Il y a des gens classes, comme je
pensais. Il y a aussi deux actrices que je reconnais... et puis des esclaves
pas maquillées et avec les cheveux tirés. On va s'asseoir dans un divan... Une
servante vient aussitôt me proposer du champagne. Tandis que je bois avec
classe, mon pote John me dit :
— J'ai pensé que tu aimerais
assister à la punition de ces filles...
— Oh oui... m'sieur... euh...
John. Ce sont des esclaves qui ont fait une bêtise ?
— Non, pas du tout. Ce sont
des étudiantes en droit qui ont fait un site qui me dérange beaucoup. Alors, on
va les punir un peu. Celles qui vont faire amende honorable en seront quittes
pour avoir passé un moment un peu désagréable, celles qui persisteront dans
leurs erreurs seront vendues comme esclaves à Djibouti ou à Shanghai... quelque
part loin !
— Super idée...
Je vous rappelle que ces
filles attaquent les États-Unis à travers notre Président... Il ajoute :
— On les fait mariner un peu.
La peur de la punition à venir est déjà une punition.
Quel homme raffiné... C'est un
peu cruel, mais ces filles l'ont cherché... Je réponds :
— Elles n'ont que ce qu'elles
méritent.
— Viens, je voudrais te parler
en privé...
Oui, mais moi, je voudrais
voir les filles fouettées... mais bon, qu'elles attendent... On va au 3e et
dernier étage de l'hôtel. Je me doute qu'il en veut à ma vertu... Mais tirer un
coup, je ne dis jamais non, surtout au Président...
Je me déshabille. Quand je
suis nue, je le regarde... Il est toujours habillé... Et alors, on fait quoi ?
Il me dit :
— J'aimerais te voir avec un
homme... Tu serais d'accord ?
— Ben... oui.
— J'arrive.
Il sort et revient quelques
minutes plus tard avec un grand mec costaud. Belle gueule de baroudeur... mon
genre. Le mec me sourit et se déshabille... Ouaouh ! Il est musclé et il a une
bite qui vise déjà ma chatte. John me dit :
— Suce-le.
Alors là, c'est pas de refus.
Je mets à genoux et je commence par embrasser le bout mouillé de sa bite, ses
couilles gonflées, les poils du pubis... Le Président vient tout près regarder
ma langue tourner autour du gland du costaud... Il me dit :
— Je voudrais te voir lui
lécher le...
Il cale. Aller, accouche ! Je
lui propose :
— Le trou du cul ?
— Ouiii...
Il est ravi. Je commence à le
trouver un peu spécial, le Président. Le costaud se met à quatre pattes et moi,
je me mets à genoux derrière lui. J'écarte ses fesses musclées avec les mains.
Il a une odeur de transpiration mélangée à un parfum pour homme, une odeur plaisante. Le Président vient à nouveau regarder de tout près. Tu veux du spectacle ? OK. Je lèche l'anus du gars et y enfonce même la langue. Il me dit :
— Tu aimes faire ça...
— Oui m'sieur... euh, oui
John.
— Tu as envie de te faire
baiser ?
— Grave : je suis toute
mouillée.
— Allez-y.
Le costaud se relève et me
prend dans ses bras aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie. Il me
met sur le lit, se couche sur moi et m'enfonce
— Ah oui... je te sens bien...
c'est booonnn... plus foooort...
Je croise mes chevilles sur ses reins pour qu'il me pénètre encore plus profondément. Pas longtemps, car je sens mon vagin se crisper sur le sexe qui le transperce et...
— Oh ouiiii... je jouuuuis...
Ah putain de merde, c'est
bon...
Quelques coups de reins de
plus et mon baiseur jouit aussi, inondant ma chatte de son sperme... Il grogne
un peu en jouissant. Je veux le garder en moi, mais il me dit à l'oreille :
— C'est au tour du Président...
Oh ! Il va me baiser ? Non,
dès que le sexe de mon partenaire quitte mon vagin, le Président colle sa
bouche et il aspire le sperme qui est en moi. Je me demande si tous les
Présidents font ça ! Le Président de la 2e puissance mondiale suce ma chatte pleine
de sperme. C'est un peu surprenant, non ? Si c'est le genre d'apéro qu'il aime,
ça ne me dérange pas. Au contraire, je ne devrai pas me laver. Quand il a fini
de boire son apéro à ma chatte, on se rassied... Le costaud va dans la salle de
bain. Il y a un silence, faut que je trouve quelque chose à dire... Ah oui :
— J'ai adoré cette petite
partie à trois, John.
— Moi aussi, ma chère Ashley,
moi aussi. C'était un peu spécial.
— Non, non, ça me plaît.
— On pourrait dire que j'ai
des goûts un peu... spéciaux...
— Vous savez, moi j'aime
lécher Summer quand elle vient de faire pipi...
Je dis ça pour le rassurer. Il
continue :
— Des méchantes langues disent
que je suis gay...
Tu m'étonnes !!
— Alors... il faut que je
trouve une femme très belle et aussi très compréhensive au sujet de mes
goûts....
