J'avais
un but : devenir une star, puis être riche et vivre avec Summer.
Maintenant j'en ai un troisième : supprimer Madame cochon !
Sarah
me prend par le bras et m'amène dans la grande salle. Il y a une
dizaine de filles nues qui font du pole dance.
Putain
!! Je commence à regretter d'avoir accepté les 15000 $... Enfin,
non, quand même pas. Elle m'amène devant un gros homme qui se
trouve à côté du bar. Elle lui dit :
—
Monsieur Brown vous envoie cette fille qui...euh...
L'homme
lui montre son téléphone en disant :
—
Je sais, je viens de recevoir son message. D'accord, elle danse et
fait des pipes, mais je dois d'abord me rendre compte de ce qu'elle
vaut. Viens derrière le bar petite et suce -moi...
Il
y a des rires autour de nous
J'y
vais et, d'accord avec vous, Madame Obama ne l'aurait pas fait. C'est
pas le bout du monde non plus, j'ai fait ça à Atlanta. Je me mets à
genoux. Les deux barmaids me regardent en souriant, ravies d'avoir
une remplaçante pour sucer le patron ! L'homme se met devant moi et
ne bouge pas. C'est moi qui dois tout faire ? Je descends la tirette
de son pantalon et quelques kilos d'abats me sautent à la figure.
C'est-à-dire une grosse saucisse molle et deux énormes couilles.
L'homme me regarde. Il a un verre à la main et il me dit :
—
A tu salud pequeña
Ce
qui veut dire "à ta santé petite" comme vous vous en
doutez. Je réponds :
—
Je peux boire un peu avant de sucer votre bel engin M'sieur ?
Il
boit, puis il me donne son verre. C'est fort ! Je tremperais bien son
gland dans le verre, genre petite toilette. Je vide le verre et lui
rends... Ensuite, je tire la peau pour dégager le gland et j'ouvre
grand la bouche pour l'accueillir. Je le suce et je réfléchis
en même temps...
Si
quelqu'un lisait ces lignes, il se dirait, "C'est de la folie
tout ce qu'elle raconte. Une Première Dame des Etats-Unis, à
genoux derrière le bar d'un bordel à sucer un gros Mexicain, c'est
quoi ce truc ?!?!" D'accord, avec le lecteur imaginaire. Et,
pourtant ma tête va et vient sur une grosse bite, tandis que ma
langue titille un gland... Je continue à penser tout en suçant. Mon
mari m'a promis une somme proprement scandaleuse s'il était réélu.
Ensuite je divorce et je vais vivre de mes rentes avec Summer. On se
débarrassera d'abord du couple cochon ! Ouch ! Le sexe grossit dans
ma bouche et le senor grogne en me caressant la tête, en clair, ça
veut dire "je vais tout te lâcher dans le gosier". Ça y
est : une douche tiède et saccadée envahit le fond de ma bouche,
j'avale tout....
J'avale
son sperme et je ravale ma frustration et ma rancoeur. Il faut que
mon mari soit réélu, ensuite bye. On ira où Summer voudra et on
achètera des esclaves.
En
attendant le patron est bien disposé à mon égard. Ça arrive
souvent avec un monsieur que vous venez de sucer. Il me dit :
—
Tu es douée petite. relève-toi.
Je
me mets debout. Les clients me regardent en souriant. C'est gênant.
Le patron me donne un verre de Tequila... Ça pique la bouche mais ça
fait du bien... Je le bois en 3 gorgées. Il me désigne une table de
jeunes occidentaux en disant :
—
Va danser pour eux
Je
m'approche de la table... Les jeunes gens ont l'air d'être des
étudiants plutôt propres sur eux. Il y a 4 garçons et 3 filles,
des étudiantes aussi, pas des putes. Quand je suis près de la
table, un garçon me met la main sur les fesses. Difficile de jouer
les pucelles quand on vient de sucer la bite d'un Mexicain de 100 kg.
Je leur dit :
—
Vous avez demandé que je danse ?
C'est
une fille qui répond, une brune bien en chair, jolie. Elle me dit
:
— Qu'est-ce
qu'une fille aussi belle que toi fait dans un bordel de Tijuana.
Je
pourrais dire "et vous qu'est-ce que vous y faites ?", mais
à mon avis, il cherche de la dope spéciale. Je réponds :
—
C'est que... mon... euh... ami...
La
fille me coupe :
—
Ton mac.
—
Oui...mon mac en avait marre que je me plaigne des clients pas très
nets, alors il m'oblige à passer quelques jours ici.
Ça
leur convient. La brune dit même :
—
Il a raison ! Tu es une esclave ?
—
Euh... non, mais...
—
Aucune importance. Allez grimpe sur la table et danse.
