Elle
élève la voix et dit :
—
Meadow !
Une
gamine bondit presque. Elle a des cheveux blond roux et un physique,
disons, campagnard, des taches de rousseur, un nez un peu large et un
espace entre les incisives supérieures. Elle n'a pas un bel uniforme
comme les autres servantes mais une robe tablier pas très propre.
Madame Stone me désigne du doigt en disant :
—
Cette fille va te remplacer et tu devras lui expliquer le travail. Tu
lui donneras le vêtement que tu as sur le dos et tu pourras mettre
un uniforme. Si tu la dresses bien, tu seras une servante.
Grand
sourire de la fille ! Oui, à l'idée d'être une servante...
—
Tu pourras la punir comme on a fait avec toi : des claques et le
strap sur les fesses, autant que tu veux... sans la blesser. Si elle
n'accepte pas sa punition, tu viens me trouver et elle aura le
double. Maintenant, c'est ton esclave, tu comprends ?
—
Oui Madame.
— Va
chercher un uniforme et donne lui le tien Ah, avant ça...
Lizza !
Aussitôt,
une jolie rousse qui était occupée à nettoyer de l'argenterie se
lève et vient lui faire une révérence. Madame Stone lui demande
:
— Tu étais
une star des réseaux sociaux ?
—
Oui Madame.
— Tu
sais te servir d'une caméra ?
—
Oui Madame.
— Tu
vas la filmer chaque fois qu'elle fera un travail différent. Tu
filmes ce qui est intéressant. Il faut que Meadow la punisse de
façon variée, comme on a fait avec elle au début.
Grand
sourire de cette garce de paysanne de Meadow. Madame Stone poursuit
:
— Mettez-vous
d'accord et si le film est bon, Meadow deviendra une servante et toi,
Lizza, première fille. Prends cette caméra et allez-y...
Les
filles font une révérence et Meadow me prend par le bras. On va
dans une petite pièce qui doit servir de vestiaire. Lizza commence à
filmer tandis que Meadow enlève sa robe tablier. Elle me la tend en
disant :
— Mets
ça
Je la prends,
mais elle me donne une gifle en disant :
—
Là, tu dis merci en faisant une révérence.
Je
le fais en disant :
—
Merci Mademoiselle.
Elle
a de la force, cette garce, elle a dû travailler dans les champs
depuis ses 6 ans. Je frotte ma joue qui doit être bien rouge. La
robe tablier qu'elle me donne se boutonne devant. Sur le dos, il est
écrit « NETTOYAGE » en lettre rouge. Elle pue la
transpiration.
On
finit toujours par payer... Enfin, pas tout le monde, mais moi, oui.
Je me suis amusée à punir des esclaves, le Seigneur me le fait
payer... cher. Peut-on imaginer plus grande dégringolade sociale que
passer de Première Dame des États-Unis à esclave de
Meadow ?
Meadow
enfile l'uniforme noir des servantes avec le tablier blanc. Lizza lui
dit :
— On
commence par quoi ? Qu'est-ce qui est le pire ?
—
Les toilettes du personnel.
—
OK.
Je les suis
dans mon uniforme puant... On va dans un petit local et Meadow me
donne une raclette, une brosse dure, un seau, une serpillière, du
liquide de nettoyage et de l'eau de javel. Pas de gants en
caoutchouc, bien sûr : une esclave doit nettoyer les chiottes à
mains nues. Quand j'ai tout le matériel dans les mains, Lizza me
filme tandis que je suis péniblement Meadow... On doit s'approcher
des toilettes du personnel parce que ça commence à puer. Lizza lui
dit :
— Ça fait
au moins une semaine que tu ne les as pas nettoyées.
—
Madame Stone m'a dit...
—
Parle pas devant la fille, Meadow.
—
Oui, pardon.
Avant
de commencer ma punition – non, mon chemin de croix – je suis
bien consciente que tout ça n'arrive pas par hasard. Le fait qu'on a
dit à Meadow de laisser les toilettes dans cet état renforce l'idée
que mon acheteur savait très bien qu'il allait faire mon
acquisition, même avant la fuite de mon couard de mari. Je suppose
que tous ici, ils savent très bien qui je suis. Le film en est la
preuve, je suis certaine qu'on ne filme pas les autres filles lors de
leurs débuts. J'espère juste qu'après m'avoir bien punie et
humiliée, ils me feront rencontrer des gens qui ont envie de
s'envoyer la femme de l'ex-Président des États-Unis. Je vais serrer
les dents, en attendant Summer.
Les
toilettes sont comme prévu : dégueulasses. Il y a deux urinoirs et
deux w.c. Meadow me dit :
—
Remplis ton seau, mets du liquide de nettoyage, ensuite récure le
sol avec la brosse.
Quand
c'est fait, je mets à genoux dans la vieille pisse et je récure le
sol. Lizza me filme pendant un moment. Quand elle s'arrête, les
filles discutent des autres servantes et de moi. Elle parle de ce
qu'elles vont me faire... comme si je n'étais pas là. Hélas, je
suis là et je frotte le sol dégoûtant. Puis je rince bien à l'eau
et, avec la raclette, je fais tout partir vers une petite grille dans
le sol.
Lizza dit
:
— Vérifie si
c'est propre, Meadow, je filme.