Il ne va quand même pas...
— Alors Ashley, veux-tu
m'épouser ?
C'est rien, je vais me
réveiller ! Figurez-vous que je rêve que le Président des USA veut m'épouser !
Dingue non ? Dans mon rêve, je réponds :
— Avec grand plaisir.
Si je ne rêve pas, c'est juste
une farce, genre caméra cachée. Il me dit :
— On descend, je vais annoncer
la nouvelle à nos amis.
Bien sûr. Je joue le jeu... Je
remets ma robe transparente. En bas, Summer est là et elle discute avec
Monsieur Sam. Le Président annonce :
— Une grande nouvelle, mes
amis : Ashley et moi, nous allons nous marier.
Tout le monde vient nous
féliciter... Je vais près de Summer et je lui dis tout bas :
— On se fout de moi, hein ?
— Non, il a besoin d'une
épouse charismatique et qui, accessoirement, couche avec n'importe qui...
— Eh, tu exagères !
— Tu as oublié qu'on s'est
rencontré au "House of Pussies".
— Pardon, mais, c'est que...
je suis perdue... et... snif...
— Ah, ne te mets pas à
pleurer ! Tu acceptes et si un jour tu en as marre, tu divorces et tu auras une
énorme pension alimentaire.
Avec elle, c'est aussi simple
que ça ! Je la regarde et elle me dit :
— Ferme la bouche !
Je la ferme... Je m'imagine à
Paris reçue par la nouvelle Présidente... J'irai manger au sommet de la tour
Eiffel et puis aux Folies Bergères.... Il y a deux choses que je veux garder :
Summer et la maison de Malibu. Oui, Summer, c'est une addiction. Mon futur mari
vient me dire :
— Ma chérie, si on châtiait
ces petites garces ?
— Excellente idée, John.
Il m'appelle "ma
chérie" ! Le Président !! Je commence à y croire un peu.
En ce qui concerne les filles,
je regrette qu'elles soient bâillonnées... J'aime entendre les cris et les supplications
des filles fouettées. Quatre gardes que je connais viennent se mettre derrière
les filles, armés d'un fouet. Je les ai déjà vus à l'œuvre, ils sont très
adroits. Le Président dit :
— Vingt coups, ensuite on leur
demandera leurs impressions.
C'est pas beaucoup. Un signe
de tête du Président et les trois lanières des fouets viennent claquer sur les
fesses des filles. Elles font :
— Mmmffffmmmma !
Je sais ce que ça veut dire
"Aaaaiiieee!!! Ça fait maaal..."
Elles sont aussi douillettes
que des esclaves. Les quatre gardes ont dû répéter, car ils nous font quasiment
un ballet : les fouets qui sifflent dans l'air, le bruit mat quand ils zèbrent
les fesses des filles... les cris étouffés. C'est beau.
J'ai un petit problème :
regarder les filles fouettées, ça m'excite, je vais mouiller ma robe
transparente. Les gardes repeignent les fesses des filles en rouge... Le haut
des cuisses, aussi. Je pense qu'elles vont faire "kaï kaï" quand
elles vont s'asseoir, les prochains jours... Ils s'arrêtent ! Oh déjà ? Ils
enlèvent les bâillons. Là, je les entends enfin pleurer et gémir... Quelles
moules ! Quand elles sont calmées, mon fiancé... va devant elles. Il parle bas,
comme quelqu'un qui est habitué à ce que tout le monde l'écoute avec attention.
Il leur dit :
— Je trouve votre site très
bien, mais pas la cause que vous défendez. Si vous êtes prête à travailler pour
moi, vous aurez beaucoup d'avantages. Dans le cas contraire...
Les filles sont là, les fesses
en l'air et bien rouges. Elles doivent relever la tête pour le voir... Une
belle brune dit d'une petite voix enrouée :
— Nous irons en prison ?
— Non, vous serez vendue dans un bordel de Tombouctou.
Une blonde répond très vite :
— Moi, j'accepte Monsieur le
Président,
À tour de rôle, les trois
autres acceptent. Et voilà, on leur tape un peu sur les fesses et elles renient
leurs idées ! On les détache et elles se mettent debout, les jambes
tremblantes, les fesses et les yeux rouges. Faudrait les envoyer chez Madame
Stone, là elles feraient vraiment connaissance avec le fouet. Le Président leur
dit :
— Vous allez signer quelques
papiers et on vous reconduira chez vous...
Elles bredouillent un truc du
genre :
— Oui, Monsieur le
Président...
Ensuite, on discute du
mariage. On va s'asseoir avec Monsieur Sam, Madame Wolf et sa chérie, Sara, je
crois. Il y a aussi un homme aux cheveux gris. Le Président me dit :
— Tu es décidée à devenir mon
épouse ?
En fait, non, pas du tout,
mais je veux devenir la Première Dame des États-Unis, alors je réponds :
— Absolument, cher John.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan
pour les super dessins.
Mes livres avec les dessins de
Bruce Morgan sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
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