Il
y a quelques semaines, je dansais à poils sur une table à la "House
of Pussies" et aujourd'hui, je danse à poils dans un bordel
mexicain ! Je vais changer ça... même si je devais m'allier à Dany
Prince, l'adversaire de mon mari ! En attendant, je suis debout sur
une table dans le simple appareil d'une pute dans un bordel. Je remue
mes fesses, balance mes seins et je me penche en avant pour que tout
le monde puisse constater que je suis bien une fille. Ici, ce n'est
pas Atlanta, les clients font ce qu'ils veulent. Tandis que je
virevolte autour de la barre, les mains des garçons et des filles me
caressent. Il y a des clients qui se sont levés pour mieux me voir
et bientôt, il y a un petit attroupement autour de la table. Au
Grauman's Chinese Theater ou ici, c'est moi la star.
Après
une dizaine de minutes de danse un des garçons dit :
—
Je bande comme un phoque.
Les
autres garçons et même les filles aussi. La brune dit :
—
Tournée générale de pipe et de cunni...
—
En me regardant elle ajoute :
—
Tu auras 10 $ par personne.
Mon
Dieu, quelle générosité, mais je jure devant Dieu que ce sont les
dernières pipes que je fais sous la contrainte.
Ils
sont sept, ça fait quatre pipes et trois cunnis. C'est
beaucoup ! Un garçon me dit :
—
Commence par moi.
Il
est un peu affalé dans son fauteuil.
Je m'agenouille entre ses jambes et il dégage son sexe de son pantalon. Je suce cette bite le mieux possible tout en pressant les couilles juste ce qu'il faut. Le mec est jeune, pas trop bourré et puis moi j'ai de la technique. Aussi, quelques minutes plus tard la bite molle devenue dure jouit dans ma bouche. Il me dit :
—
Avale !
Ils me
regardent tous, impossible de cracher en douce, alors j'avale tout.
Je ferai régime demain, mes fesses sont assez rebondies comme ça,
d'après Madame cochon ! Et les siennes, elles sont comment ?
Le
gars suivant est moins propre, alors pour ne pas l'avoir sous le nez,
je mets vite son gland dans la bouche. Oui, c'est un truc de pute !
Dingue, non ? Moi, une star de cinéma et...
—
Suce plus énergiquement !
Le
gars s'impatiente. Je le suce, je joue avec ses couilles, il jouit.
Il m'attrape par le cou et me maintient pour jouir dans ma bouche. Je
dois tout avaler. Je souhaite qu'il rate ses examens !
La suivante est une fille. Une chatte, ça me change, même si elle n'est pas lavée de frais... Je vois un peu de lassitude dans les yeux du lecteur imaginaire et je suis d'accord avec lui, on va raccourcir tout ça : Ashley fait des fellations et des cunnis à des étudiants et des étudiantes pas mal physiquement mais pas trop soignés. Je fais quatre fellations et deux cunnis...
Quand, je me relève, j'ai un sale goût en bouche et les genoux douloureux.
Sarah
dit aux clients :
—
Elle reviendra dans 10 minutes et dansera pour tous ceux qui
veulent.
Ça
convient aux clients. On sort de la salle et elle me tend ma robe en
disant ;
—
Dépêche-toi.
On
monte dans la voiture et je lui demande :
—
Qu'est-ce qu'il se passe, Mademoiselle ?
—
Ton mari a eu de mauvaises nouvelles, il doit rentrer
d'urgence.
On se
tait jusqu'à l'aéroport. Un garde nous attend et règle les
formalités. On monte dans le jet et on décolle. Mon mari est déjà
là et il ne quitte pas son écran des yeux. A un moment, je
lui demande :
—
C'est grave ?
—
Ça va s'arranger.
Ouf
! Je bois un cocktail et je somnole. On atterrit à Washington et on
part à la Maison Blanche. Là, il va s'enfermer avec ses
conseillers. Moi, je prends deux esclaves au passage et je vais dans
ma chambre. Je les fouette un peu parce que... je suis énervée.
Ensuite, elles me lèchent mais bien et partout, c'est la magie des
esclaves fouettées....
***
Le
lendemain, quelqu'un tire les lourdes tentures et tandis que le
soleil inonde la pièce, on arrache le drap qui me recouvre. Je crie
:
— Non mais ça
ne va pas la tête !!
Deux
hommes et une femme me regardent en souriant, tandis qu'un cameraman
nous filme. La femme me dit :
—
Vous êtes bien Ashley Stirland ?
—
Oui mais...
— Je
vous arrête !
—
Mais vous êtes folle, je suis la Première Dame ! Mon mari vous
fera...
— Mais
oui...
Les hommes
m'empoignent et me mettent debout. Ensuite, ils me mettent des
menottes aux poignets dans le dos. Je dois être en plein cauchemar
!
A
suivre.
Un
grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
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