Les
mains derrière le dos, Meadow inspecte. Oh ! qu'elle se sent
importante tout à coup, la sale petite péquenaude ! Du bout du
pied, elle montre une trace sur le sol, en disant :
—
Et ça, cochonne ? Lèche.
Je
vais lécher entre ses pieds, mais je n'ai qu'un goût de produit de
nettoyage dans la bouche. Ensuite, toujours du bout du pied, elle me
fait lécher ici ou là, au gré de sa fantaisie.... Au pied d'un
urinoir, il y a une saloperie de croûte qui n'est pas partie. Là,
elle prend son pied en me faisant lécher et même gratter avec les
dents une croûte qui a un horrible goût de pisse.
Lizza me demande :
—
Tu veux te rincer la bouche ?
—
Oui Mademoiselle...
—
Il y a de l'eau dans la cuvette des w.c., vas-y.
Un
jour, je paierai un tueur pour leur coller une balle dans les genoux.
En attendant, elle rigole de me voir laper l'eau dans la cuvette des
w.c. Lizza arrête de filmer et je continue mon nettoyage d'autant
plus soigneusement que je sais que je devrai lécher ce qui est
encore sale.
Une
heure plus tard, je suis rouge et en nage. Je n'ai jamais aussi bien
nettoyé. Les deux filles n'ont pas arrêté de parler et de rire...
Maintenant, Lizza reprend la caméra, tandis que Meadow me dit :
—
Inspection de ton travail, souillon !!
Elle
repère une ignoble virgule brune sur un mur et je dois la lécher :
quelle horreur, je vais tomber malade !!
Ensuite
elle m'engueule, mais bien :
—
Tu appelles ça nettoyer ?
—
Mais... euh...
—
Tu es sale naturellement ou tu fais ça pour te foutre de nous ? On
t'a dit que ces chiottes devaient être impeccables et ce n'est pas
le cas. Tu vas être punie. Mets-toi à quatre pattes.
Elle
prend une bande de cuir assez rigide, longue de 50 cm, puis elle
relève l'uniforme sale que je porte et, quand mes fesses sont nues,
elle dit :
— Tu
vas avoir dix coups de strap. Écarte un peu les jambes. Ensuite, tu
comptes et tu remercies. Compris ?
—
Ouiii.
J’entends
le bruit caractéristique de la bande de cuir qui fend l’air
"Ffwwwiiiiii" et :
—
Aaaïïïeee ! Un, mer... merci.
Une
bande de feu me traverse les fesses d’une hanche à l’autre. elle
dit :
— Celui-là
ne comptait pas, c’était pour m’exercer.
Ensuite
elle se met à taper très rapidement, depuis le haut des cuisses
jusqu’au haut des fesses.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeee ! Un, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Ouch ! Deux, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeeeeeee ! Trois, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeee ! Quatre, merciii...
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeeeiiii ! Cinq, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïïïïïïïeee ! Six, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Ouch ! Sept, merci....
Elle
s’arrête, puis se tourne vers Lizza pour lui expliquer pourquoi
:
— J’attends
un peu pour qu’elle sente encore mieux les derniers
coups.
Maintenant,
ce n’est plus une bande de feu, c’est mon derrière tout entier
qui est un brasier. Je pleure en gémissant, tandis que mes fesses
continuent à se contracter et à se relâcher spasmodiquement. Elle
me demande :
—
Dorénavant, tu m’obéiras ?
—
OUI ! Oui, Mademoiselle...
—
Je te crois. Hélas pour toi, c’est trop amusant de voir ton gros
derrière rougir. Attention !
Je
crie... Je compte encore trois fois avant qu’elle ne s’arrête.
Qui peut se réjouir autant de faire souffrir une esclave ? Une
voix me dit « toi ». Mais c’était avant et je ne savais pas
que ça faisait si mal ! Si, je le jure... enfin pas "si"
mal.
***
Je
passe une semaine avec ces deux tortionnaires. Elles me font
travailler et me filment depuis 7 h du matin jusqu'à 10 h du soir.
Elles filment tout, surtout les punitions : les gifles, le fouet sur
les fesses, les cuisses, les mollets. Il y a pire : les coups de
baguette sur les mains et les doigts. Je ne comprends pas comment je
tiens le coup. Enfin si, je n'ai pas le choix. Après 7 jours de cet
enfer, exactement au matin du 8e jour, Madame Stone me regarde et
claque les doigts, je suppose que c'est pour que je la suive. On
prend l'ascenseur de service jusqu'au dernier étage. Madame Stone
toque à une porte et une servante vient ouvrir. Elle fait une
révérence et dit :
—
Je vous prie de me suivre, Madame.
On
va dans une grande pièce et là, je vois... le diable et des
démons ! C'est-à-dire les Crasston, les rois du boudin, Madame
Wolf et sa nièce Sarah. C'étaient les alliés de mon mari, les
sales traîtres, je souhaite que... Rien, j'attends Summer, c'est
tout. Madame Cochon me dit :
—
Quelle bonne surprise : la petite Ashley. Tu fais toujours la
tête ?
— Non,
Madame.
— Tu me
trouves sympathique, maintenant ?
—
Oui, Madame.
Elle
rit puis elle me dit :
—
Je vais peut-être te prendre à mon service, tu aimerais devenir une
de mes servantes ?
—
Oh oui, Madame !
Je
suis comme Meadow : je veux être une servante.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos
livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire