Il y a un nouvel épisode de Maid in Japan, ici : www.miasansdessous.com
Elle
élève la voix et dit :
—
Meadow !
Une
gamine bondit presque. Elle a des cheveux blond roux et un physique,
disons, campagnard, des taches de rousseur, un nez un peu large et un
espace entre les incisives supérieures. Elle n'a pas un bel uniforme
comme les autres servantes mais une robe tablier pas très propre.
Madame Stone me désigne du doigt en disant :
—
Cette fille va te remplacer et tu devras lui expliquer le travail. Tu
lui donneras le vêtement que tu as sur le dos et tu pourras mettre
un uniforme. Si tu la dresses bien, tu seras une servante.
Grand
sourire de la fille ! Oui, à l'idée d'être une servante...
—
Tu pourras la punir comme on a fait avec toi : des claques et le
strap sur les fesses, autant que tu veux... sans la blesser. Si elle
n'accepte pas sa punition, tu viens me trouver et elle aura le
double. Maintenant, c'est ton esclave, tu comprends ?
—
Oui Madame.
— Va
chercher un uniforme et donne lui le tien Ah, avant ça...
Lizza !
Aussitôt,
une jolie rousse qui était occupée à nettoyer de l'argenterie se
lève et vient lui faire une révérence. Madame Stone lui demande
:
— Tu étais
une star des réseaux sociaux ?
—
Oui Madame.
— Tu
sais te servir d'une caméra ?
—
Oui Madame.
— Tu
vas la filmer chaque fois qu'elle fera un travail différent. Tu
filmes ce qui est intéressant. Il faut que Meadow la punisse de
façon variée, comme on a fait avec elle au début.
Grand
sourire de cette garce de paysanne de Meadow. Madame Stone poursuit
:
— Mettez-vous
d'accord et si le film est bon, Meadow deviendra une servante et toi,
Lizza, première fille. Prends cette caméra et allez-y...
Les
filles font une révérence et Meadow me prend par le bras. On va
dans une petite pièce qui doit servir de vestiaire. Lizza commence à
filmer tandis que Meadow enlève sa robe tablier. Elle me la tend en
disant :
— Mets
ça
Je la prends,
mais elle me donne une gifle en disant :
—
Là, tu dis merci en faisant une révérence.
Je
le fais en disant :
—
Merci Mademoiselle.
Elle
a de la force, cette garce, elle a dû travailler dans les champs
depuis ses 6 ans. Je frotte ma joue qui doit être bien rouge. La
robe tablier qu'elle me donne se boutonne devant. Sur le dos, il est
écrit « NETTOYAGE » en lettre rouge. Elle pue la
transpiration.
On
finit toujours par payer... Enfin, pas tout le monde, mais moi, oui.
Je me suis amusée à punir des esclaves, le Seigneur me le fait
payer... cher. Peut-on imaginer plus grande dégringolade sociale que
passer de Première Dame des États-Unis à esclave de
Meadow ?
Meadow
enfile l'uniforme noir des servantes avec le tablier blanc. Lizza lui
dit :
— On
commence par quoi ? Qu'est-ce qui est le pire ?
—
Les toilettes du personnel.
—
OK.
Je les suis
dans mon uniforme puant... On va dans un petit local et Meadow me
donne une raclette, une brosse dure, un seau, une serpillière, du
liquide de nettoyage et de l'eau de javel. Pas de gants en
caoutchouc, bien sûr : une esclave doit nettoyer les chiottes à
mains nues. Quand j'ai tout le matériel dans les mains, Lizza me
filme tandis que je suis péniblement Meadow... On doit s'approcher
des toilettes du personnel parce que ça commence à puer. Lizza lui
dit :
— Ça fait
au moins une semaine que tu ne les as pas nettoyées.
—
Madame Stone m'a dit...
—
Parle pas devant la fille, Meadow.
—
Oui, pardon.
Avant
de commencer ma punition – non, mon chemin de croix – je suis
bien consciente que tout ça n'arrive pas par hasard. Le fait qu'on a
dit à Meadow de laisser les toilettes dans cet état renforce l'idée
que mon acheteur savait très bien qu'il allait faire mon
acquisition, même avant la fuite de mon couard de mari. Je suppose
que tous ici, ils savent très bien qui je suis. Le film en est la
preuve, je suis certaine qu'on ne filme pas les autres filles lors de
leurs débuts. J'espère juste qu'après m'avoir bien punie et
humiliée, ils me feront rencontrer des gens qui ont envie de
s'envoyer la femme de l'ex-Président des États-Unis. Je vais serrer
les dents, en attendant Summer.
Les
toilettes sont comme prévu : dégueulasses. Il y a deux urinoirs et
deux w.c. Meadow me dit :
—
Remplis ton seau, mets du liquide de nettoyage, ensuite récure le
sol avec la brosse.
Quand
c'est fait, je mets à genoux dans la vieille pisse et je récure le
sol. Lizza me filme pendant un moment. Quand elle s'arrête, les
filles discutent des autres servantes et de moi. Elle parle de ce
qu'elles vont me faire... comme si je n'étais pas là. Hélas, je
suis là et je frotte le sol dégoûtant. Puis je rince bien à l'eau
et, avec la raclette, je fais tout partir vers une petite grille dans
le sol.
Lizza dit
:
— Vérifie si
c'est propre, Meadow, je filme.
Les
mains derrière le dos, Meadow inspecte. Oh ! qu'elle se sent
importante tout à coup, la sale petite péquenaude ! Du bout du
pied, elle montre une trace sur le sol, en disant :
—
Et ça, cochonne ? Lèche.
Je
vais lécher entre ses pieds, mais je n'ai qu'un goût de produit de
nettoyage dans la bouche. Ensuite, toujours du bout du pied, elle me
fait lécher ici ou là, au gré de sa fantaisie.... Au pied d'un
urinoir, il y a une saloperie de croûte qui n'est pas partie. Là,
elle prend son pied en me faisant lécher et même gratter avec les
dents une croûte qui a un horrible goût de pisse.
Lizza me demande :
—
Tu veux te rincer la bouche ?
—
Oui Mademoiselle...
—
Il y a de l'eau dans la cuvette des w.c., vas-y.
Un
jour, je paierai un tueur pour leur coller une balle dans les genoux.
En attendant, elle rigole de me voir laper l'eau dans la cuvette des
w.c. Lizza arrête de filmer et je continue mon nettoyage d'autant
plus soigneusement que je sais que je devrai lécher ce qui est
encore sale.
Une
heure plus tard, je suis rouge et en nage. Je n'ai jamais aussi bien
nettoyé. Les deux filles n'ont pas arrêté de parler et de rire...
Maintenant, Lizza reprend la caméra, tandis que Meadow me dit :
—
Inspection de ton travail, souillon !!
Elle
repère une ignoble virgule brune sur un mur et je dois la lécher :
quelle horreur, je vais tomber malade !!
Ensuite
elle m'engueule, mais bien :
—
Tu appelles ça nettoyer ?
—
Mais... euh...
—
Tu es sale naturellement ou tu fais ça pour te foutre de nous ? On
t'a dit que ces chiottes devaient être impeccables et ce n'est pas
le cas. Tu vas être punie. Mets-toi à quatre pattes.
Elle
prend une bande de cuir assez rigide, longue de 50 cm, puis elle
relève l'uniforme sale que je porte et, quand mes fesses sont nues,
elle dit :
— Tu
vas avoir dix coups de strap. Écarte un peu les jambes. Ensuite, tu
comptes et tu remercies. Compris ?
—
Ouiii.
J’entends
le bruit caractéristique de la bande de cuir qui fend l’air
"Ffwwwiiiiii" et :
—
Aaaïïïeee ! Un, mer... merci.
Une
bande de feu me traverse les fesses d’une hanche à l’autre. elle
dit :
— Celui-là
ne comptait pas, c’était pour m’exercer.
Ensuite
elle se met à taper très rapidement, depuis le haut des cuisses
jusqu’au haut des fesses.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeee ! Un, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Ouch ! Deux, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeeeeeee ! Trois, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeee ! Quatre, merciii...
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïeeeiiii ! Cinq, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Aïïïïïïïïïeee ! Six, merci.
Ffwwwiiiiii !
—
Ouch ! Sept, merci....
