La Maison-Blanche, c'est grand ! Il y a beaucoup
de gens partout. Je suis bien accueillie... mais, il y a deux choses qui me m'ennuient.
Non, trois. D'abord, Summer n'est pas là... Oui, elle me manque. Je sais bien
que c'est une garce et qu'elle peut m'obliger à faire des choses que je ne veux
pas, mais en même temps, elle me rassure. Ensuite, je deviens la femme du
Président, au moment où il y a une menace qu'ils ont l'air de prendre au
sérieux. Enfin, il parait que je suis une "trophy wife", une épouse
pour faire des la figuration. J'ai l'intention de m'informer, afin de tout
faire pour que mon cher époux soit réélu... Pas pour lui, mais pour moi.
Je vais d'abord me renseigner sur son adversaire, Dany Prince (quel nom bidon !).
Dans une semaine, on part en voyage officiel chez nos alliés. On va à Paris et Bruxelles pour l'UE et ensuite, au Japon...
Ce qui me dérange aussi, c'est le personnel. À Malibu c'est clair et net : Madame Stone commande à tout le personnel. Ici, il y a des esclaves et des servantes libres. Plusieurs personnes leur donnent des ordres : une gouvernante, un majordome, la cuisinière... Et puis les chefs des différents services, aussi. Ça ne me plaît pas ! Je veux savoir qui sont les esclaves, m'en servir et... les punir. Si elles ont fait quelque chose de mal, bien sûr.
J'ai trois objectifs : réorganiser les esclaves et les servantes, me renseigner sur la politique et trouver un moyen d'éliminer l'adversaire.
On a des chambres séparées. Tant mieux je n'ai vraiment pas envie de dormir avec lui...
***
Le lendemain soir, le président veut que je le rejoigne pour manger. Il va sûrement me demander quelque chose. J'arrive dans la petite salle à manger. On commence par des banalités. Je lui demande :
— Tiens, à propos, je peux avoir une esclave dans mon lit ?
— Bien sûr, une esclave, c'est comme un sex toy.
Exactement ce que je pense. Je veux encore autre chose :
— Et si je veux sucer une bite ou me faire prendre en levrette ?
Je sais que cette façon de parler va l'exciter. Il aime l'idée que je me fasse baiser ! Il réfléchit et dit :
— Tu fais appeler Spencer, c'est le chef des gardes. Il va bien te baiser, petite salope !
Aussi simple que ça. Il ajoute :
— À ce sujet... euh...
— Oui ?
— On part bientôt en Europe et en Asie. Mais avant ça, je voudrais qu'on passe un petit week-end à Tijuana, pour... euh...
Ah, il est moins énergique, là... Je lui souffle :
— Pour s'amuser comme à Jackson ?
— Oui, c'est ça.
— D'accord, mais je voudrais aussi te demander quelque chose. À la villa de Malibu, les servantes sont très stylées et Madame Stone leur tient la laisse très courte. J'aimerais beaucoup qu'on l'engage pour qu'elle s'occupe du personnel. Tu verras la différence.
— D'accord. Vois ça avec Madame Conway.
Super ! Dès que j'ai fini de manger, je vais dans ma chambre et je téléphone à la villa de Malibu. C'est Madame Stone qui répond, en disant :
— Résidence de Mademoiselle Hunter.
Eh ! C'est chez moi, pas chez Summer. Enfin, si. Je lui dis :
— Bonjour Madame Stone, c'est Madame Birch.
— Qui ?
— Ashley.
— Ah oui, bonjour.
Toujours aussi peu protocolaire, mais je m'en fous, elle sait y faire avec les esclaves. Je lui dis :
— Je voudrais parler à Summer.
Je l'entends crier :
— Mademoiselle Summer, c'est Ashley.
Elle prend l'appareil et me dit :
— Bonjour Ashley. Alors, comment ça va ?
— Bonjour... Ça va, sauf que tu me manques trop. Tu viens ?
— Je viendrai... Tu voulais autre chose ?
— Oui. Ici les esclaves ne sont pas stylées. Tu me prêtes Madame Stone pour un mois ?
— Pourquoi pas... Je connais quelqu'un qui pourrait la remplacer.
— C'est gentil, ça me rappellera notre villa. Tu viendras, hein ?
— Oui ! Je te l'ai dit. Au sujet de Madame Stone, si tu te laisses faire comme à ton habitude, tu laveras bientôt ses culottes ! Bon, je te la passe... bises.
— Oui moi aussi, je....
— Allo ?
