles font, parce qu'elles déposent des rondelles de concombre
sur mes paupières. Je dois tenir des fruits ou des légumes dans les
mains et elles glissent même des aliments entre mes orteils.
Ayako
va appeler des gardes et ils prennent le grand plat dans lequel je
suis. Sans aucune secousse, ils le soulèvent et me conduisent dans
une salle à manger. Là, ils me déposent sur une table et j'entends
des gens dire en japonais :
— Très joli !
— Bravo. À
table les amis.
J'entends aussi des voix de femmes. Je suis dans
le noir tandis que des baguettes me chatouillent du cou jusqu'aux
pieds. Surtout ne pas bouger ! J'imagine le scandale si je me
levais en disant "Je dois pisser". J'ai soif, j'ai chaud et
je transpire... La fumée des cigarettes me chatouille également le
nez.
C'est long... J'ai envie de bouger, pourvu que je n'attrape
pas une crampe ! Je veux rentrer chez moi ! Je pense à des
choses sympas, mon évasion, un amoureux... Oh ! On enlève les
rondelles de concombres que j'ai sur les paupières. J'ouvre les yeux
de quelques millimètres pour voir qui me mange.
Vous
serez sans doute d'accord avec moi pour dire que, pour nous, les
Japonais se ressemblent tous. Ils doivent sans doute dire la même
chose au sujet des Occidentaux. J'aperçois des hommes pas jeunes et
des jolies filles très jeunes, logique. Je vois aussi sur
l'avant-bras d'un homme, qui a relevé les manches de sa chemise, un
tatouage de dragon. Ça, c'est signé le milieu ! Message bien
reçu, il s'agira de ramper encore mieux qu'à l'habitude, sinon je
risque des problèmes !
Ils mangent, tandis que je deviens de
plus en plus nue. Ils boivent pas mal aussi, rient, flirtent... Il ne
me reste plus grand-chose sur le corps, quand une fille dit d'une
voix aiguë :
— Maintenant, j'ai envie de manger un dessert,
daddy.
— Si tu veux ma mignonne.
Je reçois une claque
sur la cuisse et un homme me dit :
— Tu dors ?
— Non,
Monsieur.
— Laisse la place pour le plat suivant,
lève-toi.
Les servantes m'ont dit de ne pas bouger, mais si un
invité tatoué me donne un ordre, j'obéis. J'ouvre grands les yeux,
c'est bien ce que j'avais aperçu : des Japonais plutôt patibulaires
avec de très jolies jeunes femmes. Je sors du plat, descends de la
table et je m'incline à 45 ° en disant :
— Je suis très
honorée d'avoir été votre plat.
Quelques rires. Ouf ! Un
homme me demande :
— C'est toi Boy-ra ?
— Oui Monsieur,
à votre service.
— Montre tes fesses.
Je me retourne et
me cambre un peu. Un homme dit :
— Ça c'est un cul, hein les
filles ?
Les filles s'écrient : "trop grosses" et "un
cul de Négresse, oui !"
Quelles connes ! Il est trop
beau mon cul et puis les Blacks ont les plus beaux culs du monde
!!
La nourriture qui me reste sur le corps dégouline le long de
mes jambes. De plus, je dois les écarter à cause de ce bouquet dans
mon vagin. Je dis à l'homme qui semble être le chef :
— Je
peux retirer le vase et les fleurs Monsieur, s'il vous plaît ?
—
Oui.
Je l'enlève après m'être retournée. Un des hommes
demande :
— Qui veut baiser Boy-ra ?
Une fille répond
:
— Qui veut baiser une assiette sale ?
Rires. Le chef me
dit :
— Va prendre une douche Boy-ra et reviens rapidement.
Je
m'incline à 45° avant de quitter la pièce. Je passe d'abord aux
toilettes, puis je vais prendre une douche... Ça fait du bien. J'ai
faim, je n'ai rien mangé depuis hier soir.
En y réfléchissant,
je n'ai vu qu'un type tatoué, je pense que les autres doivent être
des hommes d'affaires.