Elle
s’arrête, puis se tourne vers Lizza pour lui expliquer pourquoi
:
— J’attends
un peu pour qu’elle sente encore mieux les derniers
coups.
Maintenant,
ce n’est plus une bande de feu, c’est mon derrière tout entier
qui est un brasier. Je pleure en gémissant, tandis que mes fesses
continuent à se contracter et à se relâcher spasmodiquement. Elle
me demande :
—
Dorénavant, tu m’obéiras ?
—
OUI ! Oui, Mademoiselle...
—
Je te crois. Hélas pour toi, c’est trop amusant de voir ton gros
derrière rougir. Attention !
Je
crie... Je compte encore trois fois avant qu’elle ne s’arrête.
Qui peut se réjouir autant de faire souffrir une esclave ? Une
voix me dit « toi ». Mais c’était avant et je ne savais pas
que ça faisait si mal ! Si, je le jure... enfin pas "si"
mal.
***
Je
passe une semaine avec ces deux tortionnaires. Elles me font
travailler et me filment depuis 7 h du matin jusqu'à 10 h du soir.
Elles filment tout, surtout les punitions : les gifles, le fouet sur
les fesses, les cuisses, les mollets. Il y a pire : les coups de
baguette sur les mains et les doigts. Je ne comprends pas comment je
tiens le coup. Enfin si, je n'ai pas le choix. Après 7 jours de cet
enfer, exactement au matin du 8e jour, Madame Stone me regarde et
claque les doigts, je suppose que c'est pour que je la suive. On
prend l'ascenseur de service jusqu'au dernier étage. Madame Stone
toque à une porte et une servante vient ouvrir. Elle fait une
révérence et dit :
—
Je vous prie de me suivre, Madame.
On
va dans une grande pièce et là, je vois... le diable et des
démons ! C'est-à-dire les Crasston, les rois du boudin, Madame
Wolf et sa nièce Sarah. C'étaient les alliés de mon mari, les
sales traîtres, je souhaite que... Rien, j'attends Summer, c'est
tout. Madame Cochon me dit :
—
Quelle bonne surprise : la petite Ashley. Tu fais toujours la
tête ?
— Non,
Madame.
— Tu me
trouves sympathique, maintenant ?
—
Oui, Madame.
Elle
rit puis elle me dit :
—
Je vais peut-être te prendre à mon service, tu aimerais devenir une
de mes servantes ?
—
Oh oui, Madame !
Je
suis comme Meadow : je veux être une servante.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos
livres sont ici :
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Pour s'amuser ils m'ont confisqué tous mes vêtements et ils sont partis...
Comment montrer sa chatte en restant, presque, décente.
Lisez mes livres, ils sont vraiment indécents, eux...
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Rare photo d'une nymphe des pneus usagés 😃
Je suis invitée à un bal masqué, chez les petits animaux de la forêt. Le masque je l'ai, mais je ne me souviens plus si c'est habillé ou à poils... Bah, la jarretière et les chaussures suffiront sûrement.
Lisez-moi, je n'aurai plus de secrets pour vous
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Oops, le garde !
Dessins de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins dans nos livres.
https://lamusardine.com/recherche?s=miIl parait que j'ai été insolente, mais me confisquer
Il y a un nouvel épisode de "Maid in Japan" avec un dessin inédit de Bruce Morgan,
ici : www.miasansdessous.com
J'enlève sa chaussure et sa chaussette. Première bonne nouvelle depuis que je suis ici : ses pieds sont presque propres. Bon, elle a transpiré et une odeur de sueur se mêle à celle du vieux cuir des chaussures militaires, mais elle n'a pas les pieds sales. Il y a une fille pour l'éventer, une pour l'ombrelle, une qui est allée lui chercher une bière et puis moi, son pied dans mes mains. La fille qui est allée chercher la bière, se met à genoux et tend la bière à la Black, qui lui dit :
—
Tu en as mis du temps.
—
Pardon, Maîtresse.
—
Pas Maîtresse. D'ailleurs, je dois me présenter, non ?
Personne
n'ose répondre. Elle répète :
—
Non ?
Elle prend
son boîtier, alors je dis très vite :
—
Oui...
— Je
m'appelle Madame Parker, mais vous direz juste Madame. Compris ?
Huit
voix répondent :
—
Oui, Madame.
Elle
rit... Elle s'amuse bien. On la regarde boire des gorgées de
bière fraîche, la gorge sèche... On a toutes terriblement soif.
Elle boit, puis donne la bouteille à la fille qui l'apportée et qui
est toujours à genoux, en disant :
—
Tu restes là et tu t'arranges pour que cette bouteille soit à
portée de ma main.
—
Oui, Madame.
—
C'est moi qui m'occupe de vous jusqu'à votre vente. Pour vous, je
suis Dieu le Père, je peux vous ménager ou vous en faire baver, ça
dépendra de mon humeur. Vous avez donc intérêt à ce que je
sois... de bonne humeur. Pour le moment, je n'ai pas encore utilisé
le taser... on fera ça plus tard. Pour commencer, enlevez toutes vos
uniformes.
On
pouvait s'y attendre, au taser. On cesse aussitôt la tâche
importante qu'on effectuait. Moi, lui masser le pied gauche... Dès
que je suis nue, je recommence à masser son pied ! Elle dit :
—
Rose et Barbie, allez chercher les seaux qui sont là.
Aussitôt,
deux des filles qui se trouvent devant nous vont chercher ces seaux.
Madame Parker nous dit :
—
Buvez deux par deux, sans les mains.
On
va laper, tandis que les visiteurs font des photos. Quand on a fini,
on reprend toutes notre place. Elle nous dit :
—
On va tester votre soumission. Ash et Tracy, sucez mes orteils.
Je prends aussitôt son gros orteil en bouche... Le goût salé de sa sueur me dégoûte. Je me dis, "Elle connaît mon nom, elle sait sûrement qui je suis." Après le scanner de la rétine, on n'a plus de secrets pour personne, sauf pour les visiteurs. Jusqu'à présent... Elle nous dit :
—
Maintenant, toutes sur une rangée devant moi.
Les
esclaves éventail, parasol, table basse pour la bière et lécheuses
de pieds hésitent un instant, mais elle répète :
—
Toutes.
On va vite
se mettre devant elle. Il y a de plus en plus de monde autour de
nous. Un visiteur glisse un billet à Madame Parker en disant :
—
On voudrait les voir à quatre pattes.
—
D'accord.
Puis
elle s'adresse à nous :
—
Marchez !
Aïe,
aïe, aïe ! On sait ce qui va se passer. Les visiteurs s'écartent
et on est toutes traversées par un courant électrique du cou aux
pieds, on crie et on se retrouve à quatre pattes, au milieu des
gens.
Ils aiment ça, les visiteurs, on les entend rire. ! Il y a un autre visiteur qui lui donne un billet :
—
Les filles, debout et courez vers moi !
Dès
qu'on court, on reçoit une décharge qui nous fait
tomber, jusqu'à ce qu'on soit dans la bonne position. Les visiteurs
adorent, moi j'adorerais qu'on leur fasse ! À ce moment-là, un
garde vient dire à Madame Parker :
—
Je viens chercher celle qui s'appelle Ashley.
—
Je t'en prie, elle est toute à toi.
Elle
ajoute pour les visiteurs :
—
Qui a envie de voir fouetter les filles ?
Ils
ont tous envie...
Le
garde me prend par le bras et on va derrière la prison. On entre
dans une grande pièce qui ressemble un peu à un théâtre.
Plusieurs personnes sont là, téléphone en main. On me fait monter
sur la scène. Je suis nue, mais on ne me m’oblige pas à prendre
des poses spéciales, comme on le faisait au "Slave Paradise."
Une caméra me filme.
À
tour de rôle, les gens avec un téléphone lèvent la main. Je suis
vendue par téléphone... Pour finir, un Noir en costume dit
:
— Adjugée à
l'acheteur n° 12.
Je
suis vendue à un numéro. Et si c'était Summer qui avait pris
l'argent de notre compte aux îles Cayman et qui m'achète ? Non,
c'est trop vite... Elle avait quelque chose d'important à faire,
mais elle viendra ! Le garde qui m'a amenée vient me rechercher.
On monte à l'étage et il m'enferme dans une cellule. Inutile de lui
poser des questions. J'attends... Je suis à la fois heureuse de
partir d'ici et angoissée en me demandant qui m'a
achetée...
J'attends
toujours... Je vais aux toilettes, pas facile avec la ceinture de
chasteté. Quand c'est fait, je me lave soigneusement. Je suis assise
sur le lit, quand un homme arrive avec un garde. Sans un mot,
il me met sur le ventre et il me fait une piqûre dans la fesse... Je
perds connaissance.
***
Je
suis avec Summer sur la plage de Venice... Il fait beau et... on me
donne une claque sur les fesses. C'est Summer ! C'est comme ça
qu'elle me réveille... J'émerge péniblement de mon rêve... Ouch !
J'ai mal à la tête... et là, je me souviens que j'ai été
achetée ! Summer ne viendra que dans deux mois, mais elle viendra.
J'ouvre les yeux, la lumière est très forte et je suis
couchée sur le côté, dans le coffre d'une voiture ! Un homme me
prend sous les épaules et sous les jambes pour me sortir du coffre.
Il fait très chaud et humide... Il me dit :
—
Faut que tu boives.
Oh
oui, je me rends compte que j'ai terriblement soif. Il me tend une
bouteille d'eau fraîche et je bois goulûment. Il m'enlève la
bouteille en disant :
—
Ne bois pas tout d'un coup. Tu as faim ?
—
Oui, Monsieur.
C'est
un costaud d'environ 35 ans. Il ouvre un paquet dans lequel il y a
des sandwichs jambon fromage, plus très frais... J'ai tellement faim
que je dévore. Quand j'ai fini, il me donne la bouteille d'eau et je
bois encore un peu. Je lui dis :
—
Merci beaucoup, Monsieur, c'est vous qui m'avez achetée ?
—
Non... moi, j'assure la livraison. Je te conduis où on m'a dit. Bon,
on doit repartir. Il y a un short et un tee-shirt, mets-les et tu
peux t'asseoir à l'avant. Ça m'arrangerait de ne pas devoir te
rattraper.
— Je
n'essayerai pas, Monsieur.
Oh,
je n'ai plus la ceinture de chasteté... ça fait du bien : ma chatte
peut respirer ! Je lui demande :
—
Vous savez... qui je suis ?
—
Oui.
Je lui parle
de Summer. Il ne m’interrompt pas... ça fait du bien de
pleurnicher sur mon triste sort. On est sur une petite route dans une
région aride, il y a même des grands cactus. Peut-être le sud des
États-Unis ou le Mexique... Je pense à Summer...
On
est dans le Sud et je vois des panneaux "Las Vegas". On
entre dans la ville et il s'arrête devant un grand casino et hôtel,
le Red Rock Casino. On sort de la voiture et on se dirige vers
l'entrée monumentale. Je touche son bras en disant :
—
Je voudrais rester avec vous, j'ai peur.
—
Fais profil bas et ça ira.
On
entre dans l'hôtel. Je le suis vers le comptoir, il dépose un
papier sur la tablette en disant :
—
Bonjour, je vous apporte l'envoi 662. Il faut me remplir ce papier
et mettre le cachet de l'hôtel.
L'employé
le regarde bêtement, mais un homme plus âgé vient devant nous en
disant :
—
Certainement, Monsieur. Je vais faire chercher l'esclave.
Il
appelle une servante et lui dit :
—
Tu conduis cette fille chez Madame Stone.
Quoi ?!?
Elle, encore.... c'est un cauchemar....
La
fille fait une révérence en disant :
—
Oui Monsieur.
Je
me retourne vers celui qui m'a amenée. Il m'embrasse sur la joue et
il me dit tout bas :
—
Patience.
Je
m'accrocherais bien à son jean en pleurant. Pas Madame Stone !!!
La
servante me dit :
—
Suis-moi.
Elle me
conduit dans les sous-sols de l'hôtel. On arrive dans une grande
pièce sans fenêtre. Il y a plusieurs servantes qui travaillent.
Elles rangent de la vaisselle, nettoient par terre, préparent
différentes choses. Elles me jettent un rapide coup d'œil et,
voyant que j'ai le collier des esclaves autour du cou, elles
continuent ce qu'elles font. On va se mettre à côté d'une grosse
femme d'une cinquantaine d'années. Elle a un petit nez, des grosses
joues et des petites lunettes rondes. Elle est habillée d'une robe
noire à longues manches. Je la connais, elle me faisait déjà peur
quand elle était mon employée.
La
servante qui m'a conduit jusqu'ici attend sans bouger, tête baissée,
mains croisées sur la chatte... Je fais comme elle avec une énorme
envie de pisser, tellement j'ai la trouille ! La femme fait des
comptes sans nous jeter un regard. C'est long... Enfin, elle nous
regarde... Elle chasse la servante d'un geste de la main et me dit
:
— Tiens, qui
voilà ! Je te manquais ?
Je
bredouille :
—
Je... oui, Madame...
—
Déshabille-toi.
J'enlève
vite mon short, mon tee-shirt et mes sandales.
—
Tourne-toi.
Je lui
montre mes fesses et elle me donne une petite claque, comme pour
juger de la fermeté en disant :
—
Il n'y a pas dire, tu as un beau cul...
À suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins dans nos livres.
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On est sur Blogger, Mia, pas besoin de vêtements.
Ouf c'est vrai... voilà.
Les livres d'une fille qui aime se montrer nue, sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
La réponse est dans "Mia sans dessous".
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=searchNue au soleil... complètement nue au soleil.
***
J'écris pour vous.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Le bateau quitte le quai. La fille qui est à côté de moi me dit tout bas :
—
Regarde !
Elle
me montre une série de vilains bâtiments sur une île allongée.
Maintenant,
je reconnais : Alcatraz. À une époque, c'était la pire prison des
États-Unis. Il n'y a jamais que deux personnes qui se sont évadées
et on ne sait pas s'ils ont réussi ou s'ils ont servi de repas aux
requins... Summer me délivrera ! Elle viendrait me chercher... aux
enfers. Penser à elle est la seule chose qui va me permettre de
tenir. Elle m'a un peu fouettée, mais je l'avais mérité. N'empêche
qu'elle me fera évader.
Je
pense qu'il faut bien un bon quart d'heure pour arriver près de
l'île. Une fille se met debout, on se lève toutes. L'île a une
forme ovale. À gauche, il y a une haute cheminée et au milieu, un
château d'eau. En dessous, à droite, il y a un bâtiment de
plusieurs étages, sans doute la prison proprement dite. À la droite
de ce bâtiment, il y en a un autre, de deux étages, qui se trouve
au plus haut de l'île. Au-dessus, il y a un long bâtiment de deux
étages également.
Notre
bateau s'arrête le long d'un ponton. Des gens viennent assister à
l'arrivée des nouvelles esclaves. Ces gens ont l'air de touristes :
shorts, tee-shirt, casquettes, lunettes de soleil, appareils photo ou
téléphone à la main. La première fille descend et nous la
suivons. Le garde nous dit :
—
Mettez-vous à un mètre l'une de l'autre.
Les
touristes arrivent. Le garde leur dit :
—
Vous pouvez faire des photos avec les nouvelles esclaves.
Un père de famille lui demande :
—
Les claques, on peut ?
—
Les claques, oui, mais ne les abîmez pas !
Mais
pourquoi ils doivent faire ça ? On leur a rien fait ! On est
huit et ils sont bien une vingtaine. Ils viennent nous coller, mais
pas gentiment. On me pince les fesses, puis je reçois des claques
sur le derrière et des gifles sur les joues. Salauds de touristes de
merde ! Bientôt, on a toutes les joues et les fesses rouges. Le
garde leur dit :
—
Reculez tous. Ceux qui veulent faire des photos ou des selfies, c'est
maintenant.
Ils
viennent faire des photos de leurs bêtes têtes à côté des nôtres
ou à côté de nos fesses. Au bout d'un moment, le gardien dit :
—
On arrête.
Un
homme demande :
—
On pourra les louer, chef ?
—
Oui, à partir de demain soir.
Il
prend la chaîne de la première fille et les autres suivent, bien
sûr. Les touristes nous suivent aussi, ils font encore quelques
photos. On monte vers le grand bâtiment. Un peu partout, il y a des
filles en uniforme qui travaillent ou nettoient..
