Quelques danses plus tard, le Président nous dit :
— Chers amis... Il y a des
chambres à votre disposition. La Première Dame et moi allons nous occuper de
notre descendance.
Rires... justifiés. Moi, je
pense : "Faudrait que tu bandes pour une femme, petit clown !" Mais,
je ne le dis pas. Il me tend la main, on quitte la pièce sous les "Et
bonne nuit, hein !"
Dans l'ascenseur, il me
demande :
— Ça va, tu es en forme ?
— Oui, oui, ça va, je n'ai pas
trop peur... Je dois vous avouer que j'ai déjà vu le loup... et sa queue.
On rit et on entre dans la
chambre... Je ne m'attends pas vraiment à une nuit de folie. Le Président met
CNN. Moi, je fais pipi et je me lave les dents. Putain, qu'est-ce qu'on va
branler cette nuit ? Je reviens nue dans la pièce et je vois Ron... Aah ! Là,
il y a des chances que ce soit quand même la fête à mon cul ! Il m'enlace,
m'embrasse, on valse... enfin, non... il est moins romantique que ça. Il
m’annonce :
— Oh toi, je vais te défoncer,
petite salope !
Oh ! Devant le jeune marié !
Ron ajoute :
— Ça ne vous dérange pas que
je baise cette petite pute, Monsieur le Président ?
— Je t'en prie, Ron. Je l'ai
ramassée sur le trottoir, elle est là pour ça.
Aah ! D'accord : on joue. Je
sais jouer aussi. Je dis à Ron :
— Si tu veux que je te suce la
bite, c'est cinquante dollars, cow-boy.
Mon mari me regarde, très
intéressé tout à coup. Ron répond :
— Une pipe et puis je
t'encule, combien ?
— Cent dollars M'sieur...
Le président intervient :
— Et l'inverse, petite ? Il
t'encule et puis tu le suces ?
— C'est sale, M'sieur.
— Deux cents dollars.
— Non.
— Mille dollars.
Il est fou ! Je peux avoir
l'argent que je veux, je suis la femme de l'homme le plus puissant du monde,
après le Président chinois. N'empêche... mille dollars ! Je dis :
— D'accord., mais je voudrais
mon petit cadeau avant de commencer.
Le Président se lève, va
chercher de l'argent dans son portefeuille et me donne 10 billets de 100 $.
Eh ! Ma plus belle passe !
Je suis une fille accueillante
de tous les côtés, heureusement. Je relève ma jupe sur les reins et je me mets
à genoux sur un divan les fesses offertes à la première bite qui passe. Oh ! Y
a un passant... Une bite vient me renifler le trou du cul... au point où on en
est, appelons un chat, un chat. Je tourne la tête en disant :
— Soyez gentil de cracher
dessus avant, M'sieur...
Heureusement, mon
"client" est un gentleman, il me crache dessus... Et puis titille mon
anus avec son gland mouillé et... il entre à fond jusqu'à ce que ses couilles
claquent sur mes cuisses. Ouch !
Ça passe, mon anus a une
élasticité insoupçonnée, il s'est étiré au maximum pour laisser passer ce
visiteur. Ron, qui fait le client, est un vrai gentleman parce qu'il me caresse
la chatte tandis qu'il va et vient entre mes reins, comme le dit une chanson du
siècle passé, ou dans mon cul comme j'aurais tendance à le dire. Enculée d'un
côté, titillée de l'autre, je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Il y a
des choses auxquelles je ne dois surtout pas penser... Et puis, hélas,
j'imagine la maison de Malibu et Madame Stone fouettant les esclaves de grand
matin et... je jouis... Je pousse des gémissements pour plaire au Président.
Quand mon anus relâche la queue de Don, il se retire et il me donne une bonne
claque sur les fesses en disant :
— Maintenant, mets-toi à
genoux, tu vas me sucer.
— Oui... sauf que le
nettoyage, c'est le travail de mon esclave.
Je regarde le Président en
disant :
— Jojo, aux pieds ! Lèche la
bite de Monsieur...
Il a l'air tout con... Alors,
j'ajoute :
— Tu as cinq secondes, ensuite
c'est le fouet.
Et... là, il bondit et se met
à genoux devant Ron. Je crie :
— Et qu'il soit impeccable,
vermine !
Vermine ! Je suis dingue,
moi... ou pas, car l'esclave Jojo lèche soigneusement le gland un peu souillé
par sa fidèle épouse... euh... je veux dire par son épouse. En théorie, je
devrais prendre le relais, sauf que mon mari va jusqu'au bout et avale tout ce
que Ron lui déverse dans la bouche en jouissant ! Dès qu'il a avalé, il cesse
de jouer et il me dit :
— Couche sur le lit, Ashley !
Moi, je suis une épouse
soumise, j'obéis. Il se déshabille rapidement et vient se coucher sur moi dans
la position du missionnaire. Je sens un tout petit sexe me pénétrer.
Il baise rapidement, un peu comme un lapin. D'ailleurs, je le sens à peine : non seulement il baise comme un lapin, mais en plus, il jouit aussi vite qu'un lapin.
Dès qu'il a fait sa petite
affaire, il se lève et va dans le lit d'à côté en disant :
— Bonne nuit, les amoureux
— Bonne nuit, mon chéri.
— Bonne nuit, Monsieur le
Président.
Je vais à la salle de bains,
faire une mini toilette, puis je rejoins mon amant dans son lit et je me
colle à ses muscles durs... Ça, c'est un homme.
***
Le lendemain, quand je me
réveille, je suis seule. Je ne les ai pas entendus se lever. Est-ce que j'ai
rêvé tout ça ? Première chose, je vérifie si l'argent est toujours dans mon
sac. Oui : ouf ! Je sais, c'est bête, parce que je vais avoir une allocation en
tant que Première Dame. Mais bon, je garde mes réflexes de pauvre. Je m'apprête
et je descends dans la salle à manger. Mon mari est avec ses amis. Ils sont
occupés à déjeuner autour d'une grande table. Je dis :
— Bonjour...
Ils me regardent et me
répondent... mollement. C'est pas une façon d'accueillir la Première Dame, ça.
Ah, le Président se lève et il m'embrasse sur la joue en disant :
— On doit discuter de choses
ennuyeuses, va déjeuner avec Summer et les gardes.
Il me traite comme une gamine
pour changer, mais je préfère 1.000 fois déjeuner avec Summer et les gardes
qu'avec Madame Wolf et les marchands de cochons ! Eux, ils sont contents de me
voir arriver, ils se lèvent et m'embrassent. Je m'assieds à côté de Summer et
je lui dis :
— Je préfère 1.000 fois être
avec toi, ils sont vraiment désinvoltes avec la Première Dame.
— Tu es une "trophy
wife"...
— C'est quoi, ça ?
— Un trophée. Tu es là pour la
galerie. Pour qu'il se refasse une réputation. Tout ça pour être réélu...
Pas très sympa le rôle de
trophée. M'en fous, je vais en profiter un maximum, puis partir avec Summer.
Une serveuse esclave attend
derrière moi que je me décide. Je lui dis :
— Je voudrais des œufs au
bacon, des crêpes au sirop d'érable et du café.
— Certainement, Madame.
Elle file. Le service est bien
fait quand il est assuré par des esclaves. Vous remarquerez que je ne prends
plus de pommes de terre avec mes œufs. Suite à une réflexion et une claque sur
mes fesses de la part de Summer. C'est vrai que je dois faire un peu attention.
Je pose la main sur ses
cuisses... et je lui demande :
— Le Président a un problème ?
— Un opposant noir a créé un
nouveau parti regroupant les Noirs, les Hispaniques et une partie des
démocrates...
Ouch ! Ça fait beaucoup. Elle
ajoute :
— Il ne faudrait pas que les
Chinois le soutiennent.
Elle voit ma tête qui change
et me dit :
— Les Républicains et la
plupart des Démocrates blancs soutiennent ton mari et il a l'appui de l'Union
Européenne et du Japon.
Ça fait beaucoup aussi,
heureusement...
Quand on a fini, on va au bord
de la piscine avec les gardes. On se déshabille et on nage... On est nus et on
s’amuse tandis que les autres discutent de stratégie politique. Après avoir
nagé, Summer plonge et moi je saute du bord, oui je sais le faire ! Je vais me
mettre contre elle et je lui dis :
— Les histoires avec cet
opposant, ça m'angoisse. Tu as déjà imaginé si... euh... le Président est
renversé ou pire...
Elle lève les yeux au ciel, je
continue :
— Je t'en prie, sérieux, si ça
tourne mal, j'aurai le temps de m'enfuir ?
— Ce sera difficile.
— Et toi ?
— J'aurai sans doute le temps.
Je prends ses mains dans les
miennes en disant :
— Tu me sauveras ?
— Oui, j'aurai besoin de toi
pour laver mes culottes... Même s'il me faut un moment pour y arriver.
Et là, j'ai une idée. Oui, ça
m'arrive. J'ai confiance en elle. Je sais que ça paraît fou, mais c'est comme
ça. Je lui dis :
— Je vais te donner de
l'argent, tu le mettras sur un compte à l'étranger et si j'ai des problèmes, tu
t'en serviras.
— Et si je le garde pour moi ?
— Tu es la seule personne en
qui j'ai confiance. J'ai 1 000 $ dans la chambre, je te les donnerai.
Elle ne me demande pas comment
j'ai ça et d'un côté, tant mieux. Elle réfléchit et dit :
— On pourrait ouvrir un compte
commun aux îles Cayman, il faudra être deux pour retirer l'argent.
— Toi seule, c'est mon
assurance... je t'en prie.
— D'accord.
Ouf ! Je me sens mieux !
Vers une heure, on mange et
puis on part pour Washington. Je vais découvrir la Maison-Blanche...
Summer ne vient pas avec nous,
elle va s'installer à Malibu, dans notre villa pour un an.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan
pour les super dessins.
Les tomes 1 à 5 de "Mia
sans dessous" et "Samia, fille du voyage" sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
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