Je ne traîne pas trop, je connais ces
clients, ils ne sont pas patients.
Je retourne dans la petite
salle à manger. Je toque, entre et m'incline à nouveau. Oh ! Il y
a une fille couverte de desserts au milieu de la table. C'est
une brune que je ne connais pas. Sur son corps, il y a des desserts,
surtout occidentaux. Toutes sortes de petits gâteaux sont disposés
sur elle. Beaucoup sont au chocolat, j'adore ça. Je vais près de la
fille qui m'a traitée d'assiette sale pour lui demander :
—
J'ai faim Mademoiselle, je peux manger, s'il vous plaît ?
Elle
regarde le gros homme qui est le chef, comme je pensais. Il hoche la
tête. Elle me dit :
— Vas-y, petite.
Une des filles est
assise sur les genoux d'un homme, sa place est libre. Je m'incline et
je m'assieds prudemment en regardant si personne ne râle. Ça va les
hommes discutent ou flirtent.
Je regarde le plat, c'est-à-dire
la brune nue couverte des desserts. C'est très amusant, surtout
quand on n'est pas couché à sa place. Elle a des biscuits ronds sur
les paupières. Je prends un petit gâteau au chocolat qui est en
dessous de ses seins et je le dévore. Le chocolat, c'est trop bon.
Les gens picorent, moi je dévore. Après les gâteaux, je trempe des
langues de chat dans la glace à la framboise qui est occupé de
fondre sur sa chatte. J'ajoute un peu de crème fraîche, mmmmhhh !
C'est bon. Là, je me rends compte que tout le monde me regarde. Je
dis :
— Je... j'ai demandé si je pouvais...
Une fille
répond :
— On regarde le fauve dévorer.
— Pardon,
je...
Le chef me dit :
— Mange directement sur elle, sans
les mains.
Je les amuse et ils veulent du spectacle. Je mange la
glace à la framboise carrément sur sa chatte et je poursuis même
entre ses cuisses. Ils rient... cool... J'embrasse la fille sur la
bouche, je passe d'une paire de lèvres à l'autre. Je n'ai plus trop
faim, mais puisque ça les amuse, je lèche ses pieds recouverts de
chantilly. Un homme me dit :
— Faites 69.
Les autres
approuvent, bonne idée. Ils sont bourrés, donc partants pour
n'importe quelle connerie. Je m'accroupis sur le visage de la fille
aux desserts, on ne lui a rien mis dans les oreilles et elle a bien
compris, sa langue vient frétiller dans la région de mon clitoris.
Je relève ses cuisses et je lèche sa chatte aussi. Sa chatte sent
bon la fille et la glace à la framboise, j'aime les deux. Je
continuerais bien à la lécher et à me faire lécher, mais un homme
dit :
— Je vais a... arroser ces petites salopes.
Ils
sont tous partants. Oh merde ! Ils vont remettre ça avec un buk...
kake. Tous les hommes viennent autour de nous. L'un d'eux dit :
—
Faut les foutre par terre, c'est trop difficile de les atteindre sur
la table.
C'est toi qu'on devrait foutre par la fenêtre,
connard ! Je reçois une bonne claque sur les fesses, tandis qu'on
me dit :
— Debout !
D'accord, je remets ma langue dans
ma bouche, la fille aussi et on se décolle. On se met toutes les
deux sur nos pieds. J'aide la fille qui est ankylosée d'être restée
si longtemps immobile. Elle a des restes d'aliments sur le corps, moi
aussi. Je remarque le koï de la marque au fer rouge sur sa fesse. Le
chef nous dit :
— Toutes les deux, couchées face à face.
On
s'allonge dans le plat qui est assez étroit, collées l'une à
l'autre. La fille me murmure :
— Qu'est-ce qu'ils vont nous
faire ??
— Jouir sur nous.
À suivre
Un
grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Bruce Morgan a illustré les 5 tomes de "Mia sans dessous" et "Samia, fille du voyage."
Ils sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search