On
va dans un petit atelier. Il y a un homme d'une cinquantaine et son
apprenti, tous les deux en salopette. Il y a aussi des gens en
uniforme noir, les hommes ont une cinquantaine d'années, les femmes
sont plus jeunes et il y a aussi une fille et un garçon de 18 ou 20
ans. Ils nous regardent et font des commentaires en riant. Ce sont
des gens riches, ça se voit tout de suite.
L'homme
en salopette et son apprenti nous mettent un collier autour du cou et
des anneaux aux poignets et aux chevilles. C'est fait en quelques
minutes. Ensuite, ils nous mettent... des ceintures de chasteté !!
Oh, pas comme au temps des croisades, il s'agit de minces bandes de
plastique transparent. C'est une matière molle et tiède qui
s'adapte parfaitement au corps de chacune. Au bout de quelques
minutes, le plastique durcit... Je remarque qu'il y a 2 trous pour
les fonctions naturelles. Ils font peut-être 2 cm de diamètre. Les
toutes petites bites peuvent nous baiser. On se demande toutes
pourquoi ils nous mettent des ceintures de chasteté... Le garde
finit par dire :
—
Les clients qui vous louent reçoivent le code pour ouvrir la
ceinture. Ils sont sûrs que vous ne vous êtes pas fait baiser dans
un coin ! Le plastique est un peu mou, mais il est ultra résistant
et un conseil, n'essayez pas de l'enlever si vous n'avez pas le
code.
Il nous
regarde pour voir si on a compris et ajoute :
—
Il y a autre chose que vous devez savoir. Si vous n'obéissez pas,
voici ce qui va se passer.
Il
se tourne vers les spectateurs en noir en disant :
—
Mademoiselle, à vous.
Une
fille a un petit boîtier en main, elle pousse sur un bouton et
aussitôt, une fille de notre groupe fait un petit bond en poussant
un cri. Ensuite, les six autres aussi, à tour de tôle. Je suis la
huitième, ça va être mon tour :
—
Aïe !!!
Un
courant électrique me traverse le cou ! Ça fait mal !! Le garde
dit :
— C'est la
puissance la plus faible.
La
jeune fille passe le boîtier à une femme qui dit :
—
Puissance moyenne !
Aussitôt,
ma voisine de chaîne fait un bond en criant. Elle passe le boîtier
à l'autre femme qui fait crier une autre fille. Ils se la passent
tous et nous, on saute toutes en criant. Quand ils se sont bien
amusés à nos dépens, le garde nous dit :
—
Autre chose : on peut vous immobiliser. Vous allez sentir
l'électricité vous traverser. Dès que vous mettrez à quatre
pattes, les mains posées sur le sol, le front sur les mains, le
courant s'arrêtera.
Un
des hommes en noir nous dit :
—
Vous voulez qu'on fasse un essai ?
NOOON !!!!
Aaaaaaaiiie ! On crie toutes ! Le courant nous traverse des
poignets aux chevilles. On se jette toutes sur le sol dans la
position qu'il a dite et le courant s'arrête. Le garde dit aux gens
en noir :
—
Amusant, non ??
NOOON !
Mais eux, ils sont d'accord, c'est très amusant de nous voir sauter
comme des grenouilles affolées. Ils viennent nous examiner. Une
femme dit :
— On
peut les avoir quand ?
—
Demain, fin d'après-midi... elles seront opérationnelles. Elles
seront fichées et saines.
Les
salauds en noir s'en vont en discutant... Le garde nous dit :
—
Et alors, vous allez rester comme ça ?
Une
fille répond :
—
On a peur de bouger... chef.
—
Toutes debout, sinon vous allez goûter à la décharge
maximum.
C'est
magique, instantanément, on est toutes debout !
On
va dans une autre pièce où on doit s'asseoir devant un appareil qui
scanne notre rétine. De cette façon, ils ont toutes les
informations nous concernant.
Ensuite,
on doit se coucher à tour de rôle sur une table. Un infirmier nous
fait plusieurs piqûres dans les fesses et le bras. Le médecin ou
l'infirmier nous dit :
—
On a éliminé toutes les saloperies qui étaient en vous... Vous ne
risquez plus de les refiler à un de nos invités.