Elle a passé le téléphone à Madame Stone. Je lui dis :
— Comme vous le savez, je suis devenue la Première Dame et je suis à la Maison-Blanche. Ici, les esclaves et les servantes, c'est l'anarchie. Je voudrais vous charger de... remettre de l'ordre. Vous auriez tout le personnel sous votre contrôle... pour tout organiser comme à Malibu.
Il y a un blanc, puis elle me dit :
— Vous connaissez mon salaire ?
— ... Euh, oui...
— Je le fais pour le triple et je veux deux week-ends libres par mois.
— D'accord.
— Je prendrai l'avion demain
— Merci Madame Stone et...
— Je vous téléphonerai quand je serai là... Vous viendrez m'accueillir.
— D'accord... et...
— À demain.
Elle raccroche. Oui, on pourrait penser que... la façon dont elle me parle n'est pas correcte, mais elle est terriblement efficace. Elle va les mener à la baguette. Et puis, j'aurai un spectacle tous les matins... Je ne la laisserai pas être trop familière avec moi.
Ce soir, on mange avec les Krassing, les marchands de cochons. Je ne les aime pas et eux m'ignorent... Aussi, j'ai une migraine subite et je n'assiste pas au repas. Ça arrange mon mari. Ils vont parler politique et je n'y connais rien. Enfin, c'est ce qu'il pense.
***
Aujourd'hui, première chose : me faire baiser ! Ça fait un temps fou que je n'ai plus senti une bite en moi. Mon majeur a beau être de très bonne volonté, il ne remplace pas une vraie bite.
Je fais venir Spencer et je lui explique les raisons de la venue de Madame Stone. Rapidement, je me rends compte qu'il ne m'écoute plus. C'est pas très poli, ça. Il a l'air hypnotisé par quelque chose... Voyons... Je suis assise sur une chaise et j'ai croisé les jambes, ma jupe est remontée et je n'ai pas de culotte... Alors, il voit ma chatte et ça a l'air de lui plaire. Je lui demande :
— Vous regardez quoi avec tellement d'intensité, Spencer ?
— Vous, Madame la Présidente.
— Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour que vous ne soyez plus distrait ? Peut-être que si vous me baisiez, vous pourriez mieux vous concentrer ?
— Oui !
Je me lève et j'enlève ma robe. Je me retrouve nue devant lui...
Il hésite encore... un peu. Je vais m'asseoir sur ses cuisses, au risque de mouiller son pantalon et je l'embrasse en mettant mes bras autour de son cou. Ah ! Il se réveille et il m'embrasse aussi, tout en me caressant les seins. Je lui dis :
— Ne me baise pas comme si j'étais la Première Dame...
Il termine ma phrase :
— Mais, comme si tu étais une fille à partouze ?
— Ouiiii...
— À genoux et suce-moi !
Voilà, c'est plus sympa, comme ça. Je me mets à
genoux et je descends le zip de son pantalon. Oh ! Il n'a pas de slip et son
sexe me bondit à la figure. Avant tout, il faut l'apprivoiser. Alors je le
couvre de baisers, puis je tire sur la peau pour découvrir le gland. Oh qu'il
est mignon : rose, dodu et luisant... Je le goûte du bout de la langue...
Je joue un peu trop à son avis, car il me prend par la nuque et force ma
bouche. Quand un client fait ça, il faut ouvrir la bouche pour mettre le sexe
au chaud... Ce ne sont pas des souvenirs de Première Dame, mais de pensionnaire
de "House of Pussies". Il a un goût un peu prononcé, mais comme je
suis très excitée, ça passe. Je le suce... et ma tête va et vient sur son
sexe... Son gland rose me caresse même les amygdales. Je dois avoir une bonne
technique, parce qu'il me fait arrêter avant de repeindre ma bouche aux
couleurs de son sperme. Il me lance :
— À quatre pattes !
D'accord, voilà qui est clair. Il a le gland voyageur et après ma bouche, voici qu'il viole ma petite chatte. Violer n'est peut-être pas le mot qui convient... Il me baise comme un lévrier baise sa levrette. Aujourd'hui, j'aime bien les images et les comparaisons. Il est bon, le gars, il me baise à grands coups de reins en me donnant quelques claques sur les fesses. Le Président a une très grande qualité, il est doué pour trouver des amants à sa femme. Il me manque... j'aimerais qu'il soit là pour voir comment baise un vrai homme... Je jouis bientôt, suivi par partenaire... J'imagine son sperme inondant les moindres recoins de mon vagin et pénétrant plus loin après avoir escaladé le col de la matrice. Putain ! que j'aime me faire baiser !! Il me donne une dernière claque sur les fesses en disant :
— Je serai toujours très heureux de vous rendre ce genre de service, Madame la Présidente.
L'après-midi, j'attends l'arrivée de Madame Stone. Enfin, vers cinq heures de l'après-midi, elle me téléphone :
— Je suis à l'entrée de service, Ashley
— J'arrive, Madame Stone.
J'appelle Spencer pour qu'il m'accompagne, je l'ai prévenu. Il nous faut un moment pour traverser la maison. Spencer ouvre et je dis :
— Bonjour Madame Stone,
— Bonjour madame la Présidente.
Ouf ! Elle a compris que devant les gens, elle devait montrer un minimum de déférence. Les gens dominants veulent vous dominer en toutes circonstances, c'est normal. Je l'amène dans le bureau de Madame Conway. Elle va lui montrer sa chambre et lui présenter le personnel.
Je vais d'abord me renseigner sur son adversaire, Dany Prince (quel nom bidon !).
Dans une semaine, on part en voyage officiel chez nos alliés. On va à Paris et Bruxelles pour l'UE et ensuite, au Japon...
Ce qui me dérange aussi, c'est le personnel. À Malibu c'est clair et net : Madame Stone commande à tout le personnel. Ici, il y a des esclaves et des servantes libres. Plusieurs personnes leur donnent des ordres : une gouvernante, un majordome, la cuisinière... Et puis les chefs des différents services, aussi. Ça ne me plaît pas ! Je veux savoir qui sont les esclaves, m'en servir et... les punir. Si elles ont fait quelque chose de mal, bien sûr.
J'ai trois objectifs : réorganiser les esclaves et les servantes, me renseigner sur la politique et trouver un moyen d'éliminer l'adversaire.
On a des chambres séparées. Tant mieux je n'ai vraiment pas envie de dormir avec lui...
***
Le lendemain soir, le président veut que je le rejoigne pour manger. Il va sûrement me demander quelque chose. J'arrive dans la petite salle à manger. On commence par des banalités. Je lui demande :
— Tiens, à propos, je peux avoir une esclave dans mon lit ?
— Bien sûr, une esclave, c'est comme un sex toy.
Exactement ce que je pense. Je veux encore autre chose :
— Et si je veux sucer une bite ou me faire prendre en levrette ?
Je sais que cette façon de parler va l'exciter. Il aime l'idée que je me fasse baiser ! Il réfléchit et dit :
— Tu fais appeler Spencer, c'est le chef des gardes. Il va bien te baiser, petite salope !
Aussi simple que ça. Il ajoute :
— À ce sujet... euh...
— Oui ?
— On part bientôt en Europe et en Asie. Mais avant ça, je voudrais qu'on passe un petit week-end à Tijuana, pour... euh...
Ah, il est moins énergique, là... Je lui souffle :
— Pour s'amuser comme à Jackson ?
— Oui, c'est ça.
— D'accord, mais je voudrais aussi te demander quelque chose. À la villa de Malibu, les servantes sont très stylées et Madame Stone leur tient la laisse très courte. J'aimerais beaucoup qu'on l'engage pour qu'elle s'occupe du personnel. Tu verras la différence.
— D'accord. Vois ça avec Madame Conway.
Super ! Dès que j'ai fini de manger, je vais dans ma chambre et je téléphone à la villa de Malibu. C'est Madame Stone qui répond, en disant :
— Résidence de Mademoiselle Hunter.
Eh ! C'est chez moi, pas chez Summer. Enfin, si. Je lui dis :
— Bonjour Madame Stone, c'est Madame Birch.
— Qui ?
— Ashley.
— Ah oui, bonjour.
Toujours aussi peu protocolaire, mais je m'en fous, elle sait y faire avec les esclaves. Je lui dis :
— Je voudrais parler à Summer.
Je l'entends crier :
— Mademoiselle Summer, c'est Ashley.
Elle prend l'appareil et me dit :
— Bonjour Ashley. Alors, comment ça va ?
— Bonjour... Ça va, sauf que tu me manques trop. Tu viens ?
— Je viendrai... Tu voulais autre chose ?
— Oui. Ici les esclaves ne sont pas stylées. Tu me prêtes Madame Stone pour un mois ?
— Pourquoi pas... Je connais quelqu'un qui pourrait la remplacer.
— C'est gentil, ça me rappellera notre villa. Tu viendras, hein ?
— Oui ! Je te l'ai dit. Au sujet de Madame Stone, si tu te laisses faire comme à ton habitude, tu laveras bientôt ses culottes ! Bon, je te la passe... bises.
— Oui moi aussi, je....
— Allo ?
Elle a passé le téléphone à Madame Stone. Je lui dis :
— Comme vous le savez, je suis devenue la Première Dame et je suis à la Maison-Blanche. Ici, les esclaves et les servantes, c'est l'anarchie. Je voudrais vous charger de... remettre de l'ordre. Vous auriez tout le personnel sous votre contrôle... pour tout organiser comme à Malibu.
Il y a un blanc, puis elle me dit :
— Vous connaissez mon salaire ?
— ... Euh, oui...
— Je le fais pour le triple et je veux deux week-ends libres par mois.
— D'accord.
— Je prendrai l'avion demain
— Merci Madame Stone et...
— Je vous téléphonerai quand je serai là... Vous viendrez m'accueillir.
— D'accord... et...
— À demain.
Elle raccroche. Oui, on pourrait penser que... la façon dont elle me parle n'est pas correcte, mais elle est terriblement efficace. Elle va les mener à la baguette. Et puis, j'aurai un spectacle tous les matins... Je ne la laisserai pas être trop familière avec moi.
Ce soir, on mange avec les Krassing, les marchands de cochons. Je ne les aime pas et eux m'ignorent... Aussi, j'ai une migraine subite et je n'assiste pas au repas. Ça arrange mon mari. Ils vont parler politique et je n'y connais rien. Enfin, c'est ce qu'il pense.
***
Aujourd'hui, première chose : me faire baiser ! Ça fait un temps fou que je n'ai plus senti une bite en moi. Mon majeur a beau être de très bonne volonté, il ne remplace pas une vraie bite.
Je fais venir Spencer et je lui explique les raisons de la venue de Madame Stone. Rapidement, je me rends compte qu'il ne m'écoute plus. C'est pas très poli, ça. Il a l'air hypnotisé par quelque chose... Voyons... Je suis assise sur une chaise et j'ai croisé les jambes, ma jupe est remontée et je n'ai pas de culotte... Alors, il voit ma chatte et ça a l'air de lui plaire. Je lui demande :
— Vous regardez quoi avec tellement d'intensité, Spencer ?
— Vous, Madame la Présidente.
— Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour que vous ne soyez plus distrait ? Peut-être que si vous me baisiez, vous pourriez mieux vous concentrer ?
— Oui !
Je me lève et j'enlève ma robe. Je me retrouve nue devant lui...
Il hésite encore... un peu. Je vais m'asseoir sur ses cuisses, au risque de mouiller son pantalon et je l'embrasse en mettant mes bras autour de son cou. Ah ! Il se réveille et il m'embrasse aussi, tout en me caressant les seins. Je lui dis :
— Ne me baise pas comme si j'étais la Première Dame...
Il termine ma phrase :
— Mais, comme si tu étais une fille à partouze ?
— Ouiiii...
— À genoux et suce-moi !
— À quatre pattes !
D'accord, voilà qui est clair. Il a le gland voyageur et après ma bouche, voici qu'il viole ma petite chatte. Violer n'est peut-être pas le mot qui convient... Il me baise comme un lévrier baise sa levrette. Aujourd'hui, j'aime bien les images et les comparaisons. Il est bon, le gars, il me baise à grands coups de reins en me donnant quelques claques sur les fesses. Le Président a une très grande qualité, il est doué pour trouver des amants à sa femme. Il me manque... j'aimerais qu'il soit là pour voir comment baise un vrai homme... Je jouis bientôt, suivi par partenaire... J'imagine son sperme inondant les moindres recoins de mon vagin et pénétrant plus loin après avoir escaladé le col de la matrice. Putain ! que j'aime me faire baiser !! Il me donne une dernière claque sur les fesses en disant :
— Je serai toujours très heureux de vous rendre ce genre de service, Madame la Présidente.
L'après-midi, j'attends l'arrivée de Madame Stone. Enfin, vers cinq heures de l'après-midi, elle me téléphone :
— Je suis à l'entrée de service, Ashley
— J'arrive, Madame Stone.
J'appelle Spencer pour qu'il m'accompagne, je l'ai prévenu. Il nous faut un moment pour traverser la maison. Spencer ouvre et je dis :
— Bonjour Madame Stone,
— Bonjour madame la Présidente.
Ouf ! Elle a compris que devant les gens, elle devait montrer un minimum de déférence. Les gens dominants veulent vous dominer en toutes circonstances, c'est normal. Je l'amène dans le bureau de Madame Conway. Elle va lui montrer sa chambre et lui présenter le personnel.
À suivre.
Un grand
merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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