Je
n'avais pas de saloperies en moi, moi ! Il ajoute :
—
Si vous êtes toujours vivantes demain, vous ne serez plus jamais
malades.
C'est un
gag pour la télé ? Ça n'a pas l'air... Une des filles lève
timidement le doigt. Le médecin lui dit :
—
Quoi ?
— C'est
du ONH 663 ?
—
Comment tu sais ça ?
—
J'étais infirmière avant d'être arrêtée.
—
Oui, c'est ça.
Il
ajoute en riant :
—
Il est presque au point et vous êtes des cobayes.
Je
veux pas être un cobaye ! Je ne veux pas rester ici ! Hélas,
c'est Alcatraz, seule Summer me sauvera.
Après
les injections qui ne devraient pas être mortelles, on va dans une
grande pièce. Un homme nous donne des uniformes orange qui se
composent d'un pantalon qui s'arrête sous les genoux, un tee-shirt
sans manches, une veste, une casquette et des sandales orange en
plastique. On s'habille toutes... Les uniformes nous collent au
corps.
C'est une
gardienne qui vient nous chercher. Une grosse Black de 100 kg au
moins... Elle a un boîtier à la ceinture et son tee-shirt épouse
bien ses bourrelets... On va à l'extérieur, cette ceinture de
chasteté qu'on nous a mise, me gêne et m'excite à la fois ! Moi,
avec une ceinture de chasteté, c'est la fin du monde ! La grosse
nous dit :
—
Suivez-moi.
On
sort de la prison et elle va s'asseoir dans un fauteuil, sous un
arbre. Elle désigne deux blondes en disant :
—
Vous deux, ici.
Elle
sort d'un grand sac un éventail et une ombrelle. Elle les donne aux
filles en disant :
—
Toi, tu me fais de l'air et toi, de l'ombre.
Une
des filles agite rapidement l'éventail tandis que l'autre tient le
parasol au-dessus de la gardienne qui lève les bras pour aérer ses
aisselles. Après quelques minutes, elle nous annonce :
—
Je vais vous dire des choses que vous avez intérêt à retenir.
D'abord, on sait toujours où vous êtes et il y a moyen de vous
parler via votre collier. Ensuite, vous devez faire ce qu'on vous
dit, sinon, on vous tirera les oreilles !
Elle
rit... nous pas ! Mon Dieu... pourquoi suis-je ici ? Je devrais
être à la Maison-Blanche ou mieux, à Venice avec Summer ou même
au "House of Pussies" et au pire au "Slave Paradise".
C'est la folie, ici !! Elle continue :
—
Si un garde ou un visiteur noir vous regarde, vous devez vous mettre
à genoux, les mains croisées sur les reins, le buste droit, les
yeux baissés...
Elle
prend son boîtier et ça y est, on a compris, on se met toutes à
genoux dans la position qu'elle a décrite. Ce boîtier a un effet
magique.... Elle sourit et ferme un peu les yeux, ronronnant presque
sous le courant d'air produit par l'esclave éventail. On dirait un
gros chat noir qui digère la portée de souriceaux qu'il vient de
bâfrer. Elle est doublement à l'ombre : sous un arbre et sous une
ombrelle, alors que nous, on est au soleil et on transpire dans nos
tee-shirts. Elle se réveille et nous dit :
—
Avant de continuer, toi, va me chercher une bière...
La
fille qu'elle a désignée bouge aussitôt, bien qu'elle ne sache pas
où aller... Elle n'a qu'à demander. Elle désigne ma voisine et moi
en disant :
—
Vous deux, venez vous asseoir devant moi.
On
obéit aussitôt et elle pose ses grosses chaussures sur nos cuisses
en disant :
—
Enlevez mes chaussures et massez-moi les pieds.
À
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Oh non ! Pas un 2ème gros plan, vite ma main.
Voilà, ma pudeur est sauve et c'est même agréable...
***
J'écris pour vous.
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Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Quand je vois ma chatte offerte a tous sur le Net, je suis très gênée.
Alors, pour compenser, me voici... habillée.
***
J'écris pour vous.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
C'est trop gênant, je l'fais pas.
Dessin de Bruce Morgan. Il y a des centaines de dessins de lui dans mes